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Le modèle de compétences comme tronc commun des programmes de traductionCarine, St-Pierre January 2014 (has links)
La présente thèse vise d’une part à dégager les éléments d’un programme de traduction et d’autre part à déterminer si certains éléments sont communs à plus d’un programme. L’étude pose comme hypothèse principale que, bien que chaque programme de traduction soit ancré dans un contexte culturel, social, politique et académique différent, il existe un tronc commun à la majorité des programmes. Sur le plan théorique, l’accent sera mis sur la définition des compétences qu’un traducteur doit avoir une fois son diplôme en main et sur les différents éléments compris dans un programme de traduction. Une autre hypothèse avancée est que les compétences et sous-compétences du traducteur sont à la base du programme et donc, une fois celles-ci bien définies, elles pourraient servir à uniformiser les programmes se fondant sur des écoles de pensées différentes. Sur le plan expérimental, une étude empirique et la comparaison de deux programmes universitaires qui fonctionnent dans deux contextes entièrement différents permettront de cerner les divers éléments d’un programme de traduction.
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Technologisation des cours pratiques de traduction au Canada : situation actuelle, perspectives et pratiques exemplairesCyr, Jessica January 2018 (has links)
Dans un pays comme le nôtre, il n’est pas surprenant que les professionnels doivent acquérir, parmi des compétences disciplinaires et professionnelles, une quantité grandissante de compétences technologiques. La traduction ne fait pas exception à la règle, et plusieurs chercheurs s’entendent pour dire que ces compétences doivent être acquises lors de la formation professionnelle, soit à l’université. Alors que de plus en plus d’employeurs demandent des traducteurs aux compétences technologiques élargies, nous nous demandons à quel degré et de quelle façon les universités canadiennes assument cette responsabilité.
Nous distinguons connaissances technologiques et compétences technologiques. Les premières représentent un savoir, qui s’acquière généralement dans des cours isolés de la pratique traductionnelle, comme des cours de terminologie ou des cours d’introduction aux outils pour langagiers. Les secondes représentent un savoir-faire, qui s’acquière à l’application contextuelle répétitive des connaissances acquises, c’est-à-dire à l’utilisation des technologies dans le processus de traduction.
Notre recherche vise à connaître la situation actuelle de l’utilisation des technologies langagières (TL) dans les programmes de traduction au pays, particulièrement dans les cours pratiques de traduction. Nous avons donc mené une étude auprès de professeurs et chargés de cours de treize universités canadiennes qui présentent au moins un programme de premier cycle en traduction. L’étude au cœur de notre recherche fait appel à deux méthodes pour la collecte de données : 1) questionnaires en ligne sur l’utilisation des TL dans les cours d’intérêt et sur les attitudes envers cette utilisation; 2) entrevues avec des professeurs ou chargés de cours.
Les résultats présentent un survol de la place qu’occupent les TL dans les cours pratiques de traduction au Canada, dont leurs circonstances et leur fréquence d’utilisation. Ceux-ci nous permettent également de relever certaines pratiques exemplaires avec les TL et les principales difficultés associées à l’utilisation des TL dans les cours de traduction. Jumelées à la littérature dans le domaine de l’enseignement de la traduction et des technologies, les données nous amènent à présenter des recommandations quant aux TL dans l’apprentissage de la traduction. Ces propositions diverses serviront à améliorer l’intégration des TL dans les programmes de traduction au Canada afin de mieux préparer les apprentis traducteurs aux réalités, notamment technologiques, du marché.
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Analyse matricielle définitoire : outil linguistique au service de la conception d’un programme de traduction pour des étudiants de langues étrangères / Defining Matrix Analysis : A language tool used to design a translation programme for foreign language studentsSello, Kagiso Jacob 05 March 2013 (has links)
Notre constat de départ est que malgré un intérêt croissant des institutions enseignant les langues étrangères pour l’enseignement de la traduction, il n’existe à notre connaissance aucune étude portant sur la conception d’un programme de traduction professionnelle adapté à des apprenants de langues étrangères qui leur permettrait d’acquérir la compétence traductionnelle, c’est-à-dire les savoirs et savoir-faire nécessaires au traducteur en contexte professionnel. Ces institutions confondent souvent l’enseignement de la traduction et la traduction utilisée comme outil d’enseignement des langues étrangères. Le programme de traduction de l’université du Botswana ne fait pas exception, et nous proposons donc de le reconceptualiser afin qu’il réponde aux exigences de la profession. Par la mise à l’épreuve du modèle de l’analyse matricielle définitoire, outil linguistique destiné à interpréter et comparer la manière dont les langues naturelles construisent le sens, la présente thèse se propose de déceler les paramètres de l’environnement d’apprentissage sur lesquels une intervention est requise pour améliorer la qualité du programme et le rendre plus efficace. Pour ce faire, nous analyserons les erreurs de traduction commises par les étudiants qui suivent ce programme en vue d’en identifier les sources et de prendre les mesures destinées à en réduire la probabilité d’occurrence par la définition d’objectifs d’apprentissage adaptés à ce public, accompagnés des bases d’une solide assise théorique à destination de l’enseignant. / Our initial observation is that, in spite of the growing interest in teaching translation in institutions offering foreign language programmes, no study, to our knowledge, has been done on the designing of a professional translation programme appropriate for foreign language learners which could allow them to acquire translation competence, that is, knowledge and skills required by translators in a professional setting. These institutions often confuse teaching of translation and use of translation as a foreign language teaching tool. The translation programme of the University of Botswana is no exception, and we therefore propose to redesign it so that it can respond to the requirements of the profession. By putting to test the Defining Matrix Analysis model, a linguistic tool intended to interpret and compare the way natural languages construct sense, this thesis proposes to find the parameters of the learning environment on which an intervention is required in order to improve the quality and the efficiency of this programme. To achieve this goal, we are going to analyse translation errors made by students who are pursuing this translation programme with the aim of identifying their sources and taking measures destined to reduce their probability of occurrence by defining learning objectives adapted to this group of learners, accompanied by a solid theoretical basis for teachers.
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