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Determinants of iron status and anemia, and the associations between iron status and divalent metals among children aged 3 to 19 years old from four First Nations communities in Quebec

Tahir, Emad January 2019 (has links)
Contexte : L'anémie et la carence en fer sont fréquentes chez les enfants des Premières Nations et ont plusieurs effets néfastes sur la santé. Le fer est un métal divalent qui partage des voies d'absorption intestinale communes avec le cadmium (Cd), le cobalt (Co), le manganèse (Mn), le plomb (Pb) et le zinc (Zn) ; une déficience en fer augmente l'absorption de ces métaux ainsi que leur possible toxicité chez les humains. La présente étude examine la prévalence de l'anémie et la carence en fer, leurs déterminants ainsi que les associations entre la carence en fer et les concentrations sanguines de métaux divalents chez des jeunes des Premières Nations. Méthodologie : En 2015, l'étude pilote Jeunes Environnement et Santé (JES! - YEH!) a été menée chez des enfants et des adolescents (3 à 19 ans, n = 198) de quatre communautés de Premières Nations du Québec. Les concentrations d'hémoglobine, de ferritine sérique, et de métaux sanguins ainsi que de Mn dans les cheveux, de cotinine urinaire et de hs-CRP plasmatique ont été mesurées. Des mesures anthropométriques ont aussi été recueillies. Des déterminants (y compris la consommation d'aliments traditionnels et du marché) ont été évalués à l'aide d'un questionnaire administré par un assistant de recherche qui a ensuite servi pour le calcul des apports en nutriments. Une analyse descriptive a été réalisée et des modèles d'équations structurelles ont été utilisés pour tester les associations. RÉSULTATS : La prévalence respective de l'anémie et de la carence en fer était élevée (17.7% et 20.8% respectivement) dans la population d'étude. Les consommations de la viande traditionnelle, de fruits et de jus de fruits (naturel et en poudre) - par l'intermédiaire de leur association positive avec l'apport en vitamine C - étaient les variables alimentaires positivement associées à la ferritine sérique. Le sexe masculin était également associé à une ferritine sérique plus élevée. Le statut inflammatoire était inversement associé à l'hémoglobine, alors que la ferritine sérique était positivement associée à l'hémoglobine. Comme pour la ferritine, la consommation de fruits et de jus était positivement associée à l'hémoglobine via l'apport en vitamine C et la ferritine sérique, et ce, bien que la plupart des participants présentaient un apport suffisant en fer et en vitamine C. Les niveaux de Mn sanguin étaient significativement plus élevés que ceux des enfants des mêmes groupes d'âge rapportés dans l'enquête canadienne de mesures de santé. La ferritine sérique était inversement associée au Mn et au Co sanguins. Encore une fois, la consommation de fruits et de jus était inversement associée au Mn et au Co sanguins via l'apport en vitamine C et la ferritine sérique. Aucune association significative entre la ferritine sérique et d'autres métaux divalents n'a été observée. CONCLUSIONS : Nos résultats suggèrent que des interventions réduisant l'inflammation et favorisant des environnements alimentaires plus sains ainsi qu'une augmentation de la consommation de viande traditionnelle et d'aliments naturellement riches en vitamine C, qui est connue pour améliorer l'absorption du fer, pourraient contribuer à contrer l'anémie et la déficience en fer et à restaurer l'homéostasie du Mn et du Co dans l'organisme. Mots-clés: Anémie de l'enfance; carence en fer; Premières Nations; vitamine C; inflammation; manganèse; cobalt. / Context: In First Nations communities, anemia and iron deficiency (ID) are frequent pediatric conditions with diverse adverse health outcomes. Iron is a divalent metal that shares absorptive pathways with cadmium (Cd), cobalt (Co), manganese (Mn), lead (Pb) and zinc (Zn) in the gastrointestinal tract; ID upregulates their uptake and likely their toxicity in humans. The present study examines the prevalence of anemia, ID and their determinants as well as study associations between ID status and other divalent metals among First Nations youth. METHODS: The 2015, First Nation Youth Environment and Health (JES!-YEH!) pilot study was conducted among children and teenagers (3 to 19 y, n = 198) from four First Nations communities in Quebec. Blood, hair, urine samples and anthropometric measurements were collected. Hemoglobin, serum ferritin (SF), blood Cd, Pb, Mn, and Co, plasma Zn and hs-CRP, hair Mn and urinary cotinine levels were measured. Determinants (including traditional and market food consumption) were assessed using an interview-administered questionnaire, based on which nutritional intakes were calculated. Descriptive analyses were performed, and structural equation models were used to test associations. RESULTS: The prevalence of anemia and ID was elevated (17.7% and 20.8% respectively) in JES!-YEH! study participants. Traditional meats, fruit and fruit juice consumption (natural and powdered) - via their positive association with vitamin C intake - were the food variables positively associated with SF. Male sex was also associated with higher SF. The inflammatory status was associated with lower hemoglobin, while higher SF was in turn associated with higher hemoglobin. As for SF, fruit and juice consumption were positively associated with hemoglobin, via vitamin C intake and SF, and this although, most participants presented sufficient iron and vitamin C intakes. Blood Mn was significantly higher than in the Canadian Health Measures Survey of the same age groups, and SF was inversely associated with blood Co and Mn. Again, fruits and juice consumption were inversely associated with blood Mn via vitamin C intake and SF. No significant association between SF and other divalent metals was found. CONCLUSIONS: Our findings suggest that interventions fighting inflammation and fostering healthier food environments as well as higher consumption of traditional meats and foods naturally rich in vitamin C, which is known to enhance iron absorption, could decrease anemia and ID and ultimately, restore blood Mn and Co homeostasis. Key words: Childhood anemia; iron deficiency; First Nations; vitamin C; inflammation; manganese; cobalt.
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Impact d'une intervention alimentaire sur le statut en fer d'un groupe d'orphelins et enfants vulnérables d'âge préscolaire du Burkina Faso

