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Vrede leren in de Kerk /

Iersel, Adrianus Henricus Maria van, Spanjersberg, Marijke, January 1993 (has links)
Proefschrift--Godgeleerdheid--Nijmegen--Katholieke Universiteit, 1993. / Mention parallèle de titre ou de responsabilité : Peace education in the Church. Résumé en anglais et en allemand.
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L’existence d’une « paix autoritaire » en Afrique ? : une réflexion antithétique à la théorie de la paix démocratique / The existence of an authoritarian peace in Africa?

Akemakou Njinga, Nessan 17 July 2019 (has links)
La théorie de la paix démocratique d’inspiration kantienne postule que les démocraties entretiennent des rapports pacifiques. Nolens volens, force est de constater que depuis 1945, deux régimes dits démocratiques ne se sont pas affrontés militairement de manière frontale. Nonobstant, les arguments avancés pour expliquer cette paix (la nature irénique des démocraties, les valeurs du libéralisme politique et économique, etc.) sont discutables ; a fortiori lorsque des vertus pacifiques sont prêtées aux démocraties et des vices belligènes aux autocraties. Cette étude, qui tente d’éprouver les postulats de ce modèle théorique libéral, suggère l’hypothèse d’une « paix autoritaire ». Il affleure que la nature d’un régime n’a pas d’incidence notable sur son comportement extérieur. Les régimes autoritaires, à l’instar de leurs pairs démocratiques, se trouvent aussi généralement en état de paix séparée entre eux. Cette hypothèse souffre toutefois quelques réserves. Si l’autoritarisme ne constitue pas un facteur aggravant de conflictualité internationale, il en va tout autrement sur un plan domestique. C’est par exemple une cause et un catalyseur des dynamiques de belligérance interne en Afrique. Il fragilise le corps social et favorise l’autolyse de ses cellules i.e. les citoyens. Plusieurs autres facteurs expliquent la prévalence élevée des guerres civiles au sein du continent africain tels que la monopolisation du pouvoir politique et sa gestion néopatrimoniale, les carences de gouvernance, l’ethnicité etc. La variable identitaire apparaît toutefois moins importante que ne le suggère la littérature. En effet, en dépit de leur pluricausalité, ces conflits surviennent essentiellement en raison de l’absence de partage équitable du pouvoir politique et des ressources économiques. Ils ont aussi partie liée avec l’insuffisante reconnaissance symbolique des communautés ethniques. L’ethnicité n’intervient qu’incidemment et notamment lorsqu’elle est manipulée à dessein par des entrepreneurs politiques à des fins politiciennes. Ces causes de conflictualité doivent être associées à l’impéritie de l’État postcolonial qui se révèle structurellement inadéquat, et partant inapte à enrayer la fratricide spirale guerrière qui a transformé l’Afrique en vaste sépulcre. Un tel constat suscite la quête théorique d’un modèle d’État et d’un système de gouvernance propices à une paix durable, pouvant seoir aux pays africains et prenant en considération leurs réalités endogènes ainsi que leurs caractéristiques culturelles et sociologiques propres. / The theory of democratic peace derived from Kantianism posits that democratic states maintain peaceful relationships amongst them. However, one cannot fail to observe nolens volens that since 1945 there has been no direct military confrontation between two regimes considered as democratic. Notwithstanding the arguments that have been put forward to explain this state of peace—the peaceful nature of democracies, the values of economic and political liberalism, etc.—are questionable, especially when some virtues of peacefulness are attributed to democracies and warmongering vices to autocracies. This study attempts to put to the test the premises of this theoretical liberal model while introducing the hypothesis of an “authoritarian peace”. It transpires that the nature of a regime does not affect the way it handles its external affairs. The authoritarian regimes like their democratic counterparts generally exist peacefully side by side. Yet, this hypothesis is not without its own limitations. While authoritarianism does not represent an aggravating factor of conflictuality internationally, it can have an adverse effect domestically. It is for instance a cause and a catalyst of the dynamics of internal warfare in African states. It weakens the social body and causes the autolysis of its cells, ie. the citizens. Other factors such as the monopolization of political power, neo-property management, lack of effective governance, ethnicity, etc. can explain the high prevalence of civil wars in Africa. The identity factor is not as important as the current literature suggests. In fact, despite the plurality of their causes, these conflicts generally occur due to the lack of equitable sharing of political power and economic resources. There is also the fact that the power-holders often fail to pay proper regard to some ethnic communities. Ethnicity is therefore simply the by-product of these main causes, stoked up by some political entrepreneurs in pursuit of their political ends. These causes of conflictuality should not be divorced from the failure of the post-colonial African state, structurally inadequate and therefore incapable of bringing to a halt the fratricidal spiral of warfare which has transformed Africa into a large sepulchre. In view of this fact, there is a need to find a theory for a model of state and governance that could guarantee a lasting peace; that would be suitable for the African countries; and that would take into account their endogenous realities and their own cultural and sociological characteristics.
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Friedenskirche in der Ökumene : mennonitische Wurzeln einer Ethik der Gewaltfreiheit /

