Spelling suggestions: "subject:"montaigne michel dde 153311592"" "subject:"montaigne michel dde 153301592""
11 |
Quand les poètes feignent fantasie et fiction dans les Essais de Montaigne /Guerrier, Olivier. January 2002 (has links)
Texte remanié de : Thèse doctorat : Littérature française : Aix-Marseille 1 : 2000. / Bibliogr. p. [495]-509. Notes bibliogr. Index.
|
12 |
La maladie et la santé selon Montaigne, médecin de soi-mêmeLaverdure, Stéphanie Michèle 11 1900 (has links)
Dans cette etude, nous nous proposons de faire une analyse des questions de la sante
et de la maladie dans les Essais, lesquelles ne sont pas les conceptions traditionnelles selon
la medecine du XVIe siecle. D'apres Montaigne, la maladie afflige toutes les composantes
physiologiques ainsi que pathologiques de rhomme, de sorte que la sante n'est atteinte que
par la guerison du corps, du jugement, et de l'ame, entrainant le bien-etre total de rhomme.
L'importance de la sante chez Montaigne ne s'arrete pas a la sante de son propre corps
atteint de "la pierre"; il cherche aussi les moyens de retablir la sante de son Etat, ravage par
les guerres de religions, ainsi que la "sante" des rapports entre le corps humain et son milieu,
l'homme et le monde exterieur. Nous voyons l'auteur, au sein des Essais, adopter une
attitude ou la maladie est valorisee car lorsque le corps est rendu en meilleur etat, 1'homme
jouit d'une sante "plus entiere et plus nette". La medecine traditionnelle de l'epoque etant
incapable de lui venir en aide, Montaigne laisse l'etat preoccupant de sa sante fournir le
pretexte de ses attaques contre le savoir medical et contre tout savoir humain. Conscient des
limites cognitives de l'homme, Montaigne propose que le seul savoir que celui-ci puisse
atteindre est la connaissance de soi, la seule sagesse purement humaine ou la verite,
l'honnetete et la justice forment la base de tout jugement. Montaigne montre comment les
remedes du corps, tels que la purgation et la saignee, servent aussi dans le retablissement de
la sante du jugement, le liberant des "blocages" qui entravent son bon fonctionnement, tels
que la coutume, les desirs et les passions. L'essence des Essais de Montaigne c'est la
condition humaine, et le "comment vivre". Celui-ci ne peut se realiser sans
l'accomplissement du devoir de l’homme envers lui-meme, un principe d'autonomie qui se
trouve a la base de sa philosophie morale. De sa sante spirituelle, Montaigne nous presente
une morale non-chretienne. C'est celle de "l'honnete homme," decide a "vivre a l'aise et a
son aise" dans la paix d'une bonne conscience. II sera done porte a rechercher le bonheur
par la sagesse, qu'il rencontrera dans la pratique de la philosophie et de cette liberte illimitee
que peut lui reserver la sante.
|
13 |
Montaigne et l'Italie.Cremona, Isida. January 1967 (has links)
No description available.
|
14 |
Montaigne et les nouvelletésAriano, A. A. January 1950 (has links)
Montaigne qui a le don d'être toujours nouveau et inattendu a, on serait tenté de dire, le don de l'ubiquité morale et philosophique aussi, de sorte que des esprits de tendances opposées ont pu se réclamer de lui avec la même facilité, et peut-être avec la même justification. La littérature sur Montaigne est volumineuse, et les commentaires en sont nombreux, de sorte qu'il faut beaucoup d'invention pour pouvoir trouver quelque chose de nouveau à dire sur notre auteur.
|
15 |
La Structure dialogique des Essais de Montaigne /Dupont, Arlette. January 1983 (has links)
No description available.
|
16 |
La maladie et la santé selon Montaigne, médecin de soi-mêmeLaverdure, Stéphanie Michèle 11 1900 (has links)
Dans cette etude, nous nous proposons de faire une analyse des questions de la sante
et de la maladie dans les Essais, lesquelles ne sont pas les conceptions traditionnelles selon
la medecine du XVIe siecle. D'apres Montaigne, la maladie afflige toutes les composantes
physiologiques ainsi que pathologiques de rhomme, de sorte que la sante n'est atteinte que
par la guerison du corps, du jugement, et de l'ame, entrainant le bien-etre total de rhomme.
