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Tracer son chemin : la transition à la vie adulte des femmes ayant expérimenté l'itinérance

Lapointe, Frédérique 12 December 2024 (has links)
Certains groupes de la population sans domicile fixe sont identifiés comme particulièrement vulnérables. Les femmes et les jeunes adultes en font partie. En plus d’être spécifiquement touchées par certaines formes d’adversité au courant de leur vécu de rue, ces franges minorisées des populations en situation d’itinérance sont rarement représentées dans les politiques sociales et les dénombrements entourant ce phénomène. Le but de cette recherche est de faire entendre les voix de femmes ayant expérimenté l’itinérance sur la façon dont elles vivent ou ont vécu leur transition à la vie adulte. Prenant appui sur la perspective intersectionnelle socioconstructionniste, cette étude a cherché à éclairer leur expérience et leur compréhension de leur situation, tout en mettant en lumière les mécanismes d’oppression et les stratégies de résistance présents dans leur parcours. Misant sur une approche narrative, cette recherche qualitative a été réalisée par le biais d’entretiens individuels auprès de cinq jeunes femmes afin de recueillir le récit personnel de leur passage à la vie adulte. Ainsi, le parcours singulier de chacune de ces femmes de même que les similitudes et les différences entre leurs situations respectives ont été analysées pour mieux comprendre leurs expériences semblables et variables de l’itinérance au cours du passage à la vie adulte. Les résultats décrivent des parcours faits de départs, de nouvelles rencontres et de prises de décisions menant vers diverses situations de revenus et d’hébergement. Au-delà des interprétations qu’elles font de leur vécu respectif, les participantes éclairent les mécanismes d’oppression auxquels elles sont confrontées, incluant diverses formes de mise à l’écart et de violence, ainsi que les stratégies qu’elles emploient pour améliorer leur sort. / Some groups of the homeless population are identified as particularly vulnerable. Women and young adults are part of them. In addition to being specifically affected by certain forms of adversity when they are on the streets, these minority fringes of homelessness are rarely represented in social policies and are not included in the numbers regarding this phenomenon. The purpose of this research is to put forward the experience of transition to adulthood of women who experience, or have experienced, homelessness. Drawing on the intersectional socioconstructionist perspective, this study sought to shed light on their path and understanding of their situation, while highlighting the mechanisms of oppression and the strategies of resistance. Using a narrative approach, this qualitative research was conducted through individual interviews with five young women. Thus, each of these women's unique pathways as well as the similarities and differences between their respective situations were analyzed to better understand their similar and variable experiences of homelessness during the pathway of adult life. The results describe journeys made of departures, new encounters and decision-making leading to various income and housing situations. Beyond the interpretations they make of their experiences, the participants shed light on the oppression mechanisms they face, including various forms of exclusion and violence, as well as the strategies they employ to improve their lives.
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L'autonomisation économique des femmes victimes de violence conjugale : points de vue d'intervenantes en violence conjugale et en employabilité

Coulibaly, Seydou 13 December 2024 (has links)
Les femmes victimes de violence conjugale sont confrontées à des difficultés pour s’intégrer sur le marché de l’emploi ou de se maintenir en emploi selon plusieurs auteurs. Cette étude tente de comprendre les obstacles qui les empêchent de s’autonomiser. Comme on en connaît peu sur les points de vue des intervenantes des services d’aide en violence conjugale et celles de l’employabilité, leurs points de vue sont examinés à l’aide de la théorie féministe intersectionnelle. Pour conduire à bien cette recherche, nous avons choisi la méthodologie qualitative, descriptive et exploratoire. Les résultats de la recherche ont permis de comprendre que, selon les intervenantes rencontrées, les conséquences de la violence conjugale portent atteinte à l’estime de soi, à la confiance en soi, à la santé physique et mentale des victimes. Ainsi, il serait difficile pour elles d’aller chercher du travail ou de se maintenir en emploi. En autre, les résultats ont mis en lumière les pratiques qui favorisent l’autonomisation économique des femmes. Parmi celles-ci, nous avons la création des programmes spécifiques pour les femmes victimes de violence conjugale, l’octroi de financement, la sensibilisation, la collaboration, la formation, la concertation, l’orientation mutuelle des victimes entre les services concernés. Cependant, les pratiques qui nuisent à l’autonomisation économique des femmes tournent autour des points suivants : le manque de collaboration entre les ressources d’aide en violence conjugale et d’autres ressources d’aide aux victimes ainsi que les politiques sociales. L’analyse des discours a permis d’identifier des écarts entre les différents points de vue des intervenantes et l’importance de la complémentarité des services d’aide en violence conjugale et ceux de l’employabilité pour permettre aux victimes de s’insérer sur le marché de l’emploi. / According to several authors, women who are impacted by domestic violence face barriers in the labour market integration or for staying employed. This study tries to understand the obstacles that prevent them from developing their empowerment. Because we know little on the point of views of the workers of domestic violence services and those of employability services on the issue, their points of view are examined from the perspective of intersectional feminist theory. To lead well this research, we chose the qualitative, descriptive and exploratory methodology. Research findings have shown that the consequences of domestic violence affect the self-esteem, self-confidence, physical and mental health of victims. Thus, they would not be able to search work or to stay in employment. In addition, the results highlighted practices that promote women's economic empowerment. Among these, we have the creation of specific programs for abused women, granting of funds, awareness, collaboration, training, consultation, mutual orientation of victims between concerned services. However, practices affect women's economic empowerment. It revolves around: lack of collaboration between domestic violence resources and other victim support resources and social policies. The speech analysis identified gaps between the different points of view of the workers and the importance of the complementarity of domestic violence support services and employability services to allow the victims to be inserted on the job market.
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Woman-to-woman sexual assault : a situational analysis