Enns, Fernando. January 2003 (has links)
Diss.--Theologische Fakultät--Heidelberg--Ruprecht-Karls-Universität, 2001. / Bibliogr. p. 325-349. Index.
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Der Friede im lukanischen Doppelwerk vor dem Hintergrund der Pax Romana /

Janzen, Anna, January 1900 (has links)
Ph.D.--Toronto--University of St. Michael's College, 2001. / Bibliogr. p. 263-296.
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Collective insecurity : the Liberian crisis, unilateralism, and global order /

Mgbeoji, Ikechi, January 2003 (has links)
Texte remanié de: Th. doct.--Halifax--Dalhousie University, 1999. / Bibliogr. p. 172-180. Index.
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Évolution des conceptions françaises de l'unification de l'Europe

Sypula, Ewa 06 November 2009 (has links) (PDF)
L'Europe est une idée philosophique. Elle est ouverte aux différentes idées qui la développent. Elle est née suite à la christianisation des peuples et à la recommandation française pour l'universalisme chrétien. Charlemagne prouve que les nations européennes et l'unité de l'Europe sont liées étroitement. Cette présupposition domine les conceptions suivantes f rançaises de la période du Moyen-âge. Les idées philosophiques de la Lumière créent la communauté culturelle et l'unité européenne au sein du res republica litteraria. La crise de la conscience européenne du XIXème siècle et de la première moitié du XXème siècle mène à l'aggravement de la tension et aux conflits entre les États. Après la deuxième guerre mondiale Robert Schuman et Jean Monnet lancent la conception de l'intégration économique de l'Europe. Ils construisent la CECA appuyée sur tout ce que l'Evangile apporte, sur la tradition du fédéralisme chrétien allemand, sur le personnalisme français et le catholicisme italien social. La deuxième partie du XXème siècle voit une idée d'intégration particulière apparaître : l'Europe des États de Charles de Gaulle. La fin du XXème siècle c'est le traité de Maastricht à l'initiative de la France qui a ouvert un nouveau chapitre dans l'histoire de l'intégration européenne
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Élaboration d’un matériel pédagogique pour l’éducation à la paix basé sur des modèles de paix

