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Les zones briançonnaise et subbriançonnaise dans le vallone dell'Arma, province de Cuneo, Italie : étude stratigraphique et tectonique - Alpes italiennes

Reau, Jacques 01 February 1977 (has links) (PDF)
L'étude tectonique et stratigraphique de la région du Vallone den'Arma, conduit d'abord à préciser la définition et la structure des diverses Unités briançonnaises et subbriançonnaiscs. La coordination des différentes unités, notamment sur la base de la comparaison de leurs successions stratigraphiques permet de proposer un schéma d'organisation paléogéographique cohérent. L'analyse du passage quasi continu, entre Briançonnais et Subbriançonnais révèle que la limite entre ces deux domaines est marquée, non par une transition progressive, mais par une zone où les érosions mésozoïques ont été particulièrement importantes. Cette zone se caractérise en outre par l'abondance des indices de paléotectonique.
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Etude géologique de la haute vallée de la Valloirette entre Valloire, le Col du Galibier et les Aiguilles d'Arves (Alpes occidentales - Savoie)

Toury, Anne 10 July 1984 (has links) (PDF)
La haute vallée de la Valloirette creuse son lit dans "l'édifice de nappes" des Alpes occidentales classiquement composé ici, d'ouest en Est, des zones dites ultradauphinoise (flysch des Aiguilles d'Arves), subbriançonnaise et briançonnaise. Nous avons été amenés à modifier ce schéma. 1°/- Du point de vue stratigraphique : * l'ancienne zone ultradauphinoise doit être divisée en deux unités structurales : - une unité inférieure, dont on n'a, sur le versant valloirin, que le flysch tertiaire, montrant ici des niveaux conglomératiques, turbiditiques et gréseux (les schistes à blocs de la base n'affleurent pas dans la région e t l'olistostrome sommital n'est visible que dans le vallon du Goléon). Ce flysch tertiaire repose sur des terrains mésozoiques d'affinité dauphinoise et par analogie avec A. Serre (1983), nous l'appellerons dauphinoise orientale ; - une unité supérieure, constituée ici essentiellement de flysch gréseux (vers le Nord, un peu de flysch turbiditique existe à sa base tandis que vers le Sud, le flysch olistostromique montre quelques gros blocs). Cette unité prolonge vers le Sud l'unité de flysch à substratum briançonnais décrite par J. Martinez-Reyes (1979, 1980) et nommée plus récemment (A. Serre, 1983) unité Cheval Noir - Casse Massion. * La zone subbriançonnaise présente des faciès de plate-forme entre le Lias et le Jurassique moyen avec des indices d'approfondissement au sommet ou du moins de la proximité d'une mer ouverte. Ces premiers niveaux sont d'affinité dauphinoise. Dès l'Oxfordien s'individualise une épaisse séquence flyschoïde mal caractérisée du point de vue des âges et dont le domaine de sédimentation longuement discuté est probablement assez interne. Il pourrait s'agir d'un domaine "ultrabriançonnais". Une klippe de flysch à Helminthoïdes ajoute encore une petite touche interne à cet édifice. * La zone briançonnaise : la série briançonnaise est assez complète, bien développée entre le Westphalien et le Trias moyen, réduite ensuite. C'est une série typique du Briançonnais externe. 2°/- Du point de vue tectonique : Nous avons pu mettre en évidence de grandes failles verticales subméridiennes à jeu décrochant sénestre. Elles sont bien exprimées dans l'unité inférieure du flysch mais existent aussi dans l'unité supérieure ainsi que dans la zone briançonnaise. Dans le Subbriançonnais, la présence de gypse diapirique au Col du Galibier traduit l'existence d'une grande fracture Nord-Sud. Partout, on trouve les fractures de Riedel associées à ces failles importantes. Du point de vue des déformations : * La zone du flysch : les deux unités sont déformées différemment de part et d'autre d'un cisaillement plat, visible dans le Vallon des Aiguilles, dans les Gorges de l'Enfer et sous la Grande Chible, décelable ailleurs et prolongeant le contact décrit au Nord par J. Martinez-Reyes (1980) et A. Serre (1983). L'unité inférieure est peu (ou pas) déformée, tandis que l'unité supérieure présente des replis désorganisés mais assez généralement déversés vers l'Est. Un modèle synthétique pour expliquer ces déformations est proposé. * La zone subbriançonnaise : elle montre deux types de déformations : des plis d'axe subméridien à grand rayon de courbure dans les terrains du Lias au Jurassique moyen d'une part, deux familles de plis (NI20 e t N180) serrés et couchés, dans la série flyschoïde supérieure d'autre part. Cet argument structural nous permet d'envisager un décollement de la partie supérieure de la série (de l'Oxfordien au Nummulitique) au niveau de l'Oxfordien schisteux et plastique. * La zone briançonnaise : nous n'ajoutons rien au schéma classique donné pour le Briançonnais. Néanmoins, certains chevauchement de faible ampleur (vallon de la Ponsonnière, flanc occidental du massif des Sétaz) doivent pouvoir trouver leur origine dans un modèle de transpression : une faille verticale à jeu décrochant évoluant en nappe de charriage en régime compressif. 3°/- Du point de vue géodynamique : Nous proposons un modèle d'évolution de la région considérée. Pour rapprocher et empiler des unités d'origines paléogéographiques parfois très différentes, nous avons fait appel à un jeu décrochant sénestre tel que L.E. Ricou (1980) l'envisage pour toute l a "zone subbriançonnaise" et dont on a les traces sous forme de failles décrochantes sénestres e t de fractures de Riedel associées. Le régime général en compression provoque des charriages de nappes qui s'ajoutent aux décrochements en une succession de phases de déplacements Sud-Nord (décrochements) puis Est-Ouest (serrages) plus ou moins synchrones. Il en résulte un empilement tout à fait hétéroclite où nous avons sur l'autochtone relatif dauphinois une nappe d'origine briançonnaise (l'unité Cheval Noir - Casse Massion), puis un lambeau de terrains d'affinité dauphinoise, puis une unité d'origine très interne ("ultrabriançonnaise") supportant une klippe de flysch à Helminthoïdes et, enfin, le Briançonnais (cf. Quatrième partie, évolution géodynamique).
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Les séries mésozoïques subbriançonnaises du massif du Morgon. Evolution paléogéographique du secteur durancien de la paléomarge téthysienne. ( Nappe de l'Embrunais-Ubaye, Alpes occidentales françaises).

