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Youth at risk of psychosis : neurocognitive profiles and non-pharmacological interventionsPeredo Nunez De Arco, Rossana 23 January 2019 (has links)
Introduction: L'intérêt pour les premiers stades de la psychose a augmenté au cours des dernières années, vu que cette maladie apparaît pendant l'adolescence. Ensuite, de nombreuses études ont révélé que l'identification et le traitement précoces peuvent retarder la transition vers un trouble mental, et aussi prévenir des effets néfastes sur le fonctionnement global. Afin d'identifier ces individus, certains critères cliniques ont déjà été développés, on sait ainsi que les enfants avec risque génétique de psychose s'engagent tôt dans une trajectoire cognitive déficiente. Même si les modèles de prédiction sont très prometteurs, le nombre de faux positifs est élevé, ce qui nuit au développement de traitements préventifs. L'objectif du premier article était d'identifier deux profils neurocognitifs parmi les descendants des parents avec psychose. Le deuxième article avait comme objectif d'évaluer l'effet sur la transition d'interventions non pharmacologiques, chez les individus à risque de psychose et leur effet sur les comorbidités non psychotiques. Méthodologie: Une analyse de cluster hiérarchique a été effectuée afin d'identifier deux profils neurocognitifs. Ensuite, une analyse systématique et méta-analyse d'essais contrôlés randomisés a été effectué pour analyser les interventions non pharmacologiques publiées jusqu'à cette date. Résultats: L'analyse de cluster a montré l‟existence de deux sous-groupes de descendants à risque élevé, l'un d'entre eux ayant montré une performance cognitive presque identique aux sujets témoins, tandis que l'autre ayant eu des résultats pires que les scores du groupe control. La méta-analyse a rapporté que les thérapies non pharmacologiques étaient associées à un risque réduit de transition vers la psychose. Conclusion: Les interventions non pharmacologiques peuvent avoir du potentiel de traitement chez les individus à risque de psychose. Toutefois on a besoin de plus d‟études concentrés à réduire les taux de retrait. Notre étude suggère que les interventions visant à renforcer l‟aspect neurocognitif devraient être abordées plus tôt. D'autres recherches de types longitudinales sont nécessaires / Introduction: Interest in the early stages of psychosis has been increasing in the last years, mainly because it appears mostly in adolescence. Also, numerous studies have reported that early identification and treatment may not only delay the transition to a frank mental disorder, but also prevent detrimental effects on global functioning. In order to identify these individuals, some clinical criteria have already been developed; it is known for example that children at genetic risk of psychosis engage early in a deficient cognitive trajectory. Even though models of prediction are very promising, the number of false positives is still high, which impairs the development of preventive treatments. The objective of the first article was to identify two neurocognitive profiles among offspring at genetic risk of psychosis. The objective of the second article was to assess, the effect of non-pharmacological interventions on transition to psychosis, compared to any no non-pharmacological treatment, in individuals at risk of psychosis and the effect of these interventions on non-psychotic comorbidities. Methodology: First a hierarchical clustering analysis was performed in order to identify the two neurocognitive profiles. Then a systematic review and meta-analysis of randomized controlled trials was conducted to analyse all non-pharmacological interventions published until now. Results: The cluster analysis yielded two subgroups of high risk offspring, one of them showing a cognitive performance almost identical to control subjects, whereas the other having performed worse than the control scores. The meta-analysis reported that non-pharmacological therapies were associated with a reduced risk of transition to psychosis. Conclusion: Non-pharmacological interventions may have potential in the treatment of individuals at risk of psychosis however; further research is needed accompanied by efforts to diminish withdrawal rates. Our study suggests that interventions with a neurocognitive target should be addressed earlier. Still further research is needed in longitudinal studies.
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