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Testing propagule pressure theory: maritime transport & invasion by fouling species

Lacoursière-Roussel, Anaïs January 2013 (has links)
Introductions of exotic fouling species have severely disrupted marine ecosystems. Theory suggests that high propagule pressure increases the probability of successful establishment. Likewise, empirical studies have shown the importance of ships and boats for transporting exotic species. However, few empirical studies have demonstrated the effect of propagule pressure on invasion success. For marine fouling species, uncertainty about vectors and pathways further impedes our ability to calculate propagule pressure and to understand establishment success. My goal was to better understand the links between propagule pressure from maritime activities and the spatial distribution of exotic fouling species. Using empirical data, I (1) determined the importance of boat characteristics and propagule exposure on boat fouling, (2) demonstrated the roles of commercial shipping and recreational boating in the invasion process, and (3) tested the effect of propagule pressure on population and community diversity. Although boats on the east coast of Canada were less fouled than New Zealand boats, boat-mediated spread may be facilitated in Canada by greater movement of boats among marinas than in New Zealand. Propagule exposure better predicted boat fouling than did boat characteristics. The spatial genetic structure of the colonial tunicate, Botryllus schlosseri, suggests that ships have frequently introduced it to the east coast of Canada and that secondary spread occurs gradually around individual ports, facilitated by recreational boating. The diversity of invasive species within commercial ports is positively related to propagule pressure and invasion success at both community (i.e. inter-specific richness) and population levels (i.e. genetic diversity). Diversity was significantly correlated to the numbers of ship arrivals but not to ballast water discharge events or the volume of ballast water discharged. This suggests that hull biofouling is a more important pathway than ballast water for exotic fouling species. Both boats and ships have influenced the invasion process of fouling species in Canadian coastal areas. The research also underlines the point that predictive models for the spread of biofouling species should be based on regional boating patterns, boating characteristics, and local propagule exposure. Defining relationships between propagule pressure and invasion success is one of the great challenges to understanding the rapid changes occurring in marine ecosystems. / L'introduction des salissures biologiques exotiques a sévèrement perturbé les écosystèmes marins. La théorie suggère qu'un apport de propagules élevé augmente le risque d'envahissement. C'est ainsi que les recherches se sont concentrées à évaluer la probabilité que les navires commerciaux et les petites embarcations transportent des espèces exotiques. Malgré son importance, peu d'études empiriques supportent l'effet de l'apport de propagules sur le succès d'envahissement. Pour les salissures biologiques marines, l'incertitude entre les vecteurs et les voies de transports entrave particulièrement notre capacité à calculer l'apport de propagules entrant par les voies maritimes, limitant ainsi notre compréhension du succès d'envahissement. L'objectif de ma thèse est d'apporter une meilleure compréhension de la relation entre l'apport de propagules provenant du transport maritime et la distribution spatiale des salissures exotiques. À partir de données empiriques, (1) j'ai déterminé l'importance relative des caractéristiques des bateaux de plaisance et l'exposition des propagules environnantes sur la probabilité de la colonisation des coques, (2) j'ai démontré le rôle respectif des navires et des plaisanciers dans le processus d'invasion et (3) j'ai décrit la relation entre l'apport de propagules et la diversité des populations et des communautés. Bien que les bateaux de la côte est du Canada sont moins colonisés que les bateaux de la Nouvelle-Zélande, la propagation des salissures exotiques pourrait être facilitée au Canada par un plus grand trafic entre les marinas. L'exposition aux propagules environnantes prédit davantage l'encrassement biologique des coques que les caractéristiques des bateaux. La génétique des populations de l'ascidie Botryllus schlosseri suggère qu'il y a eu plusieurs introductions dans les ports de la côte est du Canada. Facilité par les plaisanciers, le tunicier s'est ensuite dispersé progressivement autour de ceux-ci. Les indices de diversité soutiennent la relation positive entre l'apport de propagules et le succès d'envahissement et cela autant au niveau des communautés (c.-à-d. la richesse inter-spécifique) qu'au niveau des populations (c.-à-d. diversité génétique). La diversité est significativement corrélée au nombre d'arrivées des navires, mais n'est pas corrélée au nombre de déchargements et au volume de l'eau de lest. Ces relations suggèrent une plus grande importance de l'encrassement des navires que l'eau de lest comme voie d'introduction des salissures exotiques. Cette thèse démontre que les petits bateaux et les navires influencent grandement les processus d'invasions des salissures biologiques des régions côtières du Canada. Cette recherche souligne également que les modèles de propagation des salissures exotiques devraient fonder leurs prémisses sur l'exposition des propagules locales, les caractéristiques des bateaux et l'activité nautique régionale. La nécessité de décrire avec précision les relations entre l'apport de propagules et le succès d'envahissement est l'un des grands défis écologiques afin d'améliorer notre compréhension sur les changements rapides actuellement observés dans nos écosystèmes marins.
