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Les transformations dans le discours du développement organisationnel sur les organisations : une étude empirique de la production théorique

Hobbs, Brian 27 March 2024 (has links)
« Le but de cette recherche est de contribuer à l'avancement de la discipline du management. Cette recherche vise à clarifier une partie de la production théorique. Le moyen utilisé est l'étude empirique d'une partie de la production théorique. La production théorique qui est analysée est le discours du développement organisationnel sur les organisations. Cette analyse se fait par l'analyse de dix des principaux textes du développement organisationnel. La méthode d'analyse de texte, l'analyse de discours, est empruntée à la sociologie. La démarche est celle d'une recherche empirique; d'abord, les hypothèses sont exposées; ensuite, une observation est construite à partir de l'analyse des textes; enfin, les hypothèses sont confrontées à l'observation lors de l'interprétation. Cette recherche identifie des transformations dans le discours du développement organisationnel sur les organisations. Ce discours et les transformations dans ce discours s'articulent autour de trois oppositions: une opposition entre deux pratiques administratives, bureaucratique et participative, une opposition entre l'homme et l'organisation et une opposition entre le travail répétitif et le travail varié. Les transformations dans le discours suivent un cycle historique. Dans les périodes de prospérité économique et de plein emploi, la dépendance des employés diminue. Leur rétention et leur contrôle deviennent problématiques. Le recours à l'autorité ne suffit plus pour contrôler les employés. Les supérieurs deviennent sensibles aux facteurs humains et ont recours aux pratiques participatives. Ils font appel à l'engagement des employés. Dans les périodes de récession et de chômage, la dépendance des employés augmente. La pression du chômage est suffisante pour retenir les employés au travail. Le recours à l'autorité est suffisant pour contrôler les employés. Les pratiques participatives et les appels à l'engagement diminuent. Les facteurs humains sont subordonnés aux facteurs techniques et économiques. La pratique bureaucratique est toujours dominante. Pendant les périodes de prospérité, une transition vers la pratique participative est souhaitable. Cette transition peut être présentée comme possible, nécessaire ou urgente dépendamment des conditions sociales et économiques. Pendant les périodes de récession, la pratique bureaucratique est légitime et nécessaire; une transformation de la pratique n'est pas souhaitable. Le discours du développement organisationnel sur les organisations passe par trois périodes: Premièrement, une période de prospérité mais non de crise où la transition vers la pratique participative est souhaitable mais non nécessaire. Deuxièmement, une période de prospérité et de crise de légitimité de l'autorité où la transition est nécessaire et urgente. Troisièmement, une période de récession où la transition n'est plus souhaitable et où la pratique bureaucratique et l'autorité qui la sous-tend sont légitimes. Cette dernière période est celle de l'assimilation à la théorie de la contingence. Une association entre la pratique bureaucratique et le travail répétitif et une association entre la pratique participative et le travail varié y sont présentées comme nécessaires. L'analyse a mis à jour deux problèmes discursifs. Dans le discours qui préconise une transition vers la pratique participative, l'extension de cette prescription au travail répétitif est problématique. Dans le discours qui présente la pratique bureaucratique comme légitime et nécessaire, la réconciliation de cette pratique avec les facteurs humains est problématique. Cette recherche conclut que le discours théorique sur les organisations est étroitement lié à la pratique. Il fournit une explication aux pratiques administratives et aux rapports sociaux en milieu de travail dans les conditions sociales et économiques du moment. »--Pages préliminaires
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La participation des travailleurs à une recherche en santé mentale au travail : une histoire de confiance

