• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 19
  • 17
  • 5
  • 3
  • 2
  • 1
  • Tagged with
  • 48
  • 48
  • 6
  • 5
  • 5
  • 5
  • 4
  • 4
  • 4
  • 4
  • 4
  • 3
  • 3
  • 3
  • 3
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
41

La naumachie : morituri te salutant /

Cariou, Gérald, January 1900 (has links)
Texte remanié de: Thèse de doctorat--Langues et littératures anciennes--Caen, 2005. Titre de soutenance : Morituri te salutant : la naumachie à Rome et dans l'Empire romain du Ier av. J.-C. au Ve siècle ap. J.-C. / Bibliogr. p. 519-537. Notes bibliogr. Index. PUPS = Presses de l'Université Paris-Sorbonne.
42

Pierre-Adrien Pâris (1745-1819), architecte, et les monuments antiques de Rome et de la Campanie /

Pinon, Pierre, January 2007 (has links)
Texte remanié de: Thèse de doctorat--Art et archéologie--Paris 4, 1998. N°: 1997PA040294. Titre de soutenance : Pierre-Adrien Pâris (1745-1819), architecte ou l'archéologie malgré soi. / Bibliogr. p. 417-420. Index.
43

Kaiserliche Bautätigkeit in Rom : das Echo in der antiken Litteratur /

Scheithauer, Andrea. January 2000 (has links)
Texte remanié de: Habilitationsschrift--Fakultät für Orientalistik und Altertumswissenschaft--Heidelberg--Ruprecht-Karls-Universität, 1994. / Bibliogr. p. 295-324. Index.
44

Au-delà des murs : l'intégration du musée de l'Ara Pacis dans le centre historique de Rome

Georgescu Paquin, Alexandra January 2008 (has links) (PDF)
La construction à Rome du musée de l'Ara Pacis, conçu par l'architecte américain Richard Meier, suscite depuis plus de dix ans de vives polémiques. Celles-ci dénotent un malaise évident face à l'intégration d'une architecture contemporaine, qualifiée de « générique » par certains, dans le centre historique de la Ville éternelle. L'argument principal des détracteurs du projet repose sur la thèse selon laquelle la complexité des strates historiques et la diversité étonnante des monuments érigés jadis qui composent cette ville-palimpseste se trouveraient soumises à de trop importants changements nuisant à l'intégrité du patrimoine bâti. En effet, dans le cas étudié ici, ils affirment que le musée de l'Ara Pacis constitue encore un autre cas de structure inapte à rendre justice à l'image historique et patrimoniale de Rome. Il en résulte la question qui est au coeur de la problématique abordée dans ce mémoire: le contact d'une architecture contemporaine, qualifiée de « générique » par ceux qui dénoncent le culte des « archi-stars », avec un monument de la Rome antique, peut-il enrichir l'esprit de ce lieu complexe? Par une analyse du pôle de la réception du monument, ce mémoire vise donc à comprendre les impacts, à différentes échelles, de cette construction par rapport à son contexte urbain. En appliquant une approche inspirée du modèle systémique formulé par l'urbaniste Paolo Colarossi et en recourant notamment au concept de « contemporanéité anachronique » développé par l'historien d'art Daniel Arasse ainsi que celui de monument tel que défini par Jean Davallon, entre autres, nous proposons une piste de résolution de l'opposition entre conservation et innovation. Le discours affectif sera donc dépassé par une analyse plus globale. L'approche systémique utilisée transforme ainsi un cas statique et isolé en événement. Bien encadrées, nous soutenons que les nouvelles architectures peuvent actualiser un bien patrimonial tout en faisant surgir de nouvelles valeurs à transmettre dans le futur. Le débat provoqué par la construction du musée de l'Ara Pacis peut aider à approfondir les réflexions menant à un meilleur encadrement pour des projets futurs. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Architecture contemporaine, Paysage urbain historique, Patrimoine, Mise en valeur, Rome, Ara Pacis, Musée de Richard Meier, Approche systémique.
45

L’image de Rome dans le journal de voyage de Benjamin Pâquet et les collections du Séminaire de Québec entre 1860 et 1900 : définir une culture visuelle par la représentation.

