• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 1290
  • 245
  • 243
  • 117
  • 52
  • 24
  • 20
  • 12
  • 8
  • 6
  • 3
  • 3
  • 3
  • 2
  • 2
  • Tagged with
  • 2215
  • 736
  • 526
  • 436
  • 400
  • 371
  • 334
  • 311
  • 298
  • 256
  • 249
  • 247
  • 227
  • 205
  • 194
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
81

Les usages langagiers, les attitudes langagières et l'expression identitaire de Marocains vivant en milieu minoritaire ou en milieu majoritaire

Zouali, Ouafaa 11 1900 (has links) (PDF)
Le but de la présente étude était de vérifier si les facteurs socio-psychologiques liés aux comportements langagiers et les expressions identitaires varient en fonction du statut ethnolinguistique, minoritaire et/ou majoritaire, chez des adolescents faisant partie d’une même communauté ethnolinguistique (les Marocains) vivant dans différents pays (Canada, Belgique, Maroc) et ayant des expériences scolaires différentes. Il s’agissait aussi d’examiner la correspondance entre le profil identitaire et les facteurs socio-psychologiques des groupes étudiés. 294 sujets ont répondu à des questionnaires concernant les usages langagiers, les habitudes linguistiques, les attitudes langagières, la compétence linguistique et l’identité culturelle. Les résultats des analyses ont confirmé que l’expression identitaire des groupes varie en fonction du leur statut ethnolinguistique et qu’il existe une interaction entre les différentes variables socio-psychologiques associées à leurs comportements langagiers. Aussi, l’expression identitaire de chacun des groupes correspondrait aux variables socio-psychologiques, et ce, aussi bien en contexte minoritaire qu’en contexte majoritaire.
82

De Plainsong à Cantique des plaines : sur l'émergence d'une singularité d'écriture dans le processus d'autotraduction dite décentrée

Trottier, André 08 1900 (has links) (PDF)
No description available.
83

Forces et faiblesses de l'utilisation de trigrams dans l'étiquetage automatique du français. Exploration à partir des homographes de type verbe-substantif

Brault, Frédérick 10 1900 (has links) (PDF)
Ce mémoire porte sur l’étiquetage automatique de texte français, c’est-à-dire l’attribution, par un programme informatique appelé étiqueteur, de la nature grammaticale des mots d’un texte français. En particulier, ce mémoire explore les forces et les faiblesses de l’utilisation du modèle mathématique des trigrams pour cette tâche. L’efficacité du modèle des trigrams est évaluée à l’aide d’observations sur la désambiguïsation des homographes de type verbe/substantif en français, c’est-à-dire, des mots dont la graphie est la même selon qu’ils soient verbe ou substantif (ex. : ferme). Ce mémoire tente de répondre à trois questions : 1. Pourquoi les étiqueteurs à modèle mathématique comme les trigrams réussissent-ils à 95%? 2. Qu’est-ce qui empêche d’améliorer ces performances? 3. Comment des connaissances linguistiques peuvent-elles permettre d’améliorer ces performances? En rapport à ces questions, les résultats obtenus lors de ces travaux montrent que : 1. les structures syntaxiques sont suffisamment récurrentes pour permettre aux trigrams de saisir en grande partie les règles syntaxiques nécessaires à la désambiguïsation; 2. le calcul d’un taux de succès général dissimule, d’un point de vue linguistique, des décisions incohérentes du modèle des trigrams qu’ils seraient difficile de rectifier simplement en modifiant les trigrams; 3. la connaissance de contraintes syntaxiques permet d’analyser plus en détail le comportement du modèle des trigrams et de suggérer, en conséquence, des solutions pour améliorer le taux de succès d’un étiqueteur.
84

Les marques de commerce : étude comparative du Petit Robert et du Petit Larousse Illustré

Sefrioui, Yasmina 08 1900 (has links) (PDF)
No description available.
85

Le recours aux appellatifs en situation dialogique

Robert, Julie 08 1900 (has links) (PDF)
No description available.
86

Testing equivalence classification: the acquisition of French L2 phones by St. Lucian Creole French and St. Lucian Creole English speakers

Cadette-Blasse, Antheia Dorn 08 1900 (has links) (PDF)
No description available.
87

The role of phonological memory in L2 acquisition in adults at different proficiency levels

Abdallah, Faten 04 1900 (has links) (PDF)
No description available.
88

L'humour verbal et sa traduction: Une étude de la série télévisée française KAAMELOTT

Florentin, Valérie 07 1900 (has links) (PDF)
No description available.
89

L'enseignement de la grammaire du français langue seconde à des apprenants adultes immigrants : explications et représentations des enseignants

