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Grounded language learning models for ambiguous supervisionKim, Joo Hyun, active 2013 30 January 2014 (has links)
Communicating with natural language interfaces is a long-standing, ultimate goal for artificial intelligence (AI) agents to pursue, eventually. One core issue toward this goal is "grounded" language learning, a process of learning the semantics of natural language with respect to relevant perceptual inputs. In order to ground the meanings of language in a real world situation, computational systems are trained with data in the form of natural language sentences paired with relevant but ambiguous perceptual contexts. With such ambiguous supervision, it is required to resolve the ambiguity between a natural language (NL) sentence and a corresponding set of possible logical meaning representations (MR).
In this thesis, we focus on devising effective models for simultaneously disambiguating such supervision and learning the underlying semantics of language to map NL sentences into proper logical MRs. We present probabilistic generative models for learning such correspondences along with a reranking model to improve the performance further.
First, we present a probabilistic generative model that learns the mappings from NL sentences into logical forms where the true meaning of each NL sentence is one of a handful of candidate logical MRs. It simultaneously disambiguates the meaning of each sentence in the training data and learns to probabilistically map an NL sentence to its corresponding MR form depicted in a single tree structure. We perform evaluations on the RoboCup sportscasting corpus, proving that our model is more effective than those proposed by previous researchers.
Next, we describe two PCFG induction models for grounded language learning that extend the previous grounded language learning model of Börschinger, Jones, and Johnson (2011). Börschinger et al.’s approach works well in situations of limited ambiguity, such as in the sportscasting task. However, it does not scale well to highly ambiguous situations when there are large sets of potential meaning possibilities for each sentence, such as in the navigation instruction following task first studied by Chen and Mooney (2011). The two models we present overcome such limitations by employing a learned semantic lexicon as a basic correspondence unit between NL and MR for PCFG rule generation.
Finally, we present a method of adapting discriminative reranking to grounded language learning in order to improve the performance of our proposed generative models. Although such generative models are easy to implement and are intuitive, it is not always the case that generative models perform best, since they are maximizing the joint probability of data and model, rather than directly maximizing conditional probability. Because we do not have gold-standard references for training a secondary conditional reranker, we incorporate weak supervision of evaluations against the perceptual world during the process of improving model performance.
All these approaches are evaluated on the two publicly available domains that have been actively used in many other grounded language learning studies. Our methods demonstrate consistently improved performance over those of previous studies in the domains with different languages; this proves that our methods are language-independent and can be generally applied to other grounded learning problems as well. Further possible applications of the presented approaches include summarized machine translation tasks and learning from real perception data assisted by computer vision and robotics. / text
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Deep learning and reinforcement learning methods for grounded goal-oriented dialoguede Vries, Harm 03 1900 (has links)
Les systèmes de dialogues sont à même de révolutionner l'interaction entre l'homme et la machine. Pour autant, les efforts pour concevoir des agents conversationnels se sont souvent révélés infructueux, et ceux, malgré les dernières avancées en apprentissage profond et par renforcement. Les systèmes de dialogue palissent de devoir opérer sur de nombreux domaines d'application mais pour lesquels aucune mesure d'évaluation claire n'a été définie. Aussi, cette thèse s'attache à étudier les dialogues débouchant sur un objectif clair (goal-oriented dialogue) permettant de guider l'entrainement, et ceci, dans des environnements multimodaux. Plusieurs raisons expliquent ce choix : (i) cela contraint le périmètre de la conversation, (ii) cela introduit une méthode d'évaluation claire, (iii) enfin, l'aspect multimodal enrichie la représentation linguistique en reliant l'apprentissage du langage avec des expériences sensorielles. En particulier, nous avons développé GuessWhat?! (Qu-est-ce donc?!), un jeu imagé coopératif où deux joueurs tentent de retrouver un objet en posant une série de questions. Afin d’apprendre aux agents de répondre aux questions sur les images, nous avons développés une méthode dites de normalisation conditionnée des données (Conditional Batch Nornalization). Ainsi, cette méthode permet d'adapter simplement mais efficacement des noyaux de convolutions visuels en fonction de la question en cours. Enfin, nous avons étudié les tâches de navigation guidée par dialogue, et introduit la tâche Talk the Walk (Raconte-moi le Chemin) à cet effet. Dans ce jeu, deux agents, un touriste et un guide, s'accordent afin d'aider le touriste à traverser une reconstruction virtuelle des rues de New-York et atteindre une position prédéfinie. / While dialogue systems have the potential to fundamentally change human-machine interaction, developing general chatbots with deep learning and reinforce-ment learning techniques has proven difficult. One challenging aspect is that these systems are expected to operate in broad application domains for which there is not a clear measure of evaluation. This thesis investigates goal-oriented dialogue tasks in multi-modal environments because it (i) constrains the scope of the conversa-tion, (ii) comes with a better-defined objective, and (iii) enables enriching language representations by grounding them to perceptual experiences. More specifically, we develop GuessWhat, an image-based guessing game in which two agents cooper-ate to locate an unknown object through asking a sequence of questions. For the subtask of visual question answering, we propose Conditional Batch Normalization layers as a simple but effective conditioning method that adapts the convolutional activations to the specific question at hand. Finally, we investigate the difficulty of dialogue-based navigation by introducing Talk The Walk, a new task where two agents (a “tourist” and a “guide”) collaborate to have the tourist navigate to target locations in the virtual streets of New York City.
