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Le dépistage du conflit décisionnel chez les patients en soins primaires : validation du test SURE

Ferron Parayre, Audrey 19 April 2018 (has links)
Cette étude a évalué les propriétés psychométriques d’un outil de dépistage du conflit décisionnel cliniquement significatif, le test SURE, auprès de patients présentant une infection aigüe des voies respiratoires et devant prendre une décision quant à la prise ou non d’antibiotiques. Au moyen d’un questionnaire auto-administré qui leur était fourni immédiatement après la consultation médicale, les 712 patients recrutés dans neuf unités de médecine familiale rattachées à l’Université Laval devaient répondre aux questions du test SURE et par la suite à celles de l’Échelle de Conflit Décisionnel (ÉCD), la mesure de référence du conflit décisionnel. Le coefficient de fidélité Kuder-Richardson 20 du SURE a été de 0,7, et les mesures d’association et de corrélation entre les résultats continus de l’ÉCD et ceux du SURE se sont avérées significatives (P< 0,0001). La sensibilité et la spécificité ont été respectivement de 94,3% (79,4-99,0) et 85,2% (82,2-87,8). Cette étude suggère que le test SURE est adéquat pour dépister le conflit décisionnel en soins primaires. La validité du test dans différents contextes décisionnels devra être évaluée. / This study validated the psychometric properties of a screening tool assessing decisional conflict, the SURE test, in patients with acute respiratory infection who had to make a decision about taking antibiotics or not. Using a self-administered questionnaire which was provided immediately after the medical encounter, 712 patients recruited in nine family practice teaching units related to Laval University were asked to respond to SURE and Decisional Conflict Scale (DCS) questions, the gold-standard measure of decisional conflict. The internal consistency using Kuder-Richardson 20 coefficient was 0.7, and there was a significant correlation between DCS and SURE scores (P< 0.0001). Sensitivity and specificity were 94.3% (79.4-99.0) and 85.2% (82.2-87.8, respectively. This study suggests that the SURE test is appropriate to screen for decisional conflict in primary care. The validity of the test in different decisional contexts should be evaluated.
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La synthèse visuelle et la sensibilité au contraste dans la démence de type Alzheimer

Genois, Lynda 13 November 2021 (has links)
La présente étude avait pour but d'investiguer la relation entre les déficits visuels de base et les dysfonctions visuelles complexes dans la démence de type Alzheimer (OTA). La performance d'un groupe de patients Alzheimer (n=7) a été comparée à celle d'un groupe témoins (n=9) sur une épreuve de synthèse visuelle et sur deux mesures de sensibilité au contraste. Les résultats indiquent que les patients Alzheimer commettent un plus grand nombre d'erreurs que les sujets control au test de Mooney. Ils présentent également une perte significative de sensibilité au contraste à trois fréquences spatiales dans la condition statique (0 Hz), et à cinq fréquences spatiales dans la condition dynamique (25 Hz). Finalement, une corrélation significative a été observée entre l'inhabileté à percevoir les visages au test de Mooney et la perte de sensibilité au contraste à 6.89 cpd. Cette dernière donnée met en évidence l'importance d'évaluer les capacités visuelles de base afin de mieux comprendre les effets de la DTA sur les fonctions visuelles complexes.
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La mesure des émotions suscitées par des images de nourriture chez des femmes présentant un trouble des conduites alimentaires

