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The historical geography of the St. Maurice valley : with special reference to urban occupanceUren, Philip Ernest. January 1949 (has links)
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Le développement industriel d'une région du proche hinterland québécois, la Mauricie, 1900-1975 /Brouillette, Normand. January 1983 (has links)
Technological development at the turn of the twentieth century, more specially in the hydroelectricity industry, has brought the industrialization of several regions. It has been particularly the case in Quebec, after 1900, when the growth of new industrial groups such as pulp and paper, electro-metallurgy, etc... had given way to the structuration of Quebec's industrial space-economy. After a rapid industrial growth, which has been maintained until the end of the fifties, the Quebec's "inner periphery" regions, which have developed on these industrial groups, have known a slow down when it was not a steady decline. / Through a detailed analysis of the strategies put forward by the industrial firms of the Mauricie region, which is a fairly representative region of the Quebec's "inner periphery", this study emphasizes on the mechanisms and processes of industrial growth and decline which is experimented today by several regions.
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Le développement industriel d'une région du proche hinterland québécois, la Mauricie, 1900-1975 /Brouillette, Normand. January 1983 (has links)
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Géomorphologie structurale de la partie SW du Parc national de La MauricieBoudreault, André 26 October 2024 (has links)
Cette recherche qui s'inscrit avant tout, dans une perspective géographique, vise un domaine peu exploité au Québec; celui de l'étude des formes du relief en milieu cristallin. Son objectif principal est de reconnaître les rôles tenus respectivement par les formations géologiques et les dispositifs de fissures associés â l'hypothétique mouvement de la surface primitive dans la genèse des formes. En général l'hypothèse structurale est utilisée dans les milieux où les influences morphologiques de la lithologie sont indécelables à cause de l'absence d'orientations préférentielles des cristaux dans la roche. Par exemple, dans les granites, homogènes par définition, les fissures gisantes ne peuvent pas être comparées à des foliations, vu l'absence de ces dernières, de sorte que l'hypothèse structurale, qui met en rapport les reliefs avec de telles fissures, doit compter sur sa propre logique interne seulement. Rien dans les formations géologiques ne permet de démontrer statistiquement que les fissures gisantes soient génétiquement liées à la morphogenèse. Dans le cas du terrain présentement à l'étude, la lithologie se compose de gneiss(paragneiss) dont les cristaux sont très nettement orientés: les foliations en outre présentent des pendages excédant rarement 20 degrés. Ainsi les fissures gisantes (linéations au sens large), mises en rapport avec les formes de relief conformément â l'hypothèse structurale, peuvent dans ce cas être comparées statistiquement au système intégrant les foliations. Par ailleurs, celles-ci présentent des pendages faibles et autorisent de ce fait ce type de comparaison, les profils morphologiques étant plutôt fuyants d'une manière générale. Ces comparaisons indiqueront des associations rendant possible la reconnaissance de cette différence essentielle entre formations géologiques et formes de relief. Il s'agit donc d'une recherche qui s'amorce par une description détaillée des formes à laquelle s'ajoute une analyse des mesures de terrain. Un essai sur la genèse des formes du territoire à l'étude, constitue la troisième partie, alors que la quatrième et dernière partie se veut une synthèse des rôles tenus respectivement par les composantes géologiques et géomorphologiques dans l'évolution des formes.
