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La crise alimentaire mondiale de 2008 et ses impacts sur l'économie togolaise

Byll, Attia January 2011 (has links)
En 2007-2008, la hausse subite des prix internationaux des denrées alimentaires de base a engendré une crise alimentaire mondiale qui a eu des répercussions surtout dans les pays pauvres et moins avancés. Les objectifs principaux de cette recherche sont d'analyser les impacts de la crise sur l'économie du Togo et d'étudier des politiques possibles de réponse à la crise. Afin d'y parvenir, nous utilisons un Modèle d'Équilibre Général Calculable. Une telle modélisation permet de reproduire la situation économique de référence du pays ainsi que le mécanisme de transmission des chocs et des politiques économiques sur les agents et les secteurs de l'économie. Nos résultats montrent que la crise alimentaire a eu des effets modérés sur l'économie togolaise. Quant aux politiques proposées pour pallier aux effets de la crise, une augmentation du capital physique des secteurs touchés par la crise semble plus adaptée qu'une diminution du taux d'imposition indirecte intérieure et/ou du taux d'imposition douanière à l'importation.
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Sécurité alimentaire et libéralisation agricole / Food security and agricultural liberalization

Diagne, Rokhaya 22 November 2013 (has links)
La sécurité alimentaire définie comme l’accès à tous à une nourriture saine et suffisante, comporte quatre dimensions : les disponibilités, l’accessibilité, l’utilisation et la stabilité. Soumis à l’ajustement structurel depuis la fin des années 1980, les pays en développement (PED) ont procédé à une libéralisation agricole et à une ouverture commerciale, tandis que les pays développés maintiennent leur protectionnisme agricole. Le premier objectif de la thèse est d’analyser les méfaits d’une libéralisation agricole mal menée et inadaptée à travers les bilans des réformes agricoles au Sénégal et de la crise alimentaire de 2008. Les causes profondes de cette crise sont la financiarisation des marchés agricoles, leur dérégulation, et l’inefficacité des politiques agricoles et alimentaires dans les PED. La sécurité alimentaire est un but affiché par tous les pays mais faudrait-il être en mesure de la quantifier? Notre seconde ambition est de construire un indice synthétique de sécurité alimentaire grâce à une analyse en composante principale sur un échantillon de 125 pays en 2005 et 2009. Le résultat principal est que le score des pays développés s’est amélioré durant cette période, alors que celui des pays à faible revenu et à déficit vivrier s’est dégradé. Ainsi, les inégalités alimentaires entre les pays développés et ceux pauvres se sont accrues. Une classification hiérarchique ascendante par la méthode de Ward a permis de distinguer quatre situations alimentaires : la satiété, la sécurité, l’équilibre, et l’insécurité alimentaire. Elle a montré que la dépendance aux importations et les prix alimentaires avaient plus d’impact sur l’insécurité alimentaire que les revenus. / Defined as access to all a healthy and sufficient food, food security has four components: availability, access, utilization and stability. Subjected to structural adjustment since the late 1980s, developing countries (DCs) have conducted an agricultural liberalization and trade opening, while developed countries maintain their agricultural protectionism (domestic support and export subsidies). The first objective is to analyze the misdeeds of agricultural liberalization poorly conducted and inadequate through the agricultural reforms in Senegal and the 2008 food crisis. The root causes of this crisis reside more in the financialization of agricultural markets, the deregulation and inefficient agricultural and food policies in developing countries. Food security is a stated goal for all countries, but would it be able to quantify it? Indeed, it was conceptualized but its multidimensional nature made it difficult to quantify. Our second goal is to build a composite indicator of food security through a principal component analysis (PCA) on a sample of 125 countries in 2005 and 2009. The main result is that the score of the developed countries has improved during this period, while that of low-income food deficit deteriorated. We can deduce that due to food crisis, food inequalities between developed and poor countries have increased. In addition, a hierarchical cluster analysis (HCA) with Ward's method was also performed and showed four different food situations in our sample: food satiety, food security, food balance, food insecurity. It also highlighted the fact that the dependence on food imports and food prices had more impact on food insecurity as income.
