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La correspondance des arts chez Vincent d’Indy : étude de ses pratiques musicales, picturales et de ses écrits au regard de son environnement socio-culturel, philosophique et artistique / Vincent d'Indy’s art correspondence : a study of the cultural, philosophical and artistic influences that shaped the musical compositions, artwork and writing of Vincent d'IndyLeflot, Thomas 13 November 2010 (has links)
Célèbre compositeur et enseignant, Vincent d’Indy est moins connu pour l’intérêt qu’il porta tout au long de sa vie aux beaux-arts. Il pratiqua le dessin et la peinture pendant plusieurs décennies et parcourut l’Europe à la recherche des plus beaux sites historiques et des plus fameux musées. Sa fréquentation des artistes et des mécènes dans les Salons et les expositions lui permit d’avoir de fructueux échanges avec de nombreux plasticiens. Son obsédante référence à la nature dans ses aquarelles apparaît également dans ses poèmes symphoniques ou ses opéras. Cette thématique bucolique s’inscrit dans une sphère d’influence romantique qui jalonne ses compositions. Enfin, son approche de l’histoire de la musique est réhaussée de multiples références esthétiques. Elles nous éclairent sur ses influences, d’Émile Mâle à John Ruskin en passant par Félicité de Lamennais. / The celebrated composer and professor Vincent d'Indy is less well-known for his lifelong interest in the arts. He drew and painted for many decades, and he travelled throughout Europe looking for the most beautiful historical sites as well as the most famous museums. Associating with artists and patrons of art in salons and exhibitions enabled him to benefit from contact with numerous painters or sculptors. His constant reference to nature in his watercolours was also apparent in his symphonic poems or operas. This rustic theme places him in a field of romantic influence in which compositions blaze a trail. Also, his approach to the history of music is heightened by the many aesthetic references which throw light on his influences, such as Émile Mâle, John Ruskin or Félicité de Lamennais.
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Les mélodies de Charles Bordes (1883-1909) : Histoire et analyse / The mélodies of Charles Bordes (1883-1909) : History and analysisRouchon, Jean-Francois 17 May 2016 (has links)
Disciple de César Franck, Charles Bordes a tracé son parcours de musicien en marge du Conservatoire et des institutions officielles. De son intégration à la « bande à Franck » jusqu’à la fondation des Chanteurs de Saint-Gervais et de la Schola cantorum, il a tissé un vaste réseau relationnel formé de compositeurs, d’interprètes, d’écrivains et de mélomanes, qui l’ont, par la suite, décrit comme un fervent artisan du renouveau musical français. Cette image a, en contrepartie, partiellement occulté l’œuvre de compositeur de Bordes. Ses mélodies présentent pourtant un remarquable intérêt. L’histoire de leur publication permet de mettre en évidence la complexité des relations avec le monde de l’édition à la fin du XIXe siècle et la nature du travail de révision posthume effectué par son ami Pierre de Bréville. L’analyse du corpus témoigne de l’originalité de la production, aussi bien sur le plan des choix littéraires – Bordes fut l’un des pionniers de la mise en musique des poèmes de Paul Verlaine et de Francis Jammes – que d’une écriture musicale inspirée et aux frontières de l’académisme sur le plan harmonique. Auteur de plus de trente-cinq mélodies avec piano, Bordes s’essaya également à la composition de mélodies orchestrées ou « symphoniques », comme nombre de ses contemporains au tournant du siècle. / Student of César Franck, Charles Bordes established himself as a musician outside the Conservatoire and the official institutions. From his integration with the “bande à Franck” to the founding of the Chanteurs de Saint-Gervais and the Schola cantorum, he formed a vast network of relationships among composers, interpreters, writers and music lovers, who would later describe him as a fervent architect of the French musical revival. This image overshadowed his contributions as a composer; his mélodies, however, still stimulate a remarkable interest. An examination of the history of their publication reveals the complexity of relationships within the musical publishing world at the end of the nineteenth-century and the nature of the posthumous reviewing work executed by his friend Pierre de Bréville. The analysis of the corpus shows the originality of the production, either about its literary aspects – Bordes was among the first artists to set the poetry of Paul Verlaine and Francis Jammes to music – or about his inspired musical language at the boundaries of academia from an harmonic point of view. Author of more than thirty-five songs for voice and piano, Bordes also tried his hand at the composition of orchestrated or “symphonic” songs like many of his contemporaries at the end of the century.
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La Schola Cantorum dans la vie symphonique à Nantes de 1913 à 1947 / From 1913 to 1947, the Schola Cantorum in Nantes symphonia’s lifeBourhis, Michelle 20 December 2017 (has links)
De 1913 à 1947, entre la première prestation de ses choeurs jusqu’au décès de sa fondatrice, Marguerite Le Meignen, la Schola Cantorum de Nantes connaît une activité ininterrompue malgré deux guerres mondiales et un contexte politique agité. Le groupement naît dans une ville prospère avant la Première Guerre mondiale où la vie musicale est fort diversifiée, le théâtre lyrique occupant cependant la première place. Grâce à Marguerite Le Meignen, une femme à la très forte personnalité, une société de concerts voit le jour. Très solidement organisée, sachant communiquer avec brio, elle propose des programmes variés tant l’hiver que l’été. Le lien avec la Schola Cantorum de Paris fondée par Vincent d’Indy, affirmé avec conviction au début de l’apparition de la Schola de Nantes, se relâche très rapidement pour laisser place à une réalisation originale. La place hégémonique de Marguerite Le Meignen qui domine la vie musicale nantaise pendant trente-quatre ans, empêche la pluralité, même si elle finit par être en concurrence avec d’autres groupements symphoniques dont le principal, l’Association des Concerts Symphoniques du Conservatoire de Nantes préfigure l’actuel Orchestre National des Pays de la Loire. / From 1913 to 1947, since the first choirs performance to the death of her founder, Marguerite Le Meignen, Nantes Schola Cantorum experienced an uninterrupted activity, despite two world wars and a disturbed political context. The group is born in Nantes, a flourishing town before WWI where musical life is greatly diversified, despite the predominance of lyric theater. Thanks to Marguerite Le Meignen, a very strong personality, a concert company comes. With a great sense of organization, knowing how to communicate with brio, she suggests various programs both winter and summer. The link with Paris Schola Cantorum founded by Vincent d’Indy, assured with conviction at the creation of Nantes Schola, soon vanished very quickly. Marguerite Le Meignen’s hegemonic place, dominating Nantes musical life during thirty-four years, prevented plurality, evenif she ends up competing with other symphonic bands, particulary the famoust « Association des Concerts Symphoniques du Conservatoire de Nantes » who prefigures the actuel « Orchestre National des Pays de la Loire ».
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