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Étude fondamentale et pratique sur le pompage du béton

Chapdelaine, Frédéric. 12 April 2018 (has links)
Le pompage du béton est une technique de mise en place du béton frais utilisée depuis plusieurs années. Le béton est déposé dans une pompe à béton qui achemine le béton dans des boyaux, souples en caoutchouc ou rigides en acier, directement à l'endroit désiré. Peu de chercheurs se sont intéressés aux problèmes de pompage du béton, probablement à cause de la complexité de mener une campagne de recherche sur ce sujet. La pompabilité est définie généralement comme la mobilité et la stabilité sous pression d'un béton. Cette thèse s'intéresse surtout aux problèmes de mobilité sous pression. Le but de cette thèse est de développer un modèle prédictif de l'aptitude au pompage du béton. Le modèle prend en compte le type de boyau, les coudes, les réducteurs et l'effet de la hauteur. / Pour valider le modèle, plusieurs mélanges de béton ont été fabriqués et pompés dans un circuit comprenant un réducteur pour passer d'un diamètre de 100 mm à 50 mm et d'un boyau en caoutchouc de 15,24m de longueur et de 50 mm de diamètre instrumentés de capteurs de pression servant à mesurer les pertes de charge. Quatre types de liant commercialement disponibles (type 10, type 10 avec fumée de silice, ternaire avec cendres volantes et ternaire avec laitiers de hauts fourneaux) ont été utilisés pour fabriquer des mélanges de béton de rapports eau-liant et volume de pâte différents. Pour valider le modèle sur des boyaux d'acier et étudier l'effet de la hauteur et des coudes sur les pressions de pompage, un camion pompe muni d'une flèche a été instrumenté de capteurs de pression. Vingt chantiers ont été visités sur lesquels les mesures ont été réalisées. Deux tribomètres à béton ont été développés, l'un à surface d'acier, l'autre à surface en caoutchouc, pour mesurer les propriétés d'interface du béton frais. Les résultats ont montré que le tribomètre mesure des propriétés d'interface représentatives des propriétés de pompage. / Les résultats obtenus montrent que pour un squelette granulaire donné, peu importe le type de liant, il existe un volume de pâte de liant minimal pour que le béton soit apte au pompage. Lorsqu'un liant ternaire est utilisé pour fabriquer un mélange de béton, ce dernier est plus facilement pompable qu'un mélange de béton fabriqué avec une masse comparable de ciment type 10. La densité plus faible des liants ternaires semble être responsable de l'effet bénéfique. Pour une même masse de liant, le volume est plus élevé. Aussi, pour un liant moins dense, il est possible de fabriquer un mélange de béton contenant moins de liant en terme massique et qu'il soit toujours apte au pompage. Les mélanges de béton à haut rapport E/L sont quant à eux beaucoup plus facile à pomper (pressions faibles). Par contre, pour ces mélanges, lors de la mesure des pressions de pompage, un pic caractéristique est observé au début des plateaux. La pâte contenue entre les granulats pour ces mélanges est de très faible viscosité et une friction supplémentaire est à vaincre avant que le béton ne s'écoule due au frottement entre les granulats.
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Durabilité du béton fibré à ultra-haute performance : effet de la présence de microfissures sur la migration des ions chlorure

Turgeon-Mallette, Vicky 04 February 2021 (has links)
En Amérique du nord, la majorité des structures en béton, approchant leur fin de vie, présentent des conditions sévères de détérioration. Les effets combinés de cycles de gel-dégel et la présence de sel de déglaçage sont les raisons principales de dégradation des structures. De plus, la présence de fissures accélère considérablement la dégradation en offrant un chemin préférentiel à la pénétration des agents agressifs. Grâce à leur grande résistance en compression et leur comportement ductile en traction, leur faible perméabilité et grande résistance à la pénétration des ions chlorure, l'utilisation des bétons fibrés à ultra-haute performance (BFUP) est une solution de choix pour augmenter la durée de vie des structures. Plusieurs études évaluent la durabilité du BFUP en utilisant les mêmes méthodes que pour le béton ordinaire, soit avec des échantillons de BFUP sain et les résultats de ces études confirment la durabilité exceptionnel du matériau. Cependant, en état de service, le BFUP comme le béton ordinaire présente des fissures soit en raison du retrait ou de la charge appliquée à la structure. Il est bien connu que, pour le béton ordinaire, la durabilité du matériau diminue grandement une fois fissurée au-delà d'un seuil critique. Le BFUP ayant un comportement plus ductile, il est possible de s'attendre à une meilleure durabilité que le béton ordinaire pour une même déformation. Cependant, peu d'études permettent de