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The characterization of African horsesickness virus VP7 particles with foreign peptides inserted into site 200 of the VP7 protein top domein

Kretzmann, Heidi 15 May 2007 (has links)
African horsesickness virus (AHSV) VP7 development as a particulate vaccine system, for human and veterinary use, is based on the observation that VP7 forms hexagonal crystalline structures which can be exploited to present epitopes to the immune system. VP7 can be produced in large amounts by means of the baculovirus expression system and is easily purified. In order to display an epitope or small peptides in the VP7 top domain several VP7 display vectors have been constructed that will allow the insertion of peptides into at least three different amino acid sites. These vectors are VP7mu144, VP7mu177 and VP7mu200. Vector VP7mu177 in which different peptides were inserted into site 177 has been investigated by Rutkowska (2002). The aim of this investigation is to insert the same peptides into site 200 and compare the constructs with regard to assembly into VP7 particles, structure, stability and antigenicity. These VP7 vectors have to be characterized to determine which of these mutant sites will elicit the best immune response. Insertion mutants were made of the major core protein of AHSV VP7 serotype 9 at specific amino acid positions for the possible use as a subunit vaccine by F. Maree (2000). In this study HIV-1 subtype C ALDSWK and RVLAIERYLKD epitopes with flanking regions were cloned using restriction enzyme tagged PCR products. The recombinants were expressed using the baculovirus expression system. The insertion of HIV epitopes in the vectors did not significantly alter the protein expression levels. However, the chimeric VP7mu200 and VP7mu177 proteins did not show the characteristic crystalline structures observed with VP7mu200, VP7mu177 and unmodified VP7 in insect cells. Scanning Electron Microscopy revealed flat, rounded particulate structures with a rough to layered surface. The insertion of 50, 53 and 101 amino acids thus abolishes the smooth hexagonal crystalline formation characteristic of the VP7 protein. This is partly due to steric interference which most likely disrupted the hydrophobic bonds. The structural disruption of the VP7 particle observed with the 50 aa insertion is not further distorted in the 101 aa insert. Comparative studies show VP7mu200 to be more sensitive to the hydrophobic nature of an insert with regards to particle assembly than VP7mu177. VP7mu177 with and without HIV epitopes assemble into large particles predominantly found in fractions 1-4 at the bottom of a sucrose density gradient. VP7mu200 with a double HIV insert predominantly assembles into large particles (fractions 1-4) and the single HIV inserts assemble into predominantly smaller particles (fractions 5-8). Mechanical lysis of the infected cells containing the chimeric VP7mu200 particles compared to detergent treatment of similarly infected samples reveal possible lipid association suggesting that VP7mu200 may form inclusion bodies. Despite differences in particle assembly between the vectors, both chimeric VP7mu177 and chimeric VP7mu200 particles were shown to be antigenic. Future prospects include conformation and immunology studies pertaining to immunizations with the chimeric proteins, analysis of sera to ascertain if antibodies have been raised as well as neutralization assays to distinguish between the capabilities of the different insertion sites. / Dissertation (MSc (Genetics))--University of Pretoria, 2007. / Genetics / unrestricted
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Le concept de 'frontières naturelles' en France sous l'Ancien Régime (1444-1793) : mythe ou réalité ? / no translation for the title available

Bouvet, Cyril 19 June 2018 (has links)
Pendant plusieurs décennies, la problématique du programme politique monarchique a monopolisé l’historiographie contemporaine des frontières naturelles de la France. En effet, des années 1815/1830 jusqu’à celles de l’entre-deux guerres, deux thèses se sont imposées tour à tour. La première, soutenue par une large partie des historiens du XIXe siècle, a défendu l’idée selon laquelle la monarchie de l’Ancien Régime se serait donnée pour but de rendre à la France les limites de l’ancienne Gaule. La seconde, soutenue essentiellement par Gaston Zeller, cherche à démontrer que tous ces historiens ont eu une lecture trop « téléologique » de l’histoire de France. Si la question de ce prétendu programme politique monarchique a occupé une place importante de l’historiographie contemporaine, elle n’est pourtant pas centrale et de nouvelles perspectives de recherche s’offrent aujourd’hui à l’historien, comme celle de la définition de la « frontière naturelle ». Bien que l’expression ne soit pas inconnue des documents de l’époque moderne, les occurrences restent rares, les contemporains de l’Ancien Régime usant de diverses formules synonymes renvoyant toutes à un concept métaphysique, religieux et philosophique centré sur l’ordre naturel : à ce titre, les frontières naturelles sont des limites physiques imposées aux peuples et aux États par Dieu dès la Création pour que chacun d’eux puisse vivre en parfaite harmonie et en paix perpétuelle. Les frontières naturelles de la France proviennent d’un univers mental et mythique. Mental, puisque la redécouverte des textes antiques achève de graver dans la mémoire collective la notion d’une Gaule-France. Mythique, en raison du fait que la France succède à la Gaule par le processus de réappropriation de l’espace antique romain par Clovis. Tout un mythe de construction territoriale de l’espace de l’État français se met en place, soutenu et encouragé par la monarchie, non seulement par le biais de l’éducation mais aussi par la diffusion de nombreux ouvrages imprimés avec le privilège du roi. Mais par le traité de Verdun de 843, le « mythe de la France éternelle » s’effondre, le partage de l’empire de Charlemagne amputant la France d’une partie de ses frontières originelles. Aussi le Grand Siècle, qui coïncide avec le réveil de la conscience nationale, voit-il l’émergence de grandes figures mythiques : à ce titre, certains rois et certains ministres deviennent, à l’époque moderne, des symboles de la restauration de l’ordre naturel qui se fonde sur les lois fondamentales du royaume de France. Cependant, si la monarchie ne s’est pas donné pour but de rendre à la France les limites de l’ancienne Gaule, les frontières naturelles ont parfois orienté la politique extérieure pour défendre les impératifs stratégiques en matière de sécurité du territoire : tel est le cas du traité des Pyrénées de 1659 et de celui d’Utrecht de 1713. Bien que ces traités posent un problème d’application par la suite, l’article 42 de la paix des Pyrénées, qui fixe la frontière entre la France et l’Espagne au niveau du Roussillon et de la Catalogne, va faire l’objet, tout au long du XVIIIe siècle, de revendications politiques de la part des communautés françaises résidant dans les parties centrale et occidentale de la chaîne montagneuse. Dès lors, les frontières naturelles deviennent un enjeu de lutte majeure entre le pouvoir monarchique et ses sujets frontaliers. / No abstract available

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