• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 4
  • Tagged with
  • 4
  • 4
  • 4
  • 4
  • 4
  • 4
  • 4
  • 4
  • 2
  • 2
  • 2
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
1

L'optimisme comparatif comme indicateur d'efficacité d'une publicité utilisant la peur

Adam, Caroline January 2008 (has links)
Afin de déterminer si l'optimisme comparatif est un indicateur d'efficacité d'une publicité utilisant une forte peur, une expérimentation auprès de 173 universitaires de l'Université du Québec à Trois-Rivières issus du programme d'administration a été effectuée. Pour ce faire, quatre groupes d'expérimentation ont été formés : un groupe exposé à une publicité faible peur, un second soumis à une publicité forte peur axée sur la recommandation, un troisième exposé à une publicité forte peur axée sur la menace et un groupe témoin soumis à aucune publicité. Le thème des publicités était l'alcool au volant. L'analyse des résultats statistiques n'a pas permis d'établir un lien entre l'exposition à une forte peur et l'augmentation de l'optimisme comparatif. Toutefois, d'autres analyses ont mis en évidence le lien entre un fort optimisme comparatif, le traitement efficace d'une publicité utilisant la peur et la prédiction comportementale, et ce, peu importe le niveau de peur utilisé. Effectivement, selon la présente recherche, l'optimisme comparatif serait un allié des communications publiques et non une tendance à contrecarrer. Cette étude soulève également la consommation d'alcool réelle comme variable modératrice importante dans la perception des risques, la prédiction comportementale et le niveau d'implication envers le thème
2

Le traitement d'une publicité sociale avec une source anthropomorphe selon le modèle de probabilité d'élaboration

Gagné, Emmanuelle January 2011 (has links)
Tableau d'honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2011-2012 / Le modèle de probabilité d’élaboration de Petty et Cacioppo considère que face à un message persuasif, le récepteur peut suivre deux voies cognitives distinctes, centrale et périphérique, menant à la persuasion. Selon ce modèle, un récepteur peu impliqué envers le thème du message effectuera un traitement davantage périphérique que central, il s’attardera plus aux éléments périphériques du message, comme la source. A l’inverse, il soutient qu’un récepteur très impliqué générera un traitement plus central que périphérique, qu’il s’arrêtera notamment à l’argumentation. Cependant, face à un message publicitaire social sur l’économie d’énergie utilisant la stratégie de l’anthropomorphisme, spécifiquement une source anthropomorphe définie a priori comme élément périphérique, un récepteur fortement impliqué face à cette idée suivrait-il un traitement majoritairement périphérique? Les résultats de notre étude tendent à indiquer une réponse affirmative à cette question, donc à montrer l’influence de la source anthropomorphe sur le traitement de l’individu fortement impliqué.
3

L'implication multidimensionnelle des récepteurs comme indicateur de l'efficacité de l'argument de crainte : le cas des campagnes de sécurité routière

Daignault, Pénélope 12 April 2018 (has links)
Les campagnes de promotion en sécurité routière - plus encore, lorsque combinées avec d'autres interventions - constituent des leviers extrêmement importants dans la lutte contre l'insécurité routière. Il ne suffit cependant pas de communiquer pour être efficace. Le choix des stratégies appropriées s'avère primordial puisqu'il s'agit le plus souvent de décourager des comportements jugés préjudiciables. Le public visé est peu ouvert aux arguments fondés uniquement sur des bénéfices éventuels. Eu égard à la sécurité routière, diverses études ont conclu à la pertinence de l'argument de crainte pour accroître le sentiment d'implication des récepteurs, condition essentielle au changement de comportement. Le problème réside cependant dans le fait que malgré les efforts d'élaboration de campagnes les plus efficaces auprès du public ciblé, rares sont les tentatives d'évaluation de cette efficacité. Notre projet a pour objectif d'analyser l'efficacité - en termes d'augmentation du degré d'implication des récepteurs - de 19 publicités (radio & télé) en sécurité routière axées sur l'usage de trois niveaux de réalisme (symbolique, réaliste, hyperréaliste), de même que sur trois conditions d'orientation de la menace (alter, ego, mixte). Outre les échelles d'attitudes et le questionnaire psychométrique d'empathie - une disposition que nous présumons liée au potentiel d'implication - trois techniques évaluatives principales ont été utilisées pour tenter de capter les multiples dimensions de l'implication, soit la réponse électrodermale de conduction, la technique de l'évaluation continue et celle des réponses cognitives spontanées. Les analyses ont permis de conclure que ce sont les messages télévisuels de nature hyperréaliste et mixte qui suscitent une plus grande réactivité émotionnelle et une plus forte implication cognitive. / Road safety public education campaigns, combined with other interventions (as road control), constitute extremely important levers in reducing road fatalities. It is not enough however to communicate to be effective. The choice of the most suitable strategies proves to be paramount since it is generally a question of discouraging behaviors considered to be prejudicial. Moreover, the targeted audience is often not receptive to arguments based solely on the eventual benefits. In regard to road safety advertising, many studies concluded that the appeals arousing high levels of fear were the most effective in the increase of the involvement level, which is an essential condition to motivate behavior change. However, the problem is that despite the efforts expended to elaborate the most effective campaigns, their effectiveness is rarely evaluated. Thus, we evaluated the effectiveness of 19 ads (TV & radio) using three levels of fear (symbolic, realistic, hyperrealistic) and three conditions of threat orientation (ego, alter, mix). Besides the attitudes scales and the psychometric instrument used to measure empathy - a predisposition we presume is related to the involvement potential - three principal evaluation techniques were used : the electrodermal response (GSR), the continuous evaluation response (perceptual analyzer) and the spontaneous thought-listing procedure. The results show that hyperrealistic and mix television ads cause a greater emotional reactivity and a stronger cognitive involvement.
4