faire un lien direct entre la durabilité du matériau et l'ouverture des fissures du matériaux lorsqu'il est mis sous charge. Ce projet de maîtrise se divise en deux parties. La première est de faire la caractérisation de la durabilité de différents mélanges de BFUP, disponibles au Québec. La seconde partie consiste à caractériser la résistance à la pénétration des ions chlorure pour des poutres de BFUP soumises à une charge de flexion. Ces poutres présentent des micro-fissures du même ordre de grandeur qu'à l'état de service. Pour la caractérisation de la durabilité de différents mélanges, des informations sur la porosité des matériaux, la résistance à l'écaillage et la perméabilité aux ions chlorure sont obtenus. La perméabilité est évaluée selon un essai de migration accéléré et selon une procédure modifiée de cet essai accéléré, développée et adaptée pour les BFUP lors de précédents travaux. Les résultats confirment l'excellente durabilité des BFUP. La procédure modifiée de l'essai de migration accélérée reste difficile à mener pour des matériaux comportant des fibres métalliques et es améliorations sont suggérées. Pour l'évaluation de la perméabilité aux ions chlorure des poutres de BFUP maintenues sous charge, un montage et une méthode d'essai ont été développés et validés. L'analyse par corrélation d'images numériques est utilisée pour l'observation et la mesures des ouvertures des fissures. La perméabilité aux ions chlorures des poutres maintenues sous charge est évaluée par un essai de migration accélérée. Les coefficients de diffusion des ions chlorures obtenus pour les poutres fissurées sont inférieures à celui de la poutre de référence non chargée. Ce résultat inattendu est également observé avec les profils de chlorure. L'application d'un courant électrique pour l'accélération de l'essai de migration et la présence de micro-fissure pourrait être en cause. Une recherche plus exhaustive à ce sujet doit être menée pour comprendre ce phénomène. / In North America, most of concrete structures, as they approach their lifetime design, present severe deterioration conditions. The combined effects of freeze-thaw cycles and the presence of de-icing salt are the main reasons for structural degradation. In addition, the presence of cracks considerably accelerates degradation by providing a preferential path for aggressive agents to penetrate. Thanks to their high compressive strength and ductile tensile behaviour, low permeability and high resistance to chloride ion penetration, the use of Ultra-High Performance Fiber Reinforced Concrete (UHPFRC) is a preferred solution to increase the service life of structures. Several studies evaluate the durability of UHPFRC using the same methods as for ordinary concrete, i.e. with samples of sound UHPFRC and the results of these studies confirm the exceptional durability of the material. However, in service state, UHPFRC, like ordinary concrete, exhibits cracks either due to shrinkage or load applied to the structure. It is well known that, for ordinary concrete, the durability of the material greatly decreases when cracked above a critical threshold. Since UHPFRC has a more ductile behaviour, it is possible to expect a better durability than ordinary concrete for the same deformation. However, few studies have made a direct link between the durability of the material and the opening of material cracks when loaded. This master's project is divided in two parts. The first part to characterize the durability of different UHPFRC available in Quebec. The second part consists of characterizing the resistance to chloride ion penetration for UHPFRC loaded beams. These beams have microcracks of the same order of magnitude as in service condition. For the characterization of the durability of different UHPFRC, information on material porosity, scalling resistance and chloride ion permeability is obtained. Permeability is assessed according to an accelerated migration test and a modified procedure of this accelerated test, developed and adapted for UHPFRC in previous work. The results confirm the excellent durability of UHPFRC. The modified accelerated migration test procedure remains difficult to carry out for materials containing metallic fibers and possible improvements are suggested. For the evaluation of the chloride ion permeability of UHPFRC beams maintained under load, a test set-up and a method are developed and validated. Digital Image Correlation analysis is used for observing and measuring crack openings. The chloride ion permeability of beams held under load is evaluated by an accelerated migration test. This unexpected result is also observed with chloride profiles. The application of an electrical current to accelerate the migration test and the presence of micro-cracking may be the issue. A more comprehensive research is needed to understand this phenomenon.
