Docktorsavhandling--Uppsala universitet, 2008. / Bibliogr. p. 354-369. Résumé en anglais.

Th. 3e cycle--Linguist.--Paris 3, 1986.

Thèses (M.A.)--Université de Sherbrooke (Canada), 1998. / Titre de l'écran-titre (visionné le 20 juin 2006). Publié aussi en version papier.

Thèse de doctorat : Sciences de l'éducation : Lyon 2 : 1999. / Titre provenant de l'écran-titre. Bibliogr., 338 réf.

Thèses (M.A.)--Université de Sherbrooke (Canada), 2006. / In ProQuest dissertations and theses. Titre de l'écran-titre (visionné le 17 oct. 2007). Publié aussi en version papier.

Texte remanié de: Diss.--Bamberg--Universität, 1998. / Notes bibliogr.

"L'objectif de la présente étude consistait à identifier les déterminants de la réussite en lecture chez les élèves canadiens âgés de 13 ans. Les facteurs analysés ont été la pratique d'activités de loisirs, l'utilisation de stratégies de lecture, les préférences de lecture des élèves et leur respect dans les pratiques pédagogiques des enseignants. Ces facteurs, qui forment les variables indépendantes de la recherche, provenaient du questionnaire de l'élève administré dans le cadre du Programme pancanadien d'évaluation en lecture de 2007. Le but derrière l'identification de ces facteurs déterminants était de permettre aux divers intervenants du milieu de l'éducation, dont les enseignants et les dirigeants des politiques éducatives, d'approfondir leurs connaissances sur la réussite en lecture afin de mieux orienter leurs décisions. Ainsi, la recension des écrits a permis de relever ce qui avait déjà été publié sur le sujet au sein de la communauté scientifique. Les différents facteurs déterminants de la réussite en lecture gravitant autour des loisirs, des stratégies de lecture et des préférences littéraires ont été explicités. Ces différents concepts ont ensuite été mis en relation avec le cadre théorique à la base de la présente étude afin de mieux comprendre les concepts clés sous-jacents à ce travail de recherche. Après avoir présenté les différents éléments qui composent la méthodologie de cette étude, c'est-à-dire la méthode de recherche proprement dite, l'instrument de collecte, l'échantillon et les techniques d'analyse descriptives et inférentielles, les résultats de ces analyses font état des conclusions de cette étude. Les résultats au test T montrent que les filles, comparativement aux garçons, passent plus de temps à lire en dehors des heures de classe, devant l'ordinateur et dans divers types de leçons ou de cours se donnant à l'extérieur de l'école. De leur côté, les garçons, comparativement aux filles, regardent plus la télévision, font plus de sports et d'activités physiques et jouent plus aux jeux vidéo. Les filles utilisent plus régulièrement des stratégies de lecture que les garçons. Enfin, les résultats montrent que les garçons passent plus de temps à lire des manuels de classe, des magazines, des journaux, des articles sur Internet et des encyclopédies électroniques alors que les filles lisent plus de romans, des histoires fictives, des textes informatifs ou non fictifs et des livres des bibliothèques scolaire et municipale. Les résultats de la régression logistique indiquent que ce sont les mêmes loisirs qui déterminent le succès des filles et des garçons en lecture, soit la lecture personnelle, les sports, la télévision, l'ordinateur et les activités communautaires; que ce sont sensiblement les mêmes stratégies qui déterminent le succès en lecture des deux sexes, soit le fait de faire des liens avec des connaissances antérieures, de regarder les autres mots d'une phrase pour en comprendre le sens, de relire les passages plus difficiles et d'ajuster sa vitesse de lecture; et que ce sont les mêmes préférences qui déterminent le succès des filles et des garçons en lecture, soit la lecture de romans, de matériel informatif, de livres de la bibliothèque de l'école, du niveau d'intérêt porté au matériel utilisé en classe et du niveau de participation aux discussions sur des lectures faites en classe."

Reproduction de : Thèse de doctorat : Sociologie : Lyon 2 : 2007. / Titre provenant de l'écran-titre. Bibliogr. Annexes.

Thèse (M.A.)--Université Laval, 2008. / Médiagraphie: f. [122]-125. Publié aussi en version électronique dans la Collection Mémoires et thèses électroniques.

La compréhension de textes littéraires constitue un des objets de la classe de français. Plus précisément cela signifie que l'élève doit faire montre de ses habiletés langagières, dont celle de se livrer à "un calcul interprétatif”, selon la formule consacrée depuis quelques années, soit "tenir compte de tous les éléments intra et extratextuels, qui concourent à ce calcul, soient-ils linguistiques, pragmatiques ou sémiotiques” (Béland, 1985, p. 96). Pour vérifier ce calcul interprétatif, nous avons observé comment des sujets âgés de 12 et 15 ans anticipaient un dialogue inséré dans une fable et ce, par des traces d'écriture. Pour ce faire, nous avons dépouillé 207 textes, produits dans six situations différentes d'écriture par 43 sujets québécois de Sherbrooke (6e année) et de Granby (Sec. III, Professionnel court). Pour le dépouillement, nous avons adopté le point de vue d'un enseignant préoccupé par le développement des habiletés langagières de ses sujets. C'est ainsi que nous avons relevé diverses manifestations qui rendent compte de ce travail de lecture dont celui du respect des signes de ponctuation, l'identification des tours de parole, la présence ou non d'actes de langage dans le dialogue. Ce dépouillement a révélé que l'habileté à anticiper des réparties dialogiques tend à s'accroître lorsqu'elle s'exerce dans une série composée de discours narratifs, de même nature. Ce qui était notre première hypothèse. De plus, d’un point de vue didactique, il nous a semblé important de localiser l'origine des difficultés en cernant les cheminements adoptés selon deux points de vue: lecturel et discursif. Ceux-ci ont permis de mettre en relief les nombreuses difficultés auxquelles se sont butés les lecteurs scripteurs, mais aussi de distinguer celles qui relèvent d'une habileté réduite à anticiper, faute de pouvoir repérer et mettre en relation divers indices (iconiques, linguistiques et extralinguistiques), en regard du dispositif discursif et celles qui sont dues à une méconnaissance des enjeux discursifs faute d'expériences suffisantes, dans le domaine retenu. Les nombreuses observations nous ont incité à dégager quelques "perspectives didactiques" qui pourront orienter, voire même faciliter le travail d'intervention de l'enseignant en compréhension de texte. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2016