Simard, Claudine 16 April 2018 (has links)
Cette thèse vise à obtenir des connaissances théoriques sur les éléments qui composent une démarche de participation des travailleurs implantée dans une recherche en santé mentale au travail (SMT), à cerner l'enjeu fondamental qu'un tel processus soulève et à donner un cadre de référence pratique pour les chercheurs ou intervenants en ressources humaines désireux d'y recourir pour transformer l'environnement psychosocial de travail. La problématique repose sur les changements qui ponctuent le travail et le marché de l'emploi depuis plusieurs années. Ces transformations touchent particulièrement les aspects psychosociaux du travail, comme la demande psychologique, la latitude décisionnelle, le soutien social des collègues et des superviseurs et la reconnaissance. Les recherches portant sur ces variables indiquent qu'elles entraînent d'énormes coûts financiers pour la société et les entreprises et des effets délétères sur la santé mentale des travailleurs. Plusieurs scientifiques ont tenté (et tentent toujours) d'améliorer la santé des salariés par l'intermédiaire d'enquêtes portant sur la réduction de ces contraintes à la source. Dans leurs recherches, est fréquemment évoquée l'utilisation de modalités participatives incluant des employés. Toutefois, ils n'offrent pas ou peu d'enseignements tirés de l'application de ces stratégies. La présente recherche exploratoire et qualitative prend comme objet d'analyse une démarche de participation des travailleurs, nommée Groupe de soutien à l'intervention (GSI), instaurée dans une étude en SMT. Grâce à l'approche de la Grounded Theory, il a été possible de révéler ses dimensions: 1) anonymat et confidentialité, 2) choix et recrutement des participants, 3) clarté du but et variables ciblées, 4) forme et fonctionnement et rôle des acteurs. L'établissement de la confiance de types pratique et relationnel est apparu comme un enjeu constitutif de l'expérience étudiée. Pour conduire la participation des travailleurs, six leçons ont été identifiées dont: une démarche optimale de participation des travailleurs à une recherche en SMT nécessite 1) l'établissement de la confiance de type pratique, 2) l'établissement de la confiance. de type relationnel, 3) un contrat de participation négocié entre les différents acteurs, 4) des acteurs conscients des facteurs qui l'influencent. De plus, un tel processus de participation 5) cible des interventions organisationnelles possibles et locales sous la responsabilité des partenaires et 6) exige du temps. Enfin, cette thèse soutient que cette forme de participation procure aux salariés une plate-forme pour être entendus et (re)connus. IV Mots-clés: Participation des travailleurs à une recherche en santé mentale au travail, prévention de la santé mentale au travail, aspects psychosociaux du travail, confiance, grounded theory.
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La participation des ressources humaines au projet d'entreprise

Gineste, Karine. 09 February 2024 (has links)
Ce mémoire propose une réflexion sur la participation des ressources humaines au projet d'entreprise. Il s'articule autour de deux volets complémentaires: un volet théorique et un volet pratique. Au plan théorique et partant du paradoxe selon lequel, dans le cadre d'un projet d'entreprise, la Direction détermine seule un objectif qui doit être mobilisateur pour tous, le mémoire présente les conditions dans lesquelles ce projet d'entreprise constitue réellement une source générale de motivation. Elles consistent en un bon niveau de management participatif, associé à un empowerment, un enablement et une responsabilisation efficaces. Au plan pratique, le mémoire se veut une confrontation de la réalité aux idées en décrivant et analysant l'implantation du projet d'entreprise développé par le Groupe Schneider: Schneider 2000.
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Organisation du travail et environnement psychosocial : une étude empirique dans une aluminerie québécoise

Leclerc, Mélissa 12 April 2018 (has links)
Ce mémoire de maîtrise porte sur une étude concernant les équipes de travail conduite au Centre de l'électrolyse d'une aluminerie moderne. Plusieurs auteurs ont traité du sujet de la participation des employés, en termes d'efficacité de production, de rentabilité ou de productivité. Cette étude propose d'orienter l'intérêt sur le bienêtre des travailleurs, en regard de l'environnement psychosocial des travailleurs. Outre les questionnaires, des observations directes ont été effectuées, afin de connaître la demande psychologique, l'autonomie, le soutien social, les efforts et la reconnaissance au travail des opérateurs de cette aluminerie. Les résultats ont également été comparés aux normes existantes et au travail d'employés d'une autre aluminerie dont la gestion préconise la participation des travailleurs
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Les coopératives forestières : comment concilier la démocratie économique et la démocratie industrielle : étude de cas de Charlevoix-Est et du Bas-Saguenay