Lereus, Christine 04 July 1986 (has links) (PDF)
Le massif du Morgon, situé dans les nappes de l'Embrunais-Ubaye à la latitude du lac de Serre-Ponçon,représente un élément structural de la zone subbriançonnaise des Alpes occidentales françaises. Les limites tectoniques actuelles de ce massif sont héritées, en majeure partie, d'une structuration paléogéographique acquise au cours du début du Jurassique. La série stratigraphique étudiée s'étend du Trias supérieur au Crétacé supérieur. Elle se divise en cinq mégaséquences qui correspondent aux grandes étapes de la constitution de la paléomarge téthysienne : période de "pré-rift" jusqu'à l'Hettangien inférieur, période de rifting de l'Hettangien à l'Aalénien, période de "postrift" du Bajocien au Crétacé. Chaque horizon lithostratigraphique montre de nombreuses variations latérales de faciès aussi bien transversales que longitudinales. Certaines d'entre elles coïncident étroitement avec les limites actuelles de plusieurs des unités tectoniques qui composent le massif du Morgon. L'analyse de ces variations permet de reconstituer un schéma palinspastique cohérent à condition de faire intervenir deux décrochements sénestres d'environ 10 km d'amplitude qui ont, par la suite, décalé les domaines paléogéographiques lors de la mise en place des nappes à la fin du Paléogène. Du Trias supérieur à l'Hettangien, ce domaine correspond à une plate-forme carbonatée peu subsidente. A partir du Sinémurien s'ébauche un découpage en aires hautes et basses qui se concrétisent par l'individualisation d'une série de compartiments délimités par des failles normales. Ces structures sont cachetés par la discordance de l'ensemble Bajocien-Bathonien correspondant à des dépôts de plate-forme où se décèlent des tendances locales à l'émersion. Dès la fin du Bathonien, le bassin s'approfondit et certains secteurs reçoivent les produits de démantèlement d'escarpements de faille (Brèche du Cap), passant latéralement à des turbidites incorporées à la sédimentation argileuse des Terres noires. De l'Oxfordien supérieur à la fin du Crétacé inférieur, le bassin est le siège d'une sédimentation carbonatée profonde et réduite, troublée par des glissements sous-marins. Le début du Crétacé supérieur correspond à de profondes modifications paléogéographiques en relations avec une tectonique synsédimentaire très active: un méga-chenal d'érosion apparait, dans lequel se déposent des "Schistes farcis ", c'est à dire des Black shales à blocs et olistolites, Cette formation contient un corps resédimenté, à matériel triasique et liasique, interprété comme issu d'un paléodiapir triasique perçant le fond du bassin. A partir du Cénomanien supérieur et jusqu'au début du Paléocène, une sédimentation de calcaires planctoniques se généralise dans l'ensemble du domaine du Morgon, où elle estompe les structures réalisées antérieurement. Replacé dans un contexte plus large, l'analyse des variations des séries de la zone subbriançonnaise durancienne conduit à proposer un modèle de paléomarge en mosaïque dont l'essentiel du canevas est réalisé avant le Bajocien.Ce schéma contribue à expliquer la complexité stratigraplùque du domaine subbriançonnais et s'insère bien dans le modèle paléogéographique de la marge européenne du segment ligure de la Téthys
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Etude géologique des environs du Monétier-les-Bains (H-A) (Zones subbriançonnaise et briançonnaise) - Alpes françaises

Barfety, Jean 06 June 1965 (has links) (PDF)
Cette étude aborde la stratigraphie, la tectonique des zones du Briançonnais et du subbriançonnais autour du Monétier.
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Paléogène marin et structuration des Alpes Occidentales françaises (domaine externe et confins sud-occidentaux du subbriançonnais).

