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Les italiens dans le var de 1850 à nos jours : démographie, impacts économiques et parcours migratoires / The italians into the Var department from 1850 to nowadays : demography, economic impacts and migratory paths

Doneda, Cindy 10 July 2014 (has links)
Dès la deuxième moitié du XIXe siècle, nombreux sont les Italiens qui ont immigré dans le département du Var, géographiquement proche de la péninsule. Pourtant, le Var n’a pas suscité le même intérêt chez les historiens de l’immigration que les départements limitrophes des Bouches-du-Rhône et des Alpes-Maritimes. Ce constat nous a menée à l’étude du phénomène migratoire transalpin dans le Var. Majoritairement élaborée à partir de sources de première main qui ont nécessité un important travail dans les Archives Départementales, cette thèse est caractéristique de la présence italienne dans le Var à la fois d’un point de vue démographique, socio-économique et mémoriel. En d’autres termes, elle révèle l’ampleur de l’exode italien dans le département, le profil des immigrés et leur répartition géographique sur le territoire. Ce travail montre également l’impact de l’arrivée massive des travailleurs transalpins sur l’économie varoise et définit les secteurs d’activités dans lesquels ils sont majoritairement embauchés. Enfin, il s’intéresse aux aspects socioculturels de l’immigration, traités notamment à l’aide de la reconstitution de la mémoire par des descendants d’Italiens établis dans le département du Var qui racontent l’histoire de leurs ancêtres. Il étudie alors le parcours migratoire des Transalpins du Var de manière individuelle et tente d’échapper aux clichés, notamment concernant le déracinement, l’adaptation, la discrimination ou encore la transmission des origines italiennes. Construite selon une démarche positiviste et constructive, cette étude prend en compte différents types de sources qui se complètent et qui donnent accès à l’immigration italienne de la manière la plus réaliste. / Since the second half of the nineteenth century, many Italians immigrated into the Var department, geographically very close to the Italian peninsula. Yet the Var area hasn’t attracted the same interest of its neighbors, the departments of Bouches-du-Rhône and Alpes-Maritimes, among historians. This observation led us to study the transalpine immigration into the Var. Mostly developed from first-hand sources that did a lot of researching in the French Local Historical Archives, this thesis characterizes the Italian presence in the Var, both from a demographic, socio economic and memorial point of view. In other words, it reveals the extent of the Italian exodus into the Var department, the profile of immigrants and their geographical distribution in the area. This work also shows the impact that the massive arrival of transalpine immigrants had on the Var economy and defines the sectors in which they were employed. Finally, it treats the cultural aspects with help from the memories of the Italian descendants settled in the Var who were able to tell the story of their ancestors. The study will also look into the emigrational path taken by the transalpine Var immigrants individually without going into all the usual clichés, concerning the uprooting, adaptation, discrimination, or lastly the transmission of Italian origins. This study has used a positive and constructive approach ; it has taken into account a lot of different sources which manages to tell the Italian immigration in the most realistic way.
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Pouvoir, mémoire et identité : le premier registre de délibérations communales de Brignoles (1387-1391), édition et analyse

Gaudreault, Lynn 05 1900 (has links) (PDF)
Ce travail porte sur la culture de l'écrit, particulièrement sur la façon dont le gouvernement urbain a utilisé l'écrit administratif à la fin du Moyen Âge. L'ancien paradigme qui séparait les documents en écrits pratiques/pragmatiques d'une part et littéraires/symboliques de l'autre fut progressivement remplacé par un nouveau paradigme qui fait de l'écrit un acte de communication. Ceci autorise une compréhension beaucoup plus riche des documents, ajoutant à l'analyse de leurs aspects matériels la possibilité d'en évaluer la portée symbolique. Notre mémoire de maîtrise sur le premier registre de délibérations communales de Brignoles s'inscrit dans le cadre de cet intérêt renouvelé pour l'écrit administratif urbain et porte un regard attentif tant à la forme du registre qu'à son contenu, utilisant l'analyse textuelle pour faire ressortir toute la capacité expressive de ce document, en plus d'en réaliser une édition intégrale. Notre perspective a été de considérer ce document non pas comme une simple source, mais plutôt comme le résultat d'une production sociale. Notre but en étudiant ce registre était d'en arriver à comprendre à la fois le comment et le pourquoi de son existence. Après un premier chapitre consacré au bilan historiographique et à la méthodologie, le deuxième chapitre se penche sur l'étude de la source, c'est-à-dire à l'analyse codicologique et l’analyse structurelle du procès-verbal de séance. Le troisième chapitre s'intéresse au scribe, à son identité professionnelle et à ses méthodes de travail, alors que le quatrième chapitre s'attache à décrire le fonctionnement du conseil tel que révélé par le registre de délibérations. Le cinquième et dernier chapitre s'intéresse aux fonctions sociales du registre, cherchant à rendre compte des raisons qui ont motivé sa réalisation. À la question «de quel type de mémoire ce document est-il porteur?», cette étude nous permet maintenant de répondre qu'elle est une mémoire partielle et partiale, une mémoire institutionnelle qui, tout à la fois, fonde l'identité du conseil, la véhicule et la façonne et une mémoire qui a pour ultime objectif de légitimer la délégation de pouvoir que le conseil a reçue «pour l'honneur du roi et le bon statut de la ville». ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Édition de texte, Moyen Âge, Brignoles, Gouvernement urbain, Délibérations municipales, Culture de l'écrit
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Au coeur du patrimoine familial : stratégies matrimoniales et coutumes successorales à Brignoles de la fin du XIVe au milieu du XVe siècle

