• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 3
  • Tagged with
  • 3
  • 3
  • 3
  • 2
  • 2
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
1

Impact potentiel de l’utilisation de l’eau de pluie dans le bâtiment sur les consommations d’eau potable à l’échelle urbaine : le cas de l’agglomération parisienne / Potential impact of the use of rainwater within buildings on the consumption of drinking water at a city scale : case of Paris conurbation

Belmeziti, Ali 06 July 2012 (has links)
Ce travail de recherche vise à appréhender les effets engendrés à terme sur la gestion urbaine de l'eau par le développement progressif de la pratique de récupération et d'utilisation de l'eau de pluie (RUEP), et plus particulièrement sur l'alimentation en eau potable. Il est réalisé de manière prospective à l'échelle de l'agglomération parisienne. Plus largement, cette recherche constitue une contribution au débat ouvert depuis quelques années relatif à la remise en question progressive du modèle centralisé de gestion de l'eau en milieu urbain. Après une description de la pratique urbaine de REUP, ce travail établit un état de l'art des outils et des méthodes scientifiques s'y rapportant, et suggère de se focaliser sur le développement d'une approche de changement d'échelles. L'objectif est de produire, à une échelle urbaine, une estimation significative des économies d'eau potable réalisables en substituant à celle-ci de l'eau de pluie récupérée pour des usages ne requérant pas une qualité d'eau alimentaire. Pour ce faire, nous proposons une approche basée sur l'évaluation séquentielle à l'aide d'une échelle intermédiaire (la commune), d'une logique de regroupement de bâtiments aux caractéristiques comparables au regard de la RUEP et de quatre principes (distinction, agrégation, majoration, hiérarchisation).Sur l'agglomération de Paris, la méthodologie mise en œuvre montre que l'eau de pluie récupérée est susceptible de représenter un potentiel équivalent à 65% des besoins en eau non potable et à 11% du volume d'eau potable distribué. Le travail met également en évidence que le secteur résidentiel constitue le gisement principal de ce potentiel, car il détient 2/3 du potentiel global de l'agglomération. Une première analyse du système d'acteurs impliqués dans la RUEP en milieu urbain complète ce travail. Cette analyse permet de dégager un sous ensemble particulier d'acteurs qui ont la capacité d'effectuer une action « levier » sur la diffusion de cette pratique sur une échelle urbaine, soit directement en raison de leur capacité d'action collective (un ensemble de bâtiments par exemple), soit indirectement au travers de leur capacité d'influencer sur les propriétaires des bâtiments (mécanismes d'incitation notamment).Au final, ce travail permet de situer la RUEP en milieu urbain au sein du débat général portant sur les mutations que connaît la ville d'aujourd'hui / This research aims at assessing the effects generated, on management of urban water in the long term, by progressive development of rainwater harvesting (RWH), and more particularly on the drinking water supply. It is carried out in a prospective way on the scale of Paris and its suburbs. On the whole, this research contributes to a controversy about the validity of a centralized model of management of water in an urban environment. After a description of the RWH in urban areas, this report presents state of the art tools and scientific methods, and focuses on the development of a scaling approach. The objective is to produce, a significant assessment of potential potable water savings (PPWS), on an urban scale by substituting part of it by rainwater recovered for uses which do not require such quality. With this aim, we propose an approach based on sequential evaluation using an intermediate scale (the municipality), on merging of buildings with similar characteristics related to RWH and four methodological principles (modeling, aggregation, increase, Ranking strategy)Applied to the Paris agglomeration, the implemented methodology shows that the recovered rainwater volume is likely to represent a potential equivalent of 65% of the demands for non-drinking water and of 11% of the drinking water distributed. This research also highlights that the residential sector constitutes the major contribution of this potential, because it holds 2/3 of the total potential to the Paris agglomeration. The first analysis of the system of actors implied in the RWH in urban environment has also been developed. This analysis makes it possible to identify a specific subset of actors who have the capacity to carry out an “lever” action in generalizing this practice on an urban scale, either directly because of their capacity of leading a collective action (for a set of buildings for example), or indirectly through their capacity to act on the owners of the buildings (by incentive mechanisms in particular).Finally, this work positions RWH in on urban environment within the general debate related to the evolution of present cities
2

L'intermodalité-voyageurs au prisme de la mondialisation : vers la structuration d'un méta-réseau intégré / Passenger intermodality and globalization : the path towards an integrated meta-network