Gagnon, Caroline 09 January 2020 (has links)
Les troubles des conduites alimentaires (TCA), soit l’anorexie mentale (AN) et la boulimie (BN), constituent des pathologies graves et complexes. Leur étiologie est multidéterminée, leur comorbidité forte, leurs conséquences sévères et multiples et leur évolution sinueuse. De plus, pour un bon nombre de patientes, les TCA représentent des maladies chroniques en raison, notamment, de l’efficacité mitigée, à moyen/long terme, des stratégies utilisées pour les traiter ou, autrement dit, de la persistance post-suivi de certains de leurs symptômes. Parmi ceux-ci figure le maintien d’une relation perturbée avec la nourriture. Depuis quelques années, il est reconnu que des facteurs intuitifs et spontanés, comme les émotions, influencent fortement la prise alimentaire. Or, selon le modèle à cinq voies de Macht (2008), les émotions suscitées par les aliments, en tant que stimuli en soi, représentent la porte d’entrée de la relation unissant les affects et la prise alimentaire des individus. En fait, la valeur hédonique attribuée à une denrée prédirait la quantité qui en serait consommée en termes de grammes ou de calories ingérées. Plutôt que de s’intéresser aux émotions vécues par les patientes dans un contexte de vie général, la présente thèse se penche sur les émotions évoquées par la nourriture comme bases explicatives potentielles de la prise alimentaire inadéquate des femmes présentant un TCA. Pour ce faire, les réponses émotionnelles de participantes souffrant d’AN et de BN à la vue d’images de nourriture sont mesurées et comparées à celles de participantes sans TCA ainsi qu’à celles générées par des images d’objets. Le premier objectif de la thèse consiste à déterminer, par le recours à des mesures explicites/directes de l’émotion et le contrôle des biais rencontrés dans les études antérieures sur le sujet, les réactions induites par les aliments propres aux TCA. Les résultats révèlent que les patientes, dans leur ensemble, ont une réaction élevée de peur à la vue des images de nourriture soumises. Cette réaction s’avère spécifique, c’est-à-dire non attribuable à un manque d’uniformité des stimuli exposés, à l’état interne des participantes (faim, symptômes affectifs préexpérimentaux), à leurs connaissances nutritionnelles et à la présence, chez elles, d’une sensibilité globale plus élevée au dégoût et/ou d’une capacité générale réduite à éprouver du plaisir. De façon plus détaillée, chez les femmes avec AN, tous les aliments, peu importe leur valeur calorique, engendrent une réaction élevée de peur, alors que chez celles avec BN, une telle réaction n’est observée que pour les denrées/mets à haute densité énergétique. Le deuxième objectif de la thèse cherche à valider, par l’adoption de mesures implicites/indirectes, les réponses émotionnelles précédemment recueillies. L’usage de méthodes implicites vise à contourner les biais expérimentaux liés aux mesures explicites et aider à faire la lumière sur l’ambiguïté présente dans la littérature quant aux réactions émotionnelles directes et indirectes des patientes avec BN. Afin d’éviter de soumettre les participantes à des enregistrements physiologiques intrusifs, et sachant que les émotions modulent l’estimation de la durée de présentation de divers stimuli, une perspective fondée sur des jugements temporels est adoptée. Les résultats révèlent que les femmes avec AN surestiment la durée de présentation des images de nourriture soumises par rapport à celle d’images d’objets. Cette surestimation est aussi observée en comparaison aux jugements fournis par les femmes avec BN. Ces dernières, toutefois, ne montrent aucune distorsion temporelle lorsque des images d’aliments sont présentées. L’effet de surestimation des durées de nourriture par les patientes souffrant d’AN est interprété comme étant la conséquence d’une réaction de peur, laquelle se révèle à nouveau être un élément caractéristique de la pathologie des participantes. Considérés dans leur globalité, les travaux de la présente thèse démontrent que la nourriture, en tant que stimulus distinctif, est génératrice d’une peur intense chez les femmes souffrant d’un TCA. Puisque la peur suscitée par un aliment/mets conduit à son rejet – et que plus cet aliment/mets est évité, plus la peur qui lui est associée grandit et se cristallise – la thèse souligne l’importance de prendre en considération, de manière spécifique et exhaustive, la question de la peur de la nourriture dès le début de la prise en charge des patientes. À cet égard, comme complément aux thérapies déjà validées pour l’AN et la BN, l’inclusion de stratégies utilisées pour le traitement des troubles anxieux (p.ex., exposition graduée, prévention de la réponse) constitue une voie intéressante. / Eating disorders (ED), more specifically anorexia nervosa (AN) and bulimia nervosa (BN), are serious mental illnesses. In that sense, their etiology is multi-determined, their comorbidity is high, their consequences are severe and multiple, and the road to their recovery is a sinuous path. In addition, for a number of patients, ED are long-lasting diseases due to the mixed results of their treatment or, in other words, to the continuity of their symptoms after being discharged from a specialized care program. Since a few years, unconscious, automatic and intuitive processes, like emotions, are recognized for their important influence on food intake. Notably, Macht’s Five-way Model (2008) postulates that food-evoked emotions are powerful determinants of food choice because, in a hierarchical perspective, they represent the first way by which emotions can control individuals’ food intake. In fact, the hedonic value of food has been demonstrated to be predictive of energy consumption and/or the amount of food consumed at a meal. Instead of investigating emotions experienced by ED women in their general life, the present thesis is interested in food-induced emotions as potential explanatory factors of inadequate patients’ food intake. To that end, emotional responses of participants suffering from AN and BN are compared to those of healthy controls (HC) and to those aroused by object images. The first objective of the thesis is to identify food-induced emotions that are distinctive in ED, by using explicit/direct measures of emotions and controlling for previous studies’ limitations. The results show that ED patients experience a higher level of fear towards food pictures than HC, which is specific to their pathology. Differently said, that food-evoked reaction is neither due to the use of heterogenous stimuli, nor to patients’ internal state (hunger, pre-experimental emotional symptoms), nutritional knowledge and potential higher disgust sensitivity or general anhedonia. In more details, in AN women, the fear response occurs towards all food, whereas in BN women, that is observed for high-caloric products only. The second objective of the thesis is to validate the food-induced emotions obtained by explicit tasks with implicit/indirect measures, in order to avoid biases associated to the latter and to help alleviating ambiguity in the literature about BN women’s indirect and direct reactions towards food. Because psychophysiological recordings, as traditional implicit techniques, are somewhat invasive and unpleasant – particularly for ED women who are biologically monitored on a recurring basis – a different method is used, namely the presentation of food pictures and judgements about the duration of these presentations. The time perception perspective adopted is based on the fact that timing is sensitive to emotions and that temporal distortions give insights about how the environment is processed. The results revealed that AN women overestimate the duration of food pictures in comparison to pictures of objects. Also, compared to participants with BN, they perceive the duration of food pictures as longer. However, BN patients do not show any time distortion for food pictures. The overestimation effect observed in AN women for food pictures is understood as the effect of a fear reaction, which is shown, once more, to be ED-specific. Considered all together, the findings of the present thesis demonstrate that emotions provoked by food, as stimuli per se, generate an intense reaction of fear in women suffering from an ED. Since fear induced by a food product leads to its rejection – and considering that the more an item is avoided, the more the fear associated with it increases – the thesis highlights the need to address distinctly and exhaustively patients’ fear toward food as soon as they begin treatment. For this purpose, as a complement to AN and BN validated therapies, the use of clinical strategies applied for the management of anxious disorders appears to be a promising avenue (e.g., exposure and response prevention).

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