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Cryptogam community structure and functioning along an elevational gradient

Chisholm, Chelsea January 2013 (has links)
Biodiversity studies have recently focused on incorporating measures of phylogenetic and functional diversity into examinations of community ecology. Functional diversity describes those traits that influence the interaction between a species and the environment, whereas phylogenetic diversity is a more derived measure that represents the evolutionary history of species, and might incorporate information on functional identity, taking into account multiple traits. This thesis examined patterns in cryptogam (bryophyte and lichen) diversity across an elevation gradient to (i) evaluate the interplay between species, phylogenetic, and functional lichen diversity within and between habitats and (ii) link diversity (species and phylogenetic) to bryophyte productivity across environmental gradients. We found that phylogenetic and functional turnover correlate strongly, despite low signal in measured traits. Within and between habitats, different beta diversity indices are driven by different environmental factors, and as such one metric cannot be used as a surrogate for another. By establishing a link between diversity and productivity within bryophytes, we highlight the importance of diversity in regulating biomass production within stressful environments. We also highlight the use of alternative phylogenetic measures as descriptors of the diversity-productivity relationship, as they provide more information on the underlying mechanisms that drive the relationship. Cryptogams are relatively understudied in comparison to their vascular counterparts, and as such the information from this study will provide valuable insights into their community structure and turnover across space. / Les études sur la biodiversité ont récemment mis l'accent sur l'intégration des mesures de diversité phylogénétique et fonctionnelle dans les examens de l'écologie des communautés. La diversité fonctionnelle décrit les traits influençant l'interaction entre une espèce et l'environnement, alors que la diversité phylogénétique est une mesure dérivée représentant l'histoire de l'évolution d'une espèce et peut inclure des renseignements sur l'identité fonctionnelle d'une espèce. J'ai étudié les modèles de diversité des cryptogames (bryophytes et lichens) à travers un gradient d'altitude afin (i) d'examiner les interactions entre la diversité des espèces, la diversité phylogénétique et la diversité fonctionnelle des lichen au sein des habitats et entre eux, et (ii) de relier la diversité (des espèces et phylogénétique) à la productivité des bryophytes à travers les gradients environnementaux. Nous avons constaté que les changements de la composition phylogénétique et fonctionnelle sont fortement corrélés, malgré le faible signal dans les traits mesurés. Puisque les différents indices de diversité bêta sont entrainés par différents facteurs environnementaux au sein des habitats et entre eux, une unité de mesure ne peut être utilisée comme substitut à une autre. En établissant un lien entre la diversité et la productivité au sein des bryophytes, nous soulignons l'importance de la diversité dans la règlementation de la production de biomasse au sein d'environnements stressants. Nous appuyons également l'utilisation de mesures phylogénétiques alternatives comme descripteurs de la relation diversité-productivité, car celles-ci apportent plus d'information sur les mécanismes entrainant cette relation. Puisque les cryptogames sont relativement peu étudiés, cette étude fournit des indications précieuses sur la structure de leur communauté et leur changement de composition à travers l'espace.
