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Utilisation par la grande oie blanche (anser caerulescens atlanticus) de la végétation dans le marais intertidal de la Réserve nationale de Cap Tourmente, Québec

Doran, Marie-Andrée 09 February 2022 (has links)
"L'étude a porté sur le marais intertidal de la Réserve nationale de faune de Cap-Tourmente, Québec. La végétation a d'abord été étudiée selon la méthode de Braun-Blanquet (1932) afin d'établir un plan d’échantillonnage pour l'étude de la phytomasse du scirpe américain (Scirpus americanus Pers.) La submersion par l'eau, la sédimentation, la topographie, le drainage et l'exposition aux courants et aux vagues semblent être les facteurs déterminants pour la production de cette dernière. Pour la portion médiane du marais, il existe au seuil une relation linéaire entre la phytomasse aérienne et souterraine du scirpe. Le taux d'utilisation du scirpe par la grande oie blanche (Anser caerulescens atlanticus) pour l'ensemble du marais à l'automne 1977 était de 50,5%, alors qu'au niveau des zones d'utilisation il variait de 30 à 70%.À court terme, 1'utilisation du marais de Cap-Tourmente n'est pas menacée si l'on améliore la dispersion des oies durant leur séjour dans le marais. À long terme, c'est 1'aménagement des différents marais à scirpe de 1'estuaire du Saint-Laurent qui est à planifier."
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Impacts des changements climatiques sur les relations plantes-herbivores dans l'Arctique

Doiron, Madeleine 20 April 2018 (has links)
Lorsque des espèces à différents niveaux trophiques répondent aux changements climatiques à des rythmes différents, il peut en résulter une désynchronisation entre la phénologie des consommateurs et celle de leurs ressources. Les oiseaux migrateurs qui se reproduisent dans l’Arctique pourraient être parmi les espèces les plus touchées par une telle désynchronisation. Cette étude examine l’impact du réchauffement climatique sur les interactions entre la grande oie des neiges (Chen caerulesens atlantica) et les plantes dont elle s’alimente sur l’Île Bylot, Nunavut. À l’aide de petites serres, nous avons examiné l’impact d’un réchauffement sur la biomasse et la concentration en azote (un indice de qualité nutritive) des plantes utilisées par les oies. Nos résultats montrent qu’un réchauffement annuel mène à une augmentation de la biomasse végétale, mais que cette hausse est accompagnée d’un déclin plus rapide de la qualité nutritive des plantes. En effet, la concentration en azote des plantes des parcelles réchauffées était jusqu’à 14% plus faible que celle des parcelles témoins, et ce pendant la période de croissance des jeunes oies. Nous avons également montré qu’un indice satellitaire, le Normalized Difference Vegetation Index (NDVI) peut être utilisé comme proxy afin de déterminer la date du pic de concentration en azote des plantes. En utilisant le NDVI, nous avons donc pu estimer la date de pic d’azote des années pour lesquelles nous n’avions pas de données empiriques sur la végétation. Finalement, nous avons analysé des données à long-terme sur le climat, la phénologie des plantes et la reproduction des oies afin d’examiner l’impact potentiel de la désynchronisation trophique sur la croissance des jeunes. Selon nos résultats, les oies ajustent seulement partiellement leur reproduction en fonction des changements annuels dans la disponibilité de nourriture de haute qualité. En conséquence, la masse et la taille structurelle des jeunes oies à l’envol étaient réduites lorsque la reproduction des oies était moins bien synchronisée avec le pic de qualité nutritive des plantes. Nos résultats supportent l’hypothèse que la désynchronisation trophique peut avoir des effets négatifs sur l’aptitude phénotypique des herbivores arctiques, et que ces effets pourraient s’accentuer avec l’augmentation prévue des températures à l’échelle globale. / When species at different trophic levels respond to climate change at different rates, this may lead to a trophic mismatch between the phenology of consumers and that of their resources. As polar regions are warming more rapidly than the rest of the planet, migratory birds breeding in the Arctic are expected to be among the species most affected by trophic mismatch in the wake of rapid climate change. This study examines the impact of climate warming on the interactions between an arctic herbivore, the greater snow goose (Chen caerulescens atlantica), and its food plants on Bylot Island, Nunavut, Canada. Using small greenhouses, we examined the impact of increased temperatures on plant biomass and a proxy of nutritive quality, nitrogen concentration, of graminoid plants used by geese during the brood-rearing period. This experiment showed that annual warming significantly increased biomass of graminoids but also led to an acceleration of the seasonal decline in plant nutritive quality and resulted in a decrease in the nitrogen concentration of plants by up to 14% during the period of gosling growth. We also showed that satellite-derived Normalized Difference Vegetation Index (NDVI) can be used as a proxy to determine date of peak nitrogen concentration in some tundra plants, and can thus be a reliable measure of the early changes in the timing of the availability of high quality food for herbivores. Using NDVI, we were then able to estimate the date of peak nitrogen in years when we had no empirical data on plant phenology. Finally, we analysed long-term data on climate, plant phenology and the reproduction of geese in order to examine the potential impact of mismatched reproduction on the growth of young. We found that geese are only partially able to adjust their breeding phenology to compensate for annual changes in the timing of high quality food plants, and that gosling body mass and structural size at fledging was reduced when trophic mismatch was high. Our results support the hypothesis that trophic mismatch can negatively affect the fitness of arctic herbivores, and that it is likely to be exacerbated by rising global temperatures.
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Utilisation par la grande oie blanche (anser caerulescens atlanticus) de la végétation dans le marais intertidal de la Réserve nationale de Cap Tourmente, Québec

Doran, Marie-Andrée 09 February 2022 (has links)
"L'étude a porté sur le marais intertidal de la Réserve nationale de faune de Cap-Tourmente, Québec. La végétation a d'abord été étudiée selon la méthode de Braun-Blanquet (1932) afin d'établir un plan d’échantillonnage pour l'étude de la phytomasse du scirpe américain (Scirpus americanus Pers.) La submersion par l'eau, la sédimentation, la topographie, le drainage et l'exposition aux courants et aux vagues semblent être les facteurs déterminants pour la production de cette dernière. Pour la portion médiane du marais, il existe au seuil une relation linéaire entre la phytomasse aérienne et souterraine du scirpe. Le taux d'utilisation du scirpe par la grande oie blanche (Anser caerulescens atlanticus) pour l'ensemble du marais à l'automne 1977 était de 50,5%, alors qu'au niveau des zones d'utilisation il variait de 30 à 70%.À court terme, 1'utilisation du marais de Cap-Tourmente n'est pas menacée si l'on améliore la dispersion des oies durant leur séjour dans le marais. À long terme, c'est 1'aménagement des différents marais à scirpe de 1'estuaire du Saint-Laurent qui est à planifier."

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