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L'enseignement de l'histoire : tendances actuelles : situation marocaine et perspectives de rénovation

Reffali, Fatiha 25 April 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2015
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La conception, l'élaboration et l'expérimentation d'un programme d'histoire nationale pour les élèves de onzième année

Ouellet, Gerald G. 25 April 2018 (has links)
La mise en cause par les Acadiens du Nouveau-Brunswick de l'ordre social et politique de leur province, et la perspective des conséquences qui éventuellement s'en suivront, rappellent plus que jamais la fonction principale de l'enseignement de l'histoire: préparer des citoyens à connaître et comprendre leur société, à participer de façon autonome et réfléchie au mouvement social. Or l'actuel programme d'histoire nationale de lie année, essentiellement événementiel et politique, étroitement limité à l'acquisition de quelques connaissances factuelles, paraît peu capable de contribuer à former ce citoyen. Nous avons donc voulu concevoir et réaliser un programme plus apte à rencontrer les principaux objectifs de l'enseignement de l'histoire. Ce programme innoverait tant au plan des contenus et des perspectives historiographiques que de sa pédagogie. Au plan historiographique, il nous a semblé que le programme pourrait mieux expliquer le présent s'il faisait une meilleure place à l'histoire-problème, sociale et globale, un peu comme l'historien contemporain tente de le faire. Au plan pédagogique, nous avons choisi un enseignement organisé selon la démarche méthodologique. Celle-ci, en calquant la méthode même de l'historien, paraît bien convenir à l'apprentissage des savoir-faire qui fondent la pensée autonome et critique. Le programme proposé comprend trois thèmes. Le premier expose la situation économique des Acadiens du Nouveau-Brunswick, le second, la situation sociale et le troisième, le contexte politique. Le premier de ces thèmes forme le coeur de la thèse. Il a été développé en treize leçons qui ont été mises à l'épreuve de la classe. Outre le matériel pédagogique expérimenté et le guide du maître, la thèse comprend aussi la présentation du cadre théorique du programme et des leçons ainsi que le rapport de l'expérimentation et la critique des résultats. L'expérimentation des leçons fut faite auprès de l65 élèves de trois écoles polyvalentes du N.-B. Elle a démontré que la grande majorité des élèves préfèrent un enseignement thématique à base de problèmes plutôt qu'un enseignement chronologique traditionnel dont le support est essentiellement politique. Il fut également démontré que la démarche méthodologique, telle que mise en application dans l'ensemble des leçons, ne cause aucun problème sérieux aux élèves ou à leurs enseignants. Ces derniers ont été satisfaits de la présentation du thème, ont aimé l'enseigner et ont été contents de l'intérêt démontré par leurs élèves tout au long de l'étude des leçons. Quoique les savoir-faire intellectuels relatifs à la pensée critique ne furent pas atteints au même degré que les objectifs relatifs aux connaissances, il n'y a pas lieu de s'inquiéter, puisque l'expérimentation n'a duré que cinq semaines et qu'il est extrêmement difficile de maîtriser ces savoir-faire dans un laps de temps aussi bref. Les résultats de la recherche semblent confirmer que le programme d'histoire devrait être un programme thématique qui prend sa source dans des préoccupations tirées de la réalité contemporaine et où l'élève doit mettre en application toutes les étapes de la démarche méthodologique. La discipline historique contribuerait alors mieux à la préparation d'un citoyen capable de participer d'une façon éclairée, cohérente et efficace à la construction de sa société puisqu'il pourrait mieux la connaître, la comprendre et l'expliquer. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2015
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Le rapport entre la pensée historique et la conscience historique : élaboration d'un modèle d'interaction lors de l'apprentissage de l'histoire chez les élèves de cinquième secondaire des écoles francophones du Québec

