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Busbecq et la philologie classiqueVuylsteke, José 31 May 1933 (has links)
Doctorat en philosophie et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Ivoires d'EtrurieHuls, Yvette January 1952 (has links)
Doctorat en philosophie et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Ancient grammar in context : contributions to the study of ancient linguistic thought /Sluiter, Ineke, January 1990 (has links)
Proefschrift--Amsterdam--Vrije Universiteit, 1990. / Résumé en néerlandais.
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Der Lateinische Konjunktiv : seine Einheit als deiktische Kategorie : eine Erklärung der modalen Systeme der klassischen Zeit /Müller-Wetzel, Martin. January 2001 (has links)
Texte remanié de: Diss.--Philosophische Fakultät--Göttingen, 2000. / Bibliogr. p. 211-215. Notes bibliogr.
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Derivation : Greek and Roman views on word formation /Vaahtera, Jaana Johanna, January 1998 (has links)
Diss.--Faculty of humanities--University of Turku, 1998. / Bibliogr. p. [184]-202. Index.
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Die auf Papyri erhaltenen Kommentare zur alten Komödie : Ein Beitrag zur Geschichte der antiken Philologie /Trojahn, Silke. January 2002 (has links)
Texte remanié de: Diss.--Halle-Wittenberg--Martin-Luther-Universität, 2001. / Edition allemande de fragments en grec ancien. Bibliogr. p. 242-262. Notes bibliogr. Index.
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Oracles et décision: étude philologique et rhétorique de la preuve oraculaire dans la littérature grecque classiqueDainville, Julie 26 April 2019 (has links) (PDF)
Ma thèse de doctorat étudie la dimension rhétorique des oracles dans la littérature grecque d’époque classique. Les considérations sur la divination récoltées dans les traités de rhétorique antiques constituent le point de départ de ce travail. On y apprend, d’une part, que l’oracle serait une forme de témoignage (Aristote, Rhét. I, 15, 1375b 26 – 1376a 6 ;Cicéron, Sur les divisions de l’art oratoire, 2, 6 et Topiques, 76-77 ;Quintilien V, 7, 35-36 et 11, 42), qu’il faut comprendre dans le sens relativement large de preuve extra-technique dont la force persuasive provient de l’autorité. Ceci m’amène, dans la première partie du travail, à m’intéresser à l’établissement de l’autorité oraculaire et à examiner son rôle dans le fonctionnement de la divination. Je m’appuie pour cela sur les données fournies par les traités de rhétorique sur l’établissement de l’autorité testimoniale, mais aussi plus largement sur ce qui renforce l’autorité d’un orateur en rhétorique.D’autre part, certains traités mentionnent les oracles lorsqu’ils abordent le traitement rhétorique de l’ambiguïté, qui est une caractéristique souvent associée aux réponses oraculaires. Le premier auteur à en parler est Aristote (Rhét. III, 5, 1407 a-b). Il condamne les oracles ambigus (ainsi que l’ambiguïté de manière plus générale) et soutient qu’elle vise à tromper le consultant. Les autres auteurs (Hermogène, Sur les états de la cause, XII, 1-10 ;L’Anonyme de Séguier, 188 et Sopatros, Διαίρεσις ζητημάτων, LXXIX [= p. 377-382, vol. 8 Walz]) mentionnent l’oracle dans leurs développements sur l’amphibologie. Il s’agit alors de proposer une méthode pour argumenter pour ou contre une interprétation lorsque plusieurs hypothèses sont envisageables, selon un modèle qui s’inscrit dans le genre délibératif. L’obscurité oraculaire et l’importance de la délibération dans la prise en compte de l’oracle pour l’action sont au cœur de la deuxième partie de la thèse.Mon objectif est de montrer que ces différentes approches rhétoriques de l’oracle, bien qu’elles n’aient a priori rien en commun, sont en fait complémentaires :l’établissement de l’autorité est une condition sine qua non au bon fonctionnement de la divination. Si elle n’est