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Shear Contribution of Basalt Fiber-Reinforced Concrete Reinforced with Basalt Fiber-Reinforced Polymer Bars

Hamed, Sarah 13 March 2019 (has links)
Cette étude évalue expérimentalement et analytiquement le comportement au cisaillement des poutres en béton renforcé de fibres de basalte (BRFB) renforcées longitudinalement avec des barres en polymère renforcé de fibres de basalte (PRFB). Un nouveau type de macro-fibres de basalte a été ajouté au mélange de béton pour produire le mélange de BRFB. Quatorze poutres (152 x 254 x 2000 mm) sans armature transversale ajouté ont été testées sous une configuration de chargement à quatre points jusqu'à la défaillance. Les poutres ont été regroupés en deux groupes A et B en fonction de leurs rapports portée de cisaillement/profondeur, a/d. Les poutres du groupe A avaient un rapport a/d de 3,3 tandis que celles du groupe B avaient un rapport a/d de 2,5. Outre les rapports a/d, les paramètres étudiés comprenaient la fraction volumique des fibres ajoutées (0,75 et 1,5%) et le taux de renforcement longitudinal des barres en PRFB (0,31, 0,48, 0,69, 1,05 et 1,52). Les résultats des tests ont montré que l’ajout de macro-fibres de basalte au mélange de béton améliorait sa résistance à la compression. Une relation directe entre la fraction volumique de fibres, Vf, et la résistance à la compression a été observée. Les cylindres de béton coulés avec une Vf de 0,75 et 1,5% ont entraîné une augmentation de 11 et 30% de leur résistance à la compression par rapport à ceux moulés en béton standard (sans fibres), respectivement. L'ajout de fibres a également amélioré le mode de défaillance des poutres BRFB-PRFB que les poutres de contrôle coulées avec du béton standard. L’augmentation de la fraction volumique des fibres a réduit l’espacement entre les fissures et gêné sa propagation. Une amélioration significative des capacités de cisaillement des poutres testées a également été observée lorsque les macro-fibres de basalte ont été ajoutées à une fraction volumique Vf de 0,75. L'augmentation moyenne des capacités de cisaillement des poutres des groupes A et B, ayant les mêmes taux de renforcement, était respectivement de 45 et 44%, par rapport à celles des poutres de contrôle. Il a été noté que le gain en capacité de cisaillement des poutres testées était plus prononcé dans les poutres avec a/d= 3,3 que dans les poutres avec a/d = 2,5 lorsque le taux de renforcement augmentait. Au cours de la phase analytique, plusieurs modèles ont été utilisés pour prédire les capacités de cisaillement des poutres. Tous les modèles disponibles surestimaient les capacités de cisaillement des poutres testées avec un rapport moyen Vpre/Vexp compris entre 1,29 et 2,64. Cette observation a montré que ces modèles ne permettaient pas de prédire les capacités de cisaillement des poutres BRFB-PRFB. Un nouveau modèle modifié intégrant le type de renforcement longitudinal, le type de béton fibré et la densité du béton est proposé. Le modèle d’Ashour et al. -A (1992) a été modifié en utilisant un facteur égal au rapport entre le module des barres en PRF, Ef, et celui des barres en acier Es. Ce rapport prend en compte la différence de propriétés entre les barres en PRF et celles en acier, négligée par les modèles précédents. Le modèle proposé prédit bien les capacités de cisaillement des poutres BRFB-PRFB testées dans la présente étude avec des rapports moyens Vpre/Vexp = 0,82 ± 0,12 et 0,80 ± 0,01 pour les poutres des groupes A et B, respectivement. Les capacités de cisaillement des poutres en béton léger testées par Abbadi (2018) ont été prédites avec un rapport moyen Vpre/Vexp = 0,77 ± 0,05. De plus, le modèle prédit bien les capacités de cisaillement des poutres coulées avec du béton qui contient des fibres en acier testées par Awadallah et al. (2014) avec un rapport moyen Vpre/Vexp = 0,89 ± 0,07. Cela indique la large gamme d'applicabilité du modèle proposé. Cependant, il est recommandé d’évaluer le modèle proposé sur un ensemble de données plus large que celui présenté dans cette étude. / This study evaluates both experimentally and analytically the shear behavior of basalt fiber-reinforced concrete (BFRC) beams reinforced longitudinally with basalt fiber-reinforced polymer (BFRP) bars. A new type of basalt macro-fibers was added to the concrete mix to produce the BFRC mix. Fourteen beams (152 x 254 x 2000 mm) with no transverse reinforcement provided were tested under four-point loading configuration until failure occurred. The beams were grouped in two groups A and B depending on their span-to-depth ratios, a/d. Beams of group A had a ratio a/d of 3.3 while those of group B had a ratio a/d of 2.5. Besides the span-to-depth ratios, the parameters investigated included the volume fraction of the fibers added (0.75 and 1.5%) and the longitudinal reinforcement ratio of the BFRP reinforcing bars (0.31, 0.48, 0.69, 1.05, and 1.52). The test results showed that the addition of basalt macro-fibers to the concrete mix enhanced its compressive strength. A direct relationship between the fiber volume fraction, Vf, and the compressive strength was observed. Concrete cylinders cast with Vf of 0.75 and 1.5% yielded 11 and 30% increase in their compressive strengths over those cast with plain concrete, respectively. The addition of fibers greatly enhanced the shear capacity of BFRC-BFRP beams compared to their control beams cast with plain concrete. The increase of the fiber volume fraction decreased the spacing between cracks and hindered its propagation. A significant enhancement in the shear capacities of the tested beams was also observed when the basalt macro-fibers were added at a volume fraction Vf of 0.75%. The average increase in the shear capacities of beams of group A and B, having the same reinforcement ratios, were 45 and 44%, respectively, in comparison with those of the control beams. It was noticed that the gain in shear capacities of the tested beams was more pronounced in beams with a/d = 3.3 than in beams with a/d = 2.5 when the reinforcement ratio increased. In the analytical phase, several models were used to predict the shear capacities