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Détermination de la masse du boson W dans le canal hadronique dans l'expérience DELPHIZoller, Philippe 23 April 2001 (has links) (PDF)
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Etude des chambres gazeuses à micropistes (MSGC)Mack, Valérie 27 October 1997 (has links) (PDF)
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Mesures du melange effectif et des asymetries des quarks b et c dans les desintegrations semileptoniques en electrons et en muonsDurand, J.-D. 07 October 1996 (has links) (PDF)
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Mesure de la masse du boson W dans la désintégration à quatre quarks dans l'expérience DELPHI au LEPDuperrin, A. 20 April 1999 (has links) (PDF)
L'entraînement est arrêté lorsque la valeur de $E_c$ converge. En général, cette valeur se stabilise très rapidement au bout de 100 cycles environ. En revanche, la valeur des liens $\omega_{jk}$ ne semble pas converger même si parfois leur vitesse d'évolution diminue. Comme le minimum de $E_c$ est atteint très rapidement mais que les poids évoluent également très rapidement, nous avons préféré poursuivre l'entraînement au-delà de 100 cycles. Tous les 50 cycles, jusqu'à 800 cycles en moyenne, soit l'efficacité et la pureté, soit la résolution sur masse du W sont calculées selon qu'on cherche à sélectionner les W ou à attribuer les jets. On constate que ces valeurs convergent également très vite mais que seule la forme des distributions évolue. Par exemple, pour la sélection des événements, les valeurs de sortie du réseau de neutrons représentées dans les figures 3.12 et 3.13 du chapitre 3 sont repoussées vers les extrêmes : les événements de bruit de fond vers 0 et les événements WW $\to q\bar{q}q\bar{q}$ vers 1. L'efficacité et la pureté, en revanche, n'évoluent pratiquement plus. Si on entraîne le réseau de neurones très longtemps (2000 cycles par exemple !) on observe alors que les données sont en moins bon accord avec la simulation car, dans ce cas, le réseau de neutrones apprend les fluctuations statistiques de l'échantillon Monte-Carlo d'entraînement. On le constate aussi en comparant $E_c^e$ calculé - par l'équation (8.1) - avec les fichiers d'exemples et $E_c^t$ calculé avec les fichiers constitués d'événéments n'ayant pas servi à l'entraînement. Dans ce dernier cas, $E_c^t$ s'éloigne de $S_c^e$ (il faut toutefois attendre un très grand nombre de cycles). Aucun critère claire pour arrêter l'entra$inement n'a été mise en évidence. La règle qui consiste à continuer "quelque temps" après que $E_c$ ait atteint son minimum semble donner de bons résultats. Ces arguments sont qualitatifs et peuvent fortement dépendre du type de problème abordé.
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Mesure des sections efficaces de production de paires quark-antiquark et de paires W+W- dans l'expérience Delphi à Lep2Gelé, Denis 19 March 2002 (has links) (PDF)
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Etude des désintégrations K$_{L, S} -> $\pi+\pi-$e+e- auprès de l'expérience NA48 du CERNCogan, Julien 14 December 2001 (has links) (PDF)
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Etude des désintégrations de mésons beaux avec photons convertis dans l'expérience LHCbBeneyton, Richard 27 January 2005 (has links) (PDF)
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Etude de détecteurs gazeux à micropistes pour le trajectographe de CMS et mesure de la masse du boson W dans l'expérience DELPHIRipp-Baudot, Isabelle 03 June 2004 (has links) (PDF)
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Recherche des bosons de Higgs chargés à LEP2 Avec le détecteur DelphiSilvestre, Rémi 19 September 1997 (has links) (PDF)
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Mesures des sections efficaces et des asymétries difermioniques avec le détecteur Aleph à LEP2 - Interprétations au-delà du Modèle StandardMERLE, Elsa 22 April 1999 (has links) (PDF)
Alors que la première phase du collisionneur LEP a permis d'étudier le <br />secteur électrofaible à la masse du boson Z avec une très grande <br />précision, la seconde phase de LEP s'est déroulée à des énergies <br />dans le centre de masse de 130 à 189 GeV à l'heure actuelle.<br />Ces énergies atteintes à LEP2 permettent de tester précisement le <br />Modèle Standard sur une large échelle en énergie, au-delà du pic du <br />boson Z. Dans ce cadre, le travail effectué dans cette thèse concerne <br />l'étude des processus e+e- -> ff à partir des données enregistrées par <br />le détecteur Aleph de 1995 à 1998, avec une luminosité intégrée de 500pb-1.<br /><br />Les sélections des productions de paires de muons, de taus et d'électrons, <br />ainsi que des événements hadroniques, sont développées dans ce <br />mémoire. Les incertitudes systématique sont étudiées en détail et <br />sont à présent du même ordre de grandeur que les erreurs statistiques, <br />soit entre 0.6% pour les di-électrons et 3.5% pour les dimuons.<br />Les mesures des sections efficaces di-fermioniques et des asymétries <br />di-leptoniques dérivées de ces sélections sont en bon accord avec les <br />prédictions du Modèle Standard ; cependant les prédictions restent la <br />source principale d'incertitudes, en particulier en ce qui concerne les <br />contributions des ordres supérieurs.<br /><br />Ces sections efficaces et asymétries sont sensibles à l'interférence <br />avec de possibles nouveaux canaux, par exemple à l'existence de <br />nouvelle physique intervenant à des énergies supérieures à celles <br />étudiées. Aucune déviation significative n'étant vue entre les <br />mesures di-fermioniques avec les prédictions, des limites indirectes sur <br />ces phénomènes au-delà du Modèle Standard sont obtenues. Dans le <br />cadre des termes de contact à quatre fermions, des limites inférieures de <br />7 à 15 TeV ont été mises sur les échelles en énergie de nouvelle <br />physique. En considérant l'échange de nouvelles particules, les masses <br />des leptoquarks ont été contraintes jusqu'à 710 GeV/c^2 pour les <br />leptoquarks et 590 GeV/c^2 pour les leptoquarks vecteurs ; et des limites ont <br />été placées sur les masses de sneutrinos avec violation de la <br />R-parité, de quelques centaines de GeV/c^2 pour de grandes valeurs de leur <br />couplage de Yukawa.
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