Sanou, Dia January 2008 (has links)
Les interventions alimentaires présentent des potentialités pour augmenter les apports nutritionnels en fer, mais il existe peu de preuves sur leur efficacité à améliorer le statut en fer des enfants dans les pays en développement à cause des infections et des multicarences. Nous avons étudié l'impact d'une intervention alimentaire couplée à une amélioration des pratiques d'hygiène sur le statut en fer d'un groupe d'orphelins et enfants vulnérables âgés de 1 à 6 ans du Burkina Faso. La prévalence de l'anémie était de 60% et la presque totalité (93%) des 58 enfants examinés étaient carences en fer. L'anémie ferriprive affectait près de la moitié des enfants (45%), soit les trois quarts des cas d'anémie avant l'intervention. La prévalence du paludisme était relativement faible alors que les parasitoses intestinales affectaient plus des trois quarts des enfants. En plus des apports alimentaires inadéquats en fer, les prédicteurs les plus importants de l'anémie par carence en fer étaient la malnutrition protéino-énergétique et des facteurs liés à des pratiques d'hygiène inappropriées (infections et indices de morbidité). Notre intervention a consisté à augmenter les apports en fer absorbable et à changer les comportements des enfants et des nourrices en matière d'hygiène. L'amélioration de la qualité globale de l'alimentation s'est traduite par une réduction de la prévalence d'apports inadéquats en d'autres micronutriments essentiels, notamment les vitamines A, Bn et C. Parallèlement, des changements de comportements axés sur des bonnes pratiques d'hygiène ont réduit les risques d'infection, entraînant une diminution de la morbidité associée. L'ensemble de ces changements a permis une amélioration des indices taille/âge et poids/âge. L'augmentation moyenne du taux d'hémoglobine de 5 g/L a entraîné une diminution des prévalences de l'anémie et de l'anémie par carence en fer. Les taux de ferritine sérique ainsi que la proportion d'enfants ayant des réserves faibles en fer n'avaient pas significativement varié entre le début et la fin de l'intervention, possiblement à cause des infections qui ont pu influencer les valeurs de cet indicateur. Une telle intervention se présente donc comme une approche prometteuse pour réduire simultanément l'incidence de l'anémie par carence en fer, le retard de croissance et la morbidité globale.
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Évaluation d'une intervention nutritionnelle visant à prévenir l'anémie ferriprive chez des adolescentes pensionnaires au Bénin

Alaofè, Halimatou 13 April 2018 (has links)
Tableau d’honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2008-2009 / Des prélèvements sangums et de selles, un questionnaire sur la fréquence de consommation des aliments riches en fer et en vitamine C, un questionnaire général portant sur les aspects socio-économiques et sanitaires, ainsi que sur les connaissances nutritionnelles ont été administrés à 180 adolescentes béninoises âgées de 12 à 17 ans pensionnaires au lycée Toffa 1 er (n=80) et au CEG1 de Ouidah (n=100). La prévalence d'anémie, de carence en fer et d'anémie ferriprive était respectivement de 50,6, 31 , 7 et 23,9%. Les connaissances nutritionnelles et la consommation d'aliments riches en fer et en vitamine C étaient faibles. L'anémie ferriprive était plus élevée chez les adolescentes issues d'une famille >5. personnes et dont la mère occupait un travail manuel. Des 180 adolescentes sélectionnées précédemment, 34 filles du lycée Toffa 1er souffrant d'anémie ferriprive légère ont constitué le groupe d' intervention et ont été soumises à une intervention nutritionnelle comprenant 4 leçons d'éducation nutritionnelle et un menu riche en fer biodisponible à la cafétéria scolaire (apport médian cible de l , 90 mg) pendant 22 semaines, tandis que le groupe témoin a continué à s' alimenter de façon habituelle (n=34, CEG 1 de Ouidah). Des prélèvements sanguins et de selles, ainsi que des rappels de 48 heures ont été effectués en pré et en post-intervention. Le groupe témoin a bénéficié d'une formule sanguine après Il semaines afin d' éliminer les sujets souffrant d'anémie ferriprive modérée ou sévère. En post-intervention, le groupe d' intervention avait des apports plus élevés en fer et en vitamine C (P<0,05) et des meilleurs scores de connaissances nutritionnelles (P<O, OOl). Le taux d'hémoglobine et la ferritine sérique étaient significativement plus élevés dans le groupe d' intervention (122,5 vs. 113,1 g/L; P=0,0002; 31 , 7 vs. 18,8 Jlg/L; P=0,04) comparativement au groupe témoin, tandis que l'anémie ferriprive était plus faible (26,5 vs. 55,9%; P=0,04). Aucune différence significative n'a été observée pour les infections parasitaires entre les 2 groupes à la fin de l'étude. Ces résultats indiquent que l'anémie ferriprive représente un problème de santé publique chez les adolescentes étudiées et qu'une éducation nutritionnelle combinée à des modifications alimentaires visant à améliorer la teneur en fer absorbable peut réduire l'anémie ferriprive.

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