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La confrérie de la Sainte-Famille à Québec, 1663-1763

Cliche, Marie-Aimée 11 April 2018 (has links)
Le XVIIe siècle français connut un renouveau remarquable dans le domaine de la vie religieuse. Le rôle grandissant des laïcs à l'intérieur de l'Eglise, la place plus importante accordée aux femmes, la création de nombreuses associations de dévots comme la Compagnie au Saint-Sacrement et les congrégations de la Vierge en furent quelques-unes des principales manifestations. Cet essor religieux consécutif au Concile de Trente devait faire sentir ses effets jusqu'au Canada. Terre d’évangélisation, la Nouvelle-France attira l'attention des communautés missionnaires comme les jésuites, les sulpiciens, les ursulines. Les laïcs dévots de cette époque, hommes et femmes, fournirent généreusement des subsides pour seconder l'action des missionnaires. Dans la Société de Notre-Dame de Montréal, notamment, on compte au moins une vingtaine de membres de la Compagnie au Très-Saint-Sacrement de l'autel. De l'Ermitage de Caën où se rassemblaient à la fois des membres de cette compagnie et de la congrégation mariale, devaient sortir plusieurs dévots appelés à jouer un rôle important dans l'histoire religieuse de la colonie: François de Laval, Jean Dudouyt, Henri de Bernières, Louis Ango Des Maizerets. Pour des gens très pieux comme Mgr de Laval, les religieux missionnaires et les fondateurs de Montréal, le Canada représentait l'endroit idéal pour se sanctifier en supportant les privations imposées par la dureté du pays et en travaillant à la conversion des Indiens. Lors de la dissolution de la Société de Notre-Dame de Montréal, en 1663, les ex-membres de cette société, décidés à rester au Canada, manifestèrent le désir de fonder une nouvelle association de dévots dans le genre de celles qu'ils avaient connues en France. Barbe de Boullonge, femme de Louis d'Ailleboust (tous deux membres de la Société de Notre-Dame de Montréal) exposa cette idée à son confesseur, le jésuite Joseph-Marie-Pierre Chaumonot. En accord avec le père Gabriel Souart, sulpicien, Marguerite Bourgeois, Jeanne Mance et Judith Moreau de Brésoles, supérieure de l'Hôtel-Dieu de Ville-Marie, ils fondèrent une confrérie dédiée à la sainte Famille. Le choix de la sainte Famille pour patronner la nouvelle confrérie s'explique par le fait que les membres de la Société de Notre-Dame de Montréal lui avaient toujours manifesté une dévotion particulière. En 1632, Jérôme Le Royer de La Dauversière, l'un des membres fondateurs de la Société, avait fondé une confrérie de la Sainte-Famille à Laflèche. Dix ans plus tard, lors de la fondation de la Société de Notre-Dame de Montréal, c'est à la sainte Famille que la future ville fut dédiée. Les Montréalais répondirent si bien à l'appel au père Chaumonot, que lors au fameux tremblement de terre de 1663, tandis que tous les prédicateurs interprétaient le séisme comme un châtiment du Ciel, le père Chaumonot était le seul à rassurer ses ouailles en leur affirmant que "c'était le diable qui enrageait de ce que Dieu était bien servi". Pour assurer un succès durable à leur entreprise, le père Chaumonot et Mme d'Ailleboust demandèrent à Mgr de Laval de bien vouloir approuver leur projet de confrérie. Ce dernier, non seulement donna son approbation, mais il invita les deux innovateurs à venir fonder la même confrérie à Québec. C'est à la suite d'une collaboration étroite entre ces deux dévots de Montréal, le père Chaumonot de Mme d'Ailleboust, Mgr de Laval et un prêtre de son Séminaire, l'abbé Louis Ango Des Maizerets, que devait s'élaborer sous sa forme définitive la confrérie de la Sainte-Famille que Mgr de Laval érigea solennellement par son mandement au 14 mars 1664. Les règlements longs et détaillés rédigés par Mgr de Laval attestent l'importance qu'il attachait à cette confrérie. La lecture de son mandement et des autres écrits de M. Des Maizerets nous permet de reconstituer l'esprit de la confrérie de la Sainte-Famille et, d'une façon plus large, le climat religieux que l'évêque voulait faire régner en Nouvelle-France. Les registre s de la confrérie de la Sainte-Famille (et des confréries au Rosaire et au Scapulaire) nous aident à suivre et comparer l'évolution au recrutement des trois confréries depuis leur fondation jusqu'en 1760. Les témoignages des contemporains, enfin, nous éclairent sur les sentiments de la population envers la confrérie de la Sainte-Famille, l'influence qu'elle a pu exercer sur la société canadienne. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2012
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Problèmes de juridiction religieuse en Nouvelle-France, 1632-1659.

