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Impacts des activités minières sur les écosystèmes forestiers au Katanga, République Démocratique du Congo

Kabulu Djibu, Jean-Pierre 26 September 2011 (has links)
En dépit de ses ressources naturelles, le Katanga connaît une déforestation inquiétante durant ces dernières années. Avec 157.525 km², la forêt au Katanga ne recouvre plus que moins de 4% environ du territoire. Les forêts sont considérablement en régression, soit un taux de déforestation annuelle d’environ -0,20%. Ce processus s’est récemment accéléré, tout particulièrement dans les zones minières et dans les hinterlands de tous les grands centres urbains, suite à une forte pression démographique et aux activités minières qui en résultent. Le paysage forestier est donc dynamique et change, en composition et en configuration spatiale au cours du temps. L’objectif principal de cette étude était d’évaluer l’état de la fragmentation de la forêt au Katanga, en utilisant les techniques et méthodes de l‘écologie du paysage. Un accent particulier a été mis sur l’impact des activités minières sur les paysages forestiers et sur l’exploitation artisanale de bois énergie. Cette quantification de l’état de la fragmentation peut être utile d’une part aux services publics de l'État congolais pour évaluer de manière différenciée les processus de déforestation et la vulnérabilité du paysage, et d’en tirer les conséquences opérationnelles. D’autre part elle est utile aux services de recherche et de conservation pour prendre en considération les facteurs de risque de la déforestation au côté des autres (vent, pluie, érosion, crues, ruissellement, etc.). Dans la présente étude, nous nous sommes basés sur l’hypothèse selon laquelle les actions anthropiques sont les principales causes de la fragmentation de l’habitat. <p><p>Les résultats ont montré que l’exploitation minière et la croissance démographique sont deux facteurs de la déforestation, considérés comme les paramètres principaux du processus de changement du paysage au Katanga. L’analyse spatiale, faite grâce à la cartographie et aux systèmes d’information géographique, a permis de faire le calcul d’indices de composition et de configuration du paysage afin d’analyser la structure spatiale des forêts. La structure a été ensuite modélisée pour évaluer les impacts de concessions, des routes et des sites miniers sur la forêt. En fonction de résultats obtenus, on constate que les forêts du Katanga subissent une pression anthropique assez forte et la tendance générale de la fragmentation des forêts est inquiétante. Les habitats forestiers sont entrain d’être transformés en formations savanicoles. Les activités minières ont un impact défavorable sur les forêts de la province. La présence des plusieurs compagnies minières a favorisé l'augmentation des sites miniers et la densification du réseau routier. <p> / Doctorat en Sciences / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Les dimensions socio-spatiales de l'érosion ravinante intra-urbaine dans une ville tropicale humide: le cas de Kinshasa (R.D. Congo) / Socio-spatial dimensions of intra-urban gully erosion in tropical city: the case of Kinshasa (DR. Congo)

Kayembe Wa Kayembe, Matthieu 26 September 2012 (has links)
Kinshasa connaît de nombreuses manifestations de l’érosion ravinante depuis quelques décennies. L’office de drainage et de voirie en estime environ 400 en 2009 et 500 en 2010. L’érosion ravinante est un processus géodynamique qui agit en faveur de la gravité. Or, elle ne se manifeste pas partout en milieu urbain, même au sein des quartiers construits sur de fortes pentes ;ce qui suggère qu’il y aurait des dimensions humaines inscrites dans l’espace qui l’accélèrent ou la freinent.<p>En s’appuyant sur l’approche cartographique des données issues de la télédétection, des documents cartographiques anciens et ceux de la cartographie participative, des interviews, des enquêtes socio-économiques et des relevés (D)GPS (écoles, centres de santé et tracé des collecteurs, ravins, etc.), l’étude a montré que l’érosion ravinante est apparue avec la croissance urbaine sur des zones de fortes pentes. Ces dernières sont habitées par des populations nombreuses et de statut socio-économique modeste. Elles ont modifié les conditions du milieu en mettant le sol à nu, en concentrant les eaux de ruissellement, en construisant sans tenir compte de la morphologie du terrain. De cette manière, elles ont influencé les facteurs déclencheurs de l’érosion ravinante. Celle-ci provoque des conséquences importantes sur les infrastructures, des hommes et leurs activités et très variées selon les quartiers.<p>L’absence de politiques de prévention de l’érosion ravinante dans les différents plans d’aménagement de la ville serait à la base de ce phénomène (dévastateur). Les politiques des interventions publiques pour la stopper privilégient les fonctions importantes de la ville et les quartiers concentrant les populations de haut standing. Les quartiers spontanés pauvres récupérés par les ONG et/ou institutions internationales sont ceux par où passent certaines infrastructures importantes (ligne haute tension de la SNEL) ou ceux qui ont été choisis pour des raisons propres aux ONG et/ou institutions internationales. Les quartiers spontanés abandonnés par les pouvoirs publics et les ONG internationales sont les champs d’action des hommes politiques, des « riches » dont l’habitation est menacée et des missions religieuses et aussi des populations locales.<p>Les chefs des quartiers ont joué un grand rôle dans la sensibilisation et la communautarisation de la pratique du puits d’infiltration sur tout le versant afin que chaque ménage retienne dans sa parcelle une grande quantité des eaux des pluies. Ceci a contribué à la compréhension des causes humaines de l’érosion et à ne pas la considérer comme une fatalité.<p> / Doctorat en Sciences / info:eu-repo/semantics/nonPublished

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