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Sécurité alimentaire et libéralisation agricole

Diagne, Rokhaya 22 November 2013 (has links) (PDF)
La sécurité alimentaire définie comme l'accès à tous à une nourriture saine et suffisante, comporte quatre dimensions : les disponibilités, l'accessibilité, l'utilisation et la stabilité. Soumis à l'ajustement structurel depuis la fin des années 1980, les pays en développement (PED) ont procédé à une libéralisation agricole et à une ouverture commerciale, tandis que les pays développés maintiennent leur protectionnisme agricole. Le premier objectif de la thèse est d'analyser les méfaits d'une libéralisation agricole mal menée et inadaptée à travers les bilans des réformes agricoles au Sénégal et de la crise alimentaire de 2008. Les causes profondes de cette crise sont la financiarisation des marchés agricoles, leur dérégulation, et l'inefficacité des politiques agricoles et alimentaires dans les PED. La sécurité alimentaire est un but affiché par tous les pays mais faudrait-il être en mesure de la quantifier? Notre seconde ambition est de construire un indice synthétique de sécurité alimentaire grâce à une analyse en composante principale sur un échantillon de 125 pays en 2005 et 2009. Le résultat principal est que le score des pays développés s'est amélioré durant cette période, alors que celui des pays à faible revenu et à déficit vivrier s'est dégradé. Ainsi, les inégalités alimentaires entre les pays développés et ceux pauvres se sont accrues. Une classification hiérarchique ascendante par la méthode de Ward a permis de distinguer quatre situations alimentaires : la satiété, la sécurité, l'équilibre, et l'insécurité alimentaire. Elle a montré que la dépendance aux importations et les prix alimentaires avaient plus d'impact sur l'insécurité alimentaire que les revenus.
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F. A. Hayek et Herbert A. Simon : la contribution de deux approches par la complexité à l'élaboration d'un corps de connaissances et d'outils utiles dans l'analyse et la prévention des "poly-crises" alimentaires. L'exemple de la crise alimentaire de 2007-2008 / F. A. Hayek and Herbert A. Simon : two approaches face to complexity. Lessons for analysis and prevention of poly-food crisis. The case of the 2007-2008 food crisis

Desbois, Jean-Marc 24 November 2016 (has links)
Entre avril et juin 2008, le prix des commodités (blé, maïs, riz) a atteint un niveau impressionnant, mais pas exceptionnel. Les populations de 48 pays ont été affectées par une sévère sous-alimentation. La plupart d’entre eux avait déjà été affaiblie par des conflits et des catastrophes naturelles inhabituelles et dramatiques. Ces facteurs ont souvent interagi pour aggraver la situation. Pourtant, si la crise de 2007-2008 a été un «problème extraordinaire», c’est aussi parce que la connaissance scientifique «normale» a échoué face à la complexité de la «poly-crises» alimentaire (Morin, 2011). En réponse, nous avons conçu un cadre épistémologique, méthodologique, et technique, à partir de deux approches face à la complexité, celles de Hayek (1899-1992) et de Simon (1916-2001), avec un objectif, satisfaire au critère de cumulativité, un reproche traditionnellement adressé à ce type d’approche. Ce travail a produit deux enseignements. Premièrement, les fondements épistémologiques de la production de la connaissance en économie doivent être révisés en environnement complexe et incertain: 1) du certain/de l’objectif vers l’incertain/le subjectif; 2) de la prédiction exacte vers la conception; 3) de la causalité linéaire inappropriée, ou pire, menaçant la liberté individuelle, vers une causalité complexe. Deuxièmement, dans le processus d’adaptation, le rôle de la production et du partage de la connaissance «tacite» est central. Pour cette raison, le problème économique n’est plus un problème d’allocation des ressources. Il est de savoir comment des êtres humains aux capacités cognitives «limitées» computent et socialisent (Nonaka et alii, 1994, 2001) la connaissance et l’information disponibles, mais dispersées, pour la convertir en heuristiques ou patterns favorisant l’adaptation. Deux autres hypothèses les renforcent : 1) les dynamiques du changement s’enracinent «dans la pensée et la créativité des gens impliqués dans des situations complexes et dans leur capacité à restructurer leurs propres modèles d’interactions», (Ostrom, 2011) ; 2) l’altruisme réciproque (Simon, 1992, 1993) est un comportement rationnel qui peut être plus efficient dans les interactions sociales en environnement complexe que le comportement maximisateur ou égoïste. Ces résultats ont été synthétisés dans une interface que nous avons créée et qui a pris la forme d’une boucle de la connaissance à deux allèles, une pour la connaissance générique, l’autre, pour la tacite, qui, par récursion, produisent une méta-connaissance. Cette interface est à la fois ouverte et fermée et reflète ainsi la position défendue par Hayek et Simon pour qui la