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Apports et limites de l'auto-évaluation des compétences par les diplômés de l'enseignement supérieur

Shah, Ashfaque Ahmad 11 December 2009 (has links) (PDF)
Ce travail présente un large spectre de l'approche et de l'usage empirique du concept de compétences. A un extrême, on trouve la nécessaire discussion des subtilités du concept de compétence. A l'autre, des analyses économétriques rigoureuses pour répondre à une question essentielle: "Dans quelle mesure l'auto-évaluation des compétences est-elle fiable? ". Une investigation étymologique nous a aidé à fournir une justification en faveur de l'utilisation préférentielle, en anglais, du terme de " compétence " par rapport à celui de " competency ". En outre, nous avons retrouvé les racines du concept dans la littérature française, où il était en service bien avant son apparition dans la littérature anglaise. De plus, nous avons trouvé que l'utilisation du concept de compétences était répandu dans les différentes régions du globe et on en a déduit que l'intérêt pour la compétence est vraiment devenu internationalisé. La littérature anglaise et française nous a aidé à cet égard. Avant de procéder aux analyses économétriques, il a été nécessaire d'analyser scrupuleusement la littérature sur l'évaluation des compétences. Les analyses rigoureuses ont révélé que l'auto-évaluation des compétences est fiable à un niveau modeste. Nous avons testé la fiabilité de l'auto-évaluation des compétences acquises et requises, effectuée par les diplômés de l'enseignement supérieur. Nous pouvons affirmer la fiabilité dans les deux cas, cependant, à un niveau modeste. Nous avons simplifié la question de recherche de la façon suivante. : 1. Dans quelle mesure les niveaux de l'auto-évaluation des compétences acquises par les diplômés de l'enseignement supérieur sont-ils fiables? 2. Dans quelle mesure les niveaux de l'évaluation des compétences requises par l'emploi des diplômés de l'enseignement supérieur jeunes travailleurs sont-ils fiables? Nous avons testé les données pour les deux questions précédentes et nous avons trouvé une réponse positive pour chacune des deux. Le critère de falsifiabilité de Karl Popper nous a aidé à conclure que : 1. l'auto-évaluation des niveaux des compétences acquises par les diplômés de l'enseignement supérieur est fiable, quoiqu'à un niveau modeste. 2. l'évaluation des niveaux des compétences requises par les jeunes travailleurs est fiable, quoiqu'à un niveau modeste. L'ensemble des données utilisées dans cette étude a été fourni par l'équipe de Reflex. Nous avons fait usage de SPSS et Stata pour les analyses. Un certain nombre de techniques statistiques ont été utilisées, comme le probit ordonné, la régression par les moindres carrés ordinaires et des analyses paramétriques ainsi que non paramétriques sur les écarts. On a remarqué une similitude assez étonnante aux niveaux de signification pour les coefficients des estimations du probit ordonné et de régression MCO. Cela pourrait induire une réflexion plus profonde pour les statisticiens. La limitation primordiale de cette étude est le fait que nous soyons restés confiné à un ensemble de données. Nous proposons de reproduire ces analyses avec plus de variables et sur d'autres ensembles de données de taille comparable.
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Employment of higher education graduates in Russia

Bydanova, Elisaveta 12 December 2006 (has links) (PDF)
L'auteur s'interroge sur la nature des compétences demandées dans un pays en transition économique, comme la Russie. La question est de savoir : « Est-ce qu'en Russie, les défis auxquels doivent faire face les diplômés sont les mêmes que dans les autres pays de l'Europe ? Est-ce que les diplômés russes ont véritablement besoin de se procurer d'un éventail plus large des compétences afin de mieux réussir sur le marché du travail? ». Nous cherchons à savoir également si l'enseignement universitaire permet d'acquérir toutes les compétences demandées par les employeurs ?<br />Nous avons mené une recherche visant à vérifier notre hypothèse qu'en Russie, actuellement, il ne suffit plus de posséder des bonnes connaissances dans un domaine particulier, mais il devient indispensable d'acquérir des compétences plus larges et variés, comme la capacité de gérer le stress, de travailler en équipe, de coordonner les activités des autres, etc.<br />Afin de répondre à ces questions, nous avons mené une enquête auprès 3500 diplômés des 4 établissements d'enseignement supérieur, dans les deux régions de Russie: dans la région de Moscou et à Volgograd. Nous avons obtenue environ 300 réponses à Volgograd et 180 dans la région de Moscou. Cette enquête a été réalisée grâce à la participation financière de nombreux acteurs en Russie et à l'étranger, comme la Mairie de Dijon, le Ministère des affaires étrangères de France, l'Université de Volgograd, l'Académie de management social de Moscou, et également grâce au soutient méthodologique de l'IREDU et du projet européen « REFLEX » (« Flexible Professional in the Knowledge Society »).<br />Dans en premier temps, nous avons procédé à une analyse générale de la situation des diplômés sur le marché du travail. Nous remarquons que les diplômés bénéficient d'une situation assez favorable sur le marché du travail. Le taux de chômage est très bas (2% à Volgograd, 4 fois inférieur au taux moyen de chômage dans la région ; 3% dans la région de Moscou, la moyenne régional étant de 4,2%). 60 % des diplômés à Volgograd, ainsi que dans la région de Moscou, n'ont jamais été au chômage depuis la fin de leurs études (depuis 2000 - 2001). La durée moyenne du chômage, pour ceux qui ont eu cette expérience, est de 2 mois. 65% des diplômés dans les deux échantillons sont satisfaits de leur emploi actuel. Les revenues des diplômés (après le contrôle de l'inflation) ont pratiquement doublés en 5 ans, entre 2000 (sortie des études) et 2005 (emploi actuel).<br />Dans en deuxième temps, nous nous sommes focalisés sur les compétences avec un zoom sur les deux questions particulières: quelles compétences sont demandées sur le marché du travail et quel rendement salarial apportent-elles aux diplômés. Notre analyse est basée sur l'autoévaluation des compétences par les diplômés.<br />Dans un troisième temps, nous avons examiné le rôle de l'enseignement supérieur dans le développement des compétences requises sur le marché. L'analyse des données montre que l'enseignement supérieur remplie bien sa fonction principale : apprendre les connaissances techniques dans un domaine particulier. En outre, il permet de développer la capacité d'analyse et la capacité d'apprendre rapidement des nouveaux savoirs. Cependant, on observe qu'il n'est pas suffisamment efficace pour aider à développer un certain nombre d'autres compétences requises par les employeurs, comme la capacité de manager le personnel, la maîtrise des outils informatiques (ordinateur, Internet), la maîtrise des langues étrangères, etc.

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