Guénette, Maryse 16 April 2018 (has links)
Pour faire l'histoire de Brignoles à la fin du Moyen Age d'une façon aussi féconde et intéressante que possible, une démarche s'imposait. Il fallait combiner les avantages des deux grandes approches adoptées par les historiens de la récente production d'études historiques concernant les villes du Sud (Provence ou régions limitrophes). C'est donc dire que cette étude s'est intéressée à la fois à l'insertion de la ville dans son terroir, à la composition de la propriété collective et individuelle, au partage de la richesse et à son lien avec le pouvoir, mais aussi aux comportements sociaux, c'est-à-dire aux stratégies matrimoniales et aux pratiques successorales mises en oeuvres pour assurer la continuité du patrimoine. Grâce à la mise en série des données tirées de sources abondantes et diversifiées (cadastres, délibérations communales, registres de comptes, contrats de mariage et de versements de dot, testaments et codicilles, actes de séparation de biens), des phénomènes et des attitudes ont pu être mis en relief, qui viennent nuancer l'impact catastrophique qu'on a trop souvent prêté aux événements perturbateurs de la fin du Moyen Age. Les aléas de la conjoncture que connaît le Moyen Age finissant sont bien connus; conflits politiques, disettes, famines, récessions économiques et épidémies jalonnent les XIVe et XVe siècles et laissent des traces plus ou moins profondes dans les sociétés qu'ils touchent. Mais sont-ils nécessairement générateurs de ruptures? Comment la société brignolaise réagit-elle pour sa part? Qu'est le cheminement de cette petite communauté urbaine au fil de ces années troublées? Un fait est incontestable: Brignoles à la fin du Moyen Age est une ville qui n'échappe pas aux effets parfois dévastateurs des malheurs qui frappent l'Europe et la Provence, sans pour autant abriter une société profondément désorganisée. Mais ces temps furent difficiles pour la communauté, ils laissent une impression d'instabilité, et s'il convient de nuancer, et parfois fortement, cette impression, l'étude révèle un fait important: l'histoire brignolaise du XIVe siècle finissant et de la première moitié du XVe siècle s'inscrit dans une continuité, mais une continuité qui n'exclut pas les changements lents, les adaptations. Basée encore et toujours sur la terre, la richesse est mouvante, mais les déplacements dans l'échelle des fortunes ne sont que relatifs. Il n'y a pas de mutation économique ni sociale prononcée, mais l'élevage connaît un essor considérable, même si la terre demeure l'élément fondamental de la richesse des hommes et de l'espace urbain. Quant à l'ordre social, il reste traditionnel. Et nulle surprise ici, les deux groupes qui y prédominent, tant du point de vue économique, social que politique, sont les nobles et les bourgeois-marchands. Par ailleurs, la chute de population provoquée par les crises, de même qu'un coefficient familial bas obligent à recourir à l'extérieur pour assurer le renouvellement de la population et des familles. Mais si l'appel à "l'étranger" demeure essentiel jusqu'à la fin des années 1460, cela n'entraîne pas à Brignoles de véritable mobilité sociale. La majorité des mariages unissent des conjoints d'un rang social et économique comparable, ou presque; que l'un d'eux soit étranger n'y change rien. La gestion des patrimoines s'inscrit pour sa part dans une continuité, marquée toutefois d'aménagements. Ces derniers changent parfois de mains, mais les règles de dévolution et de transmission demeurent stables dans l'ensemble. Les biens se transmettent d'abord et avant tout aux enfants, et plus encore aux fils, habituellement privilégiés et tous égaux devant l'héritage. Le fiait ne va pas toujours sans créer de tensions. Malgré l'obligation imposée par le père de maintenir les biens en indivis, il n'est pas toujours possible pour les héritiers de vivre dans la concorde; après un certain temps, diviser et reconstruire est parfois la seule solution envisageable. Le détenteur du patrimoine peut cependant être confronté à un problème plus immédiat. Si la situation familiale est telle qu'un fils doive être écarté de l'héritage, ou encore lorsque tous les fils sont décédés, un gendre est alors accueilli comme fils adoptif. Mais c'est à la fille, continuatrice de la famille à défaut du patronyme, que l'héritage est transmis. La cohésion de la famille et du patrimoine, raison d'être des stratégies matrimoniales et successorales mises en oeuvre, demeure, pour un temps au moins, assurée. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013

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