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Social deficits in schizophrenia : pinpointing illness-and task-related factors linked to impairments

Fortier, Stephanie Ann 26 June 2019 (has links)
La schizophrénie est une maladie invalidante caractérisée par d’importants déficits sociaux qui affecte la capacité de comprendre et d’interagir avec autrui. Plus précisément, des déficits de théorie de l’esprit, c’est-à-dire la capacité de déduire les états mentaux d’autres personnes, sont un facteur prédictif important du niveau de fonctionnement au sein de la communauté en schizophrénie. La délimitation des facteurs sous-jacents aux déficits sociaux dans la schizophrénie est donc cruciale pour améliorer les interventions. L’hétérogénéité de la présentation clinique de la schizophrénie peut influencer les habiletés sociales. Par exemple, plusieurs patients démontrent de l’anxiété sociale, et la présence de cette comorbidité peut influencer davantage leur intégration sociale. De plus, l’hétérogénéité des types de tâches utilisées pour mesurer les déficits sociaux, et notamment le degré de dépendance de ces tâches au contexte, peut affecter les déficits observés dans la schizophrénie. La présente thèse décrit trois études visant à cerner si ces composantes reliées à la pathologie et aux tâches jouent un rôle dans les déficits sociaux en schizophrénie. Cette souligne particulièrement le rôle de la théorie de l’esprit (l’habilité à inférer l’état mental d’autrui), puisque cette habilité a un lien important avec le fonctionnement en schizophrénie. Cette thèse démontre que le trouble d’anxiété social est une comorbidité prévalente dans la schizophrénie, liée à la fois à la représentation clinique de la schizophrénie et au rang social (i.e. comment ils se comparent aux autres vis-à-vis leurs attributs personnels (chapitre 1). Globalement chez les patients atteints de schizophrénie, il est démontré que le traitement du contexte est une composante importante reliée aux déficits de théorie de l’esprit (chapitre 2). De plus, des résultats d’analyse IRMf démontrent que les patients atteints de schizophrénie présentent des activations altérées dans des régions du cerveau, telles que la jonction temporopariétale droite et le cortex cingulaire postérieur, lors du traitement du contexte dans des scénarios sociaux et non sociaux (chapitre 2, chapitre 3). Plus précisément, le chapitre 4 souligne que les patients ont une capacité réduite à moduler les réseaux cérébraux à grande échelle en réponse à des types de contexte différents. Le traitement du contexte peut représenter un déficit fondamental en schizophrénie qui pourrait être une cible lors d’interventions futures visant à améliorer les capacités sociales. Globalement, cette thèse souligne l’importance de prendre en compte l’hétérogénéité à la fois dans la schizophrénie et dans les tâches de la théorie de l’esprit dans de futures recherches sur le traitement social de la schizophrénie, en soulignant spécifiquement le rôle important du trouble de l’anxiété sociale et du traitement du contexte. / Schizophrenia is a highly disabling disorder characterized by significant social deficits that impair one’s ability to interact with and understand others. Specifically, impairments in Theory of Mind, i.e. the ability to infer the mental states of others, are an important predictor of community functioning in schizophrenia. Delineating the factors underlying social deficits in schizophrenia is thus crucial to developing improved treatment targets for functioning. Heterogeneity in the clinical presentation of schizophrenia may influence one’s socia l abilities. For instance, many patients also present with social anxiety, and this comorbid presentation may further affect their abilities to integrate in the social world. Additionally, heterogeneity in the types of tasks used to measure social deficits, and notably, the degree to which these tasks rely on context, may affect deficits observed in schizophrenia. The present thesis describes three studies that aim to pinpoint whether these illness- and task-related components play a role in social deficits in schizophrenia, with a particular focus on Theory of Mind abilities. This thesis demonstrates that social anxiety disorder is a prevalent comorbidity in schizophrenia related to both the clinical presentation of schizophrenia and to social rank (i.e. how they rank themselves compared to others on personal attributes; Chapter 1). In patients with schizophrenia overall, results also highlight that context processing is an important component related to deficits on Theory of Mind tasks (Chapter 2). Additionally, fMRI results demonstrate that patients with schizophrenia display altered activation in brain regions (e.g. right temporo-parietal junction, posterior cingulate cortex) during processing context in social and non-social scenarios (Chapter 2, Chapter 3). Specifically, Chapter 3 highlights that patients have a reduced ability to modulate large-scale brain networks in response to different types of context. Context processing may represent a core deficit in schizophrenia that could be a target in future interventions to improve social abilities. Overall, this thesis underlines the importance of considering heterogeneity in both schizophrenia and in Theory of Mind tasks in future research of social processing in schizophrenia, specifically highlighting the important role of social anxiety disorder and context processing.
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Dans quelle mesure les déficits neuropsychologiques sont-ils liés au fonctionnement social des personnes atteintes de schizophrénie ou de psychose apparentée à la schizophrénie?

Lehoux, Catherine 11 April 2018 (has links)
Les performances neuropsychologiques des individus atteints de schizophrénie (SZ) s'avèrent significativement en lien avec leur niveau de fonctionnement social, selon une métanalyse de Green, Kern, Braff et Mintz (2000). La littérature abondante et hétérogène sur cette question de recherche présente toutefois plusieurs limites auxquelles les travaux de recherche actuels apportent des éléments de réponse. Par exemple, quel est le pouvoir prédictif des déficits neuropsychologiques spécifiques par rapport à celui d'un facteur général de cognition, ou par rapport à celui des symptômes psychiatriques également associés à la maladie? Cinquante et un individus en début d'évolution d'une SZ ou d'une psychose apparentée à la SZ et 34 participants témoins ont été évalués sur le plan neuropsychologique (batterie exhaustive), symptomatologique (SCID ou PANSS) et fonctionnel (Échelle d'autonomie fonctionnelle de Strauss et Carpenter: Poirier et al., 2004). Les participants du groupe clinique ont été évalués dans le cadre de leur suivi à la Clinique Notre-Dame des Victoires (CNDV), par les cliniciens prenant part à leur traitement et par des assistants de recherche dûment formés. Les participants du groupe contrôle ont été recrutés par affiches dans les diverses cliniques médicales de la région. Dans un contexte où les performances neuropsychologiques des participants du groupe clinique ont été jugées beaucoup moins déficitaires qu'attendu compte tenu de la littérature sur la SZ, les différentes analyses corrélationnelles univariées et multivariées font principalement ressortir l'importance des habiletés neuropsychologiques suivantes dans l'explication de la variance du fonctionnement social des individus du groupe clinique : l'organisation visuo-perceptive, les fonctions exécutives et le fonctionnement cognitif général, soit des habiletés cognitives plus générales (multidéterminées) que spécifiques. Les résultats suggèrent également que les corrélations incluant les déficits neuropsychologiques s'avèrent en partie indépendantes de celles incluant les symptômes psychiatriques de la maladie, bien que les symptômes de désorganisation et les symptômes dépressifs/anxieux expliquent eux aussi une proportion significative et indépendante de la variance du niveau de fonctionnement social. De telles conclusions ont des implications importantes en termes d'estimation du pronostic, entre autres, et également en termes de pistes de traitement à cibler dans le développement de la remédiation cognitive ou de nouveaux traitements pharmacologiques.

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