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De l'intuition au Moyen Age à la connaissance intuitive chez Duns Scot / Intuition in the Middle Ages and John Duns Scotus on Intuitive Cognition

Irimescu, Ana 10 December 2015 (has links)
Au Moyen Age, les théories physiologique, psychologique et philosophique de la perception se sont mutuellement influencées jusqu’à aboutir au modèle théorique de la cognition visuelle. Les définitions médiévales de la connaissance intuitive confirment d’ailleurs le « caractère visuel » de la métaphysique occidentale, ainsi que l’influence de l’optique sur l’épistémologie. Jean Duns Scot (1265-1308) est le premier philosophe qui se sert, de manière systématique, de la distinction entre deux modes cognitifs pré-discursifs et pré-judicatifs : abstractif et intuitif. Il donne ainsi une définition rigoureuse au concept d’intuition, qu’il applique de manière univoque à la connaissance du singulier immatériel et matériel. Avant lui, Matthieu d’Aquasparta (1237-1302) avait étendu le concept théologique d’intuition, utilisé traditionnellement pour expliquer la vision béatifique, à la problématique de la connaissance de soi. Il avait utilisé le terme intuitio pour désigner le rapport cognitif direct et immédiat de l’âme à ses propres actes, sans l’appliquer pour autant à la connaissance du singulier matériel. Pour Duns Scot, la connaissance de soi est directe et immédiate et intuitive et garantit la certitude dans le processus cognitifs, le fonctionnement de la mémoire, la conscience de soi et l’identité personnelle. L’intuition intellectuelle du singulier matériel constitue ainsi une des applications possibles de la distinction scotiste entre cognitio intuitiva et cognitio abstractiva, qui s’ajoute à celles représentées par la vision béatifique, la connaissance angélique et la connaissance auto-réflexive. / In the Middle Ages, the physiological, psychological and philosophical theories of perception were mutually influenced to the point where they generated a theoretical model of visual cognition. The medieval definitions of intuitive knowledge confirm the “visual character” of the Western metaphysics, much like the influence of optics on epistemology. John Duns Scotus (1265-1308) is the first philosopher to use in a systematic manner the distinction between the two pre-discursive and pre-judgment cognitive modes: abstractive and intuitive. He also gives a rigorous definition for the concept of intuition that he applies univocally to the knowledge of both the immaterial and material singular. Before him, Matthew of Aquasparta (1237-1302) extended the theological concept of intuition, traditionally used to explain the beatific vision, to the problem of knowledge of the self. He employed the term intuitio to name the direct and immediate cognitive relation between the soul and its own acts, but without applying it to the material singular. For Duns Scotus, the knowledge of the self is direct, immediate, and intuitive and guarantees the certitude in the cognitive process, the operations of the memory, self-consciousness and personal identity. The intellectual intuition of the material singular constitutes yet another one of the possible applications of the Scotist distinction between cognitio intuitiva and cognitio abstractiva that adds to those represented by the beatific vision, the angelic knowledge and the self-knowledge.
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Traitement du signal pour les prothèses visuelles: approche biométrique et sensori-motrice

Durette, Barthélémy 10 July 2009 (has links) (PDF)
Bien qu'elles existent depuis plus de quarante ans, les prothèses visuelles, qu'elles soient invasives (implants) ou non invasive (systèmes de substitution sensorielle), n'ont pas percé dans le secteur du handicap. Il serait difficile d'imputer cet état de fait à des limitations technologiques. Depuis les premières approches, les prothèses visuelles n'ont cessé de se perfectionner et de se diversifier. Toutefois, si la question de savoir comment transmettre le signal est bien documentée, la question de savoir quel signal transmettre a été plus rarement abordée. Dans cette thèse, nous identifions des outils susceptibles de pousser la conception des dispositifs de suppléance visuelle au-delà de la seule question de l'interface. Nous puisons pour cela dans les développements récents sur les théories actives de la vision et dans les implications de ces théories sur la conception et l'évaluation de dispositifs de perception. Nous nous inspirons par ailleurs du fonctionnement des systèmes perceptifs naturels, et plus particulièrement du traitement de l'information dans le système rétino-cortical humain, dont nous proposons un modèle. Ce modèle, issu de plusieurs travaux de thèse au laboratoire, a fait l'objet d'une simulation logicielle, implémentée dans le dispositif de substitution sensorielle visuo-auditif "TheVIBE". L'impact de ce traitement biomimétique du signal est testé expérimentalement sur des sujets humains équipés du dispositif dans différentes tâches notamment dans une tâche de mobilité en extérieur. L'observation des stratégies mises en oeuvre par les sujets pour se servir du dispositif de substitution permet de formuler de nouvelles hypothèses quant au rôle du traitement du signal dans le processus de vision.
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La plateforme Bubbles : un outil d'investigation des différences individuelles de stratégies de reconnaissance de l'identité des visages