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On sample efficiency and systematic generalization of grounded language understanding with deep learningBahdanau, Dzmitry 01 1900 (has links)
En utilisant la méthodologie de l'apprentissage profond qui préconise de s'appuyer davantage sur des données et des modèles neuronaux flexibles plutôt que sur les connaissances de l'expert dans le domaine, la communauté de recherche a récemment réalisé des progrès remarquables dans la compréhension et la génération du langue naturel.
Néanmoins, il reste difficile de savoir si une simple extension des méthodes d'apprentissage profond existantes sera suffisante pour atteindre l'objectif d'utiliser le langage naturel pour l'interaction homme-machine. Nous nous concentrons sur deux aspects connexes dans lesquels les méthodes actuelles semblent nécessiter des améliorations majeures. Le premier de ces aspects est l'inefficacité statistique des systèmes d'apprentissage profond: ils sont connus pour nécessiter de grandes quantités de données pour bien fonctionner. Le deuxième aspect est leur capacité limitée à généraliser systématiquement, à savoir à comprendre le langage dans des situations où la distribution des données change mais les principes de syntaxe et de sémantique restent les mêmes.
Dans cette thèse, nous présentons quatre études de cas dans lesquelles nous cherchons à apporter plus de clarté concernant l'efficacité statistique susmentionnée et les aspects de généralisation systématique des approches d'apprentissage profond de la compréhension des langues, ainsi qu'à faciliter la poursuite des travaux sur ces sujets. Afin de séparer le problème de la représentation des connaissances du monde réel du problème de l'apprentissage d'une langue,
nous menons toutes ces études en utilisant des langages synthétiques ancrés dans des environnements visuels simples.
Dans le premier article, nous étudions comment former les agents à suivre des instructions compositionnelles dans des environnements avec une forme de supervision restreinte. À savoir pour chaque instruction et configuration initiale de l'environnement, nous ne fournissons qu'un état cible au lieu d'une trajectoire complète avec des actions à toutes les étapes. Nous adaptons les méthodes d'apprentissage adversariel par imitation à ce paramètre et démontrons qu'une telle forme restreinte de données est suffisante pour apprendre les significations compositionelles des instructions.
Notre deuxième article se concentre également sur des agents qui apprennent à exécuter des instructions. Nous développons la plateforme BabyAI pour faciliter des études plus approfondies et plus rigoureuses de ce cadre d'apprentissage. La plateforme fournit une langue BabyAI compositionnelle avec $10 ^ {19}$ instructions, dont la sémantique est précisément définie dans un environnement partiellement observable. Nous rapportons des résultats de référence sur la quantité de supervision nécessaire pour enseigner à l'agent certains sous-ensembles de la langue BabyAI avec différentes méthodes de formation, telles que l'apprentissage par renforcement et l'apprentissage par imitation.