Audibert, Vincent 19 April 2018 (has links)
"Le système de CAAF en place est dominé par les papetières. Les coopératives forestières occupent majoritairement la place de sous-traitant pour ces organisations. Leur situation de dépendance envers les détenteurs de CAAF entraîne les coopératives dans une situation économique précaire. De plus, les conditions de travail qu’elles offrent sont insatisfaisantes aux yeux des travailleurs qui ont entrepris des démarches de syndicalisation. Dans leur situation de négligés du système en place, les coopératives ont lutté contre la syndicalisation de leur membre afin de maintenir un statu quo. Alors qu’un nouveau régime forestier verra le jour en 2013, il semble opportun de se questionner sur la place que devraient occuper ces organisations démocratiques fortement attachées à leur territoire. Ce mémoire adonc pour objectif d'évaluer comment les coopératives forestières peuvent concilier la démocratie économique et la démocratie industrielle. Les niveaux de démocratie économique et démocratie industrielle dans les coopératives forestières ont été évalués principalement à l'aide d'un échantillon, que sont les coopératives de la région de Charlevoix-Est et du Bas-Saguenay. Grace à l’analyse de jurisprudences, de données statistiques, et d'éléments produits par la Fédération québécoise des coopératives forestières qui agit à titre de porte-parole de ses membres, il est également possible de tenir compte de l’échelle nationale. Afin d'évaluer les types de démocraties dans les coopératives forestières, il a été utilisé des définitions des types de démocraties ainsi qu'un modèle d'analyse de l'entreprise. Ainsi, l'entreprise et la coopérative sont composées d’un modèle d’affaires et d'une organisation du travail et de la production associés à la démocratie économique et une relation d’emploi associée à la démocratie industrielle. Enfin, la façon dont sont organisés les rapports sociaux influence les entreprises et les coopératives. Les observations des coopératives forestières ont été faites dans l'objectif d'évaluer la démocratie des coopératives dans leur contexte d'activité. Ainsi, l'historique, la relation avec la forêt et la papetière, la formule coopérative, la qualité du travail et de l'emploi ainsi que le rôle dans la communauté ont été observés par l'entremise d'un canevas d'entrevue semi-structurée permettant d'obtenir des informations sur ces thèmes par l'entremise d'acteurs occupant un rôle important depuis plusieurs années au sein des coopératives observées. Les informations recueillies ont pu être bonifiées par la rencontre d'autres intervenants importants de l'industrie forestière de la région observée. Les résultats recueillis présentent différentes dynamiques. Sur le plan de la démocratie économique, les coopératives cherchent à valoriser leur forêt dans une optique d'utilisation durable. Elle est une richesse et une source d'activité nécessaires aux communautés forestières. Elles se sont associées afin de former une nouvelle coopérative opérant une scierie, mais dont l'objectif sera de faire des récoltes favorisant l'aménagement dans une approche intégrée. Il reste que la marge de manœuvre des coopératives de Charlevoix est limitée puisque la majorité des essences les plus valorisées commercialement sont réservées à l'entreprise Abitibi Bowater qui gère l'aménagement et la récolte sur l'ensemble du territoire. La planification par cette entreprise aurait délaissé l'utilisation des coopératives afin de privilégier l'utilisation d'entrepreneurs privés. La relation d'impartition entre Abitibi Bowater et ses entrepreneurs favorise un contrôle serré des travailleurs. Sur le plan de la démocratie industrielle, les coopératives forestières présentent certains postes dans la sylviculture dont le taux de roulement et les difficultés de recrutement dans une région où le taux de chômage est élevé indiquent des conditions de travail difficiles et une rémunération insuffisante. Les coopératives ont un contrôle limité sur les conditions qu'elles peuvent offrir aux travailleurs de la sylviculture. Les taux déterminés par le MRNF influencent fortement la rémunération des travailleurs. Il reste que les coopératives affirment qu'elles sont une association de travailleurs garantissant la démocratie industrielle de ses membres. Elles ont historiquement accompli une part importante des activités dans la sylviculture, mais n'ont pas réussi à doter ses travailleurs de la sylviculture de conditions de travail adéquates et en conséquence les travailleurs ont réagi en se syndiquant. Plutôt que de considérer cette situation comme le constat d'une réalité qui perdure nécessitant de nouveaux moyens d'action. Les coopératives ont adopté une attitude défendant le statu quo. Peut-être que cette nouvelle forme de représentation aurait pu apporter des bénéfices mutuels pour chacune de ces organisations. L'organisation de l'activité forestière est très fortement politique et à l'aube de la mise en place d'un nouveau régime forestier, il est nécessaire que les acteurs sociaux s'associent afin de revendiquer une politique tenant compte des intérêts des communautés forestières. Concilier une démocratie économique et une démocratie industrielle dans une activité durable semble être un bon moyen pour pérenniser l'existence de ces communautés. Dans cette optique, il est nécessaire que les citoyens possiblement organisés en coopératives puissent avoir un certain contrôle dans l'utilisation intégrée des ressources de leur territoire. De plus, les conditions de travail et d'emploi doivent être attrayantes afin de retenir et renouveler une main-d’œuvre désirant habiter ces communautés."

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