Duquette, Catherine 18 April 2018 (has links)
Le programme par compétences mis en place dans les écoles secondaires par le ministère de l'Éducation, des loisirs et du sport (MELS) en 2003, souligne l'importance de l'apprentissage d'une pensée historique en classe d'histoire. Miser sur l'apprentissage de la pensée historique, c'est, en somme, favoriser une vision de l'histoire comme la science qui permet l'interprétation du passé plutôt que de valoriser un apprentissage factuel de la discipline (mémorisation de dates, de lieux et de personnages). Cependant, de nombreuses recherches (Barton, 1997; VanSledright, 2001; Martineau, 1999 et Sandwell, 2005) tendent à montrer que les élèves parviennent difficilement à maîtriser cette forme de pensée et qu'ils préfèrent conserver une vision de l'histoire comme un récit véridique et inchangeable. Ce problème a donné lieu à un engouement dans le milieu de la didactique de l'histoire pour la conscience historique (la compréhension du présent grâce à l'interprétation du passé permettant d'envisager le futur) dont le développement semble être une solution possible aux difficultés mentionnées (Seixas, 2004, 2006; Charland, 2003 et .Angvik et von Bonis, 1997). Cependant, aucun auteur ne définit clairement le rapport que la conscience historique entretient avec la pensée historique. C'est à cette question que notre recherche a voulu répondre. Cette recherche a débuté par une étude théorique qui a permis d'élaborer un modèle des possibles interactions entre les concepts. Puis, nous avons procédé à une étude empirique de nature qualitative avec 148 élèves de cinquième secondaire fréquentant des établissements scolaires francophones au Québec. Dans notre protocole, basé en partie sur le modèle d'interactions issu de l'étude théorique, les participants étaient invités à répondre à un questionnaire et à participer à une entrevue. Les résultats de cette recherche laissent entrevoir la possibilité de quatre niveaux de développement de la conscience historique. On constate également une forte corrélation entre les stades les plus réflexifs de la conscience et le développement de la pensée historique. Les précisions apportées au rapport étudié permettent de mieux comprendre la progression des apprentissages en lien avec la pensée historique. Enfin, les différents stades de conscience historique peuvent être considérés comme un outil prometteur pour l'évaluation de la progression des apprentissages des élèves en classe d'histoire.
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Apprentissage de l'histoire et éducation à la citoyenneté : comprendre le rapport au savoir historique des élèves gabonais du cycle secondaire à l'aide d'une approche socio-historique