L'évaluation de l'efficacité des campagnes de publicité sociale / L'évaluation de l'efficacité des campagnes de publicité sociale

Champagne-Saint-Arnaud, Valériane, Champagne-Saint-Arnaud, Valériane January 2020 (has links)
La publicité sociale, que plusieurs inscrivent dans le domaine plus large du marketing social, occupe une part importante de l’industrie de la communication marketing au Québec : des dizaines de millions de dollars sont investis chaque année dans des campagnes publicitaires promouvant des causes sociales et environnementales multiples. Si les annonceurs sociaux choisissent cette forme de communication persuasive, c’est parce qu’ils sont animés de la conviction qu’elle est efficace pour susciter l’adoption de « bons » comportements ou l’abandon de « mauvais » comportements chez le public visé. Or, cette assertion soulève inévitablement des questions : l’efficacité des campagnes de publicité sociale est-elle évaluée? Le cas échéant, sur quels indicateurs et méthodes s’appuient ces évaluations? Sont-ils arrimés aux plus récentes connaissances issues de la recherche scientifique? Dans les écrits scientifiques, deux constats émergent : l’absence de consensus sur ce qui constitue une campagne efficace et sur la manière d’évaluer cette efficacité, ainsi que le manque de données empiriques sur les pratiques d’évaluation des professionnels. De tels constats conduisent naturellement à s’interroger sur la dynamique d’échange entre la recherche scientifique et les professionnels de la publicité sociale. Les données scientifiques sont-elles transférées aux professionnels? Dans l’affirmative, les intègrent-ils à leurs pratiques? Encore une fois, la revue de la littérature permet de constater que ces enjeux ont été peu documentés empiriquement jusqu’à présent. Dans ce contexte, l’étude s’est penchée sur l’enjeu général de l’arrimage entre les connaissances issues de la recherche scientifique (CIR) et les pratiques d’évaluation des campagnes de publicité sociale au Québec. S’appuyant sur un devis méthodologique mixte, un questionnaire a d’abord été soumis à soixante-deux professionnels de la publicité sociale oeuvrant au Québec, afin d’établir un portrait chiffré de leurs pratiques à l’égard de l’évaluation des campagnes ainsi que du transfert et de l’utilisation des connaissances scientifiques. Puis, vingt-trois professionnels ont participé à des entretiens individuels pour explorer plus en profondeur les raisons qui sous-tendent ces pratiques. / La publicité sociale, que plusieurs inscrivent dans le domaine plus large du marketing social, occupe une part importante de l’industrie de la communication marketing au Québec : des dizaines de millions de dollars sont investis chaque année dans des campagnes publicitaires promouvant des causes sociales et environnementales multiples. Si les annonceurs sociaux choisissent cette forme de communication persuasive, c’est parce qu’ils sont animés de la conviction qu’elle est efficace pour susciter l’adoption de « bons » comportements ou l’abandon de « mauvais » comportements chez le public visé. Or, cette assertion soulève inévitablement des questions : l’efficacité des campagnes de publicité sociale est-elle évaluée? Le cas échéant, sur quels indicateurs et méthodes s’appuient ces évaluations? Sont-ils arrimés aux plus récentes connaissances issues de la recherche scientifique? Dans les écrits scientifiques, deux constats émergent : l’absence de consensus sur ce qui constitue une campagne efficace et sur la manière d’évaluer cette efficacité, ainsi que le manque de données empiriques sur les pratiques d’évaluation des professionnels. De tels constats conduisent naturellement à s’interroger sur la dynamique d’échange entre la recherche scientifique et les professionnels de la publicité sociale. Les données scientifiques sont-elles transférées aux professionnels? Dans l’affirmative, les intègrent-ils à leurs pratiques? Encore une fois, la revue de la littérature permet de constater que ces enjeux ont été peu documentés empiriquement jusqu’à présent. Dans ce contexte, l’étude s’est penchée sur l’enjeu général de l’arrimage entre les connaissances issues de la recherche scientifique (CIR) et les pratiques d’évaluation des campagnes de publicité sociale au Québec. S’appuyant sur un devis méthodologique mixte, un questionnaire a d’abord été soumis à soixante-deux professionnels de la publicité sociale oeuvrant au Québec, afin d’établir un portrait chiffré de leurs pratiques à l’égard de l’évaluation des campagnes ainsi que du transfert et de l’utilisation des connaissances scientifiques. Puis, vingt-trois professionnels ont participé à des entretiens individuels pour explorer plus en profondeur les raisons qui sous-tendent ces pratiques. / L’analyse conjointe des résultats du questionnaire et des entretiens a révélé que les pratiques