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Clinal variation and phenology in two conspecifics of Phragmites australis (Cav.) Trin. Ex Steud in Northeastern North America: implications for current management and future climate change

Lovat, Christie-Anna January 2013 (has links)
Within native and non-native plant species, the production of viable seeds can both promote range expansion and facilitate rapid climatic adaptations through the selection of adapted phenotypes. The success of sexual reproduction in many plant species has been linked to a critical level of accumulated growing degree-days (GDDs) throughout the season. However GDDs are often limited in northern climates. With climate change forecasted to cause temperature increases in many northern areas, GDDs are likely to increase and there exists the potential for some species currently limited by a lack of GDDs to undergo increases in sexual reproduction and ultimately range expansion. Field studies and in vitro germination trials were used to test the relationship between seasonal GDDs and development, height and sexual reproduction in an established invasive non-native species, Phragmites australis (Cav.) Trin. Ex Steud. (haplotype M) and its native conspecific, P. australis subsp. americanus. During the 2012 season, 29 populations were monitored within five isotherms along a1000-km long latitudinal gradient from New Jersey (USA) to Alma (Quebec). As seasonal GDDs decreased, non-native P. australis were on average shorter, required fewer GDDs to develop, and produced fewer viable seeds per floret. Within isotherms, native P. australis were shorter and developed earlier than non-native P. australis, and also generally produced more seeds per floret. Overall the response of native P. australis was not related to seasonal GDDs. Over the climate gradient of the study area it appears that a lack of GDDs is currently limiting the expansion of non-native P. australis through seed dispersal at the edge of its range. As local temperatures and ultimately GDDs increase with climate change, the adaptive response non-native P. australis has to climate will likely allow the species to rapidly expand its range to take advantage of newly available climatic niches. / La reproduction sexuée et la production subséquente de graines viables peuvent faciliter la dispersion d'espèces végétales indigènes ou non indigènes/envahissantes dans de nouvelles régions ainsi que possiblement une adaptation rapide à des conditions changeantes grâce à la sélection de phénotypes appropriés. Le succès de la reproduction sexuée pour de nombreuses espèces végétales a été lié à une accumulation critique de degrés-jours de croissance (DJCs) durant la saison. Cependant les DJCs sont souvent limités dans les climats nordiques. Avec les changements climatiques et les températures qui augmenteront particulièrement vers le nord, le DJCs sont susceptibles d'augmenter et des espèces actuellement limitées par un manque de DJCs pourraient voir une augmentation de leur reproduction sexuée et éventuellement une extension de leur aire de répartition. Un suivi sur le terrain et des essais de germination ont été utilisés pour tester la relation entre les DJCs saisonniers et le développement, la hauteur et la reproduction sexuée d'une espèce envahissante non indigène, Phragmites australis (Cav.) Trin. Ex Steud. (M haplotype) et sa congénère indigène, P. australis subsp. americanus. Durant la saison 2012, 29 populations ont été suivies dans cinq isothermes le long d'un gradient latitudinal de 1000 km du New Jersey (États-Unis) à Alma (Québec). Le P. australis non indigène était en moyenne plus court, requerrait moins de DJCs pour produire des inflorescences, et produisait moins de graines viables avec une diminution des DJCs saisonniers. Pour un même isotherme, le P. australis indigène était plus court et se développait plus tôt que le P. australis non indigène, et aussi généralement produisait plus de graines. Globalement, la réponse du P. australis indigène n'était pas liée au DJCs saisonniers. Le long du gradient climatique de la zone étudiée, il semble que le manque de DJCs limite actuellement l'expansion par dispersion de graines du P. australis non indigène, tout en ayant peu ou pas d'effet sur le P. australis indigène. Une production de graines accrue par les changements climatiques pourrait permettre au P. australis envahissant d'exploiter des niches climatiques nouvellement disponibles.