Obone Nguema, Lilie 12 June 2024 (has links)
La question du sens des savoirs historiques, posée du point de vue des élèves telle que nous l’avons expérimentée dans cette thèse, met en évidence leur rapport au savoir. Pour cerner cette problématique du rapport au savoir, nous l’avons construite suivant une double démarche dont l’une, significative, vise à faire émerger la pertinence sociologique des savoirs scolaires, l’autre, compréhensive, tente de mieux appréhender ce qu’est l’éducation aux sciences historiques. Le regard critique que nous avons posé sur l’acte d’apprendre dans le contexte actuel de l’éducation a permis d’apprécier l’apprentissage de l’histoire comme une réalité bien plus complexe que ne le laissent croire les seules méthodes didactiques. D’abord, parce qu’apprendre est une question multiforme renvoyant à diverses manifestations du sens des savoirs, et qu’en l’occurrence, le processus d’apprentissage interpelle, entre autres, la subjectivité de l’élève pour la relier aux enjeux de l’éducation à la citoyenneté. Sur la base des réflexions construites autour du rapport au savoir (Charlot, 1997 ; Lahire & Johsua, 1999 ; Joigneaux & Rochex, 2008 ; Demba, 2010 ; Lésogho, 2014), un cadre conceptuel élaboré au croisement de la didactique et de la sociologie, a permis d’éclairer les relations des élèves aux savoirs. Ce cadre de pensée hybride a suscité l’ouverture d’un nouvel espace d’analyse et d’accès à d’autres possibles pour penser, aborder et comprendre l’apprentissage historique. La combinaison d’enjeux conceptuels, qui au final a orienté notre propos de recherche vers des enjeux sociodidactiques du rapport au savoir historiques, est l’une des principales contributions de cette thèse. Sur le plan méthodologique, le paradigme compréhensif s’est révélé être un choix intéressant pour se démarquer d’une lecture en négatif des situations d’apprentissage au profit d’une lecture en positif qui rend compte de l’expérience subjective de l’élève. À la lumière des apports théoriques et conceptuels, des angles de réflexion novateurs formulés ont permis de mettre en lumière des sujets singuliers situés dans une historicité, mais capables de s’en distancier de manière réflexive grâce à une lecture plurielle de l’histoire. L’étude confirme des situations et des conditions agissant sur la construction du rapport au savoir et à l’école des élèves. / This thesis argues that the question of the meaning of historical knowledge, posed from the students point of view, can shed light on their relation to knowledge and to school. To define this problematic of the relationship to knowledge, we have constructed it following a double approach, one of which, significant, aims to bring out the sociological relevance of school knowledge, the other, comprehensive, tries to better understand what is education in the historical sciences. The critical view we have taken of the act of learning in the current context of education has made it possible to appreciate historical learning as a much more complex reality than the teaching methods alone suggest. Firstly, because learning is a multifaceted question referring to various manifestations of the meaning of knowledge, and in this case, the learning process involves, among other things, the subjectivity of the student to relate it to the issues at stake. citizenship education. In the wake of what the authors suggest about the relationship to knowledge (Charlot 1997; Lahire & Johsua 1999; Joigneaux & Rochex 2008; Demba 2010; Lésogho 2014), we have developed a conceptual framework at the crossroads of didactic and sociology in order to illuminate the relationship of students to knowledge. This hybrid framework of thought has opened up a new space of analysis and access to other possibilities for thinking, addressing and understanding historical learning. The combination of conceptual issues, which in the end has turned our research focus towards sociodidactic issues of relation to knowledge, is one of the main contributions of this thesis. On the methodological level, the comprehensive paradigm has proved to be an interesting choice to stand out from a negative reading of learning situations to a positive reading that reflects the student's subjective experience. In the light of the theoretical and conceptual contributions, innovative angles of thought formulated made it possible to highlight singular subjects situated in a historicity, but able to distance themselves from them in a reflexive way thanks to a contradictory reading of history. The study confirms situations and conditions affecting the construction of students' relationship to knowledge and school.
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L'utilisation de la bande dessinée de superhéros comme outil didactique pour travailler la pensée critique chez les étudiants en classe d'histoire au collégial

St-Amand, Emilie 20 August 2019 (has links)
En histoire, l’utilisation de la bande dessinée (BD) comme outil didactique se limite généralement à un seul genre de BD, la bande dessinée à caractère historique, qui contient de façon consciente et planifiée des éléments historiques. Il existe une multitude de genres de BD qui ne sont pas utilisés en histoire. Ce mémoire propose d’utiliser un autre genre de BD pour l’enseignement de l’histoire au collégial, la bande dessinée de superhéros (BDSH), qui ne contient pas de façon consciente et planifiée des éléments historiques et qui nécessite l’application du processus de la pensée critique pour être étudié et interprété. Ce mémoire vise à comprendre comment la BDSH peut constituer un outil didactique pour travailler la pensée critique chez les étudiants en classe d’histoire au collégial. Pour répondre à notre objectif, nous avons eu recours à la recherche documentaire comme méthodologie de recherche qui nous a permis d’identifier les avantages et les prérequis de l’utilisation de la BDSH pour travailler la pensée critique. Cette méthode nous a également permis de présenter une synthèse (sous forme de tableau) des apports historiques et didactiques possibles identifiés par l’application du processus de la pensée critique sur trois BDSH produites entre 1941 et 1944 aux États-Unis et au Canada et discutant de la Deuxième Guerre mondiale. Nos conclusions nous ont permis d’établir que la BDSH, en étant une source primaire, peut-être un objet approprié et pertinent pour développer la pensée critique chez les jeunes adultes et pour l’enseignement et l’apprentissage de l’histoire au collégial. Dans des recherches futures, il serait intéressant d’étudier l’utilisation d’autres genres de BD afin de voir les apports spécifiques que chacun de ces genres comme la BDSH et son apport spécifique du filet de sécurité. Mots clés : bande dessinée de superhéros, enseignement de l'histoire, collégial, recherche documentaire, pensée critique.
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Lire pour comprendre en histoire : pour une didactique de l'interprétation des textes historiques en contexte scolaire