of the beams. All of the available models overestimated the shear capacities of the tested beams with average ratio Vpre/Vexp ranging between 1.29 to 2.64. This finding indicated that these models were not suitable to predict the shear capacities of the BFRC-BFRP beams. A new modified model incorporating the type of the longitudinal reinforcement, the type of FRC used, and the density of concrete is proposed. The model of Ashour et al. –A (1992) was calibrated using a calibration factor equal to the ratio of modulus of FRP bars used, Ef, and that of steel bars, Es. This ratio takes into consideration the difference in properties between the FRP and steel bars, which was overlooked by previous models. The proposed model predicted well the shear capacities of the BFRC-BFRP beams tested in the current study with average ratios Vpre/Vexp = 0.82 ± 0.12 and 0.80 ± 0.01 for beams of groups A and B, respectively. The shear capacities of the lightweight concrete beams tested by Abbadi (2018) were predicted with an average ratio Vpre/Vexp = 0.77 ± 0.05. Moreover, the model predicted well the shear capacities of the SFRC beams reinforced with BFRP bars tested by Awadallah et al. (2014) with an average ratio Vpre/Vexp = 0.89 ± 0.07. This indicates the wide range of applicability of the proposed model. However, it is recommended that the proposed model be assessed on larger set of data than that presented in this study
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Étude de l'efficacité d'adjuvants à base de lithium afin de contrôler la réaction alcalis-silice dans le béton frais et dans les structures existantes incorporant cet adjuvant

Tremblay, Sofie 18 April 2018 (has links)
La réaction alcalis-silice (RAS) est une des causes principales de détérioration précoce des bétons utilisés dans la fabrication des infrastructures. La RAS, qualifiée de cancer du béton, est une réaction se produisant entre les hydroxydes alcalins de la solution présente dans les pores de la pâte de ciment hydratée et certaines phases minérales siliceuses des granulats. Cette réaction engendre la formation d'un gel expansif qui absorbe des molécules d'eau et diverses espèces ioniques de la solution interstitielle, créant ainsi une pression entraînant la microfissuration interne du béton, la macrofissuration de surface et ultimement, dans certains cas, une réduction significative de la durée de vie utile de l’élément atteint. Ce type de réaction touche un grand nombre de structures au Québec, au Canada et à travers le monde; un des principaux problèmes lié à ce phénomène est qu’il est très difficile de réparer de façon efficace les structures affectées par ce " cancer ". Les essais normalisés A23.2-27A et 28A de l'Association Canadienne de Normalisation (CSA) (2009); (CSA) (2009) proposent diverses mesures préventives afin d'éviter que ne se développe la RAS dans les nouvelles structures de béton. Ces mesures incluent l'utilisation d'ajouts cimentaires ou l’utilisation d’adjuvant chimique à base de lithium. C’est en fait dès le début des années 50 que deux chercheurs ont démontrés que l'utilisation d’adjuvants chimiques à base de nitrate de lithium (LiNO3) tendait à diminuer efficacement l’expansion associée à cette réaction chimique nuisible (McCoy et Caldwell (1951)). Les mécanismes proposés permettant d’expliquer l’efficacité du lithium afin de contrer la RAS sont multiples. Selon Tremblay et al. (2010), certains ont été investigués davantage et certains sont plus probables que d’autres. Ce mémoire portera sur la présentation des différents indices pétrographiques de détérioration permettant d’expliquer l’efficacité du LiNO3 afin de contrer la RAS. Pour ce faire, des essais de laboratoire effectués sur des éprouvettes de béton ainsi que des barres de mortier contenant diverses concentrations en LiNO3 seront présentés. Les indices de détérioration obtenus, un mécanisme pourra être élaboré.
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Gestion des ouvrages en béton affectés de réactivité alcalis-silice : contribution à la détermination de l'expansion atteinte à ce jour et de l'expansion résiduelle à venir

Côté, Thomas 17 April 2018 (has links)
Cette étude a pour but de compléter et d'améliorer les connaissances reliées à l'expansion du béton générée par la réaction alcalis-silice (RAS). Elle est divisée en deux volets : l'expansion atteinte et l'expansion résiduelle. Dans le cadre du premier volet de recherche, deux essais sont évalués afin de vérifier leur potentiel pour déterminer l'expansion atteinte à ce jour d'un béton affecté de RAS. L'indice d'endommagement interne (DRI) présente d'excellentes relations et permet d'estimer l'expansion du béton de façon assez fiable, et ce, même pour l'expansion due au gel/dégel. La présence ou non d'un entraîneur d'air dans le béton fait grandement varier les résultats. Les essais de chargement cyclique (SDT) n'ont malheureusement pas été effectués et les résultats suivront dans une publication scientifique ultérieure. Dans le cadre du deuxième volet de recherche, l'influence de plusieurs paramètres est évaluée au cours de l'essai d'expansion accélérée. Ces paramètres sont : le rapport eau/ciment du béton, l'état de la surface des éprouvettes (moulée vs. forée), le rapport volumique air/béton dans les contenants, le diamètre des éprouvettes, les mesures de protection contre le lessivage, la durée de mûrissement, ainsi que la nature des alcalis. Le rapport volumique air/béton dans les contenants a une influence majeure sur les résultats d'essais : plus il est élevé, plus le lessivage est important et plus l'expansion est faible. Le diamètre des éprouvettes testées (ou leur surface spécifique, inversement proportionnelle au diamètre), est aussi un paramètre très influent : plus le diamètre est faible, plus le lessivage est important et plus l'expansion est faible. Aucune mesure de protection contre le lessivage ne permet une expansion ultime aussi élevée que celle des éprouvettes non protégées, même si elles réduisent le lessivage. Il semble qu'il y ait un seuil critique de lessivage, aux alentours de 20%, au-delà duquel la courbe d'expansion des éprouvettes plafonne.