Blain, Jean 18 September 2020 (has links)
De 1632 à 1659, des Français s’établissent dans la vallée du Saint-Laurent. D'après la charte de la Compagnie de la Nouvelle-France, ils sont obligatoirement de foi catholique. Parmi eux, on compte un nombre relativement considérable de clercs, de religieux et de religieuses appartenant à diverses communautés et dont le but est d’évangéliser les Indiens et de desservir la population française. D'où ces communautés tirent-elles en définitive leur pouvoir de juridiction? Tenter de répondre à cette question en y apportant les nuances voulues, c’est en même temps s’efforcer de reconstituer les premières structures religieuses de la colonie qui constituent un point de départ essentiel - quoique traditionnellement négligé - dans l'étude de l'Église en Nouvelle-France. Établir les cadres religieux élémentaires des années 1632-1659, pour mieux apprécier l'oeuvre de Mgr de Laval et de ses successeurs : tel est le but que nous avons poursuivi dans ce travail . / null
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La floraison du jardin de foi en Nouvelle-France - Marie de l'Incarnation et François de Laval : la rencontre atypique de deux fondateurs

Bélanger, Raymond 07 February 2023 (has links)
Cette recherche s'intéresse à la relation entre deux fondateurs de l'Église canadienne, soit Marie de l'Incarnation, née Marie Guyart (1599-1672), fondatrice religieuse et supérieure des Ursulines de Québec et François de Montmorency Laval (1623-1708), vicaire apostolique puis premier évêque du diocèse de Québec, de l'arrivée de ce dernier à Québec, en 1659, jusqu'au décès de mère de l'Incarnation en 1672. Plus spécifiquement, nous avons voulu vérifier la nature des liens entre ces deux saints canonisés en 2014, qui vécurent presque à portée de voix pendant 13 ans. Bien que des sources consultées nous mettent sur la piste d'une pensée dévote commune, entre autres en ce qui a trait à la vie intérieure et à la mystique apostolique débouchant sur une rencontre spirituelle atypique, elles ne permettent pas d'accréditer l'existence d'une interrelation spirituelle entre ces deux pionniers. Néanmoins, la recherche nous fait suivre deux cheminements religieux, s'épanouissant dans une époque marquée par un essor spirituel sans précédent, un itinéraire qui leur permit de converger vers la Nouvelle-France et de contribuer à asseoir l'Église catholique naissante sur de solides fondations. / This research focuses on the relationship between two founders of the Canadian Church, namely Marie de l'Incarnation, born Marie Guyart (1599-1672), religious founder and superior of the Ursulines of Quebec, and François de Montmorency Laval (1623-1708), first bishop of the diocese of Quebec. More specifically, we explored the nature of the connections between these two saints canonized in 2014, who lived almost within earshot for 13 years. Although the sources reveal certain commonalities leading to an atypical spiritual encounter, they do not suggest the existence of a spiritual relationship between these two pioneers. Nevertheless, the research leads us to follow the prodigious religious journey of these two people, flourishing in an era marked by unprecedented spiritual growth, an itinerary that allowed them to converge in New-France and thus contributed to establishing the nascent Catholic Church on solid foundations.
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L'idéal chrétien dans le discours de Saint-Vallier : Estat present de l'Eglise et de la colonie dans la Nouvelle France (1685-1686)

Trouboul, Julie 25 April 2018 (has links)
Mgr de Saint-Vallier, grand vicaire et futur évêque de Québec, aborde pour la première fois son futur diocèse en juillet 1685, il le parcourt pendant près 16 mois. Il publie le récit de sa visite pastorale en 1688, ce compte rendu a pour objectif premier de susciter des dons en faveur de la Nouvelle-France, cependant, l'analyse de son discours nous révèle bien davantage. Ce compte rendu illustre la perception du Nouveau Monde de Saint-Vallier. Il témoigne de la représentation qu'il se fait de son futur diocèse comme d'un lieu propice à l'établissement du Royaume divin, où la présence de Dieu est particulièrement prégnante. Les vertus des habitants de la colonie apparaissent, elles aussi, idéales ; leur attitude répond exactement à la norme promue par la Réforme catholique. Ainsi, cette présentation souligne la référence tridentine du prélat. Le récit de Saint-Vallier suggère, en outre, son ambition de parfaire et de généraliser ces dispositions vertueuses au moyen d'un encadrement étroit du fidèle au sein d'une Église canadienne établie, et ce, dans le dessein d'établir le règne de Dieu en Nouvelle-France. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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Devenir "missionnaire des Sauvages" : origines, formation et entrée en fonction des sujets dans les missions amérindiennes du Canada et de l'Acadie (1700-1763)

