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Perturbations métaboliques chez trois insectes au cours de bacilloses, viroses ou microsporidioses

Valero, José R. 16 February 2019 (has links)
Une exploration métabolique détaillée a été entreprise chez trois insectes sains ou subissant divers types de maladies soit des infections par Bacillus thuringiensis 3a3b, par polyédrie nucléaire (Baculovirus) ou par microsporidies (Protozoaires). Les Invertébrés expérimentés étaient trois insectes forestiers dévastateurs soit la tordeuse des bourgeons de l’épinette, Choristoneura fumiferana C. (Lepidoptera : Tortricidae), la Livrée des forêts, Malacosoma disstria H. (Lepidoptera : Lasiocampidae) et le Diprion de swaine, Neodiprion swainei M. (Hymenoptera : Diprionidae). Cette étude avait pour but de déterminer les possibilités qu'offre la Biochimie clinique, d'une part pour comprendre les perturbations métaboliques que les micro-organismes examinés causent chez leurs hôtes et donc le mode d'action de ces entomopathogènes chez les insectes susceptibles, d'autre part pour définir les limites dans lesquelles se situent les constantes biologiques chez les trois insectes sains ou subissant les pathologies expérimentées. De plus, pour comparaison cette étude a été aussi réalisée chez ces insectes en inanition totale. Cette exploration biochimique a donc été accomplie sur l'hémolymphe et sur l'organisme entier des larves des insectes en question et ce, à l'aide des micro-méthodes couramment employées en chimie clinique. Ces, analyses ont porté principalement sur la composition ionique de l'hémolymphe, sur la teneur en réserves énergétiques (protéinestotales, lipides) et en différents métabolites (glucose, glycérol, azot euréique) ainsi que sur les activités de divers enzymes dans l'hémolymphe. Il a été ainsi constaté que chaque type de stress ou infection provoque des altérations métaboliques spécifiques chez l'hôte… / Montréal Trigonix inc. 2018
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Le concept de rendement soutenu en foresterie dans un contexte nord-américain

Bouthillier, Luc 31 July 2023 (has links)
Le discours sur le développement durable appelle une réinterprétation de l'idée de rendement soutenu en foresterie. Concept élaboré de longue date pour encadrer la gestion des forêts, le rendement soutenu formalise ce que "devrait être" une forêt humanisée. Il précise un processus décisionnel. Il procède donc d'une démarche politique. Mais, la manière dont les gestionnaires font intervenir le rendement soutenu dans les décisions d'aménagement de la forêt peut être plus ou moins sensible à la dynamique sociale. C'est ce que nous questionnons au moment où une foule d'analystes dissertent sur la façon de conjuguer économie et environnement. Traditionnellement, le concept de rendement soutenu autorise une récolte périodique de matière ligneuse qui est constante et s'aligne sur la croissance autonome de la forêt. Cependant, le progrès technologique et l'essor d'une économie d'échange relativisent l'importance d'obtenir d'un espace donné une production régulière de bois. La préoccupation de l'aménagiste forestier doit ainsi se porter sur la pérennité du couvert forestier. Ce faisant, le concept de rendement soutenu devient une ligne de force pour guider l'adaptation de la forêt aux besoins de la société sans diminuer les possibilités de celle-ci à satisfaire les attentes des générations futures. Afin de comprendre le changement dans la signification et la portée du concept de rendement soutenu, nous avons développé un modèle d'analyse socio-politique. Appliqué à l'étude de l'histoire de la gestion des forêts publiques des Etats-Unis et du Québec, il laisse voir que ce concept se prête à cinq interprétations différentes selon l'état de l'économie et les valeurs éthiques de la société. De plus, nous observons que l'hypothèse de la rareté engendre une cohérence entre ces interprétations. Cette hypothèse permet de faire un lien entre l'analyse économique et l'éco-viabilité des forêts dans la mesure où le domaine public est considéré comme une infrastructure et que la rareté économique prime sur la rareté physique dans l'interprétation du concept de rendement soutenu. L'hypothèse de rareté montre également comment le concept de rendement soutenu peut déborder la gestion des inventaires de matière ligneuse au profit d'objectifs plus globaux. Elle laisse voir que l'aménagement forestier est un outil de répartition de la richesse forestière autant que de perpétuation du capital forestier. Ainsi, le concept de rendement soutenu équivaut à une philosophie d'aménagement forestier permettant à des groupes sociaux une adaptation ordonnée face aux changements biologiques et économiques qui affectent la forêt.
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Co-existence of Atikamekw and industrial forestry paradigms : occupation and management of forestlands in the St-Maurice river basin, Québec