Vivien Jocelyne January 2016 (has links)
L’éducation à la paix s’est développée juste après la Deuxième Guerre mondiale, notamment avec la création de l’UNESCO. D’ailleurs, son Acte constitutif commence avec l’énoncé du principe suivant: « Les guerres prenant naissance dans l’esprit des hommes, c’est dans l’esprit des hommes que doivent être élevées les défenses de la paix. » (Unesco, 1945, 2014, p. 5) Après des recherches sur l’idéal de paix et sur les conceptions de l’éducation à la paix, nous avons posé quelques questions: Quelles sont les différentes stratégies d’éducation à la paix formelles, informelles et non formelles mises en place à travers le monde? À partir de l’inventaire des stratégies d’éducation à la paix, quelles sont celles qui participent le plus à l’objectif de construire un artisan de paix en chaque individu, peu importe son âge, sa classe sociale, sa culture et sa société? La recension des écrits a permis de mettre en évidence quelques pratiques: le dialogue pour la réconciliation, l’éducation interculturelle et aux droits humains, la médiation des conflits. Mais on ne relève pas de pratiques d’éducation à la paix basée sur les modèles. C’est pourquoi, nous avons énoncé la question générale de recherche en ces termes: En quoi les vies des figures de paix en tant que modèles de paix peuvent-elles contribuer à l’éducation à la paix? Nous avons mis en relief le lien possible entre le modèle de paix et la pédagogie basée sur le modèle (Gardner, 1999) dans le but de faire de l’éducation à la paix. Puis, nous avons pu poser deux objectifs de recherche: 1. Élaborer un matériel pédagogique à partir de la vie de modèles de paix pour servir à l’éducation à la paix dans des contextes éducatifs non formels; 2. Faire valider le matériel par des experts. Selon la démarche méthodologique de la recherche de développement (Van der Maren, 2014), nous avons élaboré le prototype du matériel pédagogique. Pour cela, nous avons sélectionné cinq modèles de paix: le Mahatma Gandhi, Mère Teresa, Martin Luther King, Wangari Maathai et Cheikh Ahmadou Bamba. Pour chaque modèle, nous avons créé des scénarios pédagogiques et élaboré du matériel d’accompagnement en fonction d’événements marquants dans leurs vies. Sept experts ont évalué le matériel produit et ont fait des suggestions pour l’améliorer. L’analyse de leur évaluation et leurs recommandations nous a permis de rédiger une nouvelle version que nous avons appelée la version validée du matériel. Le matériel pédagogique produit est intitulé La vie de modèles de paix: Outils d’éducation à la paix. La visée de ce matériel est de donner la possibilité à l’être humain d’identifier son potentiel en tant qu’artisan de paix et de l’amener à développer la paix en lui-même afin de semer la paix autour de lui. Les retombées de cette recherche concernent tant la communauté scientifique que la communauté professionnelle. Nous avons développé une approche pédagogique nouvelle pour faire de l’éducation à la paix et avons dégagé ses fondements théoriques, en plus de produire pour des intervenants socioéducatifs un matériel pédagogique qui a fait l’objet d’une évaluation rigoureuse.
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La définition des frontières de l’Etat d’Israël dans le cadre du processus de paix au Proche-Orient / The definition of Israeli boundaries in the framework of Peace process in the Near-East

