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Jean-Benjamin de Laborde's "Abrégé d'un traité de composition" The merger of musica speculativa and musica practica with an emerging musica historica /Filar, Donald Craig. Clendinning, Jane Piper. January 2005 (has links)
Dissertation (PhD) Florida State University, 2005. / Advisor: Jane Piper Clendinning, Florida State University, College of Music. Title and description from dissertation home page (viewed 6-22-07). Document formatted into pages; contains 351 pages. Includes biographical sketch. Includes bibliographical references.
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La colonie de Passy : un cercle d’amateurs aux origines de la photographie / The Passy Colony : a Circle of Amateurs During Photography’s Early YearsMondenard, Anne de 22 February 2013 (has links)
La colonie de Passy est constituée d’hommes et de femmes issus du même cercle familial qui ont pratiqué la photographie, seuls ou de façon collective, depuis le début des années 1840 jusqu’au début des années 1860 : Léon de Laborde, Valentine de Laborde, Benjamin Delessert, Cécile Delessert, Edouard Delessert, Edouard Bocher… Au moins six praticiens amateurs, sans compter les modèles, sont identifiés au sein d’un cercle qui appartient à l’aristocratie ou à la haute bourgeoisie éclairée. Leur production, demeurée dans sa plus grande partie inédite jusqu’à notre découverte, révèle une pratique précoce du portrait. La liberté de pose affichée par les modèles ranche avec les premiers portraits, pour le moins figés, que l’on connaissait jusqu’ici. L’étude de cette production familiale incite même à réécrire l’histoire du portrait photographique, et à réévaluer la notion de « portrait intime » dont Félix Nadar passe pour être l’inventeur. Le cercle de Passy doit son nom à la commune située alors en périphérie de Paris où ses membres habitaient, sur les hauteurs de la Seine. Ce cercle joue également un rôle central – et méconnu – dans la promotion de la photographie juste après son invention : commandes publiques, créations de sociétés, projets de diffusion des oeuvres d’art, participations à des jurys, etc. L’étude des images et des archives familiales, toutes inédites, montre enfin que les traits d’une pratique amateur, telle que nous l’envisageons aujourd'hui – recherches ludiques, expériences et inventions, échanges d'images, constitution d’albums qui tiennent la chronique familiale – sont déjà en place au lendemain de l'invention de la photographie. / The Passy Circle consisted of men and women photographers from the same family circle who worked alone or collectively from the early 1840s to the early 1860s: Léon de Laborde, Valentine de Laborde, Benjamin Delessert, Cécile Delessert, Edouard Delessert, and Edouard Bocher…. No fewer than six photographers, plus models, can be identified in this group of upper-middle class, wealthy bourgeoisie. Their oeuvre, unknown until this current research, reveals some of the earliest existing works in portrait photography. The free, casual nature of the poses contrasts sharply with previously known portraits of the period, which were much more stiff. Knowledge of this family-based production may lead historians to rewrite the history of portrait photography, as well as to reassess the notion of the “intimate portrait,” thought to be an invention of Felix Nadar. The Passy Circle, which owes its name to the city where its members lived along the Seine (Passy was then situated on the Paris outskirts), also played a central but previously undiscovered role in promoting photography: public commissions, society foundations, projects for distributing artworks, jury participation, etc. Finally, their images and family archives, which have never before been investigated, reveal that the characteristics of amateur photography, as it is currently perceived, were already in place soon after photography’s invention: its members regularly exchanged photographs, created albums chronicling family history, and in their practice were daring, playful, experimental and inventive.
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Généralisations d'hypercubes et de (0, 2)-graphesMadani, Rafaï Mourad 07 March 1994 (has links) (PDF)
L'hypercube a suscité de nombreuses études engendrant une littérature très dense aussi bien en mathématiques discrètes qu'en informatique. Cet intérêt sans cesse croissant est largement motivé par l'utilisation de sa structure dans de nombreux domaines (architectures parallèles, transfert de l'information, décision multicritère,...). Chacun peut s'étonner des raisons qui font que le cube soit le cube?. Sa simple définition peut déjà apporter une réponse quoique partielle à une telle question. Plusieurs propriétés spécifiques à l'hypercube ont, soit, défini de nouvelles classes de graphes, soit, fait ressortir le rôle remarquable joué par celui-ci dans plusieurs classes déjà existantes. Les (0, 2)-graphes sont une généralisation naturelle de l'hypercube. Il est maximal dans cette classe. Le thème de cette thèse consiste en la définition et la caractérisation de quelques classes de (0, 2)-graphes obtenues à partir de l'hypercube par rajout d'arêtes ou identification de sommets. Nous caractérisons au chapitre II, le graphe de l'hyperoctaèdre comme un {2(n-2), 2(n-1)}-graphe d'ordre 2n, et nous prouvons l'unicité de son cycle hamiltonien et cela à une équivalence naturelle près. Nous donnons, au chapitre III, une caractérisation de l'hypercube en tant que graphe distance-régulier de vecteur d'intersection {d, d-1, ..., 1; 1, 2, ..., d}. Une classe de (0, 2)-graphes minimaux -les graphes de Shrikhande généralisés- y est étudiée et une caractérisation des graphes de Laborde-Mulder comme (0, 2)-graphes de diamètre minimum [d/2] parmi ceux d'ordre 2d-1 et de degré d impair est donnée. Au chapitre IV, nous caractérisons parmi les hypercubes généralisés ceux qui sont des (0, 2)-graphes. Nous présentons une construction de (0, 2)-graphes non sommet-transitifs. On montre enfin que les graphes de Laborde-Mulder et du demi-cube sont plongeables dans le carré de l'hypercube. Dans un dernier chapitre, nous nous intéressons au problème d'existence de (0, 2)-graphe d'un ordre donné. Nous donnons une condition nécessaire d'existence de tels graphes pour un ordre impair. Nous montrons ensuite qu'à l'ordre 18 et 20, il n'existe pas de (0, 2)-graphes, en utilisant à cette fin un algorithme de construction de (0, 2)-graphes. Nous présentons enfin quelques résultats sur la structure locale des (0, 2)-graphes
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