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Contribution à l'étude phytosociologique des forêts du parc national de la Mauricie, QuébecLalumière, Richard 15 May 2024 (has links)
Cette étude vise principalement l'analyse, la description, la classification et la cartographie des groupements forestiers des deux tiers supérieurs du parc national de la Mauricie. Elle complète celle du tiers inférieur effectuée par Grandtner et al . (1975). Le parc national de la Mauricie, situé dans une zone de transition entre les forêts décidues plus méridionales et la forêt boréale plus au nord, renferme une variété intéressante de groupements forestiers. Leur diversité est accrue du fait qu'ils ont tous subi l'influence de la coupe et/ou du feu. L'analyse phytosociologique, effectuée au moyen de la méthode de Braun-Blanquet (1964), nous a permis de reconnaître 67 groupements, répartis en 47 associations, 43 sous-associations et six variantes dont plusieurs sont nouvellement décrites pour la province de Québec. Ils reposent, pour la plupart, sur quatre types de dépôts de surface principaux: glaciaire, fluvio-glaciaire, fluviatile et organique. Les sols qui se développent dans les trois premiers appartiennent principalement â l'ordre podzolique. Environ 340 taxons vasculaires, 85 bryophytes et 68 lichens ont été identifiés dans le secteur étudié. Ce dernier héberge, entre autres, une mousse nouvelle pour le Québec: Thuidium minutulum (Hedw.) B.S.G.. La connaissance plus approfondie de la composition floristique, de la distribution et du dynamisme des groupements forestiers s'est avérée utile pour l'aménagement du parc.
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Une économie en déséquilibre : les Autochtones du St-Maurice, de la traite des fourrures à la construction des barrages hydroélectriquesAllaire, Bernard 25 April 2018 (has links)
Introduits au monde euro-canadien vi .: le commerce des fourrures, les Autochtones du bassin hydrographique du St-Maurice font face entre le début du XIXe siècle et le milieu du XXe siècle a plusieurs vagues de destruction de l'environnement (la forêt) dont leur survie économique dépend. C'est de ces atteintes aux ressources de la foret mauricienne qu'il est question dans cette thèse. Plus particulièrement des effets de l’industrie forestière, des mouvements de colonisation des Canadiens-français et de la construction des barrages hydroélectriques. En s'insérant dans cette économie nord-américaine sur laquelle ils n'ont aucun pouvoir, les Autochtones perdront à tout jamais le contrôle de leurs territoires de chasse traditionnels au profit des Euro-Canadiens. Les modifications importantes que les Euro-Canadiens induiront a l'écologie de la région finiront par remettre en cause le mode de vie traditionnel des Autochtones base sur la chasse de subsistance et la trappe des animaux à fourrures. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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Étude phytosociologique des forêts du tiers inférieur du parc national de la Mauricie, QuébecThibault, Michel 23 February 2022 (has links)
Cette étude a pour but de classifier, décrire et cartographier la végétation des forêts du tiers inférieur du parc national de la Mauricie. Au total, 157 relevés de 0,04 ha ont été effectués le long de 53 transects distribués systématiquement sur un territoire de près de 175 km² . À chaque relevé, une description complète a été faite de la végétation et du sol. La classification qui a suivi, a permis d1identifier 39 groupements dont 8, soit 6 sous-associations et 2 variantes, ont été décrits pour la première fois. La description des groupements porte notamment sur la physionomie, la stratification verticale, la composition floristique, le statut évolutif et le dynamisme, ainsi que sur certains caractères édaphiques. Les relations qui existent entre les principaux groupements stables et certains facteurs du milieu sont décrites sommairement. Enfin, quelques séries physiographiques et évolutives illustrent ces relations et donnent un aperçu de la distribution de la végétation.
