• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 2
  • Tagged with
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
1

Les variations dans les scores de restrictions alimentaires sont-elles reliées à un déficit thermogénique chez les femmes obèses?

Gagnon Sweeney, Marlène 18 July 2018 (has links)
Introduction : Les préoccupations liées au poids corporel sont très répandues chez les femmes, en raison, entre autre, des pressions sociales axées sur la minceur. Restreindre son alimentation est souvent le moyen utilisé afin de tenter d’accéder à cette norme sociale. La restriction alimentaire est définie comme un contrôle conscient de l’apport alimentaire avec une préoccupation à l’égard de son poids et de son corps. Il a été montré que certains individus avaient un métabolisme mesuré sous la valeur prédite. Puisque ce déficit thermogénique pourrait entraver la gestion du poids, cela pourrait favoriser une augmentation des restrictions alimentaires chez les sujets qui désirent contrôler leur poids. Objectif : Déterminer s’il y a une association entre les scores de restrictions alimentaires et le déficit thermogénique. Méthodes : 144 femmes préménopausées en embonpoint ou obèses (IMC moyen ; 30.5 ± 3.0 kg/m2) ont été recrutées. Les femmes se caractérisaient par une préoccupation importante à l’égard de leur poids et restreignaient intentionnellement leurs apports alimentaires. La restriction alimentaire a été mesurée à l’aide du Three-Factor Eating Questionnaire (TFEQ). Le métabolisme de repos (MR) a été mesuré par calorimétrie indirecte et comparé à la valeur prédite (formule d’Harris–Benedict). Résultats : Le MR mesuré était significativement plus bas que le MR prédit (1360± 169 vs. 1521± 101, p≤0.001). Il n’y avait pas de corrélation significative entre le déficit thermogénique moyen (différence entre le MR mesuré et le prédit) et le score de restriction total. Conclusion : Les variations dans le score de restriction alimentaire ne semblent pas être reliées au déficit thermogénique chez les femmes obèses caractérisées par une préoccupation à l’égard de leur poids. / Introduction: The concerns about body weight are very wide-spread in women because of societal pressures about thinness. Dietary restraint is defined as a conscious control of food intake with concerns about shape and weight. Since thermogenic deficit might hamper body weight management, it could promote an increase in dietary restraint in subjects willing to control their body weight. The main objective of this study was therefore to verify whether dietary restraint was associated with a thermogenic deficit. Methods: We thus recruited 144 overweight and obese (BMI = 25-40 kg/m2) premenopausal women characterized by a preoccupation about their weight and eating. Dietary restraint was assessed by the Three-Factor Eating Questionnaire (TFEQ). Resting metabolic rate (RMR) was measured by indirect calorimetry and compared with its predicted value (Harris–Benedict formula). Results: Measured values of RMR were significantly lower than their predicted levels (1360 ± 168.5 kcal/day vs 1521.3 ± 100.9 kcal/day ; P ≤ 0.001).There was no association between scores of dietary restraint and the difference between measured and predicted RMR. In conclusion, variations in dietary restraint do not seem to be related to thermogenic deficit in overweight-obese women expressing concerns about their body weight.
2

Le niveau de stress, mesuré par le cortisol salivaire, et les comportements alimentaires chez des femmes préménopausées présentant un surplus de poids

Dufour Bouchard, Andrée-Ann 12 April 2018 (has links)
Le stress fait partie intégrante du quotidien et est très présent dans notre société moderne. En plus d'avoir des répercussions d'ordre psychologique, le stress peut se traduire physiologiquement par une sécrétion accrue de Cortisol. Or, l'élévation de ce glucocorticoïde de stress a été associée à une augmentation de la graisse viscérale. De plus, le stress semble provoquer un accroissement de l'apport calorique, possiblement en raison de l'adoption de comportements alimentaires non souhaitables tels que la restriction et la désinhibition alimentaire. Les travaux présentés dans ce mémoire avaient donc pour but de vérifier les associations entre le niveau de stress, mesuré par le Cortisol salivaire, et les comportements alimentaires chez des femmes préménopausées présentant un surplus de poids. Les résultats obtenus démontrent que Cortisol est associé à la désinhibition alimentaire alors que la restriction semblerait plutôt moduler cette association.

Page generated in 0.1075 seconds