Wyatt, Stephen 11 April 2018 (has links)
Les territoires forestiers canadiens sont d’une grande importance pour l’industrie forestière, l’économie nationale et les Premières Nations, leurs occupants traditionnels. Au cours des vingt-cinq dernières années, les Premières Nations ont pris une part grandissante à la gestion forestière par le biais des partenariats, des batailles juridiques et des ententes négociées. L’affirmation des droits aborigènes est une tendance mondiale, entraînant des avantages et des défis pour les gouvernements et l’industrie. Suivant cette tendance, les Atikamekw du Québec créent des liens avec les compagnies forestières et planifient un partenariat pour construire une scierie. Cependant, l’industrie et les peuples indigènes comprennent et utilisent certainement de façon différente les forêts. Cette étude de cas explore les paradigmes forestiers propres aux Atikamekw et à l’industrie forestière : leurs systèmes de valeurs, de connaissances et de pratiques qui dirigent leur compréhension et leur utilisation des territoires forestiers. Des méthodes de recherche en sciences sociales ont été utilisées pour cinq sous-études complémentaires : le développement historique de l’utilisation et de la gestion du territoire; la collaboration industrie – Atikamekw; l’occupation contemporaine Atikamekw du territoire; les processus de consultation entre les groupes; et les entrevues avec des membres de chaque groupe. Je propose un cadre analytique afin de décrire chaque paradigme, d’examiner les différences entre les groupes, et de considérer des pistes de rapprochement. Le paradigme industriel et le régime forestier québécois sont fondés sur l’aménagement scientifique de la forêt, principalement pour la production soutenue de matière ligneuse. Par contre, les Atikamekw sont engagés avec notcimik, leur territoire, lié avec leurs connaissances, leurs valeurs et tipahiskan, leur propre système de gestion. Les projets telle que la scierie peuvent répondre aux intérêts spécifiques de chaque groupe. Cependant, le régime forestier restreint la participation Atikamekw ainsi que la capacité des industriels à modifier leurs pratiques. La reconnaissance de différents paradigmes n’exige pas qu’un groupe adopte les croyances de l’autre, ni que les groupes s’entendent sur une seule représentation. Néanmoins, la coexistence souligne le besoin de développer des pratiques et des systèmes de gestion novateurs qui pourraient répondre aux valeurs, aux connaissances et aux compréhensions des différents groupes. / Canada’s forestlands are of great importance for the forest industry, the national economy, and for First Nations, the traditional occupants of these lands. During the last twenty-five years, First Nations have become increasingly involved in forestland management through business ventures, legal proceedings and negotiated agreements. This is an international trend as indigenous peoples assert customary rights to forestlands, and as governments and industry recognize potential benefits of collaboration. Within this trend, the Atikamekw of central Québec are building closer links with forestry companies and planning a joint venture to construct a sawmill. But forest industries and indigenous peoples may have quite different ways of understanding and using forestlands. This case study explores the different forestry paradigms held by the Atikamekw and the forest industry; their systems of values, knowledge and techniques that direct their understanding and use of forestlands. Research techniques from the social sciences were used for five complementary sub-studies: the historical development of forestlands use and management; recent Atikamekw-industry collaboration in forestry; contemporary occupation of forestlands by the Atikamekw; consultation processes between industry and Atikamekw; and interviews with members of each group. I propose an analytical framework to describe each paradigm, examine the differences between the groups, and consider ways of bridging these differences. The forest industry paradigm and Québec’s forestry regime are based on the scientific management of forests, primarily to provide sustainable supplies of wood fibre. In contrast, Atikamekw are engaged with notcimik, forestlands, through their knowledge, values and tipahiskan, their traditional approach to management. Projects such as the sawmill joint venture can respond to particular interests of both groups. However, the forestry regime constrains both Atikamekw participation in management of forestlands and industry capacity to adjust practices to Atikamekw interests. Recognizing different paradigms does not require that one group accepts the beliefs of the other, or that they develop a single common understanding. Rather coexistence emphasizes the need to develop innovative practices and management systems that can respond to values, knowledge and understandings of different groups.
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La participation publique et la gestion des forêts au Québec : changement de gouvernance, impacts des pratiques et profil des participants