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The influence of habitat and landscape structure on the genetic differentiation of the white-footed mouse (Peromyscus leucopus)

Marrotte, Robby January 2013 (has links)
The white-footed mouse (Peromyscus leucopus) is a widespread habitat generalist species abundant over a large part of the North-American continent. In the past decade, due to climate and land use change, the range of this species has expanded northwards into Canada. The black-legged tick (Ixodes scapularis), is the vector of Lyme disease which also has tracked climate change over the last few decades. This may have been further promoted by the growing presence of P. leucopus, a favored host for the tick. Therefore, aspects of the landscape that affect the movement and distribution of the white-footed mouse, will also affect the expansion of the tick, and consequently the spread of Lyme disease. In this thesis, I first reviewed published results that relied on genetic and non- genetic biological data to investigate the influence of local habitat and landscape characteristics on the movement and dispersal patterns in the white footed-mouse. Next, I evaluated the relations between breeding habitat and landscape resistance against the genetic differentiation between 11 populations in Montérégie, Québec, Canada. I was able to simultaneously measure the effect of the habitat and the landscape on the genetic differentiation of these mouse populations by utilizing numerical optimization to fit a model to previously published genetic data. I used ecological distance computed from resistance surfaces with Circuitscape to infer the effect of the landscape. Concurrently, I estimated the habitat quality of our sampling localities and correlated these to relevant habitat measurements. I found that both characteristics within and between forest patches have more of an impact on genetic differentiation than the geographical distance between the mice populations. This suggests that this species can disperse and use a wide range of habitats, in accordance with its recent rapid expansion in the region. / La souris à pattes blanches (Peromyscus leucopus) est une espèce généraliste à large distribution sur le continent Nord-américain. En relation avec le réchauffement climatique et les changements dans l'utilisation des terres, cette espèce étend sa distribution vers le nord au Canada. La tique à pattes noires (Ixodes scapulatis), vecteur de la maladie de Lyme, a aussi suivi le changement climatique par un déplacement de la limite nord de sa distribution au Canada. Cette expansion vers le nord pourrait avoir été favorisée par la présence croissante de P. leucopus, un hôte préférentiel pour la tique. Les aspects du paysage qui affectent le mouvement et la distribution de la souris à pattes blanches, affecteront ainsi l'expansion de la tique et par conséquent, de la maladie de Lyme. Dans ce mémoire, j'ai d'abord effectué une revue de publications qui ont examiné l'influence de caractéristiques d'habitat locales et du paysage sur le mouvement et la dispersion de la souris à pattes blanches. Ensuite, j'ai évalué l'influence de caractéristiques de l'habitat et du paysage sur la différenciation génétique entre des populations situées en Montérégie, Québec, Canada. J'ai pu mesurer simultanément l'effet de l'habitat et du paysage sur la différenciation génétique de 11 populations de souris en utilisant une optimisation numérique. J'ai utilisé des distances écologiques calculées à partir de surfaces de résistance avec Circuitscape pour déduire l'effet du paysage. En parallèle, j'ai estimé la qualité de l'habitat de sites d'échantillonnage et corrélé cet index aux mesures d'habitat prises sur le terrain. J'ai trouvé que les caractéristiques dans et entre les patches forestiers ont plus d'impact sur la différenciation génétique que la distance géographique. Ceci suggère que cette espèce peut disperser et utiliser une vaste gamme d'habitats, conformément à son expansion rapide récente dans la région.