Flores, Lucia 07 1900 (has links) (PDF)
No description available.
90

Questions and quantifiers. An Inquiry in Natural Language Metaphysics

Shimelman, Wendy Aviva 09 1900 (has links) (PDF)
Cette thèse traite des questions quantifiées (QQs) et, plus spécifiquement, de trois phénomènes : « Pair-List Readings » (PLRs), « Weak Islands » (WIs) et « Intervention Effects » (IEs). Nous observons que, dans plusieurs cas, il existe contraintes sur l’interprétation des QQs qui s’avèrent purement linguistiques. Par exemple, ni la logique ni la pragmatique n’empêche de répondre à la question Who did few girls see? par l’usage d’ une « pair list »; néanmoins, on ne le ferait pas spontanément. La question fondamentale qui sous-tend cette thèse est la suivante : quelles présuppositions ontologiques soutiennent le mieux une sémantique explicite des langues naturelles? Cette recherche contribue à l’ensemble de preuves que la langue naturelle quantifie sur au moins deux domaines, celui des individus et celui des évènements. Nous avons conçu une méthode novatrice pour tester les intuitions des locuteurs quant aux « conditions de réponse » des questions. Elle nous a permis de constater que des phrases interrogatives quantifiées peuvent être ambigües et avoir a la fois une lecture dite « d’objet » et une autre dite « d’événement ». Nous démontrons que les conditions de vérité de la réponse PL à une QQ sont celles de sa lecture événement. Nous postulons est que les possibilités d’interprétation d’une QQ dépendent de l’interaction des valeurs de deux paramètres : le domaine de quantification, (celui des événements ou celui des individus, E or D) et le type sémantique de la phrase sujet, (référentiel ou quantificatif, <d> ou <<dt>t>). Une lecture PL résulte de la combinaison [E,<d>]. Les WIs se produisent de la combinaison *[ E,<<dt>t>]. Nous avançons l’hypothèse que les langues naturelles ne génèrent pas cette combinaison, et qu’elle est exclue à cause d’un « type mismatch ». Les combinaisons [D,<d>] et [D,<<dt>t>] donnent lieu toutes les deux a une lecture « objet ». Les IEs sont dus à la combinaison de celle-ci avec un autre élément (« WH-AGENT ») qui s’interpose. Nous proposons deux alternatives pour la sémantique des QQs. La première est algébrique et emploie des « alternative sets »; la deuxième est dynamique. Ici, nous suggérons que l’opérateur interrogatif, Q, fonctionne à la manière d’un quantificateur adverbial comme généralement ou toujours. Cette approche permet un traitement plus uniforme des phrases déclaratives et interrogatives et elle contribue à l’unification de la sémantique des expressions nominales et verbales. / This dissertation looks at quantified questions (“QQs”) and, specifically, at Pair-List readings, Weak Islands and Intervention Effects (“PLRs,” “WIs” and “IEs”). In many cases, we observe that there are constraints on the interpretation of QQs that are irreducibly linguistic. Although no logical or pragmatic constraint precludes understanding, say, Who did few girls see? as a request for a pair-list, that interpretation is unavailable. The “big question” that structures this project is: What ontological presuppositions best support an explicit semantics for natural language? We contribute to the growing body of evidence that natural language quantifies over at least two basic domains, viz., individuals and events. We develop a somewhat novel method of testing speakers’ intuitions with regard to the “answerhood conditions” of questions. We found, first, that some quantified interrogatives can be ambiguous between an object- and an event-related reading. The truth conditions of the PL response to a quantified question are those of its event-related reading. The truth conditions of responses to non-quantified in-situ questions are also those of the event-related reading; the truth conditions of responses to raised quantified questions are those of the object-related reading. We hypothesize that the interpretive possibilities in QQs are a function of the values of two parameters: the domain being quantified over (events or individuals, E or D) and the type of the subject phrase (referential or quantificational, <d> or <<dt>t>). A PL reading results from the combination [E,<d>]. WIs are the product of the “combination” *[E,<<dt>t>]. We hypothesize that there are no extant examples of this combination in natural language – a type mismatch precludes it. Both the combinations [D,<d>] and [D,<<dt>t>] yield object-related readings. IEs result from the combination of the combination [D,<<dt>t>] and an intervener, “WH-AGENT.” We develop two proposals for the semantics of QQs. The first is algebraic and makes use of “alternative sets.” The second is dynamic. Here, the question operator, Q, is treated like an adverbial quantifier of the ilk of usually or always. This approach permits a more uniform treatment of the semantics of nominal and verbal expressions and of declaratives and interrogatives.

Page generated in 0.0984 seconds