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La sédimentation détritique sur la marge nord-tethysienne témoin de l'évolution géodynamique des Alpes occidentales. Comparaisons avec le détritisme actuel et exemple du domaine briançonnais externe et de son détritisme néocrétacé.

Chaulieu, Philippe 29 October 1992 (has links) (PDF)
Décrit comme formant un mégabloc séparé des domaines subbriançonnais et piémontais voisins par des discontinuités de 1er ordre, le domaine briançonnais constituait un élément majeur de la paléomarge nord téthysienne créée par le rifting téthysien. Après son émersion généralisée durant la période du Lias supérieur - Dogger inférieur correspondant à l'étape du rifting, il a subi, au début du Malm, un affaissement brutal se traduisant par le passage à une sédimentation pélagique post-riftlng. Cette sédlmentation qui s'est poursuivie jusque durant l'Eocène inférieur a été cependant troublée par deux crises tectoniques majeures (Callovo-Oxfordien et Vracono-Turonien), dont les causes peuvent être reliées à des processus plus généraux tenant d'abord de l'ouverture de la Téthys ligure, puis de sa fermeture. La crise tectonique du Callovo-Oxfordien résulte de l'effondrement de la marge nord-téthysienne corrélativement au début de l'ouverture océanique dans le domaine liguro-piémontais et elle s'est manifestée en domaine briançonnais par le dépôt d'accumulations détritiques grossieres (olistolites et bréches) soulignant le rejeu distensif d'accidents synsédimentaires subméridiens et transverses qui, hérités du rifting tethyslen, ont induit une différenciation morphologique du mégabloc briançonnais en créant un système de silIons et de plateaux séparés par des pentes. De fait, à partir du Malm, le domaine briançonnals montrait des aires de sédimentation d'orientation subméridiennal qui, séparées les unes des autres par des accidents de 2eme ordre, étaient segmentées en lanières de moindre dimension par des failles de 3eme ordre et découpées en compartiments par des failles synsédimentaires transverses induisant de probables décalages dont l'ampleur et le sens ne peuvent être déterminés. La crise tectonique du Crétacé "moyen" et du début du Crétacé supérieur (Vracono-Turonien), par ailleurs enregistrée sur l'ensemble du domaine alpin , est l'écho de la fermeture de la Téthys ligure dont les modalités, bien que discutées, pourraient être celles d'un stade de subduction de la Téthys ligure vers l'Est ou le Sud-Est sous la marge sud-alpine (subduction "B"), accompagné ou précédé de la mise en place des ophiolites, puis d'un stade de subduction "A" durant lequel la partie la plus interne de la marge passive nord-téthysienne (massif cristallin interne de Dora Maira) subirait un début d'enfoncement dans la zone de subduction. Durant cette crise tectonique et alors que dans le domaine Iiguro-piémontais en cours de tectonisation se déposaient les flyschs à Helminthoides, que le domaine ultrabriançonnais formait une dépression recevant une importante sédimentation détritique (brèches, olistolites et faciès reconstitués) et que le domaine subbriançonnais constituait un sillon au front du domaine briançonnais surélevé et recevait des brèches et des flyschs précoces, le domaine briançonnais se présentait sous la forme d'un bassin "perché" qui était soumis à une sédimentation pélagique ou hémipélagique troublée par la mise en place d'accumulations détritiques surtout grossières (brèches, olistolites et calcschistes farcis). Daté du Vracono-Sénonien inférieur, ce détritisme a souligné le rejeu d'accidents synsédimentaires d'orientation actuelle N 160°E (faille de Queyrellin-Tête Noire et accidents transverses majeurs (faille de Roche Colombe-Beraude, faille des Arêtes de la Bruyère Châtelard, faisceau de failles de la Pisse, etc, ... ), ou plus mineurs (failles du Clot des Vaches, de l'Aiguillette du Lauzet , etc, ...). Ces accidents transverses ont clairement contrôlé la répartition des sédiments détritiques, soit directement (destruction de reliefs transverses), soit indirectement, en individualisant des compartiments plus ou moins hauts qui, différentiellement érodés et sédimentés, ont reçu un détritisme plus ou moins abondant. Cependant, si l'image morphologique présentée par le domaine briançonnais durant le Crétacé supérieur était celle d'un système de sillons, de pentes et de hauts-fonds d'orientation subméridienne dilacérés par des accidents transverses et si le fait que les accumulations détritiques étaient produites par des écroulements localisés de reliefs et par des glissements affectant des pentes, le contexte tectonique de mise en lace de ces sédiments détritiques n'a pu être définie avec précision. De fait et en plus d'une étude comparative avec l'ensemble du détritisme nord*téthyslen, ont été effectuées des comparaisons avec les accumulations détritiques actuelles déposées sur des marges continentales placées dans différents contextes géodynamiques (marges de divergence, marges transformantes et marges actives) . Ces recherches ont conduit à la présentation de modèle de détritisme actuel en régime distensif, coulissant et compressif et ont permis de préciser que les sédiments détritiques néocrétacés briançonnais présentaient une organisation identique aux accumulations détritiques sédimentées en régime distensif. Dans le cadre globalement compressif voyant la résorption de la Téthys ligure, cette crise tectonique distensive tardive affectant le domaine briançonnais trouve parfaitement sa place, car ce rejeu en distension des accidents synsédimentaires traduirait un bombement extensif qui, s'effectuant au droit du Briançonnais, résulterait d'une flexuration élastique de la croûte continentale amincie de la marge nord-téthysienne en avant de la zone enregistrant la subduction et les compressions pareillement à ce qui peut être observé dans les systèmes actuels en subduction. Enfin, comme le confirment la poursuite de la sédimentation hémipélagique sans détritisme grossier sur le domaine briançonnais et l'évolution des phénomènes compressifs dans le temps et dans l'espace, cette situation de bassin "perché" briançonnais bordé par deux zones en dépression s'est clairement prolongée jusqu'à l'Eocène inférieur, et ce n'est qu'à l'Eocène moyen que vont apparaître les premiers flyschs (flyschs noirs lutétiens), dont le dépôt sera stoppé par la mise en place de la nappe des flyschs à Helminthoides de l'Autapie, indiquant les premiers stades de la collision continentale.
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La Déformation alpine des massifs cristallins externes (Mont-blanc, Aiguilles rouges, Belledonne) et celle de leur couverture mésozoique (Alpes occidentales)