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Étude du comportement des éléments en béton armé post-renforcés à l'effort tranchant

Fiset, Mathieu 29 January 2020 (has links)
Le comportement à l’effort tranchant des structures en béton armé est un sujet étudié depuis plus d’un siècle. Bien qu’aujourd’hui la compréhension du comportement de ces structures s’est considérablement améliorée, aucune théorie universellement acceptée ne permet de considérer l’ensemble des phénomènes régissant leur comportement à l’effort tranchant. L’étude réalisée dans cette thèse montre que ces théories sont insuffisantes pour prédire le comportement des structures post-renforcées à l’effort tranchant. Une meilleure compréhension des différents mécanismes de résistance à l’effort tranchant agissant dans ce type de structure est donc requise. Les méthodes de post-renforcement étudiées consistent à forer des ouvertures à l’intérieur d’une dalle épaisse afin d’y ancrer des barres de renforcement. Selon le type d’ancrage utilisé, les méthodes de post-renforcement peuvent se départager en deux catégories. Un renforcement est dit adhérent lorsque l’ancrage est assuré par un adhésif permettant de transférer l’effort le long des barres au béton. Un renforcement est dit non adhérent lorsque le transfert d’effort s’effectue uniquement à l’extrémité des barres, à l’endroit où un ancrage mécanique assure une butée entre les barres et le béton. L’étude des méthodes de post-renforcement a montré que celles-ci peuvent augmenter significativement la résistance des éléments postrenforcés. Or, le comportement des barres de post-renforcement affecte le comportement à l’effort tranchant et les mécanismes de résistance. Les théories actuelles permettant de prédire la résistance à l’effort tranchant s’appliquant aux structures renforcées d’étriers conventionnels ne peuvent être utilisées directement. L’objectif de cette thèse est donc de développer un modèle permettant d’évaluer le comportement et la résistance à l’effort tranchant des structures en béton armé post-renforcées. L’étude des membrures en béton post-renforcées de barres adhérentes fait l’objet de la première partie de cette thèse. En s’appuyant sur les essais expérimentaux réalisés antérieurement à l’Université Laval, des lois de comportement et des modèles numériques permettant d’analyser l’adhérence des barres collées ont été développés. En incluant ces lois comportementales dans des analyses non linéaires par éléments finis, la réponse et les mécanismes de résistance à l’effort tranchant ont été étudiés. Le développement d’outils mathématiques permettant d’évaluer le comportement de barres collées a permis de proposer une méthode de calcul de la résistance à l’effort tranchant. Cette méthode considère l’effet du comportement en adhérence sur la résistance à l’effort tranchant offerte par l’armature de cisaillement, Vs, et par le béton, Vc. Une quantité minimale d’armature de cisaillement ainsi que des critères d’espacement adaptés à ce type de renforcement adhérent ont également été proposés. Cette méthode a permis de mieux prédire la résistance des éléments post-renforcés de barres adhérentes. En deuxième partie de cette thèse, les mécanismes de résistance à l’effort tranchant des éléments en béton armé post-renforcés de barres non adhérentes ont été étudiés. Pour ce faire, le comportement expérimental des éléments testés a été examiné puis comparé aux résultats des analyses non linéaires par éléments finis. Bien que la norme S6-14 ne permet pas de prédire la résistance des éléments post-renforcés, le comportement et la résistance de ces structures ont pu être prédits adéquatement par des analyses par éléments finis. L’analyse des essais expérimentaux et des modèles éléments finis ont montré que l’effort tranchant repris par les barres transversales est directement proportionnel à l’ouverture des fissures, à la rigidité des ancrages et à la précontrainte verticale du post-renforcement. Un modèle est proposé afin d’évaluer l’effort reprit par ces barres en fonction de ces paramètres. Les analyses numériques par éléments finis montrent également que l’effort tranchant est essentiellement repris par les barres transversales non adhérentes, la bielle de compression directe agissant dans la zone de béton non fissurée et, dans une moindre proportion, par l’enchevêtrement des granulats . / Le comportement à l’effort tranchant des structures en béton armé est un sujet étudié depuis plus d’un siècle. Bien qu’aujourd’hui la compréhension du comportement de ces structures s’est considérablement améliorée, aucune théorie universellement acceptée ne permet de considérer l’ensemble des phénomènes régissant leur comportement à l’effort tranchant. L’étude réalisée dans cette thèse montre que ces théories sont insuffisantes pour prédire le comportement des structures post-renforcées à l’effort tranchant. Une meilleure compréhension des différents mécanismes de résistance à l’effort tranchant agissant dans ce type de structure est donc requise. Les méthodes de post-renforcement étudiées consistent à forer des ouvertures à l’intérieur d’une dalle épaisse afin d’y ancrer des barres de renforcement. Selon le type d’ancrage utilisé, les méthodes de post-renforcement peuvent se départager en deux catégories. Un renforcement est dit adhérent lorsque l’ancrage est assuré par un adhésif permettant de transférer l’effort le long des barres au béton. Un renforcement est dit non adhérent lorsque le