L'importance de la sante chez Montaigne ne s'arrete pas a la sante de son propre corps
atteint de "la pierre"; il cherche aussi les moyens de retablir la sante de son Etat, ravage par
les guerres de religions, ainsi que la "sante" des rapports entre le corps humain et son milieu,
l'homme et le monde exterieur. Nous voyons l'auteur, au sein des Essais, adopter une
attitude ou la maladie est valorisee car lorsque le corps est rendu en meilleur etat, 1'homme
jouit d'une sante "plus entiere et plus nette". La medecine traditionnelle de l'epoque etant
incapable de lui venir en aide, Montaigne laisse l'etat preoccupant de sa sante fournir le
pretexte de ses attaques contre le savoir medical et contre tout savoir humain. Conscient des
limites cognitives de l'homme, Montaigne propose que le seul savoir que celui-ci puisse
atteindre est la connaissance de soi, la seule sagesse purement humaine ou la verite,
l'honnetete et la justice forment la base de tout jugement. Montaigne montre comment les
remedes du corps, tels que la purgation et la saignee, servent aussi dans le retablissement de
la sante du jugement, le liberant des "blocages" qui entravent son bon fonctionnement, tels
que la coutume, les desirs et les passions. L'essence des Essais de Montaigne c'est la
condition humaine, et le "comment vivre". Celui-ci ne peut se realiser sans
l'accomplissement du devoir de l’homme envers lui-meme, un principe d'autonomie qui se
trouve a la base de sa philosophie morale. De sa sante spirituelle, Montaigne nous presente
une morale non-chretienne. C'est celle de "l'honnete homme," decide a "vivre a l'aise et a
son aise" dans la paix d'une bonne conscience. II sera done porte a rechercher le bonheur
par la sagesse, qu'il rencontrera dans la pratique de la philosophie et de cette liberte illimitee
que peut lui reserver la sante. / Arts, Faculty of / French, Hispanic, and Italian Studies, Department of / Graduate
|
17 |
La Structure dialogique des Essais de Montaigne /Dupont, Arlette. January 1983 (has links)
No description available.
|
18 |
Montaigne et les nouvelletésAriano, A. A. January 1950 (has links)
No description available.
|
19 |
La citation et l'art de citer dans les essais de MontaigneMetschies, Michael. Brody, Jules January 1997 (has links)
Texte remanié de : Thèse de doctorat : Philiosophie : Université de Cologne : 1966. / Trad. de : "Zitat und Zitierkunst in Montaignes Essais" Bibliogr. p. 137-152. Index.
|
20 |
Le scepticisme en mouvement chez Montaigne : genèse, apogée, maturitéFormosa, Rémi 05 December 2024 (has links)
Dans ce mémoire, nous essayons de rejeter l'interprétation pascalienne du scepticisme montaignien en en proposant une analyse alternative. Il s'agit de répondre à la question : *Quelles sont la nature et la portée du scepticisme de Montaigne ?* Pour ce faire, nous articulons notre enquête sur le thème du mouvement, car le geste sceptique montaignien, dont l'élaboration s'échelonne sur une vingtaine d'années, ne saurait se fixer en une définition univoque, comme si elle en englobait à elle seule l'entièreté. Aussi la présente étude cherche-t-elle spécifiquement à peindre le mouvement même du scepticisme de Montaigne, c'est-à-dire les changements et l'évolution de celui-ci au sein des *Essais* ; mais également à peindre les divers moments au sein desquels, nonobstant sa course instable, il se cristallise et prend forme - sans quoi nous ne pourrions rien en dire. Dit de manière succincte, peindre le mouvement du scepticisme montaignien revient à décrire conjointement ce qui se déplace *et* ce qui rend possible le déplacement. Notre segmentation du geste sceptique de Montaigne en trois étapes - *genèse, apogée, maturité* -, explique cette approche, chaque chapitre étant consacré à l'une d'entre elles. Notre premier chapitre (*genèse*) examine les divers éléments et facteurs ayant concouru au glissement de Montaigne vers le doute, préparant ainsi l'expression d'un scepticisme plus marquée dans les *Essais*. Ce sera là l'objet de notre second chapitre (*apogée*), lequel se penche presque exclusivement sur l' « Apologie de Raymond Sebond » (II, 12). Nous en retraçons l'argumentaire pour montrer comment ce moment négatif de la pensée montaignienne, qui invalide le savoir humain et en rend caduque la possibilité, permet paradoxalement de libérer l'exercice de la pensée et du jugement. Enfin, sur la base de ces résultats négatifs, notre dernier chapitre (*maturité*) analyse comment la *maturité* du scepticisme montaignien, notamment dans son rapport avec celle des *Essais* (le projet de la peinture du Moi), lui permet de produire *certaines* connaissances.
|
Page generated in 0.0838 seconds