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The art of dying : suicide in the works of Kate Chopin and Sylvia Plath /

Gentry, Deborah Suiter. January 2007 (has links)
Middle Tennessee State Univ., Diss.--Murfreesboro, 1992. / Literaturverz. S. [99] - 102.
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Suizid in der Spätantike : seine Bewertung in der lateinischen Literatur

Hofmann, Dagmar January 2007 (has links)
Zugl.: Jena, Univ., Diss., 2007
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"Almost unnamable" : suicide in the modernist novel

Chung, Christopher Damien, 1979- 20 September 2012 (has links)
Since Presocratic Greece, suicide in the West has been “known” and controlled, both politically and discursively. Groups as diverse as theologians and literary critics have propagated many different views of self-killing, but, determining its cause and moralizing about it, they have commonly exerted interpretive power over suicide, making it nameable, explicable, and predominantly reprehensible. The four modernist authors that I consider in this dissertation -- Ernest Hemingway, Joseph Conrad, Virginia Woolf, and William Faulkner -- break completely with the tradition of knowing suicide by insisting on its inscrutability, refusing to judge it, and ultimately rendering it “almost unnamable,” identifiable but indefinable. In For Whom the Bell Tolls, Victory, Mrs. Dalloway, and The Sound and the Fury, respectively, these authors portray illustrative, but by no means definitive, modernist self-killings; they construct a distinctive representational space around suicide, one free of causal, moral, theoretical or thematic meaning and, I argue, imbued with the power to disrupt interpretation. “‘Almost Unnamable’: Suicide in the Modernist Novel” examines the power of self-killing’s representational space in early twentieth-century fiction, arguing for its importance not only to the history of suicide in the West but also to the portrayal of death in the twentieth-century novel. / text
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Weiterüberleben, Jean Améry und Imre Kertész