Trudeau, Michel P. 30 April 2024 (has links)
Inscrite dans le domaine de la didactique de l'histoire, cette recherche doctorale s'interroge sur les conditions d'appropriation de la connaissance historique par le texte, au secondaire. Plus spécifiquement, elle s'intéresse à l'influence qu'ont les croyances épistémiques de l'élève sur le mode de lecture qu'il emploie pour traiter l'écrit dans le cadre de sa formation en histoire. La problématique qui sous-tend cette thèse découle d'une contradiction apparente entre les résultats plutôt encourageants des élèves québécois aux évaluations internationales sur leurs habiletés en lecture et l'idée, passablement répandue chez les enseignants d'histoire, que leurs élèves éprouvent de la difficulté à lire. Or, ce paradoxe ne peut être résolu qu'en présentant le traitement de l'écrit comme une activité complexe et finalisée générant des processus cognitifs qui diffèrent selon les objectifs poursuivis par l'élève en classe d'histoire. Le lecteur qui ne fait que saisir et retenir les informations factuelles dans un texte historique en vue d'un examen ne fait pas appel aux mêmes opérations mentales que celui qui souhaite comprendre ce même texte. Le cadre théorique qui soutient cette recherche fait appel à des modèles issus des sciences cognitives. Ceux-ci sont convoqués pour décrire et situer les activités mentales associées à la lecture et, plus spécifiquement, à la compréhension de l'écrit dans le contexte de l'apprentissage de l'histoire. Les concepts de schématisation, d'inférence et de cohérence sont conjugués avec les notions de méthode historique et de pensée historienne afin de mettre en lumière les processus cognitifs générés par la lecture d'un texte historique. Cette recherche est de nature qualitative et pluridimensionnelle. Produites à partir d'une étude de cas réalisée auprès de quatorze (14) élèves de troisième secondaire répartis dans quatre écoles du Québec, les données de l'enquête sont révélatrices des croyances épistémiques de ces derniers à l'égard de l'histoire et de son apprentissage. Faisant appel à divers outils comme l'enquête par questionnaire, la méthode « think aloud » et les entrevues structurées et semi-structurées, elle permet de cerner le comportement des élèves dans des situations de lecture variées. Les résultats de la recherche montrent que les élèves ont tendance à délaisser les activités cognitives favorisant la compréhension de l'écrit au profit d'un simple repérage et saisie d'informations factuelles dans les textes qu'ils ont à lire. Les données collectées semblent donc confirmer que les croyances épistémiques empiristes auxquelles adhèrent la plupart des élèves interrogés font obstacle à leur compréhension des textes historiques. Ce qu'il faut craindre, c'est que le traitement fragmentaire des textes historiques s'installe et devienne un mode de lecture par défaut faisant ainsi obstacle à l'appropriation de la pensée historienne comprise comme une démarche visant à mettre en cohérence les traces du passé. Or, la compréhension de l'écrit repose elle-même sur la mise en cohérence des éléments d'un ou de plusieurs textes. Cela étant, la formation à la compréhension des textes historiques apparaît comme un moyen privilégié pour assurer l'appropriation progressive de la pensée historienne chez les élèves du secondaire. / In the field of social studies, the conditions under which historical knowledge can effectively be learned from text have been debated for several years. However, the research data concerning this issue remain scant. This dissertation seeks to broaden our knowledge of student reading practices by examining the impact of their epistemic beliefs on the way they process the texts from which they learn history at the high school level. The impetus for this research stems from an apparent contradiction between the rather good scores achieved by Quebec students in international assessments of their reading skills and the widely shared notion among history teachers that their students are poor readers. This paradox can only be resolved by viewing reading as a complex and purposeful activity generating cognitive processes that differ according to the goals pursued by the student in his history class. Reading a historical text merely to acquire and retain factual knowledge ahead of an exam does not generate the same cognitive processes as does reading to comprehend that text. The theoretical framework on which the research is based owes a great deal to the conceptual models that have been developed in the field of cognitive science. Thisstudy aims to describe the mental processes that are at work when reading to build historical knowledge and to lay the groundwork for better learning strategies. Concepts such as *situation model*, *inference* and *standards of coherence* are discussed in conjunction those of *historical method* and *historical thinking* to highlight the cognitive processes involved in reading historical texts when learning history. Building on the literature concerning epistemic beliefs and historical thought, a case study was conducted involving fourteen (14) third year students from four different high schools in the Province of Quebec. The survey data reveal their thoughts about history and how they seek to acquire historical knowledge. Various tools such a questionnaire investigating history-specific beliefs, "think aloud" methodology and interviews explored student behavior in various reading situations. The results of this research show that students tend to abandon cognitive activities that promote reading comprehension in favor of the simple identification and retention of factual knowledge in the texts they read. The data collected seem to confirm that the empiricist epistemic beliefs held by most of the students recruited for this study hinder their understanding of historical texts if not of history itself. The results of this study indicate that the participants generally engaged in a fragmentary form of text processing regardless of the task required. If this way of reading historical texts were to become a reading mode by default, the development of historical thinking might well be compromised since building text coherence when reading historical texts mirrors the processes at work in historical thinking itself.
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L'apport du manuel d'histoire et ses limites dans la formation de la mémoire historique : application à l'étude de la Nouvelle-France de 1608 à 1663 dans le cadre du Québec de 1923 à 1989