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A phylogenetic study of flowering phenology in tundra plants of the Canadian subarctic

Lessard-Therrien, Malie January 2013 (has links)
The study of plant phenology has gained new importance in the context of climate change. Tundra plant species are of particular interest as they strongly cue on climatic variables to trigger their phenology and the tundra is experiencing the highest warming trend globally. In this thesis, I describe patterns of flowering phenology in a subarctic plant community using a phylogenetic comparative approach. My research addresses two primary goals: (i) clarifying the relative roles of environmental constraints and evolution history on flowering phenology in tundra communities, and (ii) establishing the connection between key abiotic and biotic factors and the onset of flowering phenology while controlling for phylogenetic relationships between species. A field survey conducted on Mount Irony (856 m), North-East Canada (54°90′N, 67°16′W) during summer 2012 revealed that flowering patterns differed substantially between communities at different elevational bands. First, flowering day was phylogenetically conserved only for communities found at lower elevational bands where environmental conditions are less harsh. Snowmelt date, elevation and thawing degree days were the dominant abiotic controls on phenology. Early flowering species showed less variability in their first flowering dates than late flowering species during the growing season, reflecting higher sensitivity to climatic cues early in the spring. By establishing a link between phenological responses and evolutionary relationships, we can evaluate how constrained or variable phenology may be across species, communities, sites and time, allowing us to work forward to predict adaptive potential in response to future climate change. / La phénologie des plantes a reçu une attention particulière depuis l'avènement des changements climatiques. Les espèces de toundra sont d'un grand intérêt dans ce contexte puisque leur cycle phénologique est fortement influencé par les conditions climatiques de leur milieu et subissent des records d'augmentation de température enregistrés partout dans le monde. Dans ce mémoire, je décris les patrons de floraison d'une communauté floristique en milieu subarctique en utilisant une approche phylogénétique. Ma recherche réponds à deux objectifs spécifiques : (i) clarifier le rôle des contraintes environnementales et de l'histoire évolutive dans la phénologie des plantes de toundra et (ii) déterminer les facteurs abiotiques et biotiques clés qui enclenchent la floraison des plantes en considérant les relations phylogénétiques entre les espèces. L'étude de terrain réalisée sur le Mont Irony (856 m) dans le nord-est du Canada (54°90′N, 67°16′O) pendant l'été 2012 révèle que les patrons de floraison varient considérablement entre les communautés floristiques retrouvées à différentes altitudes. La date de première floraison est uniquement conservée phylogénétiquement pour les espèces se trouvant à basse altitude où les conditions environnementales sont plus favorables à la croissance. La date de fonte des neiges, l'altitude et les degrés jours depuis le dégel sont les facteurs abiotiques qui déterminent le commencement du cycle phénologique pour l'ensemble de la communauté. Les espèces qui fleurissent tôt démontrent moins de variabilité pour leur date de première floraison que les espèces qui fleurissent tard lors de la saison de croissance, reflétant une plus grande sensibilité à une combinaison de facteurs climatiques tôt au printemps. En établissant un lien entre les réponses phénologiques et l'histoire évolutive des espèces, nous pouvons évaluer comment l'espèce, la communauté floristique, le site d'étude et la période de la saison de croissance influencent les contraintes de leur cycle phénologique. Cela nous permet donc de prédire leur potentiel adaptatif face aux changements climatiques futurs.