des professionnels sont partiellement rigoureuses pour évaluer l’efficacité des campagnes, puisqu’elles présentent des lacunes autant pour mesurer les réactions que les résultats générés. Cette conclusion s’articule autour de cinq observations principales : (1) les professionnels n’effectuent pas systématiquement une évaluation des campagnes et, lorsqu’ils le font, c’est principalement à court terme après leur déploiement; (2) les indicateurs et les méthodes utilisés pour évaluer les réactions couvrent rarement la phase d’implication du récepteur; (3) le recours fréquent aux statistiques de popularité d’une campagne sur Internet fournit des données peu pertinentes pour en mesurer les effets réels qu’elle génère; (4) les indicateurs permettant de mesurer le processus de changement comportemental ne sont pas systématiquement utilisés et (5) les professionnels misent souvent sur des méthodes subjectives reposant sur des mesures autorapportées par le public cible des campagnes. Qui plus est, les entretiens ont révélé la tendance des professionnels à sélectionner certaines données et/ou à les interpréter à leur avantage, ce qui peut conduire à déclarer efficaces des campagnes qui ne le sont pas en réalité. Par ailleurs, l’étude révèle que les professionnels de la publicité sociale entretiennent un lien ténu avec le monde la recherche scientifique. Les activités de transfert et d’utilisation des CIR sont peu fréquentes et, lorsqu’elles sont réalisées, c’est principalement dans une visée utilitaire. Autrement dit, les CIR ne servent généralement pas à guider les décisions stratégiques et créatives en aval, mais plutôt à les supporter en amont. Finalement, l’étude offre un apport théorique important en proposant un nouveau cadre conceptuel et opérationnel de l’évaluation des campagnes de publicité sociale. Clarifiant ce qu’est une campagne de publicité sociale efficace et établissant une catégorisation précise des indicateurs et des méthodes permettant de l’évaluer, ce cadre fournit une distinction claire entre les réactions générées par une campagne et ses résultats d’une campagne, deux concepts qui souffraient d’une importante imprécision dans la littérature scientifique jusqu’à présent. L’évaluation des réactions s’appuie sur une nouvelle modélisation en trois phases, fruit de la fusion de modèles hiérarchiques et non hiérarchiques de la réception d’une publicité sociale. L’évaluation des résultats, quant à elle, s’enracine dans un modèle théorique du changement comportemental éprouvé empiriquement – l’approche de l’action raisonnée de Fishbein et Ajzen (2010) – dont il décompose chacune des variables pour en faire cinq indicateurs d’efficacité publicitaire. / L’analyse conjointe des résultats du questionnaire et des entretiens a révélé que les pratiques des professionnels sont partiellement rigoureuses pour évaluer l’efficacité des campagnes, puisqu’elles présentent des lacunes autant pour mesurer les réactions que les résultats générés. Cette conclusion s’articule autour de cinq observations principales : (1) les professionnels n’effectuent pas systématiquement une évaluation des campagnes et, lorsqu’ils le font, c’est principalement à court terme après leur déploiement; (2) les indicateurs et les méthodes utilisés pour évaluer les réactions couvrent rarement la phase d’implication du récepteur; (3) le recours fréquent aux statistiques de popularité d’une campagne sur Internet fournit des données peu pertinentes pour en mesurer les effets réels qu’elle génère; (4) les indicateurs permettant de mesurer le processus de changement comportemental ne sont pas systématiquement utilisés et (5) les professionnels misent souvent sur des méthodes subjectives reposant sur des mesures autorapportées par le public cible des campagnes. Qui plus est, les entretiens ont révélé la tendance des professionnels à sélectionner certaines données et/ou à les interpréter à leur avantage, ce qui peut conduire à déclarer efficaces des campagnes qui ne le sont pas en réalité. Par ailleurs, l’étude révèle que les professionnels de la publicité sociale entretiennent un lien ténu avec le monde la recherche scientifique. Les activités de transfert et d’utilisation des CIR sont peu fréquentes et, lorsqu’elles sont réalisées, c’est principalement dans une visée utilitaire. Autrement dit, les CIR ne servent généralement pas à guider les décisions stratégiques et créatives en aval, mais plutôt à les supporter en amont. Finalement, l’étude offre un apport théorique important en proposant un nouveau cadre conceptuel et opérationnel de l’évaluation des campagnes de publicité sociale. Clarifiant ce qu’est une campagne de publicité sociale efficace et établissant une catégorisation précise des indicateurs et des méthodes permettant de l’évaluer, ce cadre fournit une distinction claire entre les réactions générées par une