Caritey, Christophe 24 April 2018 (has links)
Les études de contenu des manuels d'histoire présupposent pour la plupart que ces ouvrages largement diffusés influencent leurs utilisateurs. Cependant cet a priori n'a jamais été démontré. C'est ce que nous avons tenté de faire dans cette recherche. Pour cela, nous avons défini les niveaux de contenu du manuel d'histoire et proposé le concept de mémoire historique pour préciser le lieu de manifestation de son apport éventuel. Mais le contenu du manuel peut être soit oublié, soit complété, ce qui limite son apport. Nous essaierons alors de cerner si l'apport extérieur provient du milieu scolaire, des moyens non scolaires de diffusion massive du savoir historique ou est transmis oralement, par la famille essentiellement. Enfin, l'apport des manuels variant sans doute selon les individus, nous tenterons d'expliquer ces variations par le vécu de leurs utilisateurs. Nous avons ensuite appliqué cette réflexion au cas de la Nouvelle-France de 1608 à 1663 dans le cadre du Québec de 1923 à 1989. Pour cela, nous avons défini le contenu des manuels utilisés à cette époque pour en voir l'évolution et nous avons ensuite essayé, à l'aide d'un questionnaire, de retrouver celle-ci dans la mémoire historique. Quelques questions se rapportaient à nos interrogations concernant l'origine des réponses ne provenant pas du manuel et les différences individuelles. L'analyse montre un apport certain du manuel au niveau des connaissances et du cadre interprétatif -message global sur le passé- qui diminue légèrement lorsque les répondants n'utilisent plus de manuels. Cet apport semble plus important au deuxième niveau. Par contre, il est nul pour le discours sur l'histoire -mode de présentation du passé, conception de l'histoire, etc. Mais cet apport est limité par l'oubli, surtout pour les connaissances, et par un apport autre, plutôt pour le cadre interprétatif et le discours sur l'histoire. Celui-ci proviendrait essentiellement des moyens non scolaires de diffusion massive du savoir historique. Enfin, l'apport du manuel et ses limites varient effectivement selon les utilisateurs mais ces différences ne semblent pas dépendre du vécu de ces utilisateurs. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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Effet de l'emploi de la ligne du temps sur le développement du concept chronologie, comme élément du temps historique chez des élèves de 6e année