Pairis, Jean Louis 21 March 1988 (has links) (PDF)
L'étude porte sur le Paléogène marin externe entre Provence et Suisse et sur quelques flyschs subbriançonnais de l'Embrunnais-Ubaye. La nanno et la micropaléontologie, la palynologie sont utilisées pour dater les formations, le benthos pour caractériser les niveaux écologiques. L'analyse des déformations permet de reconstituer la dynamique du bassin et d'y reconnaître une importante tectonique synsédimentaire remobilisant des accidents hérités. La mise en place d'unités allochtones sur la bordure E de la plaque européenne, le déplacement de ces dernières vers l'W déterminent : - 1, en avant de front, dans l'avant pays, l'apparition d'une douve dont la subsidence provoque la transgression nummulitique ; - 2, sur leur front, l'élaboration d'un prisme d'accrétion en milieu marin profond ; - 3, à l'extrados de la ployure de la plaque européenne, l'apparition du volcanisme calco-alcalin paléogène des Alpes (ponctuel et de plus en plus récent vers l'extérieur de l'orogène). La contraction alpine de l'Oligocène inférieur entraîne une inversion structurale au niveau de la flexure existant au Priabonien terminal dans le bassin marin. Sur la plate-forme continentale éocène s'installe alors un Sillon périalpin subsident, limité à l'W par la zone fracturée des rivages les plus occidentaux de la mer paléogène (Front nummulitique). Cette nouvelle douve, en milieu marin puis occidental, piège à sédiments remaniés, voit dans les Alpes du Sud, se développer sur sa bordure E un véritable prisme d'accrétion en milieu subaérien. Bloquée à l'Oligocène supérieur dans les Alpes du Sud, la progression de la douve vers l'extérieur de l'orogène continue dans les Alpes du Nord. Cette subsidence touche au Chattien supérieur la bordure E du Jura et entraînera plus tard, dans cette région, la transgression marine miocène. En définitive, le bassin paléogène des Alpes est induit par le rejeu d'accidents préexistants déterminé par des évènements précoces qui se déroulent sur la partie E de la plaque européenne, conséquence directe de la collision de plaques en cours. Il se calque sur les limites crustales : dans les Alpes du Sud il est directement superposé au Bloc crustal de la Durance. Ces mêmes lignes structurales, une fois de plus, au cours des mouvements alpins moi-pliocène, lors de l'individualisation de nouvelles unités structurales (par exemple le Poinçon d'Aspres-Rouaine dans les Alpes du Sud).
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La marge téthysienne au mésozoïque dans le secteur subbriançonnais entre Gap et le col du Galibier : (Alpes occidentales françaises)

Chénet, Pierre Yves 05 December 1978 (has links) (PDF)
Le but de ce travail est l'étude sédimentologique de l'unité pennique la plus externe, la zone subbriançonnaise, ceci dans le cadre plus vaste de l'évolution de la marge téthysienne européenne de la Téthys, entre la fin du Trias et la fin du Crétacé. Dans la région comprise entre la vallée de la Durance au Sud et le col du Galibier au Nord, le Subbriançonnais est connu surtout comme une nappe de charriage complexe, coincée entre le Briançonnais et l'ensemble Dauphinois- Ultradauphinois. Elle comporte du S au N, l'unité de St-Apollinaire-La Martinasse et l'unité de Piolit, plus interne, puis celle de Vallouise, enfin les digitations du Petit Galibier et du Lauzet Roche Olvera, celles-ci en position externe et interne respectivement. Le Subbriançonnais présente aussi une véritable identité paléogéographique. Replacé dans le contexte de l'évolution de la marge téthysienne, le secteur subbriançonnais des Hautes - Alpes paraît se relier à la fois au Briançonnais par l' émersion liasique et pendant le Dogger au domaine dauphinois, dont il constitue la bordure orientale, "pennique" , symétrique de celle de l'Ardèche. Le Subbriançonnais se relie au contraire franchement au Briançonnais de l'Oxfordien au Paléocène: ces deux domaines connaîtront une destinée commune jusqu'au Crétacé inférieur du fait de leur situation sur la pente de la marge continentale et jusqu'au Tertiaire par leur comportement vis - à- vis des efforts tectogéniques

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