campagne et ses résultats d’une campagne, deux concepts qui souffraient d’une importante imprécision dans la littérature scientifique jusqu’à présent. L’évaluation des réactions s’appuie sur une nouvelle modélisation en trois phases, fruit de la fusion de modèles hiérarchiques et non hiérarchiques de la réception d’une publicité sociale. L’évaluation des résultats, quant à elle, s’enracine dans un modèle théorique du changement comportemental éprouvé empiriquement – l’approche de l’action raisonnée de Fishbein et Ajzen (2010) – dont il décompose chacune des variables pour en faire cinq indicateurs d’efficacité publicitaire. / The joint analysis of the results of the questionnaire and the interviews revealed that the professionals' practices are partially rigorous in evaluating campaign effectiveness, since they have shortcomings in both measuring target audience reactions and behavioral results. This conclusion is based on five main observations: (1) professionals do not systematically carry out an evaluation of campaigns and, when they do, it is mainly in the short term after their deployment; (2) the indicators and methods used to assess the reactions rarely cover the target audience involvement phase; (3) frequent use of popularity statistics for an Internet campaign provides irrelevant data for measuring audience reactions; (4) the indicators used to measure the behavioral change process are not systematically used and (5) professionals often rely on subjective methods based on selfreported measures by the target audience. Moreover, the interviews revealed the tendency of professionals to select certain data and/or interpret them to their advantage, which may lead to declaring campaigns that are not effective in reality. In addition, the study reveals that social advertising professionals have a tenuous connection to the world of scientific research. The transfer and use of scientific knowledge are infrequent and, when carried out, it is primarily for utilitarian purposes. In other words, scientific knowledge is generally not used to guide policy and creative decisions downstream, but rather to support them upstream. Finally, the study offers an important theoretical contribution by proposing a new conceptual and operational framework for the evaluation of social advertising campaigns. Clarifying what an effective social advertising campaign is and establishing an accurate categorization of indicators and methods for evaluating it, this framework provides a clear distinction between the target audience reactions and the behavioral results of a campaign. These are two concepts that have suffered from significant imprecision in scientific literature so far. The reactions assessment is based on a new three-phrase model. This is the result of the merging of hierarchical and non-hierarchical models of information processing. The evaluation of behavioral results, for its part, is rooted in a theoretical model that is proven empirically – the Fishbein and Ajzen (2010)’s reasoned action approach – of which it breaks down each of the variables to make five indicators of advertising effectiveness. / The joint analysis of the results of the questionnaire and the interviews revealed that the professionals' practices are partially rigorous in evaluating campaign effectiveness, since they have shortcomings in both measuring target audience reactions and behavioral results. This conclusion is based on five main observations: (1) professionals do not systematically carry out an evaluation of campaigns and, when they do, it is mainly in the short term after their deployment; (2) the indicators and methods used to assess the reactions rarely cover the target audience involvement phase; (3) frequent use of popularity statistics for an Internet campaign provides irrelevant data for measuring audience reactions; (4) the indicators used to measure the behavioral change process are not systematically used and (5) professionals often rely on subjective methods based on selfreported measures by the target audience. Moreover, the interviews revealed the tendency of professionals to select certain data and/or interpret them to their advantage, which may lead to declaring campaigns that are not effective in reality. In addition, the study reveals that social advertising professionals have a tenuous connection to the world of scientific research. The transfer and use of scientific knowledge are infrequent and, when carried out, it is primarily for utilitarian purposes. In other words, scientific knowledge is generally not used to guide policy and creative decisions downstream, but rather to support them upstream. Finally, the study offers an important theoretical contribution by proposing a new conceptual and operational framework for the evaluation of social advertising campaigns. Clarifying what an