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Potentiel de récupération de composantes de fermes de toit dans les sciages flacheux produits en scierie : étude de cas

Côté, Nelson 20 April 2018 (has links)
Une meilleure intégration des processus de fabrication du scieur et du fabricant de fermes de toit permettrait une utilisation plus efficiente des matières premières par une diminution de la production de sous-produits de moindre valeur notamment lors des opérations d’éboutage des bois. La scierie fabrique son bois d’œuvre de 2 po d’épaisseur suivant des longueurs standard variant de 6 à 16 pi. Les sciages verts sont généralement éboutés en longueurs paires alors que des longueurs impaires peuvent être générées après séchage et rabotage des bois. Le fabricant de fermes de toit doit, pour sa part, ébouter à nouveau les sciages en composantes suivant des longueurs variables comprises entre 2 po et 16 pi. Certains sciages requièrent un éboutage à la scierie en raison, entre autres, de la présence de flaches excessives. Ces bois devraient constituer un potentiel intéressant pour la production de composantes de longueurs variables entrant dans la fabrication de fermes de toit. Un changement des pratiques d’éboutage pourrait hypothétiquement contribuer à l’amélioration de la valeur des produits de la scierie et à une meilleure utilisation de la matière première tant pour le scieur que pour le fabricant de fermes de toit. L’objectif du projet consiste donc à évaluer le potentiel de récupération de la portion utilisable des sciages flacheux produits en scierie, pour la fabrication ultérieure de composantes de fermes de toit. Nous avons choisi d’étudier les fermes de toit en raison de leur complexité, de la grande variabilité des éléments structuraux qui les composent, comparativement aux murs et aux systèmes de plancher. Les fermes de toit sont également très populaires auprès des constructeurs d’habitations et des fabricants de systèmes de construction. Le carnet de commandes de fermes de toit, correspondant à trois mois de production, comprenait 219 projets de construction. Nous avons répertorié 5 qualités, 7 largeurs et 2 907 longueurs différentes de composantes pour la réalisation des projets de construction de fermes de toit. Les membrures courtes, inférieures à 7 pi de longueur, représentaient à elles seules 42,7% du volume total des composantes requises. Les simulations effectuées nous indiquent un potentiel de gain en volume de sciages de l’ordre 5,4% pour le scieur désirant récupérer des composantes dans des sciages flacheux. Un fabricant de fermes de toit, qui à son tour consomme ces sciages de longueurs hors standard, pourrait potentiellement réaliser des économies de bois de l’ordre de 4,9% du volume annuel consommé. Une meilleure intégration des processus de découpe du scieur et du fabricant de fermes de toit permettrait donc une réduction potentielle des éboutures générées lors de l’usinage des sciages dans les deux filiales industrielles.
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Une relecture de la charpente dans l'architecture résidentielle au Québec, 1650-1850

Guérin, Frédérik 19 December 2018 (has links)
Ce mémoire a pour objet d’étude le rôle de la charpente de toit « à la française » dans l’architecture résidentielle sur le territoire québécois de 1650 à 1850 et ses liens avec l’architecture globale du bâtiment. Domaine plutôt méconnu, la charpente au Québec a longtemps été considérée de façon limitée et anecdotique, et une mise à jour à l’aide des études les plus récentes et de datations plus précises s’impose. Pour ce faire, un corpus de charpentes recensées sur des maisons le long du fleuve Saint-Laurent a été constitué. Afin de mettre en valeur ses développements et sa diversité, nous étudierons le corpus par le biais d’une analyse typologique, qui classe et regroupe les structures selon une hiérarchie de familles, types et variantes. Nous verrons de quelle manière la charpente « à la française » dans le contexte de la colonie canadienne s’inscrit directement dans la lignée de la charpente de la moitié nord de la France, une tradition qui repose en grande partie sur les innovations formelles et structurales développées dans l’architecture religieuse médiévale. En même temps, cette charpente, qui entre dans une phase de maturité à l’Époque moderne, fait l’objet de plusieurs adaptations, notamment dues à une végétation différente et à quelques pratiques régionales minoritaires en France, mais très présentes dans la colonie. Finalement, en plus d’étudier la charpente dans sa forme, nous chercherons aussi à voir son impact dans la structure et dans la distribution de la maison, à commencer par l’espace habitable qu’elle dégage dans le comble.

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