Juneau, Andrée 25 April 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2015
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Conjuguer la nation au passé : mémoire et identité dans les manuels d'histoire moldaves, 1918-2006 / Mémoire et identité dans les manuels d'histoire moldaves, 1918-2006

Neagu, Maria 18 April 2018 (has links)
S'appuyant sur un corpus de programmes et de manuels scolaires d'histoire moldaves ayant circulé dans les écoles de 1918 à 2006, notre thèse amorce une réflexion exploratoire sur la question des usages du passé aux fins de la construction d'une identité nationale. Elle se propose de montrer que, par l'entremise de la production scolaire d'histoire, les pouvoirs en place - roumains, soviétiques et moldaves - ont cherché à livrer au jeune citoyen moldave l'image salutaire d'un projet national unificateur. Les deux premières parties de la thèse retracent le contexte géohistorique général et les dynamismes sociétaux sous-tendant les efforts politiques de définition d'une communauté nationale en Moldavie. Dans les trois parties suivantes, nous inventorions les mécanismes discursifs mis en oeuvre afin de construire, sur le mode des mythes fondateurs, les référents identitaires de la collectivité locale, ainsi appelée à se penser « roumaine », « soviétique » et « moldave ». L'analyse rigoureuse des sources permet de distinguer deux grands récits historiques qui s'opposent au chapitre des références identitaires des Moldaves. Le premier, né dans la Roumanie de l'entre-deux-guerres qui incorpore la Moldavie, met en évidence les fondements symboliques qui lieraient les Bessarabiens à la culture, à la langue et aux traditions roumaines. Le second, conçu en RASSM et repris après la Deuxième Guerre mondiale dans le cadre de la république soviétique socialiste moldave, valorise une nation moldave distincte et historiquement vouée à l'aventure communiste. La thèse s'achève sur l'analyse de la période postcommuniste, constatant qu'à cette étape, la production historique s'actualise en dupliquant les discours qui l'ont précédée. Ces deux récits contradictoires et leur cohabitation tendue dans l'espace scolaire permettent de saisir les signes d'un débat de société qui touche à la pluralité des mémoires et aux multiples interrogations identitaires parcourant la société moldave contemporaine. De fait, la Moldavie exprime, dans son effort de transition postcommuniste, le besoin implicite d'attribuer de nouvelles significations à son existence collective, déclinée dès lors au prisme du « nous » et de l'« autre ». Le retour à l'histoire figure comme but et moyen de cette entreprise d'ingénierie nationale.
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Mémoire historique de l'aventure québécoise chez les jeunes franco-québécois d'héritage canadien-français : coup de sonde et analyse des résultats

Moisan, Sabrina 25 April 2018 (has links)
Le propos de ce travail concerne les rapports entre l'histoire et la mémoire historique collective chez les jeunes Franco-Québécois d'héritage canadien-français. Dans un premier temps, nous avons constaté à l'encontre de la rumeur publique que les jeunes possèdent effectivement une mémoire du passé du Québec, mais que celle-ci s'apparente davantage au récit identitaire des Canadiens français qu'à une histoire du Québec plurielle et multidimensionnelle intégrant les éléments de l'histoire «scientifique ». Nous avons, dans un second temps, cherché à savoir comment s'était formée cette mémoire historique particulière. Nous nous sommes d'abord penchée sur le système d'enseignement de l'histoire au Québec. Plusieurs indices nous ont permis de constater que l'école était un diffuseur privilégié de la vision tragique et univoque du passé québécois. Par ailleurs, nous avons également remarqué que cette version victimaire de l'histoire du Québec se retrouvait largement dans l'espace idéologique québécois, que ce soit dans les médias, les activités à caractère historique ou dans la famille, et qu'il s'avérait donc assez malaisé de travailler à la modifier et à la complexifier. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2014

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