Dans le troisième article, nous étudions la généralisation systématique des modèles de réponse visuelle aux questions (VQA). Dans le scénario VQA, le système doit répondre aux questions compositionelles sur les images. Nous construisons un ensemble de données de questions spatiales sur les paires d'objets et évaluons la performance des différents modèles sur les questions concernant les paires d'objets qui ne se sont jamais produites dans la même question dans la distribution d'entraînement. Nous montrons que les modèles dans lesquels les significations des mots sont représentés par des modules séparés qui effectuent des calculs indépendants généralisent beaucoup mieux que les modèles dont la conception n'est pas explicitement modulaire. Cependant, les modèles modulaires ne généralisent bien que lorsque les modules sont connectés dans une disposition appropriée, et nos expériences mettent en évidence les défis de l'apprentissage de la disposition par un apprentissage de bout en bout sur la distribution d'entraînement. Dans notre quatrième et dernier article, nous étudions également la généralisation des modèles VQA à des questions en dehors de la distribution d'entraînement, mais cette fois en utilisant le jeu de données CLEVR, utilisé pour les questions complexes sur des scènes rendues en 3D. Nous générons de nouvelles questions de type CLEVR en utilisant des références basées sur la similitude (par exemple `` la balle qui a la même couleur que ... '') dans des contextes qui se produisent dans les questions CLEVR mais uniquement avec des références basées sur la localisation (par exemple `` le balle qui est à gauche de ... ''). Nous analysons la généralisation avec zéro ou quelques exemples de CLOSURE après un entraînement sur CLEVR pour un certain nombre de modèles existants ainsi qu'un nouveau modèle. / By using the methodology of deep learning that advocates relying more on data and flexible neural models rather than on the expert's knowledge of the domain, the research community has recently achieved remarkable progress in natural language understanding and generation.
Nevertheless, it remains unclear whether simply scaling up existing deep learning methods will be sufficient to achieve the goal of using natural language for human-computer interaction. We focus on two related aspects in which current methods appear to require major improvements. The first such aspect is the data inefficiency of deep learning systems: they are known to require extreme amounts of data to perform well. The second aspect is their limited ability to generalize systematically, namely to understand language in situations when the data distribution changes yet the principles of syntax and semantics remain the same.
In this thesis, we present four case studies in which we seek to provide more clarity regarding the aforementioned data efficiency and systematic generalization aspects of deep learning approaches to language understanding, as well as to facilitate further work on these topics. In order to separate the problem of representing open-ended real-world knowledge from the problem of core language learning,
we conduct all these studies using synthetic languages that are grounded in simple visual environments.
In the first article, we study how to train agents to follow compositional instructions in environments with a restricted form of supervision. Namely for every instruction and initial environment configuration we only provide a goal-state instead of a complete trajectory with actions at all steps. We adapt adversarial imitation learning methods to this setting and demonstrate that such a restricted form of data is sufficient to learn compositional meanings of the instructions.
Our second article also focuses on instruction following. We develop the BabyAI platform to facilitate further, more extensive and rigorous studies of this setup. The platform features a compositional Baby language with $10^{19}$ instructions, whose semantics is precisely defined in a partially-observable gridworld environment. We report baseline results on how much supervision is required to teach the agent certain subsets of Baby language with different training methods, such as reinforcement learning and imitation learning.
In the third article we study systematic generalization of visual question answering (VQA) models. In the VQA setting the system must answer compositional questions about images. We construct a dataset of spatial questions about object pairs and evaluate how well different models perform on questions about pairs of objects that never occured in the same question in the training distribution. We show that models in which word meanings are represented by separate modules that perform independent computation generalize much better than models whose design is not explicitly modular. The modular models, however, generalize well only when the modules are connected in an appropriate layout, and our experiments highlight the challenges of learning the layout by end-to-end learning on the training distribution. In our fourth and final article we also study generalization of VQA models to questions outside of the training distribution, but this time using the popular CLEVR dataset of complex questions about 3D-rendered scenes as the platform. We generate novel CLEVR-like questions by using similarity-based references (e.g. ``the ball that has the same color as ...'') in contexts that occur in CLEVR questions but only with location-based references (e.g. ``the ball that is to the left of ...''). We analyze zero- and few- shot generalization to CLOSURE after training on CLEVR for a number of existing models as well as a novel one.
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