Morin, Maxime 17 October 2018 (has links)
À partir de la paix de Ryswick conclue en 1697, la rivalité qui s’installe entre la France et la Grande-Bretagne pour le contrôle du commerce colonial atlantique a des répercussions directes sur le climat politique nord-américain. Pour soustraire les territoires revendiqués par la France en Amérique du Nord à la convoitise britannique, les autorités françaises élaborent différentes politiques qui seront mises en oeuvre jusqu’à la perte de la Nouvelle-France en 1763. L’une d’elles consiste à développer un réseau d’alliances avec les populations autochtones qui occupent les zones tampons entre les possessions françaises et britanniques, comme l’Acadie péninsulaire et continentale, le sud de la vallée laurentienne et le haut Saint-Laurent. Pour préserver ces alliances, toute ressource susceptible d’influencer les Amérindiens en faveur des intérêts français est sollicitée puisque ces alliés constituent la principale force militaire de la colonie jusqu’à la guerre de Sept Ans. Dans ce contexte trouble, les rapports qui se tissent entre les missionnaires catholiques et les Amérindiens convertis prennent une dimension politique indéniable. Certains d’entre eux seront d’ailleurs appelés à collaborer avec l’administration française pour maintenir la loyauté de leurs fidèles envers la couronne. Ces populations évangélisées depuis quelques décennies au XVIIIe siècle regroupent les Amérindiens domiciliés de la vallée laurentienne ainsi que les Abénaquis, les Malécites, les Passamaquoddies et les Micmacs de l’Acadie. Bien en selle dans leur mission, certains prêtres « missionnaires des Sauvages » se feront intermédiaires diplomatiques, informateurs, interprètes ou aumôniers des guerriers amérindiens en plus d’exercer leur ministère. Par l’étude de 25 profils missionnaires qui ont joué un rôle politique dans les relations franco-amérindiennes au cours de cette période, cette thèse doctorale s’intéresse à l’actualisation de la vocation missionnaire, depuis sa représentation pendant les études jusqu’à sa réalisation concrète sur le terrain par le sujet. Pour ce faire, elle examine la marche à suivre qui permet de devenir « missionnaire des Sauvages » au Canada et en Acadie entre 1700 et 1763. La reconstitution d’itinéraires individuels se rapportant aux Jésuites, aux Récollets, aux Sulpiciens et aux prêtres du Séminaire des Missions étrangères reprend chacune des principales étapes franchies par ces sujets, depuis leurs origines jusqu’à leurs premiers pas chez les Amérindiens. L’analyse comparative qui en découle montre que devenir « missionnaire des Sauvages » dans l’une ou l’autre de ces communautés résulte d’un long processus de sélection des candidats qui ne cesse d’être altéré par l’évolution du contexte des missions. Bien que ces individus empruntent des artères communes menant vers le ministère dans les missions amérindiennes du Canada et de l’Acadie, leur expérience n’en demeure pas moins unique et témoigne du large spectre des itinéraires qui convergent vers la Nouvelle-France à cette époque... / Following the Treaty of Ryswick, signed in 1697, the on-going rivalry between France and England for control of Atlantic colonial trade directly impacted the North- American political climate. As a result, French authorities established various policies to protect the lands they had claimed from the British until the fall of New France in 1763. One of those policies consisted in strengthening alliances with Native populations settled in the buffer zones between French and British settlements, such as Acadia and the southern part of the Laurentian Valley. As these allies formed the main military forces of the colony until the French and Indian War, the French used all means at their disposal to convince the Natives to aid their cause. In this troubled climate, the relationships between French Catholic missionaries and converted Natives had an undeniable political influence. To preserve loyalty to the Crown, a small number of missionaries were called upon to collaborate with the French administration. In the 18th century, the evangelized Natives included the Praying Indians of Canada, the Abenaki, the Maliseet, the Passamaquoddy and the Mi’kmaq of Acadia. In addition to exercising their expected ministry duties, some of the well-established missionaries also acted as diplomats, informers, interpreters, or chaplains when accompanying the Native warriors. Having analysed 25 profiles of missionaries who contributed to the French-Native relationship during this period, this doctoral thesis explores the pathway leading to a missionary vocation, beginning with its presentation in the educational context to its actual implementation in the field by young priests. It examines and explains the step-by-step process of becoming a “missionnaire des Sauvages” – as they were called in documents at the time – in Canada and Acadia between 1700 and 1763. By retracing the individual journeys of Jesuit, Recollect, or Sulpician missionaries, and also priests from the Seminary of Foreign Missions, we revisit each of the main achievements of this small group, from their origins to their first steps amongst the Natives. This comparative analysis shows that before a missionary from these communities was sent to work with Indigenous populations, candidates first had go through a long selection process, which was constantly altered by the evolving context of the missions. Although these individuals all initially followed a similar path leading them to ministry in Indian communities, their individual experiences were nonetheless unique and bear witness to the wide range of personal itineraries converging towards New France at the time. Whether born in France or in Canada, the missionaries came from various socioeconomic backgrounds. Their academic, ecclesiastical, and religious education shaped them into missionary-priests. Hand-picked during their preparatory studies, the selected individuals had to go through a transit screening process before heading to New France. Once having arrived at their destination, their introduction amongst the Natives of Canada and Acadia was overseen and supervised by their superiors. With their assignment in hand...
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Les exigences pastorales de Mgr de Saint-Vallier envers ses prêtres, 1685-1727