Malinen, Kelley Anne 20 April 2018 (has links)
Selon la méthode d’analyse situationnelle élaborée en théorie ancrée, cette thèse explore l’expérience d’agression sexuelle entre femmes telle que vécue par les survivantes et abordée dans la théorie, les discours et la prestation de services. Ce travail examine les enjeux de reconnaissance et de déni et leurs impacts sur les vies de survivantes d’agression sexuelle entre femmes. Les deux premiers chapitres étudient l’invisibilisation de cette violence sexuelle par les théories datant des années 1970 jusqu’à aujourd’hui. Suivant Butler, je propose une perspective théorique sur l’agression sexuelle permettant la coexistence des normes de genre et de leurs transgressions. Je soutiens que les normes de genre appliquées à la violence sexuelle ont une incidence sur ces actes et sur leur reconnaissance. Dans le chapitre trois, des récits de survivantes sont interprétés en mobilisant la théorie phénoménologique; je souligne en quoi les émotions et l’espace sont co-impliqués dans les expériences d’agression sexuelle des participantes. Je présente un parcours commun aux participantes décrivant la transformation du sentiment d’être pris dans un piège vers un certain degré de liberté dans les espaces de guérison. Inspiré par Becker, le chapitre quatre déploie une analyse des « mondes sociaux » qui fournit un contexte institutionnel à ces agressions sexuelles. Je décris comment les pratiques et discours liés à l’agression sexuelle et aux milieux de prestation de services évoluent d’un paradigme genré vers une version non genrée. J’identifie les fournisseurs de services et les survivantes qui reconnaissent les agressions sexuelles entre femmes comme membres de l’« Anti-Violence Project Subworld » (« sous-monde du projet anti-violence »). Les personnes qui comprennent l’agression sexuelle comme forme de violence uniquement perpétrée par les hommes contre les femmes sont identifiées comme membres du « Violence Against Women Subworld » (« sous-monde de violence contre les femmes »). Dans le chapitre cinq sont identifiées quatre approches discursives appliquées aux agressions sexuelles entre femmes. Elles sont : « Gendered Silencing » (« silence genrée »), « Gendered Contextualizing » (« contextualisation genrée »), « Degendered Agentification » (« agentivité dégenrée ») et « Degendered Agentified Contextualization » (« contextualisation dégenrée avec agentivité »). / Based on the Grounded Theory Method of Situational Analysis, this dissertation examines woman-to-woman sexual assault as experienced by survivors, and as negotiated in theory, discourse, and service provision. It illuminates dynamics of recognition and denial that influence the lives of woman-to-woman sexual assault survivors. It begins in Chapters One and Two by looking at ways woman-perpetrated sexual violence is obscured by theories dating from the 1970s to present. Drawing on Butler, I advance a theoretical perspective which accommodates the coexistence of gender norms and their transgressions in thinking about sexual assault. I suggest that gendered norms for sexual violence influence acts on the one hand, and recognition on the other. In Chapter Three, survivor narratives are framed by phenomenological theory as I focus on how space and emotion are co-implicated in participant experiences of sexual assault. I present a common trajectory in which survivor participants describe going from feeling trapped to finding some degree of freedom in healing spaces. The fourth chapter deploys a “social worlds” analysis, in the tradition of Becker, to provide an institutional context for woman-to-woman sexual assault. I describe the ways practices and discourses in sexual assault and related contexts of service provision are moving from a rigidly gendered paradigm toward a de-gendered one. I conceptualize providers and survivors who recognize woman-to-woman sexual assault as members of the “Anti-Violence Project Subworld.” Those who understand sexual assault as a fundamentally man-on-woman form of violence are conceptualized as members of the “Violence Against Women Subworld.” Finally, in Chapter Five, this dissertation identifies four discursive approaches to woman-to-woman sexual assault. They are referred to as “Gendered Silencing, ” “Gendered Contextualizing, ” “Degendered Agentification, ” and “Degendered Agentified Contextualization.”
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La production de savoirs d'expérience chez des intervenantes d'organismes communautaires

Racine, Guylaine January 1995 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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La contribution des centres ressources à la réduction de la pauvreté des femmes monoparentales de la ville de Québec

Gahongayire, Odette 12 April 2018 (has links)
Notre étude s'inscrit dans la sociologie interactionniste de Georg Simmel qui stipule que la société se fonde à partir d'un ensemble d'interactions entre individus, et ses formes s'établissent suivant des polarités basées sur le principe dualiste. Ces interactions constituent une association qui requiert que les individus concernés forment une unité d'ordre social ou une société. Dans cette perspective, les femmes monoparentales, qui font l'objet de notre recherche, construisent une unité sociale qui se fait, se défait et se refait constamment. Notre étude démontre que les centres ressources constituent un moyen de défaire ce flux dans la mesure où ils contribuent à la réduction de la pauvreté des femmes par le concours de tout genre qu'ils leur apportent. Nonobstant, leur contribution est loin de sortir définitivement dans cette situation, car leurs moyens semblent limités, ce qui fait qu'il se refait sans cesse en dépit de ce soutien combien appréciable. Pour ce faire, l'intervention des actions gouvernementales et celles en rapport avec la solidarité des femmes s'avèrent plus que nécessaires.

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