Poetini, Christian 19 February 2013 (has links)
Synopsis :<p><p>La thèse démontre la force du discours de la survivance à travers tant l’essai que le roman, respectivement chez deux auteurs représentatifs et exemplaires. Jean Améry est l’initiateur d’un discours où l’accent est mis sur l’expérience de la privation totale de liberté et sur le suicide comme paroxysme de l’acte libre voulu par le survivant des camps de concentration. Imre Kertész fonde, lui, une écriture synonyme de stratégie de survie. Le suicide y constitue le moyen fictionnel, pour l’être survivant, de regagner sa liberté et son propre « destin ».<p><p><p><p>Résumé :<p><p>La thèse se propose d´analyser l´articulation littéraire du thème de la survivance, thème étudié à travers un corpus déterminé. « Articulation littéraire » est à entendre ici au sens de vecteur d’écriture dans l’acception la plus riche, à savoir depuis la représentation, les procédés littéraires jusqu’au processus lui-même. Le titre original du texte s’articule autour du vocable « Weiterüberleben », lequel opère une synthèse entre les deux facettes « survivre » et « continuer à vivre ».<p><p>A cet égard, le choix du terme « survivance » en français semblait très approprié. Celui-ci s’oppose dans un premier temps au mot usuel de « survie » par l’accent qu’il met sur l’action, la durée, la continuité ainsi que l’irréversibilité de cette expérience. <p>Dans un deuxième temps, dire « survivance » signifie introduire d’emblée un impact philosophique intentionnel qui place le phénomène étudié dans le sillage conceptuel de Derrida – différance, restance, absence, démeurance. A ce titre, la survivance peut être considérée comme trace et hantise au même moment.<p><p>Dès lors, le mouvement exprimé dans le titre sert de matrice ;dans le « discours sur la survivance », la survie n’est plus la condition d’écriture mais le véritable objet et, si l’on veut, l’objectif de cette écriture. Ce discours articule a) une reconquête de la dignité et liberté qui contient la possibilité du suicide, b) le vœu de continuer à faire vivre la mémoire à la Shoah et aux survivants et c) l’écriture comme stratégie de survie et résistance contre l’oubli.<p>Le centre de gravité de ce travail est l’étude du rapport entre l´expérience des survivants des camps de concentration et l’écriture de celle-ci. Il s´agit dès lors de se pencher sur les formes d´écriture qui traitent de cette problématique. Le témoignage, d´abord :quel est son rôle en tant que mise en parole d’une expérience ?A côté du témoignage, on observe l´émergence du traitement fictionnel de la thématique.<p><p>Une interrogation sur les modes d´émergence littéraire de ce sujet nécessite le passage par une historiographie parcourant les principales tentatives antérieures de représentation. Le témoignage a d´ores et déjà offert des possibilités intéressantes en tant que vecteur de représentation mais a également révélé ses limites. La fiction a montré quelle portée elle peut avoir ;si elle permet entre autres une ouverture du discours, elle se heurte aussi à des obstacles tels que les problèmes de la factualité, de la vérité, de l´authenticité. <p><p>Tout en puisant chez bon nombre d´autres écrivains, la thèse se base sur un corpus de deux auteurs emblématiques pour ce qu´ils ont apporté dans le domaine concerné :Jean Améry et Imre Kertész.<p><p>Le choix de Jean Améry se justifie notamment par le fait qu’il est l’initiateur d´un discours de la survivance où l´accent est mis sur l´expérience de la privation totale de liberté et sur le suicide comme paroxysme de l´acte libre voulu par le survivant. Kertesz, prix Nobel 2002, apparaît comme l’héritier d´Améry mais, dans une sorte de retournement, transforme le discours négatif de celui-ci en un discours positif par une analyse en termes de dialogicité et d´intertextualité. <p><p>Notre point de départ dans l’œuvre d’Améry est son essai sur la torture (« Par-delà le crime et le châtiment », 1966). C’est là qu’il insiste sur l’irréversibilité du moment subjectif qu’est la torture (« Celui qui a été torturé reste torturé ») ;Améry construit à cet endroit le fondement de la « perspective de la victime » et pose, dans le voisinage immédiat, la question de savoir comment surmonter l’insurmontable. <p><p>Avec le concept de « contre-violence », Améry explore le paradoxe de la libération – ou la « réversibilité de l’irréversible » – à travers les crises existentielles de son protagoniste (et alter ego) Lefeu (artiste-survivant); son roman-essai « Lefeu ou la démolition » donne lieu à l’analyse de ce phénomène paradoxal, cher à l’auteur.<p><p>L´exposé des quatre concepts fondamentaux d´Améry, également fondateurs de tout discours sur l´Holocauste – la perte de la confiance existentielle, le ressentiment, l´exil et la judéité – prépare la voie à une analyse détaillée du discours sur le suicide déployé dans « Porter la main sur soi ». En franchissant les frontières de la psychologie et les limites de la langue, Améry procède à une phénoménologie du suicide qui souligne la liberté individuelle mais qui écarte en même temps l´individu de la société.<p><p>Imre Kertész, dont l´œuvre marque le passage vers la fiction par sa trilogie « Etre sans destin », « Le refus », « Kaddish pour l´enfant qui ne naîtra pas », place l´individu dans toute sa fragilité face à l´Histoire nazie et communiste en faisant de celui-ci un survivant « sans destin », c´est-à-dire sans existence personnelle. Regagner son propre destin devient la modalité de la survivance. <p>Une analyse détaillée de son essai « L’Holocauste comme culture » inscrit d’emblée Imre Kertész dans la filiation de Jean Améry. Cet essai peut être lu comme un manifeste éthico-esthétique ;il insiste sur la nécessité de transposer l’expérience vécue dans l’espace littéraire. A cette condition seulement, le survivant réussit à survivre grâce et à travers les œuvres qu’il crée. Il y réussit en effet à figurer la « catharsis » ou à transfigurer la matière brute du vécu pour pouvoir continuer à survivre. <p><p>Tout en refusant catégoriquement le suicide pour des raisons éthiques, Kertész met paradoxalement en scène au cœur de Liquidation le suicide d´un écrivain né à Auschwitz. Il pose ainsi la question de « ce qui reste » de l’expérience de la survie après la disparition des survivants et, donc, au-delà de la possibilité d’en témoigner.<p><p>L’analyse monographique de ces deux auteurs permet, d’une part, de démontrer la relation référentielle qui lie Kertész à Améry, d’autre part, d’étudier la problématique à travers deux générations, deux appartenances historiques et deux univers culturels différents. Elle débouche ainsi sur une histoire interculturelle et transgénérationelle de la survivance à l’époque des totalitarismes.<p> / Doctorat en Langues et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished

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