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Étude géologique du Birimien de la région de Massigui (Paléoprotérozoïque du Mali méridional) : la zone de cisaillement du Banifing, structure majeure du craton ouest-africain / Geological study of the Birimian of the Massigui area (Paleoproterozoic of Southern Mali) : the Banifing shear zone, major structure of West African Craton

Wane, Ousmane 06 October 2010 (has links)
Le Degré Carré de Massigui (Mali Sud) est composé de roches métavolcano-sédimentaires et de grandes masses de roches plutoniques d’âge paléoprotérozoïque. Il est traversé par une zone de cisaillement d’échelle crustale qui se localise à l’interface du batholite de Massigui et des roches métavolcano-sédimentaires encaissantes. Cette zone de cisaillement est jalonnée de corps dioritiques et granitoïdiques. Sa compréhension représente un enjeu au niveau régional.Les roches paléoprotérozoïques sont peu affleurantes et la région est recouverte par d’abondantes formations latéritiques qui empêchent de voir les contacts entre les différents ensembles lithostructuraux et peu d’études géologiques fondamentales ont été faites sur la région malgré son fort potentiel minier. La compréhension de la géologie de la région requiert une approche multidisciplinaire alliant des travaux de terrain et en laboratoire (étude pétrostrucurale, observations microscopiques, géochimie des roches et des minéraux), utilisée dans cette thèse.Les données récoltés dans le cadre de cette thèse, indiquent une mise en place parentée des roches dioritiques et granitoïdiques qui jalonnent la zone de cisaillement du Banifing. Cette mise en place se fait à la faveur du fonctionnement de l’accident cisaillant du Banifing le long duquel se met en place une suite magmatique qui montre une évolution complète depuis les diorites jusqu’aux granites en passant par les monzodiorites et les granodiorites. Cette suite magmatique a été appelée suite plutonique du Banifing. / The Massigui degree sheet (South Mali) is composed of metavolcano sedimentary rocks and large masses of plutonic rocks of Paleoproterozoic age. It is crossed by a shear zone of crustal scale, which is set up in the interface of the batholith and metavolcano sedimentary sequences. The shear zone is littered with bodies of dioritic and granitoid rocks. The understanding and studying of such matter have become a regional issue.Paleoproterozoic rocks don’t crop out well and the area is covered by abundant lateritic formations, which prevent us from seeing the contacts between different units and few academic geological studies have been done on the region despite its high mineral potential. The understanding of the geology of the region required a multidisciplinary approach combining both field work and laboratory, (e.g. petrostructural study, microscopic observations, geochemistry of rocks and minerals) which were undertaken in this thesis.The data collected as part of this thesis, indicate a fundamental link between dioritic rocks and granitoid that line the shear zone Banifing. This establishment is to support the functioning of the occurrence of shearing Banifing along magmatic suite implements, which shows a complete evolution from diorites to the granites through the monzodiorites and granodiorites. This suite has been called magmatic plutonic suite of Banifing.
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Géochronologie et Géochimie des Formations Archéennes et Protérozoïques de la Dorsale de Man en Côte d'Ivoire. Implications pour la Transition Archéen-Protéozoïque