Giguère, Vincent 24 March 2021 (has links)
Au cours de son histoire, le Séminaire de Québec acquiert des œuvres d’art par voie d’achats, de dons ou d’importants legs des collections personnelles des prêtres qui en sont des membres agrégés. Qu’elles soient des objets de consultation personnelle, de collections d’étude pour l’Université Laval – institution d’enseignement fondée par le Séminaire en 1852 – ou des éléments de décor des espaces communs, certaines images se démarquent par le sujet qu’elles représentent et appellent une réflexion sur les valeurs qu’elles peuvent constituer au sein de l’institution. La forte représentativité de Rome dans les collections d’estampes s’est imposée comme un questionnement au vu de la démultiplication des objets. Ce constat est également contemporain de l’accroissement de la circulation des prêtres vers la Ville éternelle au cours de la seconde moitié du XIXe siècle. Les récits de voyages de ces derniers permettent de situer les perceptions qu’ils ont de Rome, de ses monuments, ses musées, ses églises, sa religiosité et ses mœurs. De ces récits, générateurs d’images mentales, se démarque le journal de voyage de l’archevêque de Québec, Mgr Joseph-Octave Plessis, tenu en 1819-1820, un document qui permet d’assoir des hypothèses sur la préparation du voyage des prêtres à Rome au XIXe siècle. Tout aussi pertinent, celui de l’abbé Benjamin Pâquet, rédigé entre 1863 et 1866 durant ses études de doctorat en théologie au Collège romain, est une source à partir de laquelle des faits concrets guident la définition de la visualité de Rome, comprise comme un ensemble urbain et un lieu idéal et mythique. À partir des descriptions des expériences sensorielles que les prêtres voyageurs font des lieux et des objets, les images physiques représentant Rome conservées au Séminaire et à l’Université prennent de la valeur et du sens. La concordance des objets et des commentaires génère un corpus représentatif d’une visualité de Rome et du Vatican au Séminaire et à l’Université durant la période ciblée. À ce titre, des œuvres graphiques de monuments romains par Giuseppe Vasi ou Giovanni Battista Piranesi, des portraits de prélats de la curie romaine et du pape par le peintre Vincenzo Pasqualoni et des albums de gravures ou de photographies souvenirs, participent à créer un ensemble de références pour l’institution dont la portée visuelle et culturelle repose sur des faits et une phénoménologie du sensible. L’entretien de rapports diplomatiques entre le Saint-Siège et les membres de l’institution est une constance qui ressort à l’analyse des sources textuelles. À la même époque que le voyage de l’abbé Pâquet, le pape poursuit l’application de stratégies pour consolider son autorité morale et symbolique, alors que son autorité temporelle est affaiblie par les bouleversements politiques en Italie. Ces stratégies se caractérisent, entre autres, par des décrets dogmatiques, le financement de chantiers archéologiques, la restauration de monuments, des commandes artistiques et des rééditions d’estampes à Rome, lesquelles ont influencé le développement de la bibliothèque et des collections du Séminaire. Pour analyser ces modes de correspondance à la fois physique (objets), symbolique (images), spirituel et politique, nous avons fait appel aux règles du monde commun domestique définies par Luc Boltanski et Laurent Thévenot (1991) qui se caractérisent par le respect et la reconnaissance de l’autorité et de la filiation. Celles-ci permettent de comprendre le fonctionnement de la vie en commun auprès d’une micro-société comme le Séminaire; des règles qui influencent également le système de valeurs de celle-ci. Un arrimage intellectuel sur les valeurs idéologiques, humanistes et artistiques, promues par le Saint-Siège explique les formes que peuvent prendre la présence du pape et d’œuvres célèbres du Vatican dans l’imaginaire du Séminaire. La culture visuelle de Rome et du Vatican, dans les collections de l’institution, se trouve ainsi définie par la présence de l’autorité papale garante des humanités classiques, qui s’incarne à travers des actions et des esthétiques valorisant le patrimoine romain antique christianisé, l’historicisme, le purisme et le raphaélisme. / Throughout its history, Séminaire de Québec acquired works of art by way of purchases, donations, and legacies from the personal collections of priests who are members of the religious community of the institution. Whether these were objects of personal consultation, study collections for Université Laval — founded by the Séminaire in 1852 — or decorative artifacts in common spaces, some images stand out for the subject they represent and call for a reflection on the values that they can constitute within the institution.The strong representatives of Rome in the collection of prints imposes a questioning on the multiplication of objects on the same subject. This observation is also contemporary to the increase of the long-stay of priests in the Eternal City during the second half of the 19th century. Their travel reports allow them to state their perceptions of Rome, its monuments, its museums, its churches, its religiosity and its customs. From these stories, themselves generators of mental images, stands out the travel diary of the Archbishop of Quebec, Mgr. Joseph-Octave Plessis. Written in 1819-1820, this document allows to formulate hypotheses on the preparation of the journey of priests in Rome in the 19th century. Equally relevant, the travel diary of Abbot Benjamin Pâquet, written between 1863 and 1866 during his doctoral studies in theology at the Roman College, is a source from which concrete facts guide the definition of the visuality of Rome, understood as a urban ensemble and as an ideal and mythical place. From the descriptions of the sensory experiences that traveling priests make of places and objects, the physical images representing Rome kept at the Séminaire and at the Université acquire value and meaning. Concordance of objects and comments generates a corpus representative of a visualization of Rome and the Vatican at the Séminaire and at the Université during the targeted period. As such, graphic works of Roman monuments by Giuseppe Vasi or Giovanni Battista Piranesi, portraits of prelates of the Roman curia and of the Pope by the painter Vincenzo Pasqualoni, and albums of prints or souvenir photographs, create a set of references for the institution whose visual and cultural significance is based on facts and on a phenomenology of the sensitive experience. The fostering of diplomatic relations between the Holy See and the members of the Séminaire is a constancy that emerges from the analysis of textual sources. Around the same time of Abbot Pâquet’s journey, the Pope continued to apply strategies to consolidate his moral and symbolic authority, while his temporal authority was weakened by political upheavals in Italy. These strategies were characterized, among other things, by dogmatic decrees, the funding of archaeological sites, the restoration of monuments, artistic commissions, and reissues of prints in Rome, which influenced the development of the library and of the collections of Séminaire de Québec. To analyze these modes of correspondence which are both physical (objects), symbolic (images), spiritual and political, we have used the rules of the “common domestic world” defined by Luc Boltanski and Laurent Thévenot (1991) which are characterized by respect and recognition of authority and filiation. These make possible to understand the functioning of a life in common within a micro-society, like at the Séminaire; rules also influence its system of values. An intellectual link with the ideological, humanist and artistic values promoted by the Holy See explains the forms that the presence of the Pope and famous Vatican works can take in the imagination of the priests of the Séminaire. The visual culture of Rome and the Vatican, in the collections of the institution, is thus defined by the presence of a papal authority, guardian of the classical humanities, which is embodied through actions and aesthetics valuing Christianized ancient Roman heritage, historicism, purism and Raphael ism.
46