pas reconnue, la parole du devin ou du prophète n’aura aucun poids. En revanche, si elle l’est, sa parole sera considérée comme vraie et pertinente. Toutefois, il arrive fréquemment que l’oracle nécessite alors un processus délibératif, qui peut porter sur l’établissement du sens de la réponse lorsqu’elle est obscure, ou sur la meilleure manière d’en tenir compte dans la prise de décision et dans l’action à mener. Par ces deux aspects, la divination telle qu’elle est présentée dans la littérature classique s’inscrit pleinement dans un cadre rhétorique et laisse aux consultants la responsabilité de leurs choix et de leurs actions. / Doctorat en Langues, lettres et traductologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Ostraca grecs inédits de Strasbourg. Recherches sur la taxation dans l'Egypte romaineHeilporn, Paul 12 June 1996 (has links)
<p align="justify">62 ostraca grecs (documents écrits sur tessons de céramique), conservés depuis 1910 à la Bibliothèque Nationale et Universitaire de Strasbourg (France), sont ici édités pour la première fois. Il s'agit essentiellement de reçus d'impôts, qui proviennent de Thèbes (Haute-Egypte) et datent du Haut-Empire romain, en particulier du IIe s. apr. J.-C. La présentation met en évidence un phénomène bien connu en papyrologie, mais qui n'avait guère été exploité pour ce type de textes: les contribuables, en conservant ces documents pour un éventuel contrôle, se constituaient de modestes archives privées. Celles-ci ont parfois été retrouvées telles quelles, puis dispersées sur la marché des antiquités: il convient donc, autant que possible, de les reconstituer dans la publication, de sorte que 27 ostraca conservés dans d'autres collections (Royal Ontario Museum; Biblioteca Medicea Laurenziana; Sorbonne) mais apparentés aux nouveaux documents de Strasbourg, sont republiés ici.</p>
<p align="justify">Les dossiers ainsi réunis permettent diverses recherches sur le système de taxation complexe mis en place à l'époque romaine (impôts capitaires, fonciers et autres) et sur l'organisation de la perception et ses variations dans le temps et, surtout, selon les sites. Ils éclairent également la topographie de Thèbes, du point de vue administratif, à cette époque. Une petite moitié des textes publiés ici, dont plusieurs sont bilingues, constituent les archives d'une famille de prêtres, dont un stoliste d'Apollon (Montou) et Asklèpios (Imhotep); ils apportent ainsi un témoignage important sur le milieu où se maintint le plus longtemps l'usage du démotique: à Thèbes comme ailleurs en Egypte, il apparaît qu'il s'agit du clergé.</p>
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Les Res gestae Alexandri Macedonis de Julius Valerius. Études lexicales, syntaxiques et stylistiquesFoubert, Frédéric 18 December 2007 (has links)
Les conquêtes et les hauts faits d’Alexandre le Grand ont fait l’objet d’une tradition romanesque à laquelle est donné le titre générique de Roman d’Alexandre ; elle est connue par le biais de nombreuses versions, traductions et adaptations. L’objectif de la thèse est d’évaluer les prétentions littéraires des Res gestae Alexandri Macedonis de Julius Valerius, première version latine connue de ce Roman. Le texte – envisagé comme objet littéraire autonome, en raison, notamment, de la perte de l’original grec dont il constitue la traduction – a été analysé au travers de trois séries d’études, portant sur le lexique, la syntaxe verbale et les figures de style. Effectués sur la base de la dernière édition de référence (ROSELLINI 2004²), ces dépouillements offrent la première vision approfondie des ambitions qui caractérisent la démarche de l’auteur ; ils ont permis en outre d’envisager, à titre d’hypothèse, l’objectif de ce dernier : dans un monde en voie de christianisation, donner à l’élite politique et culturelle un nouvel accès à texte consacré à l’une des figures les plus célèbres de la culture païenne.
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L'arc et l'archer grecs archaïques: Recherches comparatives et perspectives de reconstruction linguistique et culturelle indo-européenneAndrianne, Gilles 16 February 2017 (has links) (PDF)
L’exploration de l’arc et des archers au travers de la littérature grecque archaïque fait ressortir que leurs thèmes et valeurs relèvent plus de l’arc même que de leurs porteurs. Des thèmes récurrents qu’il véhicule peuvent en effet s’appliquer à diverses figures mythologiques. Les thématiques abordées sont :a. L’efficacité meurtrière (principalement à la guerre) :contrairement aux conceptions usuelles, l’arc est considéré comme efficace et n’est pas contraire aux valeurs de la guerre que décrit Homère. Teucros, face à Pâris-Alexandre et Pandare, fait office d’archer excellent et efficace. La dichotomie est à trouver entre le camp achéen, qui présente un idéal d’archer conforme à la morale guerrière, et le camp troyen, dévalorisé.b. Poison, maladie et mort :les archers Apollon, Ulysse, Héraclès, Philoctète montrent un lien certain avec l’empoisonnement des flèches et la maladie. Le terme pikrós, adjectif ordinairement compris comme « amer, acéré », aurait le sens de « empoisonné », sur base de l’IE *peik̑- redéfini en « enduire d’une substance ». En outre, l’if (lat. taxus), matériaux privilégié de fabrication de l’arc, serait lié au gr. τόξον « arc », et rattaché à la racine *teh2g- « toucher, atteindre, infliger un état négatif ». c. La punition divine :l’arc, lorsque lié à Apollon, Héraclès et Ulysse, en tant qu’objet délivrant une mort rapide, est le symbole et le mécanisme de la punition divine. Il sert à mettre fin à l’hubris des hommes lorsque celui-ci dépasse toute forme de réparation. Il en va ainsi du massacre des prétendants par Ulysse, vecteur de la sauvagerie sanglante d’Héraclès et de la volonté meurtrière d’Apollon. Ce dernier, ainsi que sa sœur Artémis, sont d’ailleurs les divinités qui punissent de façon sanglante les excès.d. La vaillance et la puissance (ἀλκή, κράτος) :lorsque le formulaire poétique de l’arc est étudié, deux racines se distinguent :*kert- ainsi que *h2lek-/*h2elk-. La première met en exergue les expressions tóxon kraterón et biòs kraterós (« arc puissant »), toxophóros kaì karterós (« porteur d’arc et puissant »), ainsi que toxôn egkratés (« maîtrisant l’arc ») chez Sophocle. Ces usages et leurs contextes indiquent que l’arc est lié à la force physique, et n’est en rien l’arme des faibles. La seconde racine montre la racine *h2lek-/*h2elk- au sens de « repousser, défendre ». Des éléments se retrouvent dans l’onomastique, comme dans le nom initial d’Héraclès, Alkaios, ainsi que ceux dans sa généalogie (Alcmènè, Alkaios, Alexiarès). L’épithète apotropaïque alexí-kakos (« qui écarte les maux ») est d’ailleurs appliquée à Apollon et Héraclès. Les archers sont par essence des défenseurs, et l’arc et les flèches un moyen de repousser les ennemis.e. La royauté :des cultures diverses — Grèce, Inde, Perse, mais aussi Ugarit, monde hittite — présentent l’arc comme une arme rituelle à des fins d’exercice de royauté. Cette valeur ne se cantonne pas aux cultures grecque et indienne, mais est généralisée dans le monde oriental, y compris non indo-européen. Le pouvoir dynastique se décèle chez Télémaque et Aqhat.f. Le mariage et la sexualité :l’arc est un outil rituel de mariage dans l’aire indo-grecque, dans les mariages de Pénélope et Ulysse, Râma et Sîtâ, et Arjuna et Draupadî principalement. L’arc grec participe du traitement oriental :comme le disent Télémaque dans l’Odyssée, et Aqhat dans la légende ougaritique qui porte son nom :« l’arc est l’affaire des hommes » ;les deux œuvres montrent des parallèles textuels et structurels. L’arme détermine une nette distinction entre les mondes du masculin et du féminin. Le rituel hittite de Paskuwatti contre l’impuissance sexuelle va dans le même sens.g. Les flèches et la parole :enfin, dans l’épopée homérique, l’arc et les flèches sont l’objet de métaphores pour désigner la parole, en tant qu’objet qui tend vers un but et atteint sa cible. Les epea pteroenta homériques sont l’exemple type de l’acte illocutoire, et plus précisément de « langage conatif » ou « directif ». / Doctorat en Langues, lettres et traductologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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