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De pierres et de rivières : mobilité et interactions dans les Laurentides méridionalesPilette, Olivier 16 January 2024 (has links)
Titre de l'écran-titre (visionné le 12 janvier 2024) / Cette recherche a pour objectif d'explorer l'aspect social de la mobilité des communautés de chasseurs pêcheurs-cueilleurs qui ont habité, marché et navigué dans les Laurentides méridionales, à l'intérieur du territoire formé par les bassins-versants des rivières du Lièvre, Rouge et de la Petite Nation. La recherche propose une analyse et une comparaison de données archéologiques d'un échantillon de 7861 artefacts lithiques provenant de 79 sites archéologiques. Ces derniers ont été sélectionnés en raison de l'abondance et de la diversité de leur assemblage lithique et de leur représentativité spatiale. L'étude repose sur une méthodologie en deux parties. La première correspond à une caractérisation visuelle macroscopique d'outils et de débris en pierre taillée. La seconde utilise les outils et concepts de l'analyse de réseaux et la théorie des graphes afin de représenter des interactions entre sites archéologiques. La recherche s'intègre par conséquent dans une perspective relationnelle de la culture. Ce mémoire démontre que les Laurentides méridionales constituent un univers culturel relativement homogène et que les variations culturelles les plus importantes se retrouvent entre le contexte méridional de la vallée de la rivière des Outaouais et celui plus nordique de la Haute-Mauricie. Si de nouveaux phénomènes émergent de la projection de six graphes, l'absence de contrôle chronologique des données limite toutefois la portée interprétative de la méthode. / The goal of this research is to explore the social aspect of mobility among hunter-gatherer communities who inhabited, walked, and navigated the southern Laurentian region within the territory formed by the watersheds of the Lièvre, Rouge, and Petite Nation rivers. The research proposes an analysis and comparison of archaeological data from a sample of 7861 lithic artifacts originating from 79 archaeological sites. These sites were selected based on the abundance and diversity of their lithic assemblage and their spatial representativeness. The study is based on a two-part methodology. The first part involves a macroscopic visual characterization of lithic tool and debris. The second part utilizes tools and concepts from networkanalysis and graph theory to represent interactions between archaeological sites. Therefore, the research integrates a relational perspective of culture. This master's thesis demonstrates that the southern Laurentian region constitutes a relatively homogeneous cultural universe, and the most significant cultural variations are found between the southern context of the Ottawa River Valley and the more northern context of Upper Mauricie. While new phenomena emerge from the projection of six graphs, the lack of chronological control over the data limits the interpretive scope of the method.
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Étude phytosociologique des forêts du tiers inférieur du parc national de la Mauricie, QuébecThibault, Michel 23 February 2022 (has links)
Cette étude a pour but de classifier, décrire et cartographier la végétation des forêts du tiers inférieur du parc national de la Mauricie. Au total, 157 relevés de 0,04 ha ont été effectués le long de 53 transects distribués systématiquement sur un territoire de près de 175 km² . À chaque relevé, une description complète a été faite de la végétation et du sol. La classification qui a suivi, a permis d1identifier 39 groupements dont 8, soit 6 sous-associations et 2 variantes, ont été décrits pour la première fois. La description des groupements porte notamment sur la physionomie, la stratification verticale, la composition floristique, le statut évolutif et le dynamisme, ainsi que sur certains caractères édaphiques. Les relations qui existent entre les principaux groupements stables et certains facteurs du milieu sont décrites sommairement. Enfin, quelques séries physiographiques et évolutives illustrent ces relations et donnent un aperçu de la distribution de la végétation.
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Land use patterns in the Laurentides between the Saint-Maurice and Rouge valleys (Québec).Clibbon, Peter Brooke 25 April 2018 (has links)
