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The differential effects of academic motivation types on school achievement and persistenceTaylor, Genevieve January 2012 (has links)
The purpose of the present thesis was to examine the differential and longitudinal relations between academic motivation types, achievement, and persistence in high school and junior college samples. Academic motivation was defined as a multidimensional construct consisting of intrinsic, extrinsic and amotivated types, according to Self-Determination Theory. Study 1 consisted of a meta-analysis supporting the positive relations of intrinsic motivation and identified regulation and the negative relations of amotivation to school achievement and persistence. It also showed weak and inconsistent effects of introjected and external regulation on school outcomes, and revealed several moderators. Building on these findings, Study 2 used a prospective design, controlling for baseline achievement and high school dropout intentions, to show that intrinsic motivation was the only type of motivation to significantly predict an increase in achievement and a decrease in intentions to drop out over one year. Study 3 aimed to replicate these results using a prospective design and extend them to a sample of students experiencing the transition from high school to junior college (Cegep) and studying science. It showed that intrinsic motivation was significantly positively associated with increases in school achievement and persistence in university over several years, whereas introjected regulation was related to lower levels of achievement and persistence in university. The three studies suggest that intrinsic motivation is the most beneficial form of motivation for students' achievement and persistence and that preventing the development of introjected regulation and amotivation could contribute to prevent school dropout, specifically during the transition from high school to junior college. / La présente thèse vise à examiner les relations différentielles et longitudinales entre les types de motivation, la réussite et la persévérance scolaires auprès des jeunes du secondaire et du collégial. La motivation scolaire fut définie en tant que construit multidimensionnel, comportant les types intrinsèque, contrôlés et amotivés. L'Étude 1 consiste en une méta-analyse démontrant les relations positives entre la motivation intrinsèque, la régulation identifiée et la réussite et la persévérance scolaires, ainsi que la relation négative entre l'amotivation et ces mêmes variables résultantes. De plus, cette étude atteste l'effet faible et variable des motivations par régulation introjectée et externe. En se basant sur ces résultats, l'Étude 2 illustre, à l'aide d'un devis longitudinal et de variables contrôles au temps 1, que la motivation intrinsèque est la seule à prédire une hausse du rendement scolaire et une baisse des intentions de décrochage sur un an. L'Étude 3, ayant pour objectif de reproduire ces résultats auprès d'un échantillon d'étudiants en période de transition du secondaire au collégial, démontra que la motivation intrinsèque était associée significativement à une augmentation du rendement et de la persévérance en sciences à l'université. D'autre part, cette étude démontre que la régulation introjectée est liée à une baisse de réussite et de persévérance en sciences au niveau universitaire. Ces trois études démontrent que la motivation intrinsèque serait la forme de motivation la plus bénéfique pour le rendement et la persévérance des jeunes. Elles évoquent également que la prévention du décrochage scolaire devrait cibler le développement de la motivation par régulation introjectée et l'amotivation, surtout durant les périodes de transitions scolaires.
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The influence of somatic symptoms in assessing symptoms of depression: do physical health and gender matter?Delisle, Vanessa January 2012 (has links)
Major Depressive Disorder (MDD) is common among people with medical illnesses and is more common in women compared to men. In order for comparisons of MDD prevalence rates and self-reported symptom severity across groups to be valid, it is important to establish that diagnostic methods or depression symptom questionnaires that assess severity are measuring the same construct across the groups. There is relatively little research that has attempted to dissect the potential influence of somatic symptom reporting on depression symptom severity ratings, and existing research has important limitations. Thus, the objective of the studies in this thesis was to assess the degree to which differences in somatic symptom reporting might influence scores on a commonly used self-report depression symptom questionnaire, the Beck Depression Inventory (BDI), among post-myocardial infarction (MI) patients, who have a high somatic burden associated with acute cardiovascular disease, compared to psychiatry outpatients, as well as scores on the BDI-II among female compared to male psychiatry outpatients. The first study found evidence that assessing depression symptoms with the BDI post-MI may exaggerate depression symptom severity scores due to the influence of somatic symptoms that commonly occur post-MI, but which are not due to depression. These results, considered in the context of a previous study of the BDI-II that did not find any differences between post-MI and psychiatry outpatients, suggest that the BDI-II may be preferable to the BDI in epidemiological studies of depression among post-MI patients. However, more studies are needed that directly compare the influence of somatic symptoms on the BDI and BDI-II among cardiovascular disease patients. The results of the second study suggest that men and women report similar levels of cognitive/affective and somatic symptoms of depression. Previous suggestions that women report more somatic symptoms of depression than men and that this explains gender differences in depression rates and symptom severity are not supported by the evidence, and future studies should focus on alternative explanations. / Le Trouble Dépressif Majeur (TDM) est fréquent chez les personnes malades et plus commun chez les femmes que chez les hommes. Afin d'assurer la validité des comparaisons du taux de prévalence de TDM et des sévérités des symptômes auto-déclarés parmi les groupes, il est important d'établir que les méthodes de diagnostic et les questionnaires sur les symptômes de dépression qui évaluent la gravité mesurent le même concept entre ces groupes. Il y a relativement peu de recherches qui ont tenté de comprendre l'influence potentielle des symptômes somatiques rapportés sur le taux de sévérité des symptômes de dépression, et les études existantes montrent des limitations importantes. Ainsi, l'objectif de la première étude de cette thèse était d'évaluer à quel point les symptômes somatiques rapportés pouvaient influencer les résultats sur un questionnaire des symptômes auto-déclarés de dépression (le "Beck Depression Inventory (BDI)") parmi les patients qui ont subi un infarctus du myocarde (IM) et qui ont des limites physiques importantes associées à cette maladie, comparés aux patients externe de psychiatrie. L'objectif de la deuxième études était aussi d'évaluer à quel point les symptômes somatiques rapportés pouvaient influencer les résultats sur un autre questionnaire des symptômes auto-déclarés de dépression (le "BDI-II") parmi les patientes externes femelles en psychiatrie par rapport aux patients externes mâles. La première étude a démontré que l'évaluation des symptômes de dépression avec le BDI parmi les patients qui ont subi un IM pouvait exagérer la gravité des symptômes dus à l'influence des symptômes somatiques qui surviennent fréquemment suite à un IM, mais qui ne seraient pas dus à la dépression. Ces résultats, considérés dans le contexte d'une étude précédente du BDI-II qui n'a pas identifié de différences entre les patients qui ont subi un IM et les patients externes de psychiatrie, suggère que le BDI-II peut-être préférable au BDI dans les études épidémiologiques de la dépression chez les patients qui ont subi un IM. Cependant, d'autres études sont nécessaires pour comparer directement l'influence des symptômes somatiques sur le BDI et le BDI-II chez les patients souffrant de maladies cardiovasculaires. Les résultats de la deuxième étude suggèrent que les hommes et les femmes présentent des niveaux similaires de symptômes cognitifs/affectifs et somatiques de dépression. Les résultats de cette deuxième étude ne supportent pas les conclusions des études précédentes qui suggèrent que les femmes rapportent plus de symptômes somatiques de dépression que les hommes et que cela expliquerait les différences entre les sexes dans les taux de dépression et la sévérité des symptômes. Les études futures devraient se concentrer sur d'autres explications.
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Depressive symptoms in the transition to menopause: the role of irritability, personality vulnerability, and self-regulationMauas, Viviana January 2012 (has links)
Menopause is a natural occurrence that all women experience during the midlife. Recent investigations indicate that although there may be some women who develop depression during the menopausal transition (MT), a much more prevalent concern is an increase in irritable mood. Evidence stemming from research unrelated to menopause indicates that irritability and depression are distinct mood conditions. Furthermore, various researchers have proposed that irritable mood is a prodrome of full-blown depression, especially if other vulnerability factors are involved. The overarching objective of this dissertation was to examine factors that contribute to increases in depressive symptoms and identify women at risk as they transition to menopause. I first investigated whether irritability and depressive symptoms are differentially associated with menopausal status – premenopause, early and late transition to menopause, and postmenopause. Irritability was expected to be elevated in women in the MT compared to those who were either pre- or postmenopause. Next, I examined whether the personality variables of self-criticism and dependency, two personality styles considered to increase susceptibility to depression during various stages of life, moderate the impact of irritability in predicting depressive symptoms in women transitioning to menopause. Lastly, I tested two models of mediated-moderation to examine the role of affect-related self-regulation in explaining the moderated effect of irritability by personality vulnerability factors on depressive symptoms. The study used a cross-sectional design and was administered over the Internet. Of the 376 women who participated in the study, 102 were premenopausal, 157 had entered the transition phase, and 117 were postmenopausal. Determination of menopausal status was based on self-reported menstrual bleeding pattern and chronologic age, and is in accordance with widely used systems established for research on menopause. Moderation was examined using hierarchical regression analysis. Mediation hypotheses were examined using the causal steps procedure for testing basic mediation (Baron and Kenny, 1986) and extended by Muller, Judd, and Yzerbyt (2005) to test for the combined effect of moderation and mediation.As predicted, analyses showed that women in the MT reported significantly higher levels of irritability compared to pre- and postmenopausal women. Also, irritability was significantly associated with depressive symptoms. Importantly, and as predicted, self-criticism moderated this association. Simple slope analyses showed that it is among women with high levels of self-criticism that irritability produces a marked increase in depressive symptoms. Finally, results supported a mediated moderation model in which self-regulation was the mediator. Self-regulation was defined as the ability to access effective strategies for coping with a negative mood, and to maintain goal directed behavior and inhibit impulsive behavior when one is in a negative mood state. Findings based on this model indicated that irritability significantly compromised women's ability to self-regulate, especially among women who were highly self-critical, and dysfunction in self-regulation partially explained their increased level of depressive symptoms. The second model, which tested non-acceptance of negative emotion as the mediator, was not supported. In sum, findings of this study suggest that the transition to menopause may represent an especially vulnerable period for women with high levels of self-criticism. Although irritability is transitory for most women; for women who are highly self-critical, irritability may tax their ability to self-regulate and lead to more encompassing symptoms of depression. Clinical implications are discussed. / La ménopause est un état naturel que chaque femme éprouve vers le milieu de la vie. De récentes études indiquent que malgré le fait que certaines femmes développent une dépression durant la période de transition ménopausale (TM), une augmentation de l'irritabilité est une manifestation beaucoup plus courante chez ces femmes. Des résultats provenant d'études ne portant pas sur la ménopause indiquent que l'irritabilité et la dépression sont deux états émotionnels distincts. De plus, des recherches variées indiquent que l'irritabilité est un prodrome de la dépression avérée, notamment si elle est accompagnée d'autres facteurs de vulnérabilité. L'objectif prédominant de cette dissertation était d'examiner les facteurs contribuant à la dépression ainsi que d'identifier les femmes à risque à celle-ci lors de la période de transition vers la ménopause. J'ai d'abord évalué si l'irritabilité et les symptômes de la dépression sont différentiellement associés au statut ménopausal- préménopause, la période de transition vers la ménopause, et postménopause. Il était attendu à ce que l'irritabilité soit élevée chez les femmes en TM comparé a celles étant soit en pré- ou postménopause. Par la suite, j'ai examiné si des variables liées a la personnalité, soit l'auto-critique ou la dépendance, deux styles de personnalité présumés augmenter la susceptibilité à la dépression durant différentes étapes de la vie, modèrent l'impact de l'irritabilité en prévoyant la dépression chez les femmes transitant vers la ménopause. Finalement, j'ai examiné la manière dont l'auto-régulation liée à l'affect pouvait expliquer la relation entre l'impact de l'irritabilité, modéré par des facteurs de vulnérabilité de la personnalité (ci-haut mentionnés), et les symptômes de la dépression. Cette étude était de nature transversale et a été effectuée par le biais d'Internet. Parmi les 376 femmes ayant participé à cette étude, 102 étaient en préménopause, 157 étaient en phase de transition, et 117 étaient en postménopause. Comme prévu, les analyses indiquent que les femmes en état de TM rapportaient des niveaux d'irritabilité significativement plus élevés que celles en pré- et postménopause. Aussie, l'irritabilité était significativement associée aux symptômes de la dépression. Il est important de souligner que tel que prévu, l'auto-critique a joué un rôle de modérateur dans cette association. Les analyses ont montré que c'est parmi les femmes ayant de hauts niveaux d'auto-critique que l'irritabilité produit une augmentation marquée des symptômes de la dépression. Finalement, les résultats appuient le modèle de modération dans lequel l'auto-régulation était le médiateur. Les résultats basés sur ce modèle indiquent que l'irritabilité compromet de façon significative la capacité des femmes à s'auto-réguler, notamment parmi les femmes qui étaient hautement critiques envers elles-mêmes; aussi, le dysfonctionnement dans l'auto-régulation expliquait partiellement leur niveau élevé de symptômes de la dépression. En résumé, les résultats de cette étude suggèrent que la période de transition vers la ménopause représente une période de particulière vulnérabilité pour les femmes étant hautement critiques envers elles-mêmes. Bien que l'irritabilité soit transitoire pour la plupart des femmes, l'irritabilité pourrait compromettre la capacité à s'auto-réguler et mener à davantage de symptômes de la dépression pour celles qui sont hautement critiques envers elles-mêmes.
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Mind over matter in biological conditions: the role of psychological processes in lactose intolerance and chronic spontaneous urticariaBlinderman, Ilia January 2013 (has links)
Historically, medicine has emphasized biological models of illness, while ignoring their psychological dimensions. This outlook has been emphasized further in the recent era of genetic research. In spite of our best efforts, however, certain conditions that clinicians consider exclusively rooted in biology have remained difficult to manage. In order to demonstrate the importance of psychological factors in such conditions, this thesis examines the role that psychological factors play in lactose intolerance and chronic spontaneous urticaria. Findings from Study 1 and its corresponding pilot project suggest that expectancies are a key mechanism in lactose intolerance. Specifically, expectancy manipulations led self-reported lactose intolerant individuals to develop common intolerance symptoms (bloating, abdominal pain, and flatulence). Findings from Study 2 reveal that psychosocial factors appear to be implicated in the onset and development of chronic spontaneous urticaria. These results may lead to the development of new psychological interventions to alleviate lactose intolerance (through expectancy-manipulation) and chronic spontaneous urticaria (through negative thought process de-automatization, as outlined in Commentary Response 1). Finally, this thesis addresses the ethical dilemmas which may accompany psychologically-targeted treatments, and suggests a method through which deceptive practices may be ethically employed to benefit patients. / Bien que la médecine s'intéresse aux modèles biologiques de la maladie depuis bien longtemps, elle a tendance à ignorer les dimensions psychologiques associées à ces modèles. Cette perspective incomplète s'est amplifiée au cours des dernières années avec l'expansion des recherche dans le domaine génétique. Malgré les plus francs efforts des chercheurs et des cliniciens, cependant, certaines maladies considérées comme essentiellement biologiques demeurent difficiles à comprendre et à contrôler. Défendant l'importance des facteurs psychologiques associés à de telles conditions, la présente thèse vise à comprendre le rôle des facteurs psychologiques dans l'intolérance au lactose et l'urticaire spontanée chronique.Les résultats de l'étude 1 ainsi que du projet pilote associé suggèrent que les attentes jouent un rôle clef dans l'intolérance au lactose. Plus spécifiquement, manipuler les attentes des participants intolérants au lactose suffirait à déclencher des symptômes typiques de cette condition (ballonnements, douleur abdominale et flatulences). Les résultats de l'étude 2, quant-à-eux, révèlent que des facteurs psychosociaux seraient impliqués dans la génération et le développement de l'urticaire spontanée chronique.Ensemble, ces résultats nous mènent à considérer de nouvelles interventions psychosociales pouvant potentiellement réduire les symptômes de l'intolérance au lactose (en manipulant les attentes) et de l'urticaire spontanée chronique (en désactivant les processus de pensée négative tel qu'illustré dans la Réponse Commentaire 1 [Commentary Response 1]). Enfin, la présente thèse examine les dilemmes éthiques générés par les traitements visant la manipulation des aspect psychosociaux liés à ces conditions et suggère un moyen d'employer de telles déceptions d'une manière éthique pour le bénéfice des patients.
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"C'est un projet de couple": Psychological service-seeking patterns and desired psychological supports for couples in infertility treatmentRead, Suzanne January 2013 (has links)
Infertility is an intensely distressing life event for couples. Fertility treatments such as hormone therapy and in vitro fertilization can be painful and humiliating for patients as well. Gender and culture also influence a person's experience with infertility: women robustly report greater distress, and cultural or religious norms concerning childbearing and causes of infertility can influence the couple's distress. Various psychological treatments have been developed to help couples cope with the stresses of infertility and fertility treatment, but the acceptance rate for such services are low. In order to provide infertile couples with adequate psychological support, we need to understand what kinds of psychological services they would prefer and the barriers limiting their access to preferred services. This study explored infertile couples' experiences with seeking psychological help and their preferences for psychological treatments. Gender and cultural influences on treatment were also examined. This qualitative descriptive study involved in-depth interviews with 32 infertile couples from varying ethnocultural and religious backgrounds. Interview transcripts were analyzed using thematic analysis. Couples described two important components to psychological treatment preferences: a need for psychological help, and a type of help that would best fulfill that need. The main barrier to treatment-seeking was that patients were not informed about what services were available to them. Women and men mentioned similar treatment preferences, but men tended to focus on their partner's experiences and needs, thereby reflecting a gendered pattern of male care-giver/female care-receiver. The couples' cultural backgrounds influenced their use of complementary treatments, or non-biomedical alternative treatments for infertility. Non-Western couples were more likely to use complementary treatments in addition to biomedical fertility treatment. The findings of this study will help infertility clinics to develop and offer appropriate services to best serve their clients' psychological support needs. / L'infertilité est une expérience de vie très intense et souvent difficile à vivre pour les couples y étant confrontés. Les traitements de fertilité comme l'hormonothérapie et la fécondation in vitro peuvent être douloureux et humiliant pour plusieurs patients. Les origines culturelles et le genre influent grandement sur l'expérience d'une personne infertile: les femmes déclarent plus vigoureusement leur détresse que les hommes, et les normes culturelles ou religieuses relatives à la maternité et les causes de l'infertilité peuvent influencer la détresse des couples. Différents traitements psychologiques ont été développés afin d'aider les couples à faire face au stress de l'infertilité et de ses traitements, mais peu de couples ont recours à ces services. Afin d'offrir un soutien psychologique adéquat aux couples infertiles, nous avons besoin de mieux comprendre leurs préférences en termes de services psychologiques et d'identifier les obstacles limitant leur accès à ces services. Cette recherche a exploré l'expérience des couples infertiles et leurs préférences relatives à l'aide et aux traitements psychologiques souhaités. Les influences liées au genre et à la culture sur le traitement ont également été examinées. Cette étude descriptive a utilisé les données provenant de 32 entrevues qualitatives avec des couples infertiles d'origines ethnoculturelles et religieuses différentes. Les transcriptions d'entrevues ont été analysées à l'aide de l'analyse thématique. Les couples ont mentionné deux aspects importants concernant leurs préférences de traitements psychologiques: un besoin d'aide psychologique, et un type d'aide qui répondrait mieux à ce besoin. Pour les couples interviewés, le principal obstacle à la recherche d'un traitement psychologique a été le manque d'information concernant les services disponibles. Les femmes et les hommes ont évoqué des préférences de traitements similaires, mais les hommes ont eu plus tendance à se concentrer sur les expériences et les besoins de leurs partenaires, reflétant ainsi une tendance attribuable au genre des patients : l'homme en tant que pourvoyeur de soins et la femme en tant que bénéficiaire de soins. De plus, l'origine culturelle des couples a influencé leur utilisation de traitements complémentaires, ou de traitements alternatifs non-biomédicaux pour l'infertilité. Les couples non-occidentaux étaient plus susceptibles d'utiliser des traitements complémentaires parallèlement à leurs traitements de fertilité biomédicaux. Les résultats de cette étude aideront les cliniques de fertilité à développer et à offrir des services psychologiques appropriés afin de mieux servir les besoins psychologiques de leurs clients.
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On the independence of spatial ability from verbal abilityWaggett, Jill Lynn January 1989 (has links)
Four studies were conducted to examine three issues: (1) the relationship between spatial and verbal ability, (2) the relationship between spatial ability and social intelligence, and (3) sex differences in the relationship between spatial and verbal ability. Contrary to the traditional assumption that all abilities exist in a "positive manifold" (Thurstone, 1934, 1935) but consistent with previous research on strategy usage and with correlational data, no relationship was found between spatial and verbal ability for the population of individuals who have high spatial ability. Similarly, no relationship was found between spatial ability and social intelligence (as measured by Missing Cartoons) for the population of individuals who have high spatial ability. Third, no evidence was found for sex differences in the relationship between spatial and verbal ability. This result is contrary to the implications of Ozer's (1987) and Sherman's (1967, 1978) explanations for the sex difference in spatial ability, but consistent with previous correlational data and investigations of sex differences in the strategies used to solve spatial problems.
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Development of a preliminary scale of counterproductive experiences in supervision| Attitudes of clinical psychology internship directors of trainingLucas, Chelsea Taylor 17 January 2014 (has links)
<p> Clinical supervision serves as the indispensable heart of clinical training and professional development (Falender & Shafranske, 2004). While it is expected that clinical supervision be of high quality, some events or experiences may occur in clinical supervision that strain the supervisory alliance, hinder the supervisee's growth, and contribute to a poor experience of supervision, adversely affecting its effectiveness. A Q-sort methodology was used in this study to examine the opinions of five directors of clinical training regarding the impact of 50 counterproductive experiences (CEs) in supervision. The results suggested that each of the CEs drawn from the literature was believed to have an impact on supervision; however, events involving <i>a failure to address the needs of the supervisee</i> were opined to have the greatest potential for significant negative effects on the process of supervision. The findings of this study point to the significant role counterproductive experiences play in clinical supervision; the findings additionally contribute to the development of the Counterproductive Experiences in Supervision scale (CES).</p>
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DESIGNING WARNINGS TO BE READ AND REMEMBERED (HUMAN FACTORS ENGINEERING, COGNITIVE PSYCHOLOGY)ROTHSTEIN, PAMELA R. January 1986 (has links)
No description available.
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THE FIELD-DEPENDENCE HYPOTHESIS IN CROSS-CULTURAL PERSPECTIVEIRVING, DOUGLAS DORSET January 1970 (has links)
No description available.
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PIAGETIAN THEORY EXAMINED CROSS-CULTURALLY: A TRI-ETHNIC STUDY OF CHILDREN'S RESPONSES TO PIAGETIAN TASKS OF CONSERVATION AND COMBINATIONSBEMAN, ALMA THERESA January 1972 (has links)
No description available.
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