Martineau-Delisle, Catherine 19 April 2018 (has links)
Le secteur forestier canadien a connu des transformations majeures dans les dernières décennies. Des pratiques nouvelles ont émergé, comme c’est notamment le cas des processus de participation publique (PP). Ces pratiques sont maintenant une donne incontournable à toutes les échelles décisionnelles et pour tous les acteurs du secteur. L’importance croissante de la PP est dite illustrer un changement de gouvernance en forêt. Plusieurs avantages sont aussi attribués à la PP : les processus de PP amélioreraient la qualité des décisions, intégreraient une diversité de valeurs sociales aux décisions et augmenteraient la confiance envers les autorités publiques par exemple. Malgré l’intérêt croissant pour la PP, plusieurs zones grises dans les connaissances demeurent. Dans quelle mesure les processus de PP reflètent-ils un changement de gouvernance? Quels en sont les impacts « réels »? Permettent-ils l’intégration d’une diversité de participants, comme on le prétend généralement? Notre recherche vise à répondre à ces questions en se servant de l’exemple du secteur forestier québécois. D’abord, basé sur l’analyse de 693 processus de PP répartis sur une période de plus de trois décennies, un portrait d’ensemble de l’évolution des processus de PP dans le secteur forestier québécois est offert. Si les résultats ne permettent pas de conclure qu’un changement de gouvernance profond s’est produit, ils indiquent néanmoins que la PP contribue à certaines modifications clés dans la gestion des forêts. Deuxièmement, basée sur la perspective de cent trente-sept individus ayant été impliqués dans des processus participatifs, la recherche identifie dix types d’impacts potentiels associés à la PP et illustre l’importance que leur attribuent les répondants. Elle révèle également certains défis importants liés à la matérialisation de ces impacts dans la réalité. Enfin, un des impacts de la PP est mesuré empiriquement par une analyse des listes de participants à 27 consultations publiques. Les résultats révèlent que, même si la PP ouvre le processus décisionnel à une plus grande diversité d’acteurs, certains d’entre eux tendent à être favorisés aux dépens d’autres groupes. Dans l’ensemble, les considérations soulevées par les résultats de la recherche permettent plusieurs recommandations importantes en lien avec la pratique et l’étude de la PP. / The Canadian forest sector has gone through major transformations in the last decades. As a result, new practices have emerged among which public participation (PP) processes are particularly important. These are today a given in the sector, at every decisional level and for all actors. The growing importance of PP is said to reflect a major governance change in the management of forests. It is also seen as a practice which has many benefits: PP processes would improve the quality of decisions, ensure that a diversity of social values is considered, and increase trust in public authorities, for example. Despite the growing interest in PP, many knowledge gaps remain. To what point do PP processes reflect a governance change? What are their “real” impacts? Do they allow for the integration of a diversity of participants, as usually postulated? Our research aims to answer these questions based on the example of Québec forest sector. Firstly, based on an analysis of 693 cases of PP which happened over a period of more than three decades, the study provides with a high-level portrait of the evolution of PP processes in Québec forest sector. While the results prevent us from concluding that a real governance shift has happened, they clearly indicate that PP practices contribute to some key modifications in the conduct of forest management. Secondly, based on the perspective of 137 individuals having been involved in forest-related PP processes, the study identifies ten types of potential impacts of PP mechanisms as well as their significance from the point of view of the respondents. It also reveals key challenges related to the achievement of these impacts. Finally, one of the impacts of PP is measured empirically. To that end, the lists of participants to 27 public hearings were analyzed. The results reveal that, while PP opens decision-making to a wider range of participants, some forest actors tend to be favoured to the detriment of others. Overall, the key considerations raised by the study’s results allow important recommendations with regards to future PP practices and studies.
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La participation des Premières nations à la gestion des forêts québécoises : l'exemple du Comité scientifique et d'aménagement de la Forêt Montmorency