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Optimizing monitoring and eradication of invasive species: new frameworks and applications

Edwards, Paul January 2013 (has links)
This thesis develops new statistical, and decision making tools for the detection and eradication of invasive species. The first section develops models to predict locations of invasive species so monitoring effort can be concentrated there. The first chapter develops an advanced species distribution model that includes dispersal and environmental tolerances and outperforms traditional species distribution models of just environmental tolerances. In addition this model is able to capture estimates of the target species fecundity, dispersal range, environmental tolerances and conspecific larval aggregation. The second chapter compares the performance of this statistical model to a popular form of mechanistic hydrodynamic model that is widely used to model dispersal, but which is rarely validated. By comparing the two approaches I show how advanced species distribution models can be used as alternative models to assess the power of more expensive, computationally demanding mechanistic models and how in some cases the statistical models may perform as well for a fraction the cost.The second section of my thesis examines how to formulate a response to an invasion once it is detected. The first chapter develops the first quantitative framework for eradication. It suggests that eradication can proceed without directly targeting all life stages and the number of treatment passes and their timing can be calculated from basic biological data like maturation rates. The final chapter incorporates guidance from other published eradication frameworks. It modifies and amends them to form a decision tree of necessary experiments to determine eradication feasibility and timing. It adds to the previous chapter explicit consideration of mobility, immigration, and spatio-temporal variation in vulnerability to form a more complete eradication framework. / Cette thèse développe de nouveaux outils statistiques qui peuvent être utilisés dans les prises de décision afin de détecter et d'éradiquer les espèces invasives. La première section de la thèse développe des modèles permettant de prévoir la localisation des espèces invasives afin d'identifier les lieux ou les efforts de surveillance devenaient être concentrés. Le premier chapitre développe un modèle de distributions d'espèces qui incluent les tolérances environnementales et la dispersion et ce faisant performe mieux que les modèles traditionnels qui n'incluent que les tolérances environnementales. De plus, ce modèle peut estimer des paramètres clés d'espèces cibles, comme la fécondité, le potentiel de dispersion, la tolérance environnementale et l'agrégation des larves de conspécifics. Le deuxième chapitre compare la performance du modèle statistique du premier chapitre à un modèle mécanistique hydrodynamique grandement utilisé en modélisation de dispersion, mais, en revanche, qui est rarement valider. En comparant les deux approches, je démontre comment les modèles de distributions d'espèces peuvent être utilisés comme modèles alternatifs pour évaluer le pouvoir de modèles mécanistique plus coûteux et informatiquement demandant et comment, dans certain cas, les modèles statistiques peuvent performer aussi bien mais pour une fraction des coûts. La deuxième partie de ma thèse examine comment formuler une stratégie d'intervention à une invasion quand cette dernière est détectée. Le premier chapitre développe une approche quantitative pour évaluer les éradications, une première de cette envergure. Elle suggère que les éradications peuvent se dérouler sans directement cibler tous les stages de vies, et le nombre de traitements ainsi que leur intervalle d'application peuvent être calculés de données basiques biologiques, comme les taux de maturations. Le dernier chapitre incorpore les considérations des autres schémas d'éradications publiés dans la littérature. La méthode modifie et amende des schémas publiés en formant un arbre de décisions d'expériences nécessaires qui ensuite détermine la faisabilité et l'envergure de l'éradication. Ce chapitre ajoute aux chapitres précédents, considérant explicitement la mobilité, l'immigration et la variation spatio-temporelle de la vulnérabilité, pour produire une approche compréhensive des schémas des réponses aux éradications.
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Reproductive behavior of southwestern willow flycatchers| Factors influencing parental provisioning

Peterson, Damon 19 June 2013 (has links)
<p> We tested the hypothesis that aerial invertebrate biomass would vary with proximity to water and thereby impact food availability and habitat quality for insectivorous birds. We used malaise trapping of aerial invertebrates and video-camera observation of nests to test whether food availability (biomass of aerial invertebrates) and nestling provisioning rates varied with distance from standing water for Southwestern Willow Flycatchers (<i>Empidonax traillii extimus</i>) We then used a longer-term data set to test whether two indices of habitat quality (clutch size and nest productivity) were higher in nests placed near standing water. We found that 1) aerial invertebrate biomass declined by half at 30m from standing water, 2) parents provisioned nestlings at a lower rate (one fewer delivery per hour for every 100m) as distance to water increased, and 3) nests more likely to lay fewer eggs and times more likely to fledge fewer young as distance to water increased. These results indicate that for some Willow Flycatcher populations, patterns of inundation throughout the breeding season may drive invertebrate prey availability and potentially habitat quality.</p>