Depuis la fin de la deuxième guerre mondiale, l'utilisation du sol, les paysages et l'économie régionale de vastes sections des petites Laurentides du Québec ont été radicalement transformés. Aujourd'hui, 160 ans après l’arrivée des premiers bûcherons et des premiers colons dans la région, la période agricole tire définitivement vers sa fin; les chantiers remontent de plus en plus vers le nord, à cause principalement de l'épuisement des ressources commerciales de la forêt; enfin, la région est devenue, en grande partie, un hinterland récréationel très développé pour Montréal, Québec, Hull-Ottawa, Trois-Rivières, Shawinigan-Grand’Mère, et les autres villes des vallées du Saint-Laurent et de l’0utaouais. La région du bouclier qui s'étend entre les vallées de la rivière Rouge et du Saint-Maurice (comprenant la plus grande partie des comtés d'Argenteuil, de Terrebonne, de Montcalm, de Joliette, de Berthier, de Maskinongé et de Saint-Maurice), largement comprise dans la zone a-i influence de Montréal, est peut-être le secteur des Laurentides qui évolue le plus rapidement. Le "pattern" actuel de l'utilisation du sol de ce secteur et son évolution - c'est le thème de cet essai - présentent donc un intérêt particulier. On a divisé le secteur en six méso-régions: Mauricie, rivière du Loup, Maskinongé, Mattawin, Assomption-Ouareau, et enfin, la région "laurentienne", cette dernière s'étendant au nord-ouest de Montréal le long de l'axe fourni par la route 11. Le "pattern" actuel de l'utilisation du sol de chacune de ces ré6ions est décrit en détail. À cela s'ajoute une analyse des facteurs: roche-mère, topographie, matériaux de surface, climat, historique du peuplement, exploitation forestière, tourisme, communications et urbanisation, qui expliquent le mieux ce "pattern" de même que son évolution. Les autorités coloniales britanniques commencèrent à établir des plans de colonisation de la région des Laurentides à la fin du dix-huitième siècle. Aux environs de 1790, leurs arpenteurs divisèrent t la région en cantons de 100 milles carrés portant des noms comme Rawdon, Kilkenny, Chilton et Brandon. Parmi les premiers colons, outre quelques éléments canadiens français, fissuraient une poignée de Loyalistes, d'Américains, et d'officiers et de soldats britanniques à la retraite . Cependant, le gros des colons d'expression anglaise était composé d'immigrants irlandais et écossais, qui arrivèrent dans la région entre 1820 et 1840, attirés par des offres alléchantes: terres, instruments, rations alimentaires, transports offerts gratuitement. Les attributions considérables de terres et les concessions accordées aux compagnies forestières et aux spéculateurs anglophones pendant la même période, ont concouru également à l'ouverture de l'arrière-pays à la colonisation, principalement dans la région de Maskinongé, de la rivière du Loup et de la Mauricie. La vague de colonisation britannique prit fin vers l'année 1840, mais à cette époque, les Canadiens français, venant des seigneuries surpeuplées des basses terres, commencèrent à se déverser dans la région . S'appropriant d'abord des fermes du rebord du bouclier abandonnées par les Britanniques, ils gagnèrent par la suite les hautes terres légèrement ondulées et les plaines alluviales encore non - cadastrées de l'intérieur (par exemple, la région de la Mattawin et la haute vallée de la rivière Rouge). Cette poussée vers le nord, fortement encouragée par le gouvernement provincial, l'Église catholique romaine et les sociétés de colonisation de Montréal, se prolongea durant cinquante a ' soixante -dix ans, et fut suivie par une période d'abandon des terres qui s'est poursuivie jusqu'aujourd'hui. Le rétrécissement de l'écoumène agricole (lequel est passé de 110 000 à 26 000 acres dans la seule région "laurentienne" entre 1921 et 1961) et la substitution des exploitations agricoles marginales à des usages plus profitables ont eu pour résultat l'établissement de rapports plus rationnels entre la "capacité" du sol et son utilisation dans l'ensemble de la région. Cependant, des améliorations apportées au réseau de communications et le développement continuel du tourisme d'été et d'hiver, la spéculation sur les terres et l'urbanisation menacent maintenant même les zones d ' agriculture pros pères. Depuis 1945, dans la vallée de la rivière du Nord en particulier, et dans d'autres régions, les facteurs ci-haut mentionnés se sont combinés pour amener la disparition de l’agriculture. Les projets d'extension de l'Autoroute des Laurentides et de l'Autoroute 40 (laquelle suit le côté nord de la vallée du Saint-Laurent entre Montréal et Berthierville ) aura sans nul doute pour résultat la création éventuelle de nouveaux développements récréationnels et urbains dans des rég ions telles que les bassins de Saint-Jovite et de Saint-Gabriel . Ces projets devraient aider à l'ouverture prochaine au tourisme de vallées peu développées comme celle de la Maskinongé, de la rivière du Loup et de la Mauricie. L’annulation des baux des clubs de pêche et de chasse dans les régions qui connaîtront un développement imminent serait souhaitable. D'ici peu (vingt ou trente ans, peut-être ), on verra que l'utilisation du sol à des fins urbaines