Kouamelan, Alain-Nicaise 03 May 1996 (has links) (PDF)
L'Ouest de la Côte d'Ivoire se caractérise par la juxtaposition d'un domaine Archéen (Kenema-Man) et d'un domaine Protérozoique (Baoulé-Mossi), respectivement situés à l'Ouest et à l'Est de la faille du Sassandra. Elle offre donc l'opportunité d'une étude de la transition entre l'Archéen et le Paléoprotérozoique. Dans le domaine Archéen, les roches se différencient du manteau entre 3,3 et 3,5 Ga (âge modèle Nd). Les formations granulitiques les plus anciennes sont datées à 3050 ± 10 Ma (âge monozircon). Des zircons hérités dans des paragneiss indiquent un héritage continental, au minimum à 3,2 Ga. Ce domaine est marqué, comme l'ensemble de l'Archéen de la dorsale de Man, par l'événement magmatique et métamorphique majeur qu'est le Libérien (Camil, 1984; Kouarnelan et al., 1994, 1995). La datation des assemblages de minéraux a permis de mettre en évidence un recyclage important des formations archéennes durant l'événement Birimien. Ce recyclage s'effectue dans des conditions de ra assez élevées (700 à 800°C), vu la remise à zéro partielle ou totale des géochronomètres U-Pb et Sm-Nd. Il est essentiellement localisée au Sud de la faille de Man-Danané où prédominent des gneiss migmatitiques à biotite. Une étape pré90ce survient vers 2250 ± 30 Ma. L'influence majeure a lieu vers 2100 ± 40 Ma avec (1) la décompression preSCIu'isotherrne des granulites archéennes de haute pression (850 ± 30°C et 10 ± 1 kbar) vers des conditions de plus basse pression (720°C ± 30 et 7 ± 1 kbar) et (2) la fusion de sédiments pour donner des gneiss migmatitiques à biotite (monazite à 2074 ± 7 Ma). L'âge modèle Nd à 3,2 Ga-et la présence de coeurs hérités dans les zircons montrent l'origine archéenne de ces formations. Ces deux étapes correspondent à l'histoire de l'évolution de la croûte birimienne reconnue dans le domaine Protérozoique (s.l.). Le domaine Protérozoïque de la Côte d'Ivoire est constitué d'ensembles plutonovolcaniques et sédimentaires juvéniles ( Abouchami et al., 1990, Boher et al., 1992). L'histoire précoce de ces ensembles débute vers 2220 ± 8 Ma (âge monozircon). La phase majeure d'accrétion magmatique se situe à 2094 ± 6 Ma (âge monazite) avec la formation de nombreux massifs de leucogranite. Une phase intermédiaire, de migmatisation, à 2150 ± 10 Ma (âge monozircon) semble caractériser le socle granito-gneissique. Le domaine situé entre la faille du Sassandra et la longitude 6°W, que nous dénommons zone de transition, montre des évidences de contamination de croûte archéenne (âge modèle Nd intermédiaire et zircon hérité). Au Sud de ce domaine (domaine SASCA), nous avons mis en évidence l'existence d'un segment de croûte archéen (3,15 Ga), dont les caractères géochimiques indiquent qu'elle a été très peu remobilisée. La décompression isotherme des formations archéennes au Birimien et la contamination des magmas d'âge Birimien par la croûte archéenne permet d'envisager soit un modèle de collision, soit un modèle de rifting. Un modèle de collision ne semble pas correspondre car si une rétrogradation est évidente dans le domaine Archéen, aucune évidence de progradation n'est par contre observée dans la zone de transition. Aussi, J'existence de nappe de chevauchement, dans l'Archéen, est incertaine (Delor et al., 1994). De plus, les linéations minérales observées sur les bordures est et sud-est du massif granulitique de Man indiquent un mouvement en faille normale. Le modèle de rifting semble s'appliquer beaucoup mieux à cette région de la dorsale de Man. A un amincissement d'un continent archéen au Paléoprotérozoique, succède l'océanisation et la formation du domaine Baoulé-Mossi par underplating eVou transpression d'un magma de composition globalement intermédiaire. La présence de la granodiorite de Toulépleu, intrusive en plein domaine archéen à 2100 ± 10 Ma est une manifestation de la fragilisation de l'Archéen.
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Évolution Structurale de la Ceinture Minéralisée d'Ashanti, SO Ghana

Perrouty, Stephane 19 June 2012 (has links) (PDF)
La ceinture Paléoprotérozoïque d'Ashanti, au sud-ouest du Ghana, est l'hôte de nombreux gisements d'or, de classe mondiale, tels les gisements d'Obuasi (60 million d'onces) et de Tarkwa (40 millions d'onces). La caractérisation de l'évolution structurale et magmatique régionale permet d'éclaircir le contexte géotectonique de formation de ces gisements et ainsi fournir des pistes pour de futures explorations. Ainsi, au cours de ces travaux de thèse, ont été réalisés : (1) une nouvelle carte géologique et structurale de la région, en accord avec les observations de terrains et les données de géophysique aéroportée, (2) une étude détaillée du gisement d'or précoce de la mine de Wassa, (3) une étude de l'évolution du magmatisme au cours de l'Orogénèse Éburnéenne et (4) un modèle tridimensionnel de la ceinture d'Ashanti mettant en évidence un possible contrôle litho-structural sur la localisation des minéralisations.
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STRUCTURE DU BATHOLITE DE FERKESSEDOUGOU (SECTEUR DE ZUENOULA, CÔTE D'IVOIRE) : IMPLICATIONS SUR L'INTERPRETATION DE LA GEODYNAMIQUE DU PALEOPROTEROZOÏQUE D'AFRIQUE DE L'OUEST A 2.1 Ga