Blanchet, Édouard-Julien 23 April 2018 (has links)
Tableau d’honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2015-2016 / Le présent mémoire traite de la participation des Premières nations à un processus de participation multi-acteurs dans le milieu forestier québécois. Il s’intéressera plus particulièrement au rôle joué par l’organisation sociale informelle, c’est-à-dire la pensée institutionnelle et les positions institutionnelles, sur la participation d’un acteur au sein d’un processus de participation publique. En s’appuyant sur une perspective interactionniste, cette recherche postule que l’action d’un acteur au sein d’un processus de participation publique ne peut être comprise qu’en étant resituée dans son contexte, dont l’organisation sociale informelle est constituante. Cette analyse des différentes dynamiques liées à la participation publique repose sur une étude de cas ethnographique, c’est-à-dire la participation de la Nation huronne-wendat au Comité scientifique et d’aménagement de la Forêt Montmorency. Forêt d’enseignement et de recherche de l’Université Laval, la Forêt Montmorency revêt également un caractère exemplaire au Québec puisqu’elle désire être un modèle pour la gestion du territoire forestier québécois. Il s’agissait donc d’un choix de terrain tout indiqué dans le cadre de cette recherche. Mots clefs : participation publique, Premières nations, analyse des positions institutionnelles, Forêt Montmorency, étude de cas ethnographique. / First Nations' Participation in the Management of Quebec's Forests: The Case of the Scientific and Planning Committee of the Forêt Montmorency. This study analyzes the participation of First Nations in a multi-stakeholder participation process in Quebec's public forest. In particular, it addresses the role played by informal social organization, that is to say, institutional thinking and institutional positions, on an actor's involvement in a public participation process. Drawing upon the interactionist approach, this study postulates that an actor's actions in a public participation process cannot be fully understood without reference to the contextual dynamics of an informal social organisation. This analysis of different dynamics related to public participation is based on an ethnographic case study: the Huron-Wendat Nation's participation in the Scientific and Planning Committee of the Forêt Montmorency. This study will therefore analyse the various components of informal social organizations, such as reciprocity, interdependence and inter-actor confidence, and the role that they can play in a flexible institutional framework process. Keywords: Public participation, First Nations, positional analysis, Forêt Montmorency, ethnographic case study.
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Ajout de quatre mesures d'harmonisation à la coupe jardinatoire conventionnelle : une analyse bénéfices-coûts pour la MRC des Laurentides