et récréationnelles prédominera presque partout dans les Laurentides entre la vallée de la rivière Rouge et celle du Saint-Maurice. L'agriculture, jadis activité économique de base ici, ne sera plus qu’un souvenir. / Since the end of World War II, the land use, landscapes, and regional economy of large sections of Québec’s Laurentide hills have been radically transformed. Now, 160 years after the arrival of the first colonists and lumbermen in the area , the death knell is finally sounding for farming, the "chantiers" are moving farther and farther north, mainly because of the depletion of the commercial forest resources, and the region has become, in large part, a highly-developed recreational hinterland for Montréal, Québec, Hull-Ottawa, Trois-Rivières, Shawinigan - Grand'Mère, and the other towns of the Saint Lawrence and Ottawa valleys. The Shield area between the Rouge and Saint-Maurice valleys, lying largely within the orbit of Montréal and comprising most of Argenteuil, Terrebonne, Montcalm, Joliette, Berthier, Maskinongé and Saint-Maurice counties, is perhaps the most rapidly evolving sector of the Laurentides, and so the evolution and present pattern of its land use, the theme of this dissertation, is of particular interest. The area has been divided into six regions - the Mauricie, rivière du Loup, Maskinongé, Mattawin, Assomption-Ouareau, and 11 Laurentian" zones (the latter lies northwest of Montréal a long the axis provided by Route 11). The present patterns of land use in each of these regions are described in detail, along with an analysis of the factors and elements bedrock·and topography, surface materials, climate, history of settlement, forest exploitation, tourism, communications and urbanization which best explain them. British colonial authorities began to plan the settlement of the Laurentide region in the late eighteenth century, and during the 1790s their surveyors broke the area up into 100 square mile townships with names such as Rawdon, Kilkenny, Chilton and Brandon. The first settlers were a handful of Loyalists, Americans, and retired British army officers and enlisted men, but the bulk of the English- speaking colonists were Irish and Scotch immigrants who arrived in the area between 1820 and 1840) attracted by offers of free passage) land, tools and rations. The large land grants and timber concessions which were made to English lumbermen and speculators during the same period also helped to open the interior to settlement, notably in the Maskinongé, rivière du Loup and Mauricie regions. The wave of British settlement died out around 1840, but at this time French-Canadians from the overcrowded lowland seigneuries began to spill over into the area, first appropriating many of the Shield-edge farms abandoned by the British, and later moving onto the gently rolling highlands and flat alluvial plains of the unsurveyed interior (Mattawin region, upper Rouge valley). This push toward the north, strongly encouraged by the provincial government, the Roman Catholic church, and Montréal-based colonization societies, lasted from fifty to seventy years, and was followed by a period of land abandonment which has continued until the present. The shrinking of the agricultural ecumene (which dropped from 110,000 to 26,000 acres in the "Laurentian" area alone between 1921 and 1961), and the transfer of marginal farmland to more profitable uses, has brought about a more rational relationship between land capability and land use throughout the area. However, improvements to the communications network, and the continuing development of summer and winter tourism, land speculation and urbanization, now threaten even the areas of good farmland, and since 1945, have combined to bring about the virtual disappearance of farmland in the Nord river valley and other areas. Projected extensions to the Autoroute des Laurentides and Autoroute 40 (which follows the north side of the Saint Lawrence valley between Montréal and Berthierville) will undoubtedly stimulate additional recreational and urban growth in areas such as the Saint-Jovite basin and the Saint-Gabriel lowland, and should help to open up to tourism hitherto lightly-developed valleys such as the Maskinongé, rivière du Loup and Saint-Maurice. Cancellation of fishing and hunting club leases in these areas of imminent development would be desirable, and now seems likely. It would now appear that within a very short time, perhaps twenty or thirty years, urban and recreational land use will predominate almost everywhere in the Laurentides between the Rouge and Saint-Maurice valleys, and farming, once the basic economic activity here, will be no more than a distant memory. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2016
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