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Évolution longitudinale des symptômes d'insomnie à la suite d'un traumatisme craniocérébral

Gervais, Frédérique 22 June 2021 (has links)
L’objectif de ce projet est d’évaluer l’évolution de l’insomnie durant les quatre années suivant un TCC, en comparant entre les différents niveaux de sévérité du TCC, ainsi que d’identifier les facteurs de risque pour l’évolution vers différentes trajectoires (insomnie chronique, fluctuante ou absence d’insomnie). Les participants inclus dans cette étude sont des adultes âgés entre 18 et 65 ans (n=429) ayant été hospitalisés à la suite d’un TCC. Des questionnaires autorapportés ont été administrés à 4, 8, 12, 24, 36 et 48 mois post-TCC pour évaluer les symptômes d’insomnie (ISI), d’anxiété (HADS-A), de dépression (HADS-D) et de douleur (SF-36). Les résultats indiquent que les taux de prévalence d’insomnie demeurent élevés au cours des quatre années qui suivent un TCC, variant entre 52 et 58% dépendamment du temps de mesure. Les individus ayant subi un TCC léger présentent des symptômes d’insomnie plus prévalents (entre 57% et 67%) et plus sévères comparativement aux TCC modérés-sévères (résultat moyen à l’ISI: TCC léger= 10.46; TCC modéré-sévère = 8.44; F= 14.74, p<.001). Le tiers de l’échantillon présente une trajectoire chronique des symptômes d’insomnie au cours des quatre années qui suivent le TCC. Les principaux facteurs de risque pour les trajectoires d’évolution des symptômes d’insomnie post-TCC sont la présence de symptômes anxieux et dépressifs ainsi que la sévérité du TCC. En conclusion, l’insomnie est une condition fréquente et persistante, et ce, plusieurs années après le TCC. Une attention particulière de la part des professionnels de santé doit être portée sur les individus présentant un TCC léger et ceux manifestant des symptômes dépressifs et anxieux puisqu’ils présentent un pronostic plus défavorable quant à l’évolution de leurs symptômes d’insomnie. / The aim of the study was to assess the evolution of insomnia during the first four years following a traumatic brain injury (TBI) and to compare between different levels of severity of the TBI. This study also aimed to identify risk factors for different insomnia trajectory (chronic, fluctuating or absence of insomnia). Participants included in this study were adults aged between 18 and 65 years (n=429) and were recruited in a hospital setting and rehabilitation center. They completed several self-reported questionnaires at different time points (4, 8, 12, 24, 36 and 48 months post-TBI) to assess insomnia symptoms (ISI), anxiety and depressive symptoms (HADS) and pain (SF-36). Results showed that prevalence rates of insomnia remained high across assessment times points, varying between 52 and 58%. Symptoms were more prevalent among participants who sustained a mild TBI compared to those with moderate to severe TBI (57% vs 67%) and those symptoms were more severe in the mild compared to the moderate-severe TBI group (ISI mean score: mild TBI= 10.46; moderate-severe TBI = 8.44; F= 14.74, p <.001). One third of individuals who sustained a TBI presented a chronic trajectory of insomnia over the 4-year follow-up period. Those with mild TBI were significantly more represented in the subgroup with a chronic trajectory of insomnia compared to those with moderate-severe TBI (37.7% vs 23.2%, p<.001) Individuals presenting a low level of depressive symptoms paired with moderate anxious symptoms were at greater risk for a chronic course of insomnia symptoms. In conclusion, insomnia is a frequent condition following TBI and may impede recovery and quality of life. Patients with mild TBI and presenting depressive and anxious symptoms following TBI should be followed closely since they have a less favorable prognosis regarding the evolution of their insomnia symptoms.
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Histoire naturelle de l'insomnie et identification de facteurs de risque