Brunet, Jean-Philippe 12 April 2018 (has links)
En décembre 2002, le ministère des Ressources naturelles de la Faune et des Parcs (MRNFP) a signé une convention de gestion territoriale avec la municipalité régionale de comté (MRC) des Laurentides, lui déléguant les responsabilités de la gestion et de l'aménagement forestier des terres publiques intramunicipales (TPI) se trouvant sur son territoire. Ces TPI, d'une superficie boisée totale de 6 000 hectares, se composent à 80% de forêts feuillues et mixtes à dominance feuillue. Depuis, la MRC peut profiter des ressources forestières et récréotouristiques qu'offrent ces forêts pour stimuler son économie régionale. Ses choix de mise en valeur et de développement du territoire doivent être en conformité avec les préoccupations locales et respecter les principes du développement durable. La MRC propose donc d'ajouter quatre mesures d'harmonisation à la coupe jardinatoire conventionnelle. Ces mesures interviennent aux niveaux de la planification et de la réalisation des opérations forestières. Cette étude a pour but de déterminer la variation des avantages et des coûts pour la MRC des Laurentides suite à l'adoption de la coupe jardinatoire bonifiée plutôt que la coupe jardinatoire conventionnelle. Suivant la démarche de l'analyse bénéfices-coûts, trois aspects susceptibles de varier suite au choix de la coupe ont été évalués: le budget forestier annuel de la MRC, l'état de l'environnement forestier résiduel (EFR) et l'appréciation de l'EFR par les utilisateurs du territoire un an après coupe. Plusieurs méthodes ont été utilisées afin de quantifier ces aspects, soit : le chronométrage en continu et l'évaluation de coûts opérationnels, les inventaires dendrométriques et en dernier lieu, une analyse qualitative lors d'un parcours standardisé en forêt. Pour la coupe ayant fait l'objet d'une étude de cas, les résultats montrent que l'ajout des quatre mesures d'harmonisation, tel que proposé par la MRC, permet d'atteindre les objectifs d'aménagement du territoire visés mais occasionne une variation à la hausse du budget forestier annuel de la MRC de l'ordre de 11%. Par ailleurs, nous constatons qu'il y aurait possibilité d'éliminer une de ces mesures tout en maintenant l'avantage du respect des objectifs d'aménagement du territoire, et en minimisant l'augmentation du budget forestier annuel de la MRC. / In 2002, Québec Ministry of Forests, Wildlife and Parks signed a delegation of public land management with the regional county municipality (RCM) of the Laurentides, transferring to them the responsibility of managing the intermunicipal public lands (IPL) within their territory. Since then, the RCM can benefit from the incomes that can be generated by both the forestry and the recreational sectors within the IPL under its jurisdiction. In order to maximise the revenues from both sectors, the RCM suggested adding four harmonization measures to the standard selective logging practices. These four measures concern the planning and the forest operations. The aim of this study is to evaluate the variation of the costs and the benefits of these measures, from the RCM point of view.
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L'enrichissement en épinette blanche à la forêt Montmorency, un traitement sylvicole intensif de restauration écosystémique dans la sapinière à bouleau blanc de l'est

St-Hilaire, Greg 17 April 2018 (has links)
L'aménagement écosystémique représente de nouveaux défis pour la sylviculture. L'enrichissement en épinette blanche, effectué à la Forêt Montmorency, forêt d'enseignement et de recherche de l'Université Laval, est un traitement qui allie des objectifs de restauration écosystémique et d'augmentation de la production ligneuse. Un suivi à moyen terme (9-13 ans) souligne le potentiel du traitement à répondre aux deux objectifs, en dépit de certains défis. L'établissement de l'épinette blanche semble réussi, mais sa place dans le peuplement mature n'est pas assurée. Les deux tiers sont supprimés et le sapin baumier croît plus rapidement. Des problèmes d'enfeuillement sont aussi observés. L'évaluation de ce traitement a montré le besoin d'un outil pour évaluer le caractère naturel des peuplements aménagés. Cette étude s'accompagne donc d'une réflexion sur le concept du gradient de naturalité. Cet outil propose cinq classes de naturalité qui correspondent à un gradient d'altération des attributs clés d'habitats des peuplements forestiers traités.
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Le cadre écologique en aménagement forestier : applications du peuplement à la forêt

Harvey, Brian David. 06 April 2024 (has links)
À une échelle régionale, le cadre écologique forestier (CEF) met en évidence des relations entre la physiographie, la géomorphologie, les sols, la composition et la dynamique végétale. Cette thèse traite trois aspects distincts du cadre écologique. Dans un premier temps, vingt-six aires de coupe ont été inventoriées afin d'évaluer les correspondances entre le type écologique, la composition et la dynamique végétales 1 à 8 ans après récolte forestière. Les analyses ont permis de caractériser la dynamique pour neuf types écologiques et d'établir les rapports entre ces derniers et 11 groupes phytosociologiques déterminés à partir des analyses d'espèces indicatrices. Dans un deuxième temps, une classification écologique régionale pour le sud de l'Abitibi a été élaborée à partir de trois classifications écologiques sous-régionales. Des analyses de groupement des types écologiques des trois classifications ont été réalisées en utilisant des interprétations forestières développées a priori pour chaque type. Finalement, une étude de cas de la Forêt d'enseignement et de recherche du lac Duparquet présente une approche d'intégration du cadre écologique forestier et des connaissances du régime naturel de perturbations dans l'établissement d'objectifs forestiers et la mise en œuvre d'un plan général d'aménagement forestier écosystémique.

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