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Industrialisation et urbanisation à Montmagny 1883-1930

Côté, Martine 11 April 2018 (has links)
Entre 1883 et 1930, la petite ville de Montmagny devient un centre d'importance régionale, principalement à cause de ses nombreuses usines oeuvrant dans les secteurs du bois et du fer. Ceci s'explique en bonne partie par l'action des promoteurs industriels et fonciers qui, à l'instar de l'élite des autres villes du Québec, jouent un rôle majeur dans le développement économique de même que l'aménagement spatial de Montmagny. Pour mener à bien leurs projets, ces promoteurs s'impliquent au sein du conseil municipal, où ils peuvent mettre de l'avant des politiques qui rencontrent leurs objectifs. À ce titre, le conseil municipal de Montmagny utilise largement les subventions et octrois de bonus afin de maintenir des entreprises en place, tout en attirant des industriels d'ailleurs. L'attention des hommes d'affaires, en particulier de Charles-Abraham Paquet, se dirige aussi vers l'aménagement de l'espace par la création d'un tout nouveau quartier destiné à regrouper les ouvriers de son usine. Les actions planifiées de ces promoteurs, dans le but de faire fructifier leur capital foncier et industriel, contribuent directement à la croissance de la ville de Montmagny. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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Peu nombreuses mais essentielles : les travailleuses salariées de la station de quarantaine de la Grosse-Île, 1891-1924

Vallée, Marie-Hélène 11 April 2018 (has links)
La Grosse-Île a servit de station de quarantaine pour le port de Québec de 1832 à 1937. Située dans le fleuve Saint-Laurent, cette île a constitué un milieu de vie et de travail pour plusieurs dizaines de travailleurs, dont des femmes qui, entre 1891 et 1924, ont représenté en moyenne 10% de l'ensemble du salariat de la station. Cette thèse met principalement en perspective l'expérience de cette main-d'œuvre qui a travaillé dans des domaines liés à la domesticité et aux soins infirmiers à l'intérieur de la zone de quarantaine. Bien qu'en nombre inférieur, comparativement à la main-d'œuvre masculine, ces travailleuses ont joué un rôle essentiel auprès des malades contagieux en tant que cuisinières, blanchisseuses et, tout particulièrement, infirmières. Dans ce dernier cas, cette étude montre que la station de quarantaine de la Grosse-Ile a pu compter sur la présence d'infirmières qualifiées pour travailler dans ce milieu particulier, soit parce qu'elles avaient obtenu un diplôme en soins infirmiers, suivi une formation spécialisée dans un hôpital pour contagieux ou encore acquis une expérience pratique pertinente sur place, dans une autre station ou dans un autre établissement hospitalier. Assurant l'entièreté des soins infirmiers à prodiguer, les infirmières de la Grosse-Ile, appuyées par du personnel d'appoint, hommes et femmes, ont accepté de vivre un isolement géographique et social à l'instar des autres travailleurs mais, plus encore, ont parfois été contraintes de vivre isolément au sein même de la station pour éviter la contagion. Malgré ces conditions particulières, l'ensemble de la main-d'œuvre féminine s'est notamment démarquée par la stabilité de ses effectifs et, dans le cas des infirmières, par le rôle essentiel auprès des malades contagieux. Cette thèse permet également de constater que certaines femmes ont occupé des emplois rémunérés à la Grosse-Ile dans le secteur du village et que, tout comme ceux pratiqués dans le cadre des activités quarantenaires, les métiers de ces travailleuses se situaient dans des domaines traditionnellement réservés aux femmes comme l'enseignement primaire et la domesticité. Par ailleurs, l'étude de la main-d'œuvre féminine de la station de quarantaine et du secteur du village révèle des situations d'endogamie professionnelle et de favoritisme personnel qui ont permis de constater l'importance des liens de parenté entre les travailleuses et les autres travailleurs de la station et/ou les résidants insulaires de la Grosse-Ile dans l'attribution des emplois.
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L'archéologie de la nouvelle ferme et la construction identitaire des Canadiens de la vallée du Saint-Laurent

Côté, Hélène 25 April 2018 (has links)
Construite en 1668 par Pierre Bécart de Granville, la ferme seigneuriale de la Petite île aux Oies est occupée successivement par des métayers et les seigneurs de l'île durant la période du Régime français. Trois années intensives de fouilles archéologiques ont permis la mise au jour de nombreux témoins de la vie rurale aux XVIIe et XVIIIe siècles. Toutefois, la variation dans le corpus archéologique du site de la Nouvelle Ferme exigeait une étude approfondie pour en découvrir la signification. Ainsi se posait la question : étions-nous en présence de changements dus à des facteurs matériels, qui ne reflétaient aucune valeur particulière, ou plutôt devant des manifestations d'un changement identitaire chez les habitants de la Nouvelle Ferme ? L'hypothèse à la base de cette étude supposait que ces variations dans l'assemblage archéologique résultaient de mouvances au cœur de l'identité des occupants du site à l'étude. L'analyse du corpus archéologique a démontré que les habitants de la Petite île aux Oies ont remis en question plusieurs structures sociales métropolitaines et ont ainsi développé, en parallèle à une vision du monde différente, de nouvelles façons de faire. Toutefois, il fallait s'assurer que ces observations se vérifient à une échelle plus large, soit celle de la vallée du Saint-Laurent. L'étude de sites comparatifs occupés durant la même période, mais par des groupes socio-économiques différents, est venue confirmer l'hypothèse selon laquelle les habitants de la colonie se distingueront des métropolitains par l'adoption d'une nouvelle identité. Ces éléments de distanciation par rapport aux Français apparaissent sous la forme d'un esprit égalitariste, encouragé par des règles telles la Coutume de Paris et par le cadre moins lourd que représentait le régime seigneurial dans la colonie. Enfin, les colons ont beaucoup appris des Amérindiens, particulièrement en ce qui touche à l'exploitation de l'environnement. Ces quelques éléments ont donc permis aux habitants de la vallée du Saint-Laurent qui manifestaient un esprit d'entreprise l'obtention d'un statut économique beaucoup plus enviable que tout ce qu'ils auraient pu espérer dans la métropole. De là à développer un esprit d'indépendance face à l'élite coloniale, il n'y avait qu'un pas qui semble avoir été franchi par les habitants de la Nouvelle-France. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2014
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De l'Hospice Saint-Thomas de Montmagny au Foyer d'Youville, 1885-1971 : évolution de la charité comme principe moteur du fonctionnement d'une institution pour personnes âgées au Québec

Côte, Sophie 13 April 2018 (has links)
Ce mémoire étudie l'évolution de la charité comme principe moteur du fonctionnement d'une institution hébergeant des personnes âgées entre 1885 et 1971 à Montmagny, soit l'Hospice Saint-Thomas/Foyer d'Youville. Cette évolution est analysée à travers le rôle joué par les principaux acteurs que sont les résidants, le personnel, la communauté magnymontoise, l'État et le Service social de l'Enfance et de la Famille. Il montre que des phénomènes tels que l'affaiblissement de l'influence de l'Église catholique allant de pair avec l'intensification des interventions de l'État dans le champ du social, l'accélération de la laïcisation du personnel, la syndicalisation des employés et la disparition des interactions entre des membres de la communauté locale et les résidants des institutions affaiblissent progressivement le caractère charitable de l'institution magnymontoise de telle sorte que, en 1971, son fonctionnement ne se définit plus par son caractère charitable et ce, bien que certaines traces en subsistent encore.

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