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Following the Story: Narrative Mapping as a Mobile Method for Tracking and Interrogating Spatial NarrativesHanna, Stephen P., Carter, Perry L., Potter, Amy E., Bright, Candace Forbes, Alderman, Derek A., Modlin, E. Arnold, Butler, David L. 02 January 2019 (has links)
Museums and heritage tourism sites are highly curated places of memory work whose function is the assembling and ordering of space and narrative to contour visitors’ experiences of the past. Variations in such experiences within and between sites, however, necessitates a method that: (1) captures how guides, visitors, and exhibits interact within spaces when representing and performing history and (2) allows researchers to document those variations. We developed narrative mapping, a mobile and geographically sensitive form of participant observation, to enable museum scholars and professionals to systematically capture, visualize, and interpret tendencies and variations in the content, affective qualities, and spatial arrangements of museum narratives over multiple sites and across multiple tours at the same site. Two antebellum plantation museum case studies, Laura Plantation in Louisiana and Virginia’s Berkeley Plantation, demonstrate the method’s utility in documenting how stories are spatially configured and materially enlivened in order to analyze the ways enslaved persons are placed within these narratives.
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Contribution des regards citoyens dans le cadre d'une démarche de prospective paysagère en milieu périurbainBergeron, Julie 06 1900 (has links)
Au moment où les territoires périurbains se transforment rapidement sous l’impulsion des stratégies de développement de l’industrie immobilière, les préoccupations sociales en matière de qualité des paysages et des cadres de vie se font de plus en plus grandes. Devant ces enjeux, les actions aménagistes privilégient le plus souvent des solutions à partir d’un regard « expert » généralement étranger aux demandes sociales en présence. Devant l’insuffisance des connaissances des regards citoyens, il y a une urgence à développer des méthodes originales aptes à révéler ce savoir local.
Une enquête menée à l’automne 2009 à Saint-Bruno-de-Montarville, sur la Rive-Sud de Montréal, révèle la pertinence d’une approche anthropologique sous-utilisée et novatrice en particulier pour les recherches en aménagement : celle du « récit-parcours ». Permettant un accès privilégié aux récits ancrés aux lieux de vies, cette méthode a permis de susciter des discours singuliers et collectifs sur le territoire, de révéler des propos sur les imaginaires portés sur la ville et d’offrir un espace d’expression des préoccupations, des valorisations et des aspirations des résidants. Les résultats de l’enquête à cet effet sont concluants : ce que nous révèlent les résidants de par leurs expériences vécues des lieux et leurs cheminements spatiaux est incontestablement riche et pertinent pour la compréhension des enjeux collectifs d’un milieu. Les logiques existantes derrière les transformations de ces territoires bénéficieraient grandement de ce savoir localisé, complexe et ingénieux dont dispose les résidants de la géographie, de l’environnement, de l’urbanisation et des caractéristiques sociales de leur ville. Ce faisant, le territoire change alors de statut : d’un objet d’évaluation experte, il devient une mise en scène dynamique où s’inscrivent des fragments significatifs d’histoires faisant référence à l’expérience du vécu quotidien, mais aussi, à la potentialité des lieux. Par le biais d’une telle démarche et en conjonction avec des méthodes participatives, il devient possible d’engager une véritable réflexion plurielle envers l’avenir des territoires périurbains, en résonance avec les aspirations locales. / While suburbs are being transformed at an alarming rate, under the pressures of the Real estate industry’s development strategies, social concerns regarding the quality of life and the resulting landscapes are currently on the rise. With these challenges to bear, stakeholders usually employ solutions from an "expert" perspective that remain impervious to existing social conditions and demands. Given the lack of knowledge from the citizens’ perspectives, there is an urgent need for developing novel methods that are capable of bringing forth this local knowledge.