transfert d’effort s’effectue uniquement à l’extrémité des barres, à l’endroit où un ancrage mécanique assure une butée entre les barres et le béton. L’étude des méthodes de post-renforcement a montré que celles-ci peuvent augmenter significativement la résistance des éléments postrenforcés. Or, le comportement des barres de post-renforcement affecte le comportement à l’effort tranchant et les mécanismes de résistance. Les théories actuelles permettant de prédire la résistance à l’effort tranchant s’appliquant aux structures renforcées d’étriers conventionnels ne peuvent être utilisées directement. L’objectif de cette thèse est donc de développer un modèle permettant d’évaluer le comportement et la résistance à l’effort tranchant des structures en béton armé post-renforcées. L’étude des membrures en béton post-renforcées de barres adhérentes fait l’objet de la première partie de cette thèse. En s’appuyant sur les essais expérimentaux réalisés antérieurement à l’Université Laval, des lois de comportement et des modèles numériques permettant d’analyser l’adhérence des barres collées ont été développés. En incluant ces lois comportementales dans des analyses non linéaires par éléments finis, la réponse et les mécanismes de résistance à l’effort tranchant ont été étudiés. Le développement d’outils mathématiques permettant d’évaluer le comportement de barres collées a permis de proposer une méthode iii de calcul de la résistance à l’effort tranchant. Cette méthode considère l’effet du comportement en adhérence sur la résistance à l’effort tranchant offerte par l’armature de cisaillement, Vs, et par le béton, Vc. Une quantité minimale d’armature de cisaillement ainsi que des critères d’espacement adaptés à ce type de renforcement adhérent ont également été proposés. Cette méthode a permis de mieux prédire la résistance des éléments post-renforcés de barres adhérentes. En deuxième partie de cette thèse, les mécanismes de résistance à l’effort tranchant des éléments en béton armé post-renforcés de barres non adhérentes ont été étudiés. Pour ce faire, le comportement expérimental des éléments testés a été examiné puis comparé aux résultats des analyses non linéaires par éléments finis. Bien que la norme S6-14 ne permet pas de prédire la résistance des éléments post-renforcés, le comportement et la résistance de ces structures ont pu être prédits adéquatement par des analyses par éléments finis. L’analyse des essais expérimentaux et des modèles éléments finis ont montré que l’effort tranchant repris par les barres transversales est directement proportionnel à l’ouverture des fissures, à la rigidité des ancrages et à la précontrainte verticale du post-renforcement. Un modèle est proposé afin d’évaluer l’effort reprit par ces barres en fonction de ces paramètres. Les analyses numériques par éléments finis montrent également que l’effort tranchant est essentiellement repris par les barres transversales non adhérentes, la bielle de compression directe agissant dans la zone de béton non fissurée et, dans une moindre proportion, par l’enchevêtrement des granulats. / Shear behavior of reinforced concrete structures has been studied for more than one century. Even if shear behavior is now better understood, a unique shear theory has not been commonly accepted yet. The study presented in this thesis shows that current theories cannot adequately predict the shear behavior of strengthened structures with post-installed reinforcement and a better understanding of shear is required for this type of members. The shear strengthening methods studied consist of adding drilled-in vertical reinforcing bars into a reinforced concrete structure. These bars can be bonded to the concrete with a high-strength epoxy adhesive, or anchored at their extremities to the structure with mechanical anchorages, such as steel plates and expansion anchorages. Experimental loading tests carried out at Université Laval on shear strengthened members confirmed the efficiency of these methods to increase the shear capacity. However, the post-installed reinforcing bars behavior affects the shear behavior of strengthened members and current theories considering typical stirrups are not applicable. The objective of this thesis is to develop a model that can be used to predict the shear capacity of reinforced concrete members strengthened with post-installed shear reinforcement. The first part of this thesis consists in analyzing the shear behavior of reinforced concrete members strengthened with epoxy-bonded bars. Based on experimental tests, a bond model and a numerical model were developed to analyze the behavior of bonded bars. Then, this bond behavior was introduced in a finite element model to analyze the response and the shear resistance mechanisms in strengthened members. It appears that the bond behavior affects the capacity of the epoxy-bonded bar at a crack as well as the crack width, reducing the shear reinforcement and aggregate interlock capacities. Based on these results, equations were proposed to determine the shear capacity provided by epoxy-bonded bars and by the aggregate interlock. A minimum amount and spacing criteria were also proposed for epoxy-bonded shear reinforcing bars. The method proposed in this thesis for strengthened members with epoxy-bonded bars adequately predicts the shear capacity of members tested in the literature. The second part of this thesis studies the shear resistance mechanisms in shear strengthened members with unbonded reinforcing bars. The behavior of tested members and finite element models were analyzed and compared. While the CHBDC is not appropriate to predict the shear capacity of members with unbonded bars, FE analyses showed a good match with experimental tests. These results showed that a large portion of shear is transferred by unbonded shear reinforcement. The main parameters affecting this mechanism are the critical shear crack width, the unbonded bars stiffness (including the stiffness of anchorages) and the bars prestressing. For the analyzed members, FE results also showed that a large part of shear is carried by a direct strut action in uncracked concrete, while the portion of shear carried by aggregate interlock is relatively smaller