Ageron, Pierre 14 June 2013 (has links)
La mondialisation induit l’émergence du monde comme échelle désormais pertinente pour l’analyse de mobilités en croissance. L’intermodalité-voyageurs entendue comme un système actoriel favorisant les déplacements transcalaires, devient alors l’outil majeur d’un possible changement d’analyse des mobilités. La juxtaposition de réseaux monomodaux fait place à un méta-réseau déployant des interfaces multiples entre petites et grandes échelles. Ce travail à l’échelle mondiale se concentre sur les manifestations intermodales liées à l’accessibilité aéroportuaire. En effet, les aéroports, joignant la petite échelle, le monde, à la grande échelle (la ville, la région ou le quartier), concentrent les enjeux de la mise en place d’un réseau intermodal intégré, érigé en système. Centré sur les plates-formes aéroportuaires dotées du statut de gateway et se déployant uniformément à l’échelle mondiale, ce nouveau méta-réseau ne se concrétise pas. Il apparaît encore largement fragmenté, dominé par des dynamiques d’échelles régionales ou supra-nationales, marquées par une intégration plus ou moins avancée des réseaux-supports et des réseaux-services. L’émergence de tels réseaux provient d’une même matrice : l’imitation (Europe, Amériques) voire le perfectionnement (Asie Orientale), plus ou moins assumés et selon des conditions diverses, du modèle pionnier rhénan. Trois facteurs principaux expliquent la force de ce modèle. Au fondement de son efficacité pratique apparaît le principe de transcalarité, définie comme la capacité des utilisateurs à profiter de toute la capillarité des réseaux. Ce modèle s’appuie également sur une approche systémique et territoriale, favorisant les interactions entre acteurs. Ceux-ci envisagent globalement les besoins du client et l’ensemble de son cheminement. Ce changement d’attitude est rendu possible par l’introduction des règles du marché, troisième facteur de ce modèle. Dès lors, l’intermodalité-voyageurs s’inscrit dans des stratégies de promotion territoriale au sein d’une mondialisation compétitive et inter-métropolitaine. Considérée alors comme un produit, elle génère des interdépendances entre acteurs. La gestion optimale de ces interdépendances fait le succès du système intermodal. Cette recherche met ainsi en évidence la complexité de l’objet intermodalité-voyageurs, à la confluence d’une triple dynamique de mondialité : rétistique et servicielle, discursive et iconique et enfin capitalistique par les firmes. L’intermodalité-voyageurs permet enfin de réfléchir à des concepts-clés de la géographie et des sciences sociales : le lieu, l’individu, le monde. / Globalization sees world as a pertinent scale in the analysis of growing mobilities. Defined as network system, passenger intermodality seeks to improve transcalar trips and is thought as a tool for a new mobility paradigm : from a monomodal networks multiplicity to the meta-network integration, thanks to places of interchange, linking scales. Taking world as a whole, this study is primarily focused on passenger intermodality related to airport ground access. Indeed, airports, linking cities, regions and the world reveal the burning issues and stakes of a potential integrated intermodal network. Thought as a worldwide system, based upon gateway-status airports, this new meta-network doesn’t materialize. Still highly fragmented, dominant dynamics are macro-regional ones, which lead networks and services integration. The networks emergence drifts from a pioneering source : Rhinelander model, either imitated (Europe, Americas) or perfected (Eastern Asia). Three features define this model : making the use of networks easy for users from the start to the end thanks to interchanges. Secondly, actors adopt a broad systemic and territorial viewpoint. Customer’s needs and path are thought as a whole. Third, rules of (de)regulated markets demand innovation. Passenger intermodality is concerned with territorial marketing strategies within a globalization made of competition between metropolises. Regarded as a marketed product, intermodality produces interdependences between system’s actors then discovered. Optimal gestion makes intermodal system success, as proven by german model. At last, we underline complexity of passenger intermodality, linking three facets of globalization : by networks (including services), by speeches and pictures, by entrepreneurial strategies. Passenger intermodality, as a prism for globalization dynamics, is a mean to think of key concepts of geography and social sciences: place, individual, world.
3

Transition énergétique et géographie : le photovoltaïque au sol dans le sud de la France / Energy transition and geography : the photovoltaic ground in the south of France

Duruisseau, Kévin 18 November 2016 (has links)
Amorcée en 2002 avec la mise en place d’un régime financier d’encadrement basé sur un système de tarifs de rachat de l’électricité, la politique photovoltaïque au sol (PVS) vient enrichir les politiques énergie-climat françaises, devenues depuis des politiques publiques de transition énergétique. Ces politiques se déploient dans un contexte d’ouverture à la concurrence associée à la libéralisation des marchés de l’électricité, de fractionnement des moyens de production et de dévolution croissante de compétences « électriciennes » aux acteurs territoriaux publics favorisant une multiplication et une diversification des acteurs intervenants dans le système électrique français. Ces mutations ont amorcé un processus de territorialisation des EnR et dessinent une nouvelle géographie de l’électricité. Cette thèse interroge la place des territoires dans la transition énergétique, dans une analyse du processus de territorialisation de la politique publique PVS en France, et discute de l’émergence d’une nouvelle géographie de l’électricité. Elle articule une étude de la géographie des unités PVS en activité au 31 décembre 2015 dans les territoires du sud de la France avec une analyse actorielle de la diffusion spatiale de ces nouvelles infrastructures industrielles. Elle propose pour ce faire une typologie des acteurs-initiateurs PVS et une typologie des opérateurs-exploitants PVS permettant de mettre en évidence les nouveaux acteurs électriciens du système électrique français métropolitain. Elle propose plus largement une étude des systèmes de régulation et des jeux d’acteurs à l’œuvre dans les territoires PVS révélant le processus de territorialisation de cette EnR. / Began in 2002 with the establishment of a financial supervisory regime based on a system of feed-in tariffs, the photovoltaic public policy on the ground enriches French energy and climate public policy, which have since become public policies for “low carbon” energy transition. These policies are deployed in a context of openness to competition associated with the liberalization of the European national markets for electricity, means splitting production and increasing devolution of "Electricians" powers to public territorial players favoring multiplication and diversification of actors involved in the metropolitan French electrical system. These changes have initiated a process of territorialization of renewable energy and create a new geography of electricity.This thesis questions the place of the territories in the "low carbon" energy transition, in an analysis of regionalization of public policy photovoltaic ground process in France, and discusses the emergence of a new geography of electricity. It articulates a study of the geography of photovoltaic ground units in operation on 31 December 2015 in the southern territories of France with an actorial analysis of the spatial distribution of these new industrial infrastructures. It proposes to do this a typology of photovoltaic ground initiators-actors and a typology of photovoltaic ground developers-operators to highlight the new electric actors of the metropolitan French electrical system. It offers a wider study of regulatory systems and sets of actors at work in the implementation of photovoltaic ground territories revealing the territorialization process of this renewable energy.

Page generated in 0.0638 seconds