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Exotic brown widows versus native black widows in urban southern California

Lewis, Marty 09 August 2013 (has links)
<p> The brown widow spider <i>Latrodectus geometricus</i> was discovered in southern California in 2003, and anecdotal evidence suggested that native western black widow <i>Latrodectus hesperus</i> populations are declining due to <i>L. geometricus</i>, but there were no quantitative studies that tested potential mechanisms. I related species abundances to temperature, humidity, human population size, human home number and elevation. I also conducted laboratory experiments on competition for dwellings, prey consumption and capture web properties. Brown and black widow abundances were highest in coastal and desert parks, respectively. Unlike <i>L. hesperus, L. geometricus</i> abundances did not decrease from summer toarinter. Brown widow egg sacs were more abundant than black widows at coastal parks. Brown widow abundance and human population size were positively related. Black widow abundances were negatively correlated with humidity. Prey consumption and web structure did not differ between species, but brown widows were highly successful at displacing black widows from dwelling spaces under warm conditions. </p>
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Evolutionary novelty and naivete in invertebrate predator-prey interactions in a benthic marine community

Wells, Elizabeth Hamilton 14 August 2013 (has links)
<p> In the first chapter of this dissertation, I explore the role of shared evolutionary history in determining predation preferences of a suite of three generalist muricid whelks preying on oysters and mussels. Various theories such as the enemy release and novel weapons hypotheses predict how evolutionary novelty will affect predator-prey interactions, but it is not clear how applicable these theories are to interactions between generalist predators and familiar prey types. In addition to determining whether the one native and two invasive whelks preferred to consume evolutionarily familiar or novel oysters and mussels, I determined the optimality of each prey species via metrics such as food reward, ease of predation (shell thickness), and food:handling time ratios. By explicitly asking if predation hierarchies mirrored optimality, I was able to determine whether evolutionary constraints were preventing the whelks from consuming prey that were more optimal. </p><p> In the second chapter of the dissertation, I asked whether there had been post-invasive changes in predation preferences for one of the invasive whelks used in the first chapter, the Eastern oyster drill <i>Urosalpinx cinerea</i>. The results of this study, which indicate that even highly generalist invasive predators consuming a familiar prey type can experience post-invasion changes in na&iuml;vet&eacute; and predation preference strength, serve as a reminder that a potential or new invader's interactions with and impact on species in the recipient community can be hard to predict. </p><p> The third chapter of this dissertation documents the loss of an invasive predator's na&iuml;vet&eacute; towards new species prey in real time, and compares the two prey species' behavioral and morphological responses to both general and specific predation cues. I studied the predator-prey dynamics of the invasive European green crab <i>Carcinus maenas</i> and two species of snails, both of which are invasive on the Pacific coast of North America: the Eastern mud snail <i>Ilyanassa obsoleta</i> and the Asian hornsnail <i>Batillaria attramentaria</i>.The results of this research lead me to conclude that, as with the results of Chapter 2, even generalist predators are capable of losing na&iuml;vet&eacute; to new prey and of changing prey preferences following relatively short exposure to new prey. In addition, this research indicates that between species that do not share an evolutionary history, CEs may be very quick to develop, while NCEs that are induced by predator cues may not be like NCEs between evolutionarily familiar species, and may augment the CEs. (Abstract shortened by UMI.)</p>
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Using Ancient and Modern Fishes to Track Environmental Change in the Illinois River

Little, Kayla 02 November 2013 (has links)
<p> There have been many human-caused alterations to the Illinois River which have significantly changed the life histories of the fish and added pollution sources that could appear in the fishes. My hypothesis is that changes in the &delta;<sup>13</sup>C and &delta;<sup>15</sup>N isotopes between prehistoric and modern fishes will show differences in where the fish foraged and their trophic level in the River food chain. It is likely that these changed with human modification of the river. Stable isotopes of nitrogen and carbon vary with food source in fishes. Prehistoric Native American middens contain fish bones that represent a baseline for modern fish communities, which can be used to determine changes in the river. We have used the isotopic composition of both modern and prehistoric fish to understand changes in fish in the River. Bone collagen was analyzed in order to reduce the chances of contamination in our samples. My results show little change in fish life history, but large increases in 15N demonstrate nitrogen pollution of the river.</p>

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