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Utilisation du lithium pour contrer la RAS dans le béton : efficacité face aux granulats réactifs canadiens, mécanismes de réaction et essais accélérés d'évaluation

Tremblay, Charles 18 April 2018 (has links)
Cette thèse porte sur l'étude de l'efficacité d'adjuvants à base de lithium pour contrer la réaction alcalis-silice dans le béton (RAS). Les principaux objectifs étaient les suivants: (1) évaluer la performance d'une solution de UNO₃ et d'un verre de lithium pour contrer la RAS avec l'aide de l'essai sur prismes de béton d'une durée de deux ans à 38°C (CSA A23.2-14A ou ASTM C 1293) et à jusqu'à neuf mois à 60°C (essai modifié), (2) modifier l'essai accéléré sur barres de mortier (CSA A23.2-25A ou ASTM C 1260) afin de permettre l'évaluation de l'efficacité de ces adjuvants, et (3) étudier les mécanismes à l'origine de l'efficacité du lithium. Pour ce faire, les essais de laboratoire mentionnés plus haut ont été réalisés sur une sélection de granulats réactifs représentant différents faciès (types de roches) à travers le Canada et les Etats-Unis. Les essais sur prismes de béton démontrent que le LiNO₃, à un ratio molaire [Li]/[Na+K] de 0,74, permet de réduire l'expansion sous la limite de 0.04% après deux ans à 38°C, avec six des douze granulats testés; trois autres granulats exigent un dosage entre 0,74 et 1,11. Un dosage jusqu'à 1,11 n'est pas suffisant pour les trois derniers granulats. Le dosage requis varie donc d'une source de granulats à l'autre et ne peut être relié au type de granulats ou à son degré de réactivité. Le verre de lithium en poudre ne s'est pas du tout avéré efficace. Les ajouts cimentaires testés en parallèle aux adjuvants à base de lithium (à titre comparatif) se sont montrés efficaces s'ils ont une composition appropriée et s'ils sont utilisés à un dosage adéquat. Leur combinaison avec le LiN03 n'a pas démontré d'efficacité supplémentaire. L'expansion des éprouvettes de béton conservées pendant six mois à 60°C présente une bonne corrélation avec celle des prismes testés pendant deux ans à 38°C, mais seulement pour les mélanges témoins. Une version modifiée de la méthode accélérée sur barres de mortier ASTM Cl260 (ou CSA A23.2-25A), d'une durée de 28 jours, est proposée pour évaluer le ratio [Li]/[Na+K] efficace à utiliser dans le béton pour contrer la RAS. Cette méthode prédit ce ratio pour les granulats répondant relativement bien au LiN0₃ et identifie les granulats qui répondent moins bien à ce produit (i.e. ceux qui nécessiteront l'utilisation d'un dosage significativement supérieur au dosage « standard » de 0,74 recommandé par le manufacturier. Des analyses au microscope électronique à balayage (MEB), par spectrométrie de masse à ionisation secondaire (SIMS), par diffraction X et sous lumière ultra-violette ont été réalisées sur divers échantillons de bétons, de mortiers, de granulats et de particules réactives. L'analyse comparative des résultats de ces essais suggèrent que la réduction ou la suppression de la dissolution de la silice, et ce, pour une autre raison que la réduction du pH ou la formation d'une couche protectrice sur les phases réactives, est le mécanisme le plus probable pour expliquer l'efficacité du LiN0₃ contre la RAS. Ce mécanisme demeure toutefois inexpliqué.
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Le développement d'un système constructif de plancher préfabriqué pour l'habitat urbain de Hanoi

Blackburn, Dany 12 April 2018 (has links)
Ce mémoire explore les différents processus qui sous-tendent la formalisation d'un système constructif de plancher adapté à l'habitat urbain de Hanoi. Plus spécifiquement sur la préfabrication d'un système constructif de plancher complémentaire en béton armé de bambou et en béton léger. Une partie de ce travail a été réalisé conjointement avec M. Jonathan Boucher (Boucher, 2006) qui s'est intéressé davantage à un élément du système de plancher soit, la poutre armée de bambou. La première partie de ce travail survole quelques grands thèmes actuels concernant les pays en voie de développement et, plus spécifiquement, met en relief des notions sur l'habitation à faible coût, sur les systèmes constructifs en béton et sur le marché de la construction relevé au Vietnam. La deuxième partie du travail recense la littérature et les diverses publications récentes sur les systèmes constructifs en béton et sur la technologie des bétons légers. La dernière partie du travail expose les différents processus de formalisation du système constructif développé en présentant l'évolution de la conception, de la réalisation et de la mise à l'épreuve du prototype de système de plancher en béton réalisé à grandeur réelle en laboratoire.
