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Die Wahl Ferdinand IV. nebst einer Übersicht über die Geschichte der romischen Königswahlen seit Einsetzung der Gold. Bulle

Germershausen, Albert, January 1901 (has links)
Inaug. Diss.--Leipzig. / Vita. Includes bibliography.
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Potentes saeculi: pouvoir séculier et royauté sous le règne de Louis le Germanique (826-876)

Glansdorff, Sophie 28 April 2006 (has links)
L’objet de cette thèse est d’étudier les relations entre Louis le Germanique et les aristocrates laïques, aussi bien ceux qui appartenaient à son propre royaume (de Bavière puis de Francie orientale), que ceux qui appartenaient aux autres royaumes issus du traité de Verdun (843). L’intérêt de cette recherche, qui s’inscrit dans le cadre d’un très récent renouveau d’intérêt pour le règne de Louis, est d’apporter un nouvel éclairage sur l’évolution politique de l’Empire carolingien central à tardif, en étudiant sa facette « orientale », souvent négligée par rapport à sa contrepartie « occidentale ».<p>Dans un contexte caractérisé par les rivalités et les conflits, il est évidemment vital pour le roi de s’assurer l’appui des grands et de les intégrer à son entourage. La première partie de ce travail a donc été consacrée à l’entourage du roi et à son évolution. Cet entourage a plus précisément été défini sur base du De Ordine Palatii d’Hincmar de Reims :il inclut d’abord les membres du Palais au sens étroit du terme (famille et détenteurs d’offices palatins – laïques en l’occurence -) ;ensuite l’ensemble des « grands » laïques du royaume, qui, sans détenir d’office au Palais, entretiennent une relation privilégiée avec le roi, soit qu’ils détiennent de lui un honor (les comtes), soit qu’ils appartiennent à ses vassaux ou à ses fideles. Au sein de cet ensemble de personnes, tous ne bénéficient cependant pas de la même « Königsnähe » ;par conséquent, en tenant compte de la nature des sources issues de Francie orientale (essentiellement les actes privés des abbayes et évêchés du royaume), il s’est avéré nécessaire de nuancer ce tableau en recherchant les personnalités qui font réellement preuve de la plus grande proximité avec le roi, sans être nécessairement pour autant les mieux documentés au niveau des sources.<p>De tous les membres (laïques) de cet entourage, les comtes sont apparus comme les plus importants, en raison de leur fonction même ;pour cette raison (et afin de rendre la consultation plus aisée et plus pratique pour qui s’intéresse aux comtes), une prosopographie a été constituée, incluant les comtes actifs en Bavière (826-887), Alémannie, Francie, Saxe, Thuringe (833-887) et Lotharingie orientale (870-887). <p>Si cette approche, essentiellement prosopographique, est intéressante en soi, elle ne permet néanmoins pas, en tant que telle, d’apprécier la teneur des relations entre roi et grands, ni de replacer celle-ci dans le cadre plus global de l’Empire carolingien. Pour ce faire, il est nécessaire d’y ajouter l’étude de certains éléments significatifs, qui permettent de dégager plus aisément continuités, ruptures et spécificités. A l’étude de l’évolution du fisc (et des spécificités des donations royales), s’est jointe celle des éléments représentatifs du pouvoir des aristocrates :possession de monastères privés, disposition de fortifications, transmission des offices comtaux. L’articulation de ces éléments avec le pouvoir royal révèle des spécificités très intéressantes, notamment au niveau du contrôle du roi sur les donations et honores accordés aux grands, le maintien de la révocabilité de ceux-ci étant visiblement souhaité ;s’il n’est pas toujours possible d’évaluer le rôle de la volonté royale dans cette évolution, il n’en va pas de même quand on étudie les divers actes d’infidélité, réels ou supposés, portés contre le roi. Les réactions royales, en la matière, semblent bien le signe d’une politique distincte et cohérente.<p>En conclusion, cette analyse se joint à l’approche prosopographique pour présenter une manière spécifique de concevoir, et d’aborder sur le plan pratique, les relations entre roi et grands. Sous certains aspects, ce règne se distingue nettement de celui de ses contemporains, et éclaire donc une autre facette de l’évolution de l’Empire carolingien postérieure au traité de Verdun, globalement (et provisoirement) plus maîtrisée qu’ailleurs ;celle-ci ne peut être ignorée et doit contribuer à nuancer l’image de l’évolution du pouvoir royal au IXème s.<p> / Doctorat en philosophie et lettres, Orientation histoire / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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The representation of weeping rulers in the early Middle Ages

Murray, Frances January 2018 (has links)
This thesis examines the representation of weeping rulers in early medieval sources, focusing on the Carolingian empire between 790 and 888. The meanings applied to tears are culturally specific: thus, exploring how, why, when and where rulers cried can illuminate the dynamics of power and ideals of kingship in this period. This thesis provides a survey of a poorly understood phenomenon. It also challenges several assumptions about the nature of early medieval power. Rulers wept not only over their own sins (a well-recognised phenomenon), but also over the sins of others and out of a desire for heavenly glory. Thus, they wept in a ‘monastic' or ‘priestly' way. This was something associated more with certain rulers than others. As such, tears can be used as a lens through which developments in ideas about the relationship between secular rulers and the ecclesiastical hierarchy can be traced. The thesis is divided into six sections. The historiographical importance of this topic is discussed in the introduction. Chapter one assesses the understanding of tears in biblical, Roman and Merovingian sources. Chapter two focuses on the representation of tears in texts associated with the court of Charlemagne (d. 814). Chapter three explores how authors loyal to Louis the Pious (d. 840) used tears to respond to criticisms of him and his wife, the Empress Judith (d. 843). Chapter four turns to exegetical material written between 820 and 860 and examines how biblical rulers were represented weeping. In particular, the reception of these previously unrecognised images in royal courts and their influence on narrative sources will be considered. Chapter five explores sources from the later ninth century, focusing particularly on the writings of Hincmar of Reims (d. 882) and Notker of St Gall (d. 912). Chapter six considers tears in three case studies drawn from post=Carolingian sources. Finally the concluding section outlines the significance of this thesis for our understanding of Carolingian and post Carolingian political culture and the history of weeping in the middle ages.

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