Fourdain, Solène 12 1900 (has links)
L’objectif de cette recherche est la création d’une plateforme en ligne qui permettrait d’examiner les différences individuelles de stratégies de traitement de l’information visuelle dans différentes tâches de catégorisation des visages. Le but d’une telle plateforme est de récolter des données de participants géographiquement dispersés et dont les habiletés en reconnaissance des visages sont variables. En effet, de nombreuses études ont montré qu’il existe de grande variabilité dans le spectre des habiletés à reconnaître les visages, allant de la prosopagnosie développementale (Susilo & Duchaine, 2013), un trouble de reconnaissance des visages en l’absence de lésion cérébrale, aux super-recognizers, des individus dont les habiletés en reconnaissance des visages sont au-dessus de la moyenne (Russell, Duchaine & Nakayama, 2009). Entre ces deux extrêmes, les habiletés en reconnaissance des visages dans la population normale varient. Afin de démontrer la faisabilité de la création d’une telle plateforme pour des individus d’habiletés très variables, nous avons adapté une tâche de reconnaissance de l’identité des visages de célébrités utilisant la méthode Bubbles (Gosselin & Schyns, 2001) et avons recruté 14 sujets contrôles et un sujet présentant une prosopagnosie développementale. Nous avons pu mettre en évidence l’importance des yeux et de la bouche dans l’identification des visages chez les sujets « normaux ». Les meilleurs participants semblent, au contraire, utiliser majoritairement le côté gauche du visage (l’œil gauche et le côté gauche de la bouche). / The present study aims to create a web-based platform that would examine individual differences in face processing strategies in different categorization tasks. The purpose of this platform is to collect data from geographically dispersed participants with variable face recognition abilities. Indeed, many studies have shown that there is high variability in the spectrum of face recognition ability, ranging from developmental prosopagnosia (Duchaine & Susilo, 2013), a disorder of face recognition in the absence of brain damage, to super-recognizers, individuals with extraordinary face recognition ability (Russell, Duchaine & Nakayama, 2009). Between these extremes, people vary substantially in their ability to recognize faces. To demonstrate the reliability of creating such a platform for individuals of widely varying abilities, we adapted a recognition task of the identity of famous faces using the Bubbles method (Gosselin & Schyns, 2001) and recruited 12 control subjects and a subject with developmental prosopagnosia. We were able to highlight the importance of the eyes and the mouth in face identification. The best observers seem mostly to use the left side of the face (left eye and the left side of the mouth).
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Les mécanismes de l’inhibition spatiale et non spatiale

Ouerfelli-Éthier, Julie 04 1900 (has links)
Bien que l’inhibition soit souvent considérée comme un concept uniforme, les habiletés d’inhibition se divisent en plusieurs types : l’inhibition spatiale et l’inhibition de réponse. L’inhibition spatiale réfère à l’atténuation de l’interférence de localisations contenant des stimuli saillants et non pertinents. Par exemple, l’inhibition spatiale guide la recherche visuelle de sorte à limiter la visite répétée de localisations déjà explorées. À l’opposé, l’inhibition de réponse est un processus de type moteur et permet l’adaptation du comportement à un contexte changeant lorsqu’un mouvement doit être altéré ou arrêté. Bien qu’il soit admis que les habiletés d’inhibition se subdivisent en plusieurs types, tel que l’inhibition spatiale et l’inhibition de réponse, les différents mécanismes les sous-tendant demeurent mal compris et sous explorés. L’objectif principal de la présente thèse était d’explorer les mécanismes communs et différents de l’inhibition spatiale et l’inhibition de réponse. Particulièrement, les mécanismes de suppression et de facilitation lors de la sélection de la cible furent décrits pour l’inhibition spatiale. De même, la perturbation des habiletés de l’inhibition spatiale et la préservation relative des habiletés d’inhibition de réponse à la suite à de lésions du cortex pariétal postérieur dorsal furent exemplifiées. Finalement, les apports spécifiques du cortex pariétal postérieur dorsal pour l’inhibition spatiale et l’inhibition de réponse furent définis. / While inhibition is often considered a uniform concept, inhibition abilities can be divided in many types: spatial inhibition and response inhibition. Spatial inhibition refers to the attenuation of the interference from locations containing salient and non-pertinent stimuli. For example, spatial inhibition guides visual search to limit the repeated visit of already explored locations. In contrast, response inhibition is motor-based and allows the adaptability of behaviour in a changing context when a movement must be prevented or altered. Although it is widely accepted that inhibition abilities can be divided in many types, such as spatial or response inhibition, the different mechanisms underlying them remain poorly understood and under-explored. The main aim of the present thesis was to explore the common and different mechanisms of spatial and response inhibition. Precisely, the mechanisms of suppression and enhancement during target selection were described during spatial inhibition. The alteration of spatial inhibition processes and the relative preservation of response inhibition abilities in patients with dorsal posterior parietal cortex lesions were also underlined. Finally, the specific contributions of the dorsal posterior parietal cortex for spatial and response inhibition were defined.

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