Blouin, Annie 24 April 2018 (has links)
Mgr de Saint-Vallier arrive en Nouvelle-France en 1685, à titre de grand vicaire de Mgr de Laval. Il constate le travail de son prédécesseur mais y détecte une lacune au niveau pastoral. Il s'appliquera à y pallier. Héritier du Concile de Trente et de la réforme catholique, Mgr de Saint-Vallier se soucie d'asseoir son Église sur des bases solides. Pour répondre aux besoins de son diocèse, il définit une législation diocésaine destinée à diffuser une norme, une conduite uniforme parmi ses prêtres. Pour ce faire, il met en place de nouvelles structures pastorales mais prend aussi différents moyens pour qu'on applique ses exigences pastorales. Il utilise, en plus de ceux-ci, une gestion épiscopale serrée du personnel pastoral qui se traduit notamment par des nominations judicieuses. À son décès, en 1727, il aura réussi à organiser plus définitivement l'Église, en la dotant d'une législation et d'instruments de pastorale. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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Mgr Pellegrino Francesco Stagni, o.s.m. et l'Église canadienne, 1910-1918

Tremblay, Donald 24 April 2018 (has links)
La thèse traite de la délégation apostolique de Mgr Pellegrino Francesco Stagni, o.s.m., et de l'influence qu'elle a exercée sur l'histoire de l'Église canadienne de 1910 à 1918. Le récit se divise en quatre chapitres: le premier présente l'institution des délégations apostoliques; le second aborde les relations entre Mgr Stagni et l'épiscopat canadien; le troisième traite des controverses suscitées par la publication du décret Ne Temere et la Première Guerre mondiale; et finalement le quatrième chapitre analyse les polémiques entourant les questions scolaires du Keewatin et des écoles bilingues d'Ontario. L'histoire de l'Église catholique canadienne de cette période est vue de façon événementielle. La thèse évalue comment le délégué s'est comporté devant une Église et un épiscopat divisés par les querelles linguistiques entre catholiques irlandais et canadiens-français. La problématique démontre que la nouvelle politique romaine envers l'Église canadienne de promouvoir une dualité linguistique s'est ouverte davantage aux réalités canadiennes-françaises durant le règne de Mgr Stagni. Pour le Saint-Siège il n'y avait aucun équivoque concernant la nécessité de respecter davantage le fait français au sein de l'Église canadienne. Par les politiques qu'il a poursuivies, Mgr Stagni a réussi à donner suite à cette volonté romaine. Au niveau méthodologique, la plus importante source de documentation qui a été consultée est le fonds de la Délégation apostolique au Canada conservé aux Archives secrètes du Vatican. L'analyse systématique de la correspondance de Mgr Stagni que l'on trouve dans ce fonds a permis de produire une thèse de grande valeur documentaire, puisque c'était la première fois que ce fonds d'archives était consulté. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013

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