A survey conducted in fall 2009 with residents of Saint-Bruno-de-Montarville, on the south shore of Montreal, revealed the strength of an under-used and innovative method: the go-along. This method has demonstrated a particularly interesting technique to grasp the way dwellers qualify, imagine, value and move through their locality. Allowing privileged access to biographies and giving rise to improvised paths, the method has enabled placed-based narratives and has lead to an opening for expressing concerns, valuations and aspirations of citizens towards their community. In doing so, landscapes shift from expert evaluation to a dynamic scene where significant fragments of individual stories are told in relation to the experience of places in the everyday life. The study results conclude that the residents’ narratives and knowledge are undeniably rich and relevant to comprehending collective landscape issues and values. The existing logics and processes behind suburban landscape transformations would highly benefit from the collective wealth of dwellers’ extensive, situated and complex knowledge of the city’s geography, politics, economy and sociology. Furthermore, it can lead way to community participatory projects engaging multiple actors within a collective multifaceted reflection on the future of suburbs and the actions that should be taken towards a better future.
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Contribution des regards citoyens dans le cadre d'une démarche de prospective paysagère en milieu périurbainBergeron, Julie 06 1900 (has links)
Au moment où les territoires périurbains se transforment rapidement sous l’impulsion des stratégies de développement de l’industrie immobilière, les préoccupations sociales en matière de qualité des paysages et des cadres de vie se font de plus en plus grandes. Devant ces enjeux, les actions aménagistes privilégient le plus souvent des solutions à partir d’un regard « expert » généralement étranger aux demandes sociales en présence. Devant l’insuffisance des connaissances des regards citoyens, il y a une urgence à développer des méthodes originales aptes à révéler ce savoir local.
Une enquête menée à l’automne 2009 à Saint-Bruno-de-Montarville, sur la Rive-Sud de Montréal, révèle la pertinence d’une approche anthropologique sous-utilisée et novatrice en particulier pour les recherches en aménagement : celle du « récit-parcours ». Permettant un accès privilégié aux récits ancrés aux lieux de vies, cette méthode a permis de susciter des discours singuliers et collectifs sur le territoire, de révéler des propos sur les imaginaires portés sur la ville et d’offrir un espace d’expression des préoccupations, des valorisations et des aspirations des résidants. Les résultats de l’enquête à cet effet sont concluants : ce que nous révèlent les résidants de par leurs expériences vécues des lieux et leurs cheminements spatiaux est incontestablement riche et pertinent pour la compréhension des enjeux collectifs d’un milieu. Les logiques existantes derrière les transformations de ces territoires bénéficieraient grandement de ce savoir localisé, complexe et ingénieux dont dispose les résidants de la géographie, de l’environnement, de l’urbanisation et des caractéristiques sociales de leur ville. Ce faisant, le territoire change alors de statut : d’un objet d’évaluation experte, il devient une mise en scène dynamique où s’inscrivent des fragments significatifs d’histoires faisant référence à l’expérience du vécu quotidien, mais aussi, à la potentialité des lieux. Par le biais d’une telle démarche et en conjonction avec des méthodes participatives, il devient possible d’engager une véritable réflexion plurielle envers l’avenir des territoires périurbains, en résonance avec les aspirations locales. / While suburbs are being transformed at an alarming rate, under the pressures of the Real estate industry’s development strategies, social concerns regarding the quality of life and the resulting landscapes are currently on the rise. With these challenges to bear, stakeholders usually employ solutions from an "expert" perspective that remain impervious to existing social conditions and demands. Given the lack of knowledge from the citizens’ perspectives, there is an urgent need for developing novel methods that are capable of bringing forth this local knowledge.
A survey conducted in fall 2009 with residents of Saint-Bruno-de-Montarville, on the south shore of Montreal, revealed the strength of an under-used and innovative method: the go-along. This method has demonstrated a particularly interesting technique to grasp the way dwellers qualify, imagine, value and move through their locality. Allowing privileged access to biographies and giving rise to improvised paths, the method has enabled placed-based narratives and has lead to an opening for expressing concerns, valuations and aspirations of citizens towards their community. In doing so, landscapes shift from expert evaluation to a dynamic scene where significant fragments of individual stories are told in relation to the experience of places in the everyday life. The study results conclude that the residents’ narratives and knowledge are undeniably rich and relevant to comprehending collective landscape issues and values. The existing logics and processes behind suburban landscape transformations would highly benefit from the collective wealth of dwellers’ extensive, situated and complex knowledge of the city’s geography, politics, economy and sociology. Furthermore, it can lead way to community participatory projects engaging multiple actors within a collective multifaceted reflection on the future of suburbs and the actions that should be taken towards a better future.
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