Gbele, Ouattara 18 December 1998 (has links) (PDF)
La période à 2.1 Ga du Craton d'Afrique de l'Ouest est une période de production massive de leucogranites. Le batholite de Ferkessédougou (Côte d'Ivoire) est, tant du point de vue de sa localisation, de son extension, que de son histoire dans la littérature géologique, un élément majeur de l'interprétation de la géodynamique du Paléoprotérozoïque. Tour à tour considéré comme un granite de ride augéosynclinale puis un granite typique de collision de type moderne, il n'en demeure pas moins le jalon d'un accident crustal NNE-SSW important du Paléoprotérozoïque : le linéament GFB (Greenville-Ferkessédougou-Bobodioulasso). Son étude et son interprétation s'inscrivent dans le débat sur la validité de la tectonique des plaques à cette période. Par analyse satellitale, nous montrons que ce batholite de 400 km de long sur une cinquantaine de large est en fait constitué d'une grande quantité de plutons adjacents relativement proches pétrographiquement. Le contexte général de son encaissant métavolcanique et/ou métasédimentaire birimien (2.2 Ga à 2.1 Ga) faiblement déformé et épizonal ainsi que l'absence de déformations tangentielles additionnelles traduisent la faiblesse de l'épaississement crustal synchrone de sa genèse. Sa fabrique déterminée par analyse structurale classique et par analyse de susceptibilité magnétique est double. La première "magmatique" est le plus souvent coaxiale, d'orientation et de pendages variables. Elle dessine des trajectoires courbes et traduit la mise en place des plutons. Elle est l'équivalent de ce qui a été rapporté à la déformation D1 autour de granites anciens. La seconde, magmatique à post-solidus, beaucoup mieux réglée, souvent constrictive ou non-coaxiale, est l'image d'un champ de contrainte régional transcurrent qui se rapporte à la déformation D2 classique dans la chronologie du craton birimien. Les plutons du batholite granitique de Ferké sont syntectoniques de cette grande phase de raccourcissement (2.1 Ga à 2.07 Ga) du birimien. Le passage en revue des différents modèles de plutons, l'analyse du secteur SW de la Côte d'Ivoire présentant des dykes granites à deux micas et des faciès métamorphiques de plus haut grade, un survol des formations de l'Imataca au Surinam, ainsi que le bilan de l'analyse structurale, nous amènent à proposer un modèle 3D pour le batholite de Ferké. Il correspondrait à un ensemble de petits plutons de forme laccolithique engagés dans la croûte superficielle entre les métasédiments épizonaux birimiens dits "de bassin", des gneiss et micaschistes probablement d'âge compris entre 2.2 et 2.1 Ga. Ces plutons seraient alimentés par un faisceau de dykes issus de la fracturation par ouverture en pull-apart du bassin sédimentaire SASCA-Bandama-Bobodioulasso. La fusion de la croûte essentiellement de type ceinture verte/TTG (absence de traces de matériel archéen), à la verticale du bassin subsident, aura incorporé du matériel sédimentaire de bassin. L'apport de chaleur nécessaire à la compensation de la faiblesse de l'épaississement aurait été fourni par le jeu décrochant des fractures majeures des pull-aparts. La place nécessaire à la mise en place des plutons exige une montée de ces derniers à la fin de la période extensive à la faveur de multiples cauldron-subsidences. Les conditions et régimes des deux déformations principales impliquent un lapse de temps très court entre la stabilisation de l'ouverture des bassins et leur fermeture. Par ailleurs, la variation du niveau structural du Nord-Est vers le Sud-Ouest, en particulier vers la zone probable de l'équivalent-racine au Vénézuéla-Surinam, montre un approfondissement et le rapprochement d'une croûte archéenne vers le SW alors qu'elle n'était jusqu'à présent reconnue que vers l'Ouest (Guinée, Dorsale de Man) ou soupçonnée vers l'Est au Ghana.

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