effective social advertising campaign is and establishing an accurate categorization of indicators and methods for evaluating it, this framework provides a clear distinction between the target audience reactions and the behavioral results of a campaign. These are two concepts that have suffered from significant imprecision in scientific literature so far. The reactions assessment is based on a new three-phrase model. This is the result of the merging of hierarchical and non-hierarchical models of information processing. The evaluation of behavioral results, for its part, is rooted in a theoretical model that is proven empirically – the Fishbein and Ajzen (2010)’s reasoned action approach – of which it breaks down each of the variables to make five indicators of advertising effectiveness. / Social advertising, which is part of the broader field of social marketing, occupies a significant part of the marketing communications industry in Quebec. Tens of millions of dollars are invested every year for advertising campaigns that promote multiple social and environmental causes. If social advertisers choose this persuasive form of communication, it is because they are convinced that it is effective in encouraging the adoption of "good" behaviors or the abandonment of "bad" behaviors among the targeted audience. Nevertheless, this assertion inevitably raises questions: is the effectiveness of social advertising campaigns evaluated? If so, what indicators and methods are used to support these evaluations? Are they linked to the latest evidence based on scientific research? Two findings emerge from the scientific literature: the lack of consensus on what constitutes an effective campaign and how to evaluate this effectiveness, as well as the lack of empirical data on professional evaluation practices. Such findings naturally lead to question the dynamics of exchange between scientific research and social advertising professionals. Is the scientific data transferred to the professionals? If so, do they incorporate them into their practices? Once again, a review of the literature shows that up until now, these issues have been poorly documented on an empirical level. In this context, the study looked at the general issue of the link between knowledge generated from scientific research and the evaluation practices of social advertising campaigns in Quebec. Based on a mixed methods design, a questionnaire was first submitted to sixty-two social advertising professionals working in the province of Quebec. Its purpose was to establish a quantitative profile of their practices with respect to campaign evaluation and the transfer and use of scientific knowledge. Twenty-three professionals then took part in oneon- one interviews to further explore the reasons behind these practices. / Social advertising, which is part of the broader field of social marketing, occupies a significant part of the marketing communications industry in Quebec. Tens of millions of dollars are invested every year for advertising campaigns that promote multiple social and environmental causes. If social advertisers choose this persuasive form of communication, it is because they are convinced that it is effective in encouraging the adoption of "good" behaviors or the abandonment of "bad" behaviors among the targeted audience. Nevertheless, this assertion inevitably raises questions: is the effectiveness of social advertising campaigns evaluated? If so, what indicators and methods are used to support these evaluations? Are they linked to the latest evidence based on scientific research? Two findings emerge from the scientific literature: the lack of consensus on what constitutes an effective campaign and how to evaluate this effectiveness, as well as the lack of empirical data on professional evaluation practices. Such findings naturally lead to question the dynamics of exchange between scientific research and social advertising professionals. Is the scientific data transferred to the professionals? If so, do they incorporate them into their practices? Once again, a review of the literature shows that up until now, these issues have been poorly documented on an empirical level. In this context, the study looked at the general issue of the link between knowledge generated from scientific research and the evaluation practices of social advertising campaigns in Quebec. Based on a mixed methods design, a questionnaire was first submitted to sixty-two social advertising professionals working in the province of Quebec. Its purpose was to establish a quantitative profile of their practices with respect to campaign evaluation and the transfer and use of scientific knowledge. Twenty-three professionals then took part in oneon- one interviews to further explore the reasons behind these practices.

Page generated in 0.1054 seconds