Thiébaut, Sylvain 06 July 2010 (has links)
La question de la détermination des frontières de l’Etat hébreu est au centre du conflit opposant Israël à ses voisins arabes depuis 1947, année d’adoption par l’Assemblée générale du plan de partage de la Palestine. Elle renvoie à la définition des aires de contrôle militaire dans la région du Proche-Orient entre les différents protagonistes, la répartition des terres se révélant, en effet, être le produit de diverses actions armées dont les deux principales sont la guerre israélo-arabe de 1948-49 et la Guerre des Six Jours de 1967. La contradiction entre les termes de l’acte des Nations unies et le découpage effectif sur le terrain interpelle le droit international public à de multiples niveaux. Tout d’abord, il s’agit de déterminer le caractère contraignant ou non de l’acte de l’Assemblée générale des Nations unies, celle-ci n’ayant par principe qu’un pouvoir de recommandation. Le cadre spécifique des mandats ainsi que la question de la délimitation d’un ancien territoire sous tutelle vont toutefois conférer au plan de partage une opposabilité erga omnes. Ainsi la discordance entre les frontières de ce plan et les délimitations existantes actuellement doit être analysée sous le prisme de la distinction entre occupation militaire et annexion. De là, il ressort que les espaces contrôlés par Israël en sus des termes de la résolution de l’Assemblée générale révèlent deux régimes différents : une partie des terres ayant juridiquement été annexée et l’autre étant soumise à un régime militaire et donc différencié de l’ordre interne israélien. Ce nouveau découpage imposé par les faits se voit validé par les Nations unies en 1967 avec l’adoption de la résolution 242. Par cet acte, le Conseil de sécurité transforme des lignes de front en frontières internationales, contredisant ainsi le principe de l’inadmissibilité de l’acquisition de terres par la force et démontrant son incapacité à assumer sa responsabilité particulière en matière de maintien de la paix et de la sécurité internationales. La solution adoptée alors se révèle être contreproductive puisque n’ayant pas même contribué à forger définitivement les frontières sur le territoire de l’ancienne Palestine mandataire. Le régime juridique s’appliquant sur les zones soumises au contrôle militaire israélien –et destinées à servir de base au futur Etat palestinien, s’il est différencié de celui de l’ordre interne israélien, laisse entrevoir une possibilité d’absorption de terres supplémentaires par Israël, Jérusalem-Est étant le symbole le plus criant de ce risque. Le processus de paix des années quatre-vingt-dix a achoppé en particulier sur cette question. La situation proche-orientale actuelle place donc l’ordre international face à une contradiction qui, pour l’heure, paraît difficilement surmontable. / The question of the determination of the Hebrew State’s boundaries is central in the arab-israeli conflict since 1947, when the partition plan for Palestine was adopted by the United Nations General Assembly. It leads to the surfaces definition of military control areas in the Near-East between the different protagonists. Indeed, the land dividing appears to be the product of diverse armed actions of which the both principal are the Israel-Arab war of 1948-49 and the Six Days War of 1967. The contradiction between the terms of the United Nations act and the effective cutting up on the ground affects the international public law at various stages. First of all, we have to determine the binding ability (or non-ability) of the United Nations General Assembly act, this one just having on principle a recommendatory power. However, the specific framework of the mandates and the issue of boundaries delimitation of a former territory under tutelage are going to confer an erga omnes opposability to the partition plan. So the discordance between the partition plan frontiers and the existing demarcations has to be analyzed through the distinction between military occupation and annexation. It brings out that spaces controlled by Israeli State in addition to the terms of the General Assembly resolution reveal two different regimes: one part of lands having been juridically annexed and the other being subdued to a military regime and then differentiated from the internal israeli order. This new cutting up imposed by facts sees itself validated by United Nations in 1967 with the adoption of the resolution 242. By this act, the Security Council transforms front lines into international boundaries, which belies the principle of “the inadmissibility of the acquisition of territory by war”, and demonstrates its incapacity to assume his specific responsibility in the matter of maintaining international peace and security. Then the borrowed solution seems to be counterproductive since it has not even contributed to forge the boundaries definitely on the former mandatory Palestine territory. The juridical regime applying on the zones subdued to the Israeli military control -assigned to serve as bases for the future Palestinian State, is different from the regime applied on the Israeli internal order, but it leads also to catch sight of a possible additional absorption of lands by Israel, East-Jerusalem being the significative symbol of this risk. The peace process of the nineties has stumbled on this specific question. Then, the current Near-East position leads the international order to a contradiction which appears still difficulty surmountable until now.
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"The truest form of patriotism" : pacifist feminism in Britain, 1870-1902 /

Brown, Heloise. January 2003 (has links)
Texte remanié de: Thesis Ph. D.--Centre for Women's studies--University of York. / Bibliogr. p. 185-194. Index.
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L'armée de terre française : de la défense du sanctuaire à la projection /

Lespinois, Jérôme de. January 2001 (has links)
Th.--Histoire--Vincennes--Service historique de l'armée de terre, 2000. / Bibliogr. p. 917-933. Index.

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