Gourlay, Pierre 03 July 1984 (has links) (PDF)
L' étude comparée des structures des massifs cristallins externes et celles de la couverture dauphinoise, à la jonction Mont Blanc, Aiguilles Rouges, Belledonne permet de conclure à une déformation alpine, commune pour les deux grands ensembles lithologiques, qui combine respectivement déplacements gravitaires superficiels dans les nappes de couverture avec raccourcissement, chevauchements et décrochements crustaux profonds. Ces différents processus ont abouti au développement d'un champ régional de déformation finie (trajectoires de schistosité et d'étirement + gradients régionaux de la déformation) qui apparaît comme le résultat d'étapes successives, matérialisées à l'échelle du terrain, par une superposition de déformations. L'ordre d'apparition de ces déformations est vérifié par l'étude de la déformation incrémentale. Celle-ci permet de mettre en évidence une rotation antihoraire de l'étirement principal., générale pour l'ensemble du secteur étudié. L'ensemble des résultats de cette étude a été intégré dans un modèle de déformation progressive, ductile et hétérogène, où la direction du déplacement gravitaire superficiel de la couverture et celle du raccourcissement crustal profond sont d'abord dirigées vers le NNW puis vers l'W.
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Thermochronologie par traces de fission des marges conjuguées du bassin liguro-provençal : la Corse et le massif des Maures-Tanneron.

Jakni, Bouchra 13 January 2000 (has links) (PDF)
La Corse et le Massif des Maures-Tanneron représentent les marges conjuguées du bassin liguro -provençal. C'est à partir d'environ 30 Ma. avec le rifting ligure que la Corse s'est détachée de la Provence et a subi une rotation anti- horaire d'environ 30° qui l'a amenée à sa position actuelle. La thermochronologie par traces de fission (TF) sur apatites, par sa sensibilité aux relativement basses températures. nous a permis de préciser les mécanismes d'évolution des marges liguro -provençales, ainsi : - Le massif du Tanneron semble avoir connu l' histoire de refroidissement la plus précoce, témoignant d'un épisode de relaxation thermique postérieurement à l'ouverture de la Tethys ligure. - Le massif des Maures (en dehors de la presqu île de Saint-Tropez où sont rencontrés des âges crétacés supérieur, probablement hybrides) a clairement enregistré, à l'0ligo-Miocène, l'effet thermo- tectonique associé au rifting liguro-provençal. - La Corse, terrain le plus étudié dans ce travail. assez complexe de part sa géomorphologie actuelle et sa structuration polyphasée, possède une zonation remarquable dans la distribution des âges TF/apatites, liée vraisemblablement à la signature d'au moins deux événements thermiques post-oligocènes. Ceux-ci accompagnent d' une part, à l'Ouest l'ouvenure Iiguro-provençale (26
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Evolution tectonique du panneau de couverture nord-provencal (Mont Ventoux, Luberon, moyenne Durance), France

Villeger, Marc 26 June 1984 (has links) (PDF)
Présentation des structures régionales, description des unités lithologiques et analyse de la fracturation à grande échelle du panneau de couverture nord-provencal. Les résultats de l'analyse microtectonique montrent que le domaine affecté par une distension E-W syn-sédimentaire oligo-aquitanienne succédant à la compression pyrénéo-provencal N-S (Eocène), a été repris en compression E-W (phase 1) au Langhien puis par des compressions N-S et NNE-SSW (phase 2 Serravalien, phase 3 Tortonien superieur-Pliocène inférieur) responsable des structures actuelles. Dans une dernière partie, essai pour replacer la zone alpine externe du S-E de la France dans le contexte géodynamique de la chaine des Alpes occidentales
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Géologie de l'Antépermien de Vanoise septentrionale (zone briançonnaise interne, Savoie, France)

Guillot, Francois 24 March 1987 (has links) (PDF)
Centré sur le haut massif de Bellecôte, en Savoie, ce terrain (8 km x l2 km) possède une couverture permienne et triasique à faciès brianconnais, parfois décollée tectoniquement. Elle peut aussi être adhérente, discordante stratigraphiquement sur l'Antépermien, et est alors souvent réduite: le Werfénien (Scythien) et le Permien peuvent manquer totalement.<br />L'Antépermien est d'âge inconnu. La cartographie à 1/10 000 permet d'y reconnaître une série de deux kilomètres environ de puissance. En liaison avec l'étude pétrologique, les analyses chimiques montrent une zonation chimiostratigraphique, du moins pour les nombreuses formations d'origine magmatique ou volcanique, y compris les produits de l'altération hydrothermale précoce.<br />Sur un possible socle polymétamorphique (micaschistes à grenats), la série antépermienne comporte 1 km de métabasites rubanées, anciens basaltes spilitiques, à niveaux subordonnés de quartz-kératophyres sodiques. La spilitisation est précoce, mais postmagmatique. Les dernières alternances acide-basique consistent en laccolites gabbