• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 3
  • 2
  • Tagged with
  • 5
  • 5
  • 4
  • 3
  • 3
  • 3
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
1

Méthodes probabilistes basées sur les mots visuels pour la reconnaissance de lieux sémantiques par un robot mobile.

Dubois, Mathieu 20 February 2012 (has links) (PDF)
Les êtres humains définissent naturellement leur espace quotidien en unités discrètes. Par exemple, nous sommes capables d'identifier le lieu où nous sommes (e.g. le bureau 205) et sa catégorie (i.e. un bureau), sur la base de leur seule apparence visuelle. Les travaux récents en reconnaissance de lieux sémantiques, visent à doter les robots de capacités similaires. Ces unités, appelées "lieux sémantiques", sont caractérisées par une extension spatiale et une unité fonctionnelle, ce qui distingue ce domaine des travaux habituels en cartographie. Nous présentons nos travaux dans le domaine de la reconnaissance de lieux sémantiques. Ces derniers ont plusieurs originalités par rapport à l'état de l'art. Premièrement, ils combinent la caractérisation globale d'une image, intéressante car elle permet de s'affranchir des variations locales de l'apparence des lieux, et les méthodes basées sur les mots visuels, qui reposent sur la classification non-supervisée de descripteurs locaux. Deuxièmement, et de manière intimement reliée, ils tirent parti du flux d'images fourni par le robot en utilisant des méthodes bayésiennes d'intégration temporelle. Dans un premier modèle, nous ne tenons pas compte de l'ordre des images. Le mécanisme d'intégration est donc particulièrement simple mais montre des difficultés à repérer les changements de lieux. Nous élaborons donc plusieurs mécanismes de détection des transitions entre lieux qui ne nécessitent pas d'apprentissage supplémentaire. Une deuxième version enrichit le formalisme classique du filtrage bayésien en utilisant l'ordre local d'apparition des images. Nous comparons nos méthodes à l'état de l'art sur des tâches de reconnaissance d'instances et de catégorisation, en utilisant plusieurs bases de données. Nous étudions l'influence des paramètres sur les performances et comparons les différents types de codage employés sur une même base.Ces expériences montrent que nos méthodes sont supérieures à l'état de l'art, en particulier sur les tâches de catégorisation.
2

Place recognition based visual localization in changing environments / Localisation visuelle basée sur la reconnaissance du lieu dans les environnements changeants

Qiao, Yongliang 03 April 2017 (has links)
Dans de nombreuses applications, il est crucial qu'un robot ou un véhicule se localise, notamment pour la navigation ou la conduite autonome. Cette thèse traite de la localisation visuelle par des méthodes de reconnaissance de lieux. Le principe est le suivant: lors d'une phase hors-ligne, des images géo-référencées de l'environnement d'évolution du véhicule sont acquises, des caractéristiques en sont extraites et sauvegardées. Puis lors de la phase en ligne, il s'agit de retrouver l'image (ou la séquence d'images) de la base d'apprentissage qui correspond le mieux à l'image (ou la séquence d'images) courante. La localisation visuelle reste un challenge car l'apparence et l'illumination changent drastiquement en particulier avec le temps, les conditions météorologiques et les saisons. Dans cette thèse, on cherche alors à améliorer la reconnaissance de lieux grâce à une meilleure capacité de description et de reconnaissance de la scène. Plusieurs approches sont proposées dans cette thèse:1) La reconnaissance visuelle de lieux est améliorée en considérant les informations de profondeur, de texture et de forme par la combinaison de plusieurs de caractéristiques visuelles, à savoir les descripteurs CSLBP (extraits sur l'image couleur et l'image de profondeur) et HOG. De plus l'algorithme LSH (Locality Sensitive Hashing) est utilisée pour améliorer le temps de calcul;2) Une méthode de la localisation visuelle basée sur une reconnaissance de lieux par mise en correspondance de séquence d'images (au lieu d'images considérées indépendamment) et combinaison des descripteurs GIST et CSLBP est également proposée. Cette approche est en particulier testée lorsque les bases d'apprentissage et de test sont acquises à des saisons différentes. Les résultats obtenus montrent que la méthode est robuste aux changements perceptuels importants;3) Enfin, la dernière approche de localisation visuelle proposée est basée sur des caractéristiques apprises automatiquement (à l'aide d'un réseau de neurones à convolution) et une mise en correspondance de séquences localisées d'images. Pour améliorer l'efficacité computationnelle, l'algorithme LSH est utilisé afin de viser une localisation temps-réel avec une dégradation de précision limitée / In many applications, it is crucial that a robot or vehicle localizes itself within the world especially for autonomous navigation and driving. The goal of this thesis is to improve place recognition performance for visual localization in changing environment. The approach is as follows: in off-line phase, geo-referenced images of each location are acquired, features are extracted and saved. While in the on-line phase, the vehicle localizes itself by identifying a previously-visited location through image or sequence retrieving. However, visual localization is challenging due to drastic appearance and illumination changes caused by weather conditions or seasonal changing. This thesis addresses the challenge of improving place recognition techniques through strengthen the ability of place describing and recognizing. Several approaches are proposed in this thesis:1) Multi-feature combination of CSLBP (extracted from gray-scale image and disparity map) and HOG features is used for visual localization. By taking the advantages of depth, texture and shape information, visual recognition performance can be improved. In addition, local sensitive hashing method (LSH) is used to speed up the process of place recognition;2) Visual localization across seasons is proposed based on sequence matching and feature combination of GIST and CSLBP. Matching places by considering sequences and feature combination denotes high robustness to extreme perceptual changes;3) All-environment visual localization is proposed based on automatic learned Convolutional Network (ConvNet) features and localized sequence matching. To speed up the computational efficiency, LSH is taken to achieve real-time visual localization with minimal accuracy degradation.
3

Méthodes probabilistes basées sur les mots visuels pour la reconnaissance de lieux sémantiques par un robot mobile / Visual words based probalistic methods for semantic places recognition

Dubois, Mathieu 20 February 2012 (has links)
Les êtres humains définissent naturellement leur espace quotidien en unités discrètes. Par exemple, nous sommes capables d'identifier le lieu où nous sommes (e.g. le bureau 205) et sa catégorie (i.e. un bureau), sur la base de leur seule apparence visuelle. Les travaux récents en reconnaissance de lieux sémantiques, visent à doter les robots de capacités similaires. Ces unités, appelées "lieux sémantiques", sont caractérisées par une extension spatiale et une unité fonctionnelle, ce qui distingue ce domaine des travaux habituels en cartographie. Nous présentons nos travaux dans le domaine de la reconnaissance de lieux sémantiques. Ces derniers ont plusieurs originalités par rapport à l'état de l'art. Premièrement, ils combinent la caractérisation globale d'une image, intéressante car elle permet de s'affranchir des variations locales de l'apparence des lieux, et les méthodes basées sur les mots visuels, qui reposent sur la classification non-supervisée de descripteurs locaux. Deuxièmement, et de manière intimement reliée, ils tirent parti du flux d'images fourni par le robot en utilisant des méthodes bayésiennes d'intégration temporelle. Dans un premier modèle, nous ne tenons pas compte de l'ordre des images. Le mécanisme d'intégration est donc particulièrement simple mais montre des difficultés à repérer les changements de lieux. Nous élaborons donc plusieurs mécanismes de détection des transitions entre lieux qui ne nécessitent pas d'apprentissage supplémentaire. Une deuxième version enrichit le formalisme classique du filtrage bayésien en utilisant l'ordre local d'apparition des images. Nous comparons nos méthodes à l'état de l'art sur des tâches de reconnaissance d'instances et de catégorisation, en utilisant plusieurs bases de données. Nous étudions l'influence des paramètres sur les performances et comparons les différents types de codage employés sur une même base.Ces expériences montrent que nos méthodes sont supérieures à l'état de l'art, en particulier sur les tâches de catégorisation. / Human beings naturally organize their space as composed of discrete units. Those units, called "semantic places", are characterized by their spatial extend and their functional unity. Moreover, we are able to quickly recognize a given place (e.g. office 205) and its category (i.e. an office), solely on their visual appearance. Recent works in semantic place recognition seek to endow the robot with similar capabilities. Contrary to classical localization and mapping work, this problem is usually tackled as a supervised learning problem. Our contributions are two fold. First, we combine global image characterization, which captures the global organization of the image, and visual words methods which are usually based unsupervised classification of local signatures. Our second but closely related, contribution is to use several images for recognition by using Bayesian methods for temporal integration. Our first model don't use the natural temporal ordering of images. Temporal integration is very simple but has difficulties when the robot moves from one place to another.We thus develop several mechanisms to detect place transitions. Those mechanisms are simple and don't require additional learning. A second model augment the classical Bayesian filtering approach by using the local order among images. We compare our methods to state-of-the-art algorithms on place recognition and place categorization tasks.We study the influence of system parameters and compare the different global characterization methods on the same dataset. These experiments show that our approach while being simple leads to better results especially on the place categorization task.
4

Robot semantic place recognition based on deep belief networks and a direct use of tiny images / Robot de reconnaissance des lieux sémantiques basée sur l'architecture profonde et une utilisation directe de mini-images

Hasasneh, Ahmad 23 November 2012 (has links)
Il est généralement facile pour les humains de distinguer rapidement différents lieux en se basant uniquement sur leur aspect visuel. . Ces catégories sémantiques peuvent être utilisées comme information contextuelle favorisant la détection et la reconnaissance d'objets. Des travaux récents en reconnaissance des lieux visent à doter les robots de capacités similaires. Contrairement aux travaux classiques, portant sur la localisation et la cartographie, cette tâche est généralement traitée comme un problème d'apprentissage supervisé.La reconnaissance de lieux sémantiques - la capacité à reconnaître la catégorie sémantique à laquelle une scène appartient – peut être considérée comme une condition essentielle en robotique autonome. Un robot autonome doit en effet pouvoir apprendre facilement l'organisation sémantique de son environnement pour pouvoir fonctionner et interagir avec succès. Pour atteindre cet objectif, différentes méthodes ont déjà été proposées. Certaines sont basées sur l'identification des objets comme une condition préalable à la reconnaissance des scènes, et d'autres fondées sur une description directe des caractéristiques de la scène. Si nous faisons l'hypothèse que les objets sont plus faciles à reconnaître quand la scène dans laquelle ils apparaissent est bien identifiée, la deuxième approche semble plus appropriée. Elle est cependant fortement dépendante de la nature des descripteurs d'images utilisées qui sont généralement dérivés empiriquement a partir des observations générales sur le codage d'images.En opposition avec ces propositions, une autre approche de codage des images, basée sur un point de vue plus théorique, a émergé ces dernières années. Les modèles d'extraction de caractéristiques fondés sur le principe de la minimisation d'une fonction d'énergie en relation avec un modèle statistique génératif expliquant au mieux les données, ont abouti à l'apparition des Machines de Boltzmann Restreintes (Rectricted Boltzmann Machines : RBMs) capables de coder une image comme la superposition d'un nombre limité de caractéristiques extraites à partir d'un plus grand alphabet. Il a été montré que ce processus peut être répété dans une architecture plus profonde, conduisant à une représentation parcimonieuse et efficace des données initiales dans l'espace des caractéristiques. Le problème complexe de la classification dans l'espace de début est ainsi remplacé par un problème plus simple dans l'espace des caractéristiques.Dans ce travail, nous montrons que la reconnaissance sémantiques des lieux peut être réalisée en considérant des mini-images au lieu d'approches plus classiques de type ''sacs-de-mots'' et par l'utilisation de réseaux profonds pour le codage des images. Après avoir realisé un codage approprié, une régression softmax dans l'espace de projection est suffisante pour obtenir des résultats de classification prometteurs. A notre connaissance, cette approche n'a pas encore été proposée pour la reconnaissance de scène en robotique autonome.Nous avons comparé nos méthodes avec les algorithmes de l'état-de-l'art en utilisant une base de données standard de localisation de robot. Nous avons étudié l'influence des paramètres du système et comparé les différentes conditions sur la même base de données. Les expériences réalisées montrent que le modèle que nous proposons, tout en étant très simple, conduit à des résultats comparables à l'état-de-l'art sur une tâche de reconnaissance de lieux sémantiques. / Usually, human beings are able to quickly distinguish between different places, solely from their visual appearance. This is due to the fact that they can organize their space as composed of discrete units. These units, called ``semantic places'', are characterized by their spatial extend and their functional unity. Such a semantic category can thus be used as contextual information which fosters object detection and recognition. Recent works in semantic place recognition seek to endow the robot with similar capabilities. Contrary to classical localization and mapping works, this problem is usually addressed as a supervised learning problem. The question of semantic places recognition in robotics - the ability to recognize the semantic category of a place to which scene belongs to - is therefore a major requirement for the future of autonomous robotics. It is indeed required for an autonomous service robot to be able to recognize the environment in which it lives and to easily learn the organization of this environment in order to operate and interact successfully. To achieve that goal, different methods have been already proposed, some based on the identification of objects as a prerequisite to the recognition of the scenes, and some based on a direct description of the scene characteristics. If we make the hypothesis that objects are more easily recognized when the scene in which they appear is identified, the second approach seems more suitable. It is however strongly dependent on the nature of the image descriptors used, usually empirically derived from general considerations on image coding.Compared to these many proposals, another approach of image coding, based on a more theoretical point of view, has emerged the last few years. Energy-based models of feature extraction based on the principle of minimizing the energy of some function according to the quality of the reconstruction of the image has lead to the Restricted Boltzmann Machines (RBMs) able to code an image as the superposition of a limited number of features taken from a larger alphabet. It has also been shown that this process can be repeated in a deep architecture, leading to a sparse and efficient representation of the initial data in the feature space. A complex problem of classification in the input space is thus transformed into an easier one in the feature space. This approach has been successfully applied to the identification of tiny images from the 80 millions image database of the MIT. In the present work, we demonstrate that semantic place recognition can be achieved on the basis of tiny images instead of conventional Bag-of-Word (BoW) methods and on the use of Deep Belief Networks (DBNs) for image coding. We show that after appropriate coding a softmax regression in the projection space is sufficient to achieve promising classification results. To our knowledge, this approach has not yet been investigated for scene recognition in autonomous robotics. We compare our methods with the state-of-the-art algorithms using a standard database of robot localization. We study the influence of system parameters and compare different conditions on the same dataset. These experiments show that our proposed model, while being very simple, leads to state-of-the-art results on a semantic place recognition task.
5

Localisation par l'image en milieu urbain : application à la réalité augmentée / Image-based localization in urban environment : application to augmented reality

Fond, Antoine 06 April 2018 (has links)
Dans cette thèse on aborde le problème de la localisation en milieux urbains. Inférer un positionnement précis en ville est important dans nombre d’applications comme la réalité augmentée ou la robotique mobile. Or les systèmes basés sur des capteurs inertiels (IMU) sont sujets à des dérives importantes et les données GPS peuvent souffrir d’un effet de vallée qui limite leur précision. Une solution naturelle est de s’appuyer le calcul de pose de caméra en vision par ordinateur. On remarque que les bâtiments sont les repères visuels principaux de l’humain mais aussi des objets d’intérêt pour les applications de réalité augmentée. On cherche donc à partir d’une seule image à calculer la pose de la caméra par rapport à une base de données de bâtiments références connus. On décompose le problème en deux parties : trouver les références visibles dans l’image courante (reconnaissance de lieux) et calculer la pose de la caméra par rapport à eux. Les approches classiques de ces deux sous-problèmes sont mises en difficultés dans les environnements urbains à cause des forts effets perspectives, des répétitions fréquentes et de la similarité visuelle entre façades. Si des approches spécifiques à ces environnements ont été développés qui exploitent la grande régularité structurelle de tels milieux, elles souffrent encore d’un certain nombre de limitations autant pour la détection et la reconnaissance de façades que pour le calcul de pose par recalage de modèle. La méthode originale développée dans cette thèse s’inscrit dans ces approches spécifiques et vise à dépasser ces limitations en terme d’efficacité et de robustesse aux occultations, aux changements de points de vue et d’illumination. Pour cela, l’idée principale est de profiter des progrès récents de l’apprentissage profond par réseaux de neurones convolutionnels pour extraire de l’information de haut-niveau sur laquelle on peut baser des modèles géométriques. Notre approche est donc mixte Bottom-Up/Top-Down et se décompose en trois étapes clés. Nous proposons tout d’abord une méthode d’estimation de la rotation de la pose de caméra. Les 3 points de fuite principaux des images en milieux urbains, dits points de fuite de Manhattan sont détectés grâce à un réseau de neurones convolutionnels (CNN) qui fait à la fois une estimation de ces points de fuite mais aussi une segmentation de l’image relativement à eux. Une second étape de raffinement utilise ces informations et les segments de l’image dans une formulation bayésienne pour estimer efficacement et plus précisément ces points. L’estimation de la rotation de la caméra permet de rectifier les images et ainsi s’affranchir des effets de perspectives pour la recherche de la translation. Dans une seconde contribution, nous visons ainsi à détecter les façades dans ces images rectifiées et à les reconnaître parmi une base de bâtiments connus afin d’estimer une translation grossière. Dans un soucis d’efficacité, on a proposé une série d’indices basés sur des caractéristiques spécifiques aux façades (répétitions, symétrie, sémantique) qui permettent de sélectionner rapidement des candidats façades potentiels. Ensuite ceux-ci sont classifiés en façade ou non selon un nouveau descripteur CNN contextuel. Enfin la mise en correspondance des façades détectées avec les références est opérée par un recherche au plus proche voisin relativement à une métrique apprise sur ces descripteurs [...] / This thesis addresses the problem of localization in urban areas. Inferring accurate positioning in the city is important in many applications such as augmented reality or mobile robotics. However, systems based on inertial sensors (IMUs) are subject to significant drifts and GPS data can suffer from a valley effect that limits their accuracy. A natural solution is to rely on the camera pose estimation in computer vision. We notice that buildings are the main visual landmarks of human beings but also objects of interest for augmented reality applications. We therefore aim to compute the camera pose relatively to a database of known reference buildings from a single image. The problem is twofold : find the visible references in the current image (place recognition) and compute the camera pose relatively to them. Conventional approaches to these two sub-problems are challenged in urban environments due to strong perspective effects, frequent repetitions and visual similarity between facades. While specific approaches to these environments have been developed that exploit the high structural regularity of such environments, they still suffer from a number of limitations in terms of detection and recognition of facades as well as pose computation through model registration. The original method developed in this thesis is part of these specific approaches and aims to overcome these limitations in terms of effectiveness and robustness to clutter and changes of viewpoints and illumination. For do so, the main idea is to take advantage of recent advances in deep learning by convolutional neural networks to extract high-level information on which geometric models can be based. Our approach is thus mixed Bottom- Up/Top-Down and is divided into three key stages. We first propose a method to estimate the rotation of the camera pose. The 3 main vanishing points of the image of urban environnement, known as Manhattan vanishing points, are detected by a convolutional neural network (CNN) that estimates both these vanishing points and the image segmentation relative to them. A second refinement step uses this information and image segmentation in a Bayesian model to estimate these points effectively and more accurately. By estimating the camera’s rotation, the images can be rectified and thus free from perspective effects to find the translation. In a second contribution, we aim to detect the facades in these rectified images to recognize them among a database of known buildings and estimate a rough translation. For the sake of efficiency, a series of cues based on facade specific characteristics (repetitions, symmetry, semantics) have been proposed to enable the fast selection of facade proposals. Then they are classified as facade or non-facade according to a new contextual CNN descriptor. Finally, the matching of the detected facades to the references is done by a nearest neighbor search using a metric learned on these descriptors. Eventually we propose a method to refine the estimation of the translation relying on the semantic segmentation inferred by a CNN for its robustness to changes of illumination ans small deformations. If we can already estimate a rough translation from these detected facades, we choose to refine this result by relying on the se- mantic segmentation of the image inferred from a CNN for its robustness to changes of illuminations and small deformations. Since the facade is identified in the previous step, we adopt a model-based approach by registration. Since the problems of registration and segmentation are linked, a Bayesian model is proposed which enables both problems to be jointly solved. This joint processing improves the results of registration and segmentation while remaining efficient in terms of computation time. These three parts have been validated on consistent community data sets. The results show that our approach is fast and more robust to changes in shooting conditions than previous methods

Page generated in 0.0776 seconds