Contexte La maladie de Lyme (ML), une zoonose transmise par une tique, est en émergence au Canada. Elle est à déclaration obligatoire au Québec depuis novembre 2003. Récemment, des cas ont été diagnostiqués chez des personnes n'ayant pas voyagé à l'extérieur de la province. La description complète des cas déclarés n'a pas été faite. L'objectif de cette étude est de décrire l'incidence, les manifestations cliniques et les facteurs de risque de la ML au Québec chez les cas signalés du 1er janvier 2004 au 31 décembre 2010. Méthode Une copie des dossiers de tous les cas signalés a été obtenue des DSP. Une grille standardisée a été utilisée pour la collecte des données. Les dossiers ont été classés selon la définition nosologique de 2010 (cas confirmé ou probable) à laquelle on a ajouté la catégorie "cas possible". Résultats Parmi les 108 cas signalés, 88 ont été retenus. Lors du reclassement, 40 dossiers ont changé de catégorie dont 23 cas considérés à l'origine comme non retenus. Parmi les 23 cas acquis au Québec, il y 3 cas confirmés, 11 probables et 9 possibles. Le nombre annuel de cas augmente progressivement, l'incidence passant de 0,01 à 0,28/100 000 entre 2004 et 2008. Les cas ont entre 2 et 86 ans (médiane de 43); 8 % ont moins de 10 ans et 58 % sont de sexe masculin. Un érythème migrant (EM), une arthrite ou une paralysie faciale ont été retrouvés chez 78 %, 20 % et 13 % des cas respectivement. L'EM est associé au sexe féminin (89 % vs 69 %, p=0,03). Les cas avec une paralysie faciale sont plus souvent hospitalisés (45 % vs 13 %, p<0,01). Seulement 34 % des cas ont été déclarés par un médecin, même si 98 % d'entre eux ont passé une sérologie pour la ML. Une activité en plein air, un séjour dans une zone endémique ou une piqûre de tique ont été rapportés par 87 %, 76 % et 31 % des cas respectivement. Discussion Le nombre de cas de ML augmente lentement au Québec. Le sud-ouest du Québec est à risque dû à la proximité géographique des zones endémiques. Les médecins n'ont déclaré qu'un tiers des cas et il y a une divergence entre la classification des DSP et celle de l'étude. Les caractéristiques cliniques des cas québécois sont similaires à celles observées aux États-Unis et en Allemagne, sauf pour la proportion de cas chez les enfants qui est plus faible qu'ailleurs.

Stroke is one of the leading causes of mortality and disability worldwide. The majority of stroke patients are elderly. Advanced age, hypertension, diabetes mellitus, atrial fibrillation, smoking and heavy alcohol drinking are the major risk factors. Treatment of modifiable risk factors is an important strategy for primary and secondary stroke prevention. The primary aim of this thesis was to examine stroke risk factor profile, risk factor management and clinical outcomes, as well as their association with ethnicity (defined as English-speaking background ? ESB, and non-English-speaking background - NESB) in a group of elderly patients from a multiethnic background. Stroke risk factor profile and outcomes of stroke were similar between English and non-English-speaking background patients. However, a higher prevalence of diabetes mellitus in the NESB patient group was observed in the study (41% vs. 10% in the ESB patient group) (Chapter 2). In addition, predictive factors and predictive models for stroke outcomes were developed. Advanced age, visual field loss and stroke type were the main predictors for mortality and functional dependency at 12 months post-stroke (Chapter 3). Delirium occurred in one quarter of the elderly patient post-stroke and was also associated with a worse clinical outcome (Chapter 4). Risk factor management may be suboptimal in elderly patients. For example, anticoagulant therapy for stroke prevention in patients with atrial fibrillation was underused, particularly in NESB patients (Chapter 2). The reasons for under-usage of anticoagulant therapy were investigated in a general practitioner survey (Chapter 6). Results showed that NESB, older age, cognitive impairment (especially living alone) were significant potential barriers for anticoagulant prescription by general practitioners. Stroke units have been proven to be a better care model for stroke patients, with shortened hospital length of stay and improved clinical outcomes. Clinical audits from Bankstown Combined (Co-located) Acute and Rehabilitation Stroke Unit and later the newly established Blacktown Combined Co-located Stroke Unit have demonstrated these benefits (Chapter 5). However, further studies need to be performed in order to determine whether a combined co-located stroke unit care model is superior to other stroke unit care models, and if so, the reasons behind this.

Thesis (Ph. D.)--University of Sydney, 2006. / Title from title screen (viewed May 1, 2007). Submitted in fulfilment of the requirements for the degree of Doctor of Philosophy to the School of Occupation and Leisure Sciences. Includes bibliographical references. Also issued in print.

Thesis (M.Sc.Dent.)--University of Adelaide, Dept. of Dentistry, 1999. / Bibliography: leaves 107-138.

Thesis (M.S.)--Bowling Green State University, 2009. / Document formatted into pages; contains viii, 55 p. Includes bibliographical references.

Thesis (Ph.D(Practical Theology)--University of Pretoria, 2004. / Includes bibliographical references (leaves 189-194)

Thesis (DPhil (Social Work))--University of Pretoria, 2003. / Includes bibliographical references.

Thesis (M. Soc. Sc.)--University of Hong Kong, 1996. / Includes bibliographical references.

Thesis (M.S.W.)--University of Hong Kong, 1996. / Includes bibliographical references (leaf 83-92).

Thesis (M.A.P.S.)--Catholic Theological Union at Chicago, 1998. / Vita. Includes bibliographical references (leaves [81]-83).