science économique est une «science frontière». Une part de la recherche est consacrée à la création d’outils, par exemple à un indicateur de perception de la contribution des facteurs au déclenchement et/ou à l’aggravation de la crise, à partir : 1) des allocutions des 138 Chefs d’État et de Gouvernement présents à la Conférence de Haut Niveau sur la Sécurité alimentaire mondiale (3-5 juin 2008) ; 2) des analyses des économistes, 3) des témoignages des gens qui ont subi la sous-nutrition ou la hausse des prix des denrées alimentaires (database IRIN). Nous proposons également une typologie actualisée des policy-mix mis en œuvre par 18 pays divisés en 3 groupes : des pays en développement, pour la plupart importateurs nets, sévèrement touchés par la crise et qui ont connu des «émeutes de la faim» (Égypte, Tunisie, Cameroun, Côte d’Ivoire, Sénégal, Mauritanie, Haïti, Bangladesh) ; des pays Membres du groupe de Cairns ayant connu soit des «émeutes de la faim», soit des désordres sociaux (Indonésie, Philippines, Thaïlande, Afrique du Sud) ; enfin, des pays ayant adopté des restrictions et/ou prohibitions aux exportations (Chine, Inde, Indonésie, Égypte, Cambodge, Ukraine, Vietnam) [...]. / Over the April-June 2008 period, prices of the commodities such as wheat, maize, rice and vegetable oils, reached impressive yet not exceptional peaks. By contrast, the populations of 48 countries were stricken by severe under nutrition. Most of them had already been weakened not only by conflicts, social disorders, dramatic and unusual climatic and natural disasters, but also by outbreaks, epizooties, and population displacements. In some cases, all these factors together played a significant role in the worsening situation. However, another important reason could be advanced to explain why the 2008 food crisis was an “extraordinary problem”. This one is that “normal” scientific knowledge was defeated by the complexity of what it appears now as a food “poly-crises” (Morin, 2011). We answered by designing an epistemological, methodological, and technical knowledge base from two very different and alternative economics approaches of facing complexity. The first is the Hayekian approach (1899-1992), and the second, the Simonian approach (1916-2001). The research intends to fulfill cumulativity criteria, traditionally difficult to satisfy with the ones of complexity. From the following analysis we mostly learned two things. First, epistemological grounds of economics needed to be broken in complex environment(s): 1) from certainty/objectivity to uncertainty/subjectivity, 2) from accurate prediction to design, 3) from linear causality deemed inappropriate or, worse, threatening people freedoms, to complex causality. Second, in the adaptation process, the role of “tacit” knowledge production and sharing is central. For that reason, the core of economics problem is not allocation of resources anymore. Now, the main problem for humans whose cognitive capacity are “bounded” is to compute, to “socialize” (Nonaka et alii, 1994, 2001), available but dispersed information and knowledge and to converse them into heuristics or patterns allowing the adaptation to complex and uncertain environment(s). Two others auxiliary hypotheses –E. Ostrom (2011) will endorse them later- can be drawn from that preliminary work: 1) the dynamics of change rooted “in the thinking and in the creativity of people involved in complex situations and their capacity to restructure their own models for interactions”, 2) reciprocal altruism (Simon, 1992, 1993) is a rational behavior which can be more effective in/for the social interactions in complex environment(s) than maximizing or selfish behavior. To present preliminary results in an effective way, we created a very simple interface scheme. It takes the form of a three-dimensional knowledge loop with two strands, “generic” and “tacit” knowledge connected between themselves to produce by recursion a meta-knowledge. We made the choice of the interface because it reflects with the most accuracy the position defended by Hayek and Simon which is that economics is a frontier science. Moreover, the interface has the advantage of being both open and closed. A part of the research is more specifically dedicated to design tools increasing the understanding of the “polyfood” crises. We elaborated a three-level indicator with: 1) perceptions of the contribution of each factor to the outbreak and the worsening of the situation; 2) contributions of actors to the explanation of the food crisis proposed in 2008. It was developed from: 1) a case study comparing and contrasting explanations proposed a) in their statements by 138 Heads of State and Government attended the High Level Conference on World Food Security (3-5 June 2008), b) in their analyses by economists, c) in their testimonies by people hit by under nutrition/rising food prices (database IRIN); 2) a new and more updated typology focused on the responses addressed by 18 countries split into 3 groups [...].
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Le Ventre des Belges: miracle économique et restauration des forces de travail :origines et développement de la politique alimentaire du second immédiat après-guerre, 1914-1948 / Belly of Belgium: economic miracle and restoration of labour force :origin and development of second immediate postwar food policy, 1914-1948

Bernardo Y Garcia, Luis Angel 01 July 2015 (has links)
Au cours du second immédiat après-guerre, la Belgique continue être soumise à une « économie de disette » qui s’est épanouie sous la seconde occupation. Afin d’assurer le ravitaillement alimentaire de la population et le maintien d’une activité économique, la puissance publique est contrainte d’organiser l’économie nationale traditionnellement acquise à la liberté du marché. Le temps de la pénurie alimentaire mondiale, la politique alimentaire va diriger l’approvisionnement général du pays par la stabilisation des prix et salaires, les importations, la mobilisation du secteur alimentaire, la distribution de l’alimentation, le rationnement et enfin la répression du « marché noir ». En dépit de la cherté des approvisionnements extérieurs et la régulation de la pénurie au niveau mondial, les gouvernements belges qui se succèdent depuis la Libération s’attachent à l’amélioration du niveau de vie d’une population affaiblie par l’occupation. Cette restauration des forces de travail est un corollaire indispensable à la reprise de l’activité économique et à la reconstruction du pays mais aussi au maintien de l’ordre établi et à la restauration politique. Cet objectif alimentaire a été assigné en exil et dans Bruxelles occupée par les élites dirigeantes – qu’elles soient politiques, économiques ou syndicales – dans une rare unanimité au même titre que la défense d’un « franc fort ». Le Parti communiste, qui participe au pouvoir dès le premier Gouvernement d’Union nationale de la Libération, va aussi adhérer à ces deux objectifs et se voit attribuer le lourd et ingrat portefeuille du Ravitaillement pendant la plus grande partie de son existence qui s’étale de septembre 1944 à décembre 1948. <p><p>Le choix assumé par une Belgique solvable d’une « politique d’abondance » aux dépens d’une planification des investissements se démarque des choix opérés par la France, les Pays-Bas ou la Grande-Bretagne impécunieux mais obsédés par la modernisation de leurs appareils de production respectifs. L’objectif belge d’apporter à la population – à coup de subventions massives – l’indispensable puis l’utile mais aussi le superflu va se maintenir jusqu’à la libération progressive des transactions et des prix et participe à la restauration rapide de l’économie belge transformatrice et exportatrice. Dès la fin de la guerre en Europe, un apparent « miracle économique » se produit en Belgique avec la reprise rapide des exportations à destination des pays limitrophes. Le processus de restauration économique a été initié dès les premières semaines de la Libération grâce aux prestations massives aux armées alliées et le « remboursement » inespéré d’une partie conséquente de celles-ci après-guerre. Dès le début de l’année 1947, la production industrielle belge rattrape le niveau d’avant-guerre alors que les productions charbonnière et agricole restent à la traîne. La politique alimentaire du second immédiat après-guerre place le consommateur au centre de l’économie agricole et multiple les contraintes du côté de l’offre en matière de transactions et de prix. Encombrée par l’héritage de l’occupation – en dépit d’un droit d’inventaire – elle rencontrera une forte opposition de la part du secteur alimentaire et principalement le monde agricole et le petit commerce. Ceux-ci déploieront des stratégies défensives à la fois politiques et illégales. Ces dernières s’expriment essentiellement depuis l’occupation par le détournement d’une part conséquente des maigres disponibilités alimentaires au profit de l’ennemi et d’une minorité au fort pouvoir d’achat. Quant au monde ouvrier organisé qui constitue aux yeux de la puissance publique le principal acteur du côté de la demande alimentaire, il va contester dès la Libération la politique d’austérité et l’inéquité des sacrifices demandés au nom de la restauration du pays. En dépit d’une pacification convenue entre les élites patronales et syndicales en échange de réformes sociales et la participation loyale des communistes au pouvoir, la seconde sortie de guerre sera marquée par de nombreuses grèves « sauvages » débordant le cadre syndical réformiste et communiste.<p><p>À vrai dire, la politique alimentaire mise en œuvre au cours de la seconde libération et du second immédiat après-guerre – ainsi que les réponses apportées par l’offre et la demande – ne peuvent être étudiées et comprises qu’en convoquant les crises alimentaires précédentes depuis la première occupation que la Belgique fut la seule à connaître en Europe occidentale sur la plus grand partie de son territoire, à l’exception du petit voisin grand-ducal. Tant la puissance publique, les élites dirigeantes que le monde agricole ou encore le mouvement ouvrier sauront tirer les enseignements des expériences passées. Enfin, la production agricole de la Belgique structurellement dépendante des importations massives de céréales et autres aliments du bétail s’inscrit depuis la fin du XIXème siècle dans une économie alimentaire mondialisée. Les crises alimentaires des temps de (sortie de guerre) traversées par la petite économie transformatrice et exportatrice sont avant tout des crises des approvisionnements extérieurs marquées par leur diminution voire leur quasi disparition. Au cours du second immédiat après-guerre, la politique alimentaire de la Belgique – comme celle des autres grands pays importateurs français, britannique ou néerlandais – sera toujours aussi tributaire des approvisionnements extérieurs régulés depuis la guerre par les Grands Alliés anglo-saxons. Ceux-ci passeront le relais en 1946 aux organismes internationaux gravitant autour des Nations Unies jusqu’aux abondantes récoltes mondiales de l’An 1948. / Doctorat en Histoire, art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished

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