LeBlanc, Mélanie 11 April 2018 (has links)
Tableau d'honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2006-2007 / Les objectifs de la présente thèse étaient d'estimer les taux de prévalence et d'incidence des symptômes et du syndrome d'insomnie dans la population générale et d'identifier les facteurs de risque associés à l'insomnie. En premier lieu, une enquête téléphonique menée auprès des adultes québécois francophones a montré que 30 % de la population adulte rapportent des symptômes d'insomnie et que 9.5% présentent les critères diagnostiques d'un syndrome d'insomnie. De plus, la comparaison d'individus présentant des symptômes d'insomnie, un syndrome d'insomnie et de bons dormeurs a démontré que les participants avec de l'insomnie présentent des caractéristiques psychologiques et une qualité de vie différentes des bons dormeurs (ex.: plus grande symptomatologie dépressive, anxieuse et névrotique et moins bonne santé générale). Les différences observées entre ces groupes suivent d'ailleurs un patron linéaire, les symptômes et les difficultés de fonctionnement étant plus importants à mesure qu'augmente la sévérité de l'insomnie. Enfin, le suivi longitudinal d'un groupe de bons dormeurs a démontré que sur une période d'un an, l'incidence des symptômes d'insomnie est de 31.2% et celle du syndrome de 8.6%. De plus, les individus qui développent un syndrome d'insomnie présentent dès le niveau de base une vulnérabilité psychologique se manifestant par une présence significativement plus élevée de symptômes dépressifs, de prédisposition à l'activation, d'ouverture à l'expérience ainsi que par une tendance à présenter plus de traits anxieux que les bons dormeurs dont la qualité de sommeil est stable. Les individus ayant développé un syndrome d'insomnie ont aussi vécu plus d'événements de vie négatifs que les bons dormeurs stables au cours des six mois précédant le développement de l'insomnie ainsi qu'une augmentation de leur douleur physique concomitante à l'apparition de l'insomnie. Les résultats obtenus dans ce projet confirment l'importance de l'insomnie dans la population générale, autant par sa fréquence que par les divers facteurs psychologiques qui lui sont associés. Il semble aussi que les individus présentant quelques symptômes d'insomnie s'avèrent une cible de choix pour des programmes de prévention ou d'intervention précoce. Enfin, les différents traitements pour l'insomnie pourront bénéficier des connaissances sur les facteurs de risque de l'insomnie tirées du présent projet de thèse / The objectives of the present thesis were to estimate the prevalence and incidence rates of insomnia symptoms and insomnia syndrome in the general population and to identify risk factors associated with insomnia. Results obtained to a telephone survey conducted among the French-speaking adult population of the province of Québec demonstrated that 30 % of the population reported insomnia symptoms and 9.5% met criteria for an insomnia syndrome. Second, the comparison of sub-groups of individual with insomnia symptoms, insomnia syndrome, and good sleepers demonstrated that participants with insomnia presented psychological characteristics and a quality of life different from those of good sleepers (e.g., higher symptom levels of depression, anxiety, and neuroticism, and a poorer general health). Moreover, differences between groups present a linear pattern, with degree of impairment increasing with insomnia severity. Lastly, the longitudinal follow-up of a group of good sleepers indicated that one-year incidence rates were 31.2% for insomnia symptoms and 8.6% for insomnia syndrome. Moreover, insomnia syndrome incident cases presented a premorbid psychological vulnerability to insomnia development, revealing significantly more depressive symptoms, arousability predisposition, openness to experience, and a tendency to display a higher anxiety trait at baseline. Insomnia syndrome incident cases also experienced significantly more negative life events than stable good sleepers within the six months preceding the insomnia development and an increment of bodily pain concomitant to the onset of their sleep difficulties. Results obtained in the present thesis confirm that insomnia is a common health difficulty in the general population and that several psychological factors are associated with the new onset of this sleep problem. Improved knowledge of the insomnia risk factors could guide the development of effective public health prevention and intervention programs to promote good sleep quality and to prevent chronic insomnia or mental health disorders development as soon as the first insomnia symptoms are noticed.
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Bouffées de chaleur et cancer du sein : facteurs de risque et relation avec les perturbations du sommeil

Savard, Marie-Hélène 17 April 2018 (has links)
Cette thèse doctorale s'intéresse aux bouffées de chaleur (BCs) et à leur relation avec les difficultés de sommeil dans le contexte du cancer du sein. La première étude utilise les données d'une étude longitudinale antérieure mesurant subjectivement les BCs et les difficultés de sommeil chez 81 patientes traitées pour un cancer du sein non métastatique. Elle poursuit trois objectifs: (a) évaluer l'effet des traitements oncologiques adjuvants (chimiothérapie, radiothérapie et hormonothérapie) sur la fréquence et la sévérité des BCs (article 1); (b) préciser le rôle de certaines caractéristiques sociodémographiques et médicales dans l'augmentation du risque de présenter des BCs (article 1); et (c) évaluer la relation entre les changements survenus sur le plan des BCs et ceux survenus sur le plan des difficultés de sommeil durant et suivant les traitements adjuvants (article 2). Les résultats montrent que les BCs sont exacerbées par la chimiothérapie et l'hormonothérapie. L'utilisation antérieure d'hormones de remplacement et un plus faible indice de masse corporelle sont associés à une augmentation du risque de présenter des BCs plus dérangeantes suite au diagnostic de cancer du sein. Les changements survenus dans les BCs durant les trois mois suivant la fin des traitements adjuvants sont associés à des changements concomitants des difficultés de sommeil. La deuxième étude (article 3) vise à : (d) évaluer la relation entre les caractéristiques des BCs nocturnes et les perturbations du sommeil à l'aide de mesures objectives; et (e) caractériser le sommeil entourant les BCs nocturnes. Cinquante-six participantes ont porté pendant une nuit à domicile un appareil mesurant les BCs par électroconductance sternale et le sommeil par polysomnographie. Une fréquence plus élevée de BCs nocturnes est associée à plus de puissance spectrale dans les bandes de fréquence lente et delta. Des BCs plus longues et présentant une plus lente montée en intensité sont associées à des perturbations du sommeil accrues. Le sommeil suivant le début des BCs paraît être davantage perturbé comparativement aux cinq minutes précédant celles-ci. Dans l'ensemble, cette thèse précise les facteurs de risque des BCs dans le contexte du cancer du sein et leur association avec les difficultés de sommeil des patientes.

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