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Service life of shotcrete : investigation on the effect of set accelerating admixture

Galli Rodrigues De Melo, Fabio 24 April 2018 (has links)
Le béton projeté par voie humide est une méthode de mise en place très populaire dans la construction de tunnels et le soutènement de parois dans les mines. L'utilisation d’un adjuvant accélérateur de prise offre des avantages significatifs en gain de productivité et pour la sécurité des travailleurs pendant la réalisation du travail. Cependant, l’effet de ces adjuvants, et particulièrement leur dosage, sur la durée de vie du béton projeté est mal compris et souvent négligé. Le dosage de l’adjuvant en chantier est souvent élevé, ce qui a pour conséquence de faire augmenter les coûts de production et réduire la qualité du béton. Cette recherche a pour objectif d’étudier l'influence de l'utilisation des accélérateurs de prise sur la durabilité du béton comme matériau, en considérant les particularités du béton projeté et en profitant des avancées faites en matière de prédiction de la durée de vie des bétons conventionnels. L’effet d’un adjuvant accélérateur de prise (à différents dosages) à base de sulfate d’aluminium (A/$) sera étudié. Les résultats permettront d’améliorer la qualité des applications de béton projeté dans l'industrie de la construction et les devis qui, chaque jour, sont plus exigeants et requièrent des performances de plus en plus élevées. Les données générées à partir des différents essais réalisés sont très intéressantes, car elles démontrent la complexité d’une telle étude à cause des changements non proportionnels des caractéristiques du béton avec différents dosages d’accélérateur de prise. De plus, les données générées illustrent bien l'influence de l’adjuvant accélérateur de prise sur la qualité du béton. / Wet-mix shotcrete is a widely used placement method in tunnelling and ground support. The use of a set accelerating admixture provides significant advantages in terms of productivity gains and worker safety during work progress. However, knowledge about adverse effects linked the use of set accelerator admixture (and particularly its dosage) is very limited. Indeed, dosage control is sometimes overlooked on the job site or the accelerator may be misguidedly overdosed, with the consequence of increasing costs and reducing the quality of the in-place shotcrete. The goal of this research is to study and better understand the effects of the use of set accelarating admixture on the durability of concrete as a material, starting with the particularities of shotcrete and taking advantage of the latest tools in modelling service life of conventional concretes. An alkali-free set accelerating admixture (at different dosages) based on aluminium-sulphate salts (A/$) will be investigated. The results will help improve the quality of shotcrete applications in the construction industry, and specifications which are increasingly demanding and require everimproving performances. The data generated from the several tests performed is very interesting, because it shows the intricacies of such an investigation due to the non-linear changes of concrete using different set accelerator dosages. It also demonstrates clearly the effects of using high dosages of set accelerating admixtures on the quality of shotcrete.
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Étude diagnostique d'une structure en béton, précontrainte par post-tension

Arsenault, Guillaume 17 April 2018 (has links)
Le présent mémoire est issu d’une collaboration entre le Ministère des Transports du Québec (MTQ) et le Centre de Recherche sur les Infrastructures en Béton (CRIB) de l’Université Laval lors du réaménagement de l’échangeur Dufferin-Montmorency. La démolition de certaines structures dont la vie utile n’était pas à terme a permis de recueillir une grande quantité d’informations sur l’état d’une structure en béton précontraint du réseau autoroutier québécois. Dans le 5ième chapitre, on y regroupe les observations particulières sur les éléments de précontrainte qui sont habituellement inaccessibles pour l’inspection. Dans le 7ième chapitre, on propose une classification des conditions d’exposition des divers éléments structuraux investigués ainsi qu’une technique numérique pour la prédiction du temps nécessaire avant l’initiation de la corrosion. Les 8ième et 9ième chapitres regroupent les discussions sur l’état de cette structure qui a la particularité d’avoir une portion n’ayant jamais été mise en service. / This work has been possible due to collaboration between the Ministère des Transports du Québec and the Centre de Recherche sur les Infrastructures en Béton de Université Laval at the restructuration of Dufferin-Montmorency overpass. The demolition of structures that haven’t reached their total service life time allowed the production of a great quantity of information on a prestressed structure of the Quebecer road network. In chapter 5, observations on prestressed structures have been grouped. This kind of information is, most of time, unavailable on an existing structure due to impossible inspection. In chapter 7, a classification of different exposure conditions of the inspected structural elements is showed as well as a numerical technique for predicting the time before corrosion starts. The last two chapters relate discussions on the actual state of this structure which is particular because one section has never been exposed to traffic.

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