Les moines grecs et orientaux à Rome aux époques byzantine et carolingienne, milieu du VIe s. - fin du IXe s.

Sansterre, Jean-Marie January 1979 (has links)
Doctorat en philosophie et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
47

Les femmes chrétiennes dans l'Empire romain des deuxième et troisième siècles : de la quête d'autonomie à la dépendance

Dumais, Martine 11 April 2018 (has links)
Jusqu'à maintenant, les femmes chrétiennes ont été étudiées selon trois axes de recherche: la théologie, l'histoire et l'anthropologie historique. Ces trois avenues historiographiques ont permis de dégager des constats qui se révèlent vrais, mais ne reflètent qu'une portion de la réalité, soit celle que les chercheurs s'en réclamant ont examinée. En effet, aux deuxième et troisième siècles, le christianisme a été source d'égalité pour les femmes; en dehors de cette religion, ces femmes gréco-romaines ont pu avoir accès à plus de liberté; et oui, le christianisme a été source d'une plus grande dépendance des femmes. A notre tour, nous analyserons les représentations des femmes chrétiennes à partir des sources contemporaines (chrétiennes et païennes). Il s'agit d'abord de voir si l'évolution historique a engendré une perception unique des femmes chrétiennes ou si les visions ont été multiples. Puis nous confronterons ces visions des femmes chrétiennes avec celles de la femme romaine en général afin de cerner un aspect important de l'histoire des mentalités de l'Empire romain. Car à l'image de l'évolution vécue par les femmes gréco-romaines dont elles font partie, les femmes chrétiennes ont pu manifester plus d'autonomie, mais une autonomie limitée par le désir d'une société de garder le contrôle. Face à un désir bien visible des femmes chrétiennes d'être entendues qui amène une transgression des interdits de l'ordre social établi, les hiérarchies ecclésiastiques, sociales et même domestiques, s'unissent dans un même combat: conserver le contrôle sur les actions et les pensées des femmes en renforçant les balises mises de l'avant pour les situer dans la société. L'évolution interne de l'Église amène le passage d'une multiplicité de modèles féminins à un modèle par excellence, phénomène qui eut un impact important sur la condition des femmes. Car ce n'est pas seulement les autorités religieuses chrétiennes qui veulent mettre un frein à la quête d'autonomie des femmes, il en va de même pour la société gréco-romaine qui voit d'un mauvais oeil les femmes prendre plus de place. Dans une période d'instabilité à plusieurs niveaux, le monde gréco-romain ne peut donner son aval à un bouleversement supplémentaire de la collectivité. En ce sens, les raisons requérant les soumissions familiales, religieuses et même politiques des femmes chrétiennes et païennes sont intimement liées. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
48

De la Pax Romana à la Pax Senensis : Ambrogio Lorenzetti et l'Antiquité

Grenier, Denis 11 April 2018 (has links)
Les fresques dites du Bon gouvernement qui ont été peintes en 1337-1340 par Ambrogio Lorenzetti au Palais public de Sienne sont, à travers le thème de la paix, examinées sous l'angle de leur héritage antique. L'auteur a recours pour ce faire à l'Ara Pacis Augustae avec lequel il établit une comparaison. Il met aussi à contribution certaines réalisations de la peinture romaine de même que des oeuvres de la sculpture, de la glyptique et de la numismatique. Examinée en relation avec l'Antiquité, l'oeuvre étudiée révèle une hérédité à caractère général qui n'exclut pas le legs spécifique. Cet héritage antique se situe à plusieurs niveaux: celui des idées politiques qui amènent les concepteurs des programmes à avoir recours à des stratégies artistiques analogues, celui des thèmes iconographiques qui sont parfois les mêmes, souvent proches ou encore appartiennent à la même catégorie, celui enfin des formes artistiques. La Pax Senensis devient ainsi une lointaine descendante de la Pax Romana / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013

Page generated in 0.0597 seconds