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Entre flexibilité et sécurité : l'accompagnement des entreprises et des mobilités professionnelles. : essais empiriques de microéconométrie du marché du travail

Calavrezo, Oana 30 November 2009 (has links) (PDF)
La présente thèse contribue à la littérature empirique sur la flexicurité en se concentrant sur deux axes de recherche : l'utilisation du chômage partiel par les établissements et le rôle des trois " socles " de la flexicurité - contrat de travail, compétences et territoire (Freyssinet, 2006) - sur la sécurisation des parcours professionnels des individus. En rapport au premier axe, la thèse propose une méthodologie pour évaluer l'efficacité du chômage partiel. Selon deux critères d'efficacité (éviter les licenciements économiques et la disparition des établissements), le chômage partiel ne protège pas l'emploi et il n'est donc pas efficace. Entre 1995 et 2005, il est avant tout un outil de flexibilité. Il ne peut pas s'analyser comme un outil répondant aux principes de la flexicurité. Pour le deuxième axe, nous analysons comment les " socles " de la flexicurité sécurisent les parcours, en s'appuyant sur trois mobilités professionnelles : premier emploi-emploi, emploi-emploi et chômage-emploi. Nous soulignons le rôle central de l'emploi temporaire, des liens entre les entreprises et du lieu de résidence dans le processus de sécurisation des trajectoires. Nous montrons que : (i) les contrats temporaires ne sont pas un obstacle à la stabilisation dans l'emploi, dès lors que leur durée est suffisamment longue ; (ii) les réseaux d'entreprises traduits par l'existence de marchés professionnels ou internes favorisent l'acquisition de compétences facilitant la mobilité entre deux emplois ; (iii) un cadre géographique " défavorisé " dans lequel vit l'individu apparaît comme un obstacle dans la sécurisation de son parcours.
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Entre flexibilité et sécurité : l'accompagnement des entreprises et des mobilités professionnelles. : essais empiriques de microéconométrie du marché du travail / Between flexibility and security : accompanying firms and professional mobilities. : a microeconometric analysis with French data

Calavrezo, Oana 30 November 2009 (has links)
La présente thèse contribue à la littérature empirique sur la flexicurité en se concentrant sur deux axes de recherche : l’utilisation du chômage partiel par les établissements et le rôle des trois « socles » de la flexicurité - contrat de travail, compétences et territoire (Freyssinet, 2006) - sur la sécurisation des parcours professionnels des individus. En rapport au premier axe, la thèse propose une méthodologie pour évaluer l’efficacité du chômage partiel. Selon deux critères d’efficacité (éviter les licenciements économiques et la disparition des établissements), le chômage partiel ne protège pas l’emploi et il n’est donc pas efficace. Entre 1995 et 2005, il est avant tout un outil de flexibilité. Il ne peut pas s'analyser comme un outil répondant aux principes de la flexicurité. Pour le deuxième axe, nous analysons comment les « socles » de la flexicurité sécurisent les parcours, en s’appuyant sur trois mobilités professionnelles : premier emploi-emploi, emploi-emploi et chômage-emploi. Nous soulignons le rôle central de l’emploi temporaire, des liens entre les entreprises et du lieu de résidence dans le processus de sécurisation des trajectoires. Nous montrons que : (i) les contrats temporaires ne sont pas un obstacle à la stabilisation dans l'emploi, dès lors que leur durée est suffisamment longue ; (ii) les réseaux d’entreprises traduits par l’existence de marchés professionnels ou internes favorisent l’acquisition de compétences facilitant la mobilité entre deux emplois ; (iii) un cadre géographique « défavorisé » dans lequel vit l’individu apparaît comme un obstacle dans la sécurisation de son parcours. / This PhD dissertation provides useful empirical contributions for two research topics about flexicurity: the use of the short-time compensation (STC) program by French establishments and the role of the three “bases” of flexicurity – employment contract, skills and territory (Freyssinet, 2006) – in making professional career paths secure. About the first topic, we develop a methodology to analyse the efficiency of STC and to verify if it could be considered as a flexicurity tool. According to two efficiency criteria (avoiding redundancies and establishment exit), STC does not protect employment and so it is inefficient: Between 1995 and 2005, it represents mainly a flexibility tool. It can not been seen as a tool responding to the principles of flexicurity. In the line of the second topic, we analyse how the “bases” of flexicurity make professional career paths secure, by focusing on three professional mobilities: first employment-employment, employment-employment and unemployment-employment. We show the importance of temporary contracts, firm networks and individual’s place of residence in the process of making professional career paths secure. We show that: (i) fixed-term contracts secure professional trajectories if the link between individuals and firms is long enough; (ii) firm networks support the acquisition of skills, making easier professional mobilities; (iii) a “disadvantaged” place of residence seems to be an obstacle in making professional career paths secure.
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Trois Essais sur l'Activité Partielle / Three Essays on Short-Time Work

Nevoux, Sandra 06 February 2018 (has links)
Le premier chapitre dresse un état des lieux de la littérature relative l’activité partielle et introduit les trois questions de recherche développées dans cette thèse, à savoir la diffusion locale du recours à l’activité partielle en France au cours de la période2003-2014, l’effet de l’activité partielle sur l’emploi en France au cours de la Grande Récession 2008-2009 et l’effet des réformes de 2012-2013 de l’activité partielle et du recours récurrent à ce dispositif sur la production agrégée en France. Dans le second chapitre, nous mettons en lumière la diffusion locale du recours à l’activité partielle en France sur la période 2003-2014. Pour ce faire, nous évaluons l’effet de la proximité géographique d’établissements ayant déjà recouru à l’activité partielle par le passé sur le recours à l’activité partielle d’un établissement pour la première fois sur la période 2003-2014. En effet, nous soutenons que l’information dont disposent les établissements au sujet du dispositif et de sa procédure, notamment par le biais des établissements voisins, constitue un déterminant essentiel du recours à l’activité partielle. Nos faits stylisés révèlent que le recours à l’activité partielle est concentré au niveau géographique et que cette concentration revêt un caractère dynamique. Nous utilisons comme mesure de la diffusion locale de l’information relative à l’activité partielle un indice de concentration spatiale (fondé sur les distances inter-établissements) et prenons en compte les autres caractéristiques des établissements afin de distinguer l’effet de cette transmission d’information d’autres déterminants du recours au dispositif et ainsi mettre en évidence son impact sur le recours à l’activité partielle d’un établissement pour la première fois. Nos résultats montrent l’importance de la diffusion locale de l’information relative à l’activité partielle, que cette diffusion décroît dans les premiers kilomètres et que cette information transite à la fois au sein d’un secteur donné et entre secteurs.Dans le troisième chapitre, nous évaluons l’effet de l’activité partielle sur l’emploi en France an cours de la Grande Récession 2008-2009. Nous développons un modèle théorique suivant lequel l’effet de l’activité partielle varie selon la situation financière des entreprises. Pour des entreprises faisant face à une forte diminution de leur chiffre d’affaires, l’activité partielle permet de sauvegarder l’emploi, tandis que pour des entreprises dont la réduction du chiffre d’affaires est modérée, l’activité partielle entraîne une diminution des heures travaillées sans pour autant préserver l’emploi. Ces effets théoriques contrastés sont confirmés par nos résultats empiriques, qui mettent en évidence que l’activité partielle a réduit le nombre d’emplois détruits uniquement en cas de réduction importante du chiffre d’affaires mais n’a eu aucun effet significatif sur l’emploi pour les autres entreprises, qui représentent environ 40 % des utilisateurs de l’activité partielle. Ces effets d’aubaine, bien que considérables au regard du dispositif d’activité partielle, demeurent négligeables par rapport à d’autres mesures telles que les subventions salariales et à l’embauche. De plus, l’activité partielle n’a pas contribué à maintenir en vie des entreprises en difficultés structurelles. L’activité partielle a donc constitué un dispositif efficace à la sauvegarde de l’emploi en France au cours de la Grande Récession 2008-2009. / The literature review on short-time work presented in the first chapter underlines the motivation behind the three research questions developed in this dissertation, namely the local diffusion of short-time work, the impact of short-time work on employment during the great 2008-2009 recession in France, and the impact of the 2012-2013 reforms of short-time work and its recurrent use on aggregate production in France.In the second chapter, we assess the local diffusion of short-time work. We argue that the geographical proximity of establishments having already used short-time work in the past is a major information channel regarding this scheme. Relying on distance-based methods, our stylized facts highlight the spatial and dynamic concentration of short-time work use in France between 2002 and 2014. Our econometric analysis reveals that the local information about short-timework constitutes a determinant of its use, that it attenuates rapidly in the first kilometers and that this information is both transmitted within and between sectors. We interpret this significant spatial concentration of short-time use,after controlling for the determinants of short-time work at the establishment level, as an evidence of information spillovers.In the third chapter, we estimate the impact of short-time work on employment during the great 2008-2009 recession in France.The model we develop shows that the effect of short-time work varies depending on the financial situation of the firms. For firms facing a strong decline in their revenue, short-time work saves employment, whereas for firms facing a moderate decline in their revenue, short-time work entails a drop in hours worked without reducing job losses. These heterogeneous effects are confirmed by our empirical results, which demonstrate that short-time work has reduced the number of job losses for firms which faced dramatic drop in their revenue, but has had no significant impact on employment for the other firms. These windfall effects, although sizeable within the short-time workscheme, are negligible compared to other policies such as wage and hiring subsidies. Additionally, short-time work didn’t help structurally weak firms to survive. Hence, short-time work has been an efficient policy to save jobs during the great 2008-2009recession in France.In the fourth chapter, we evaluate the impact of the 2012-2013reforms of short-time work and its recurrent use on aggregate production in France. The 2012-2013 reforms have increased the generosity of short-time work and hence have suppressed the remaining cost supported by the firm. Our stylized facts highlight that short-time work is essentially used by a small number of firms in a recurrent way and this repeated use has aggravated following these reforms. The theoretical model we develop shows that such reforms of short-time work have entailed cross subsidies towards recurrent short-time work users and have reduced aggregate production compared to the social optimum.According to our model, the efficient policy should provide unemployment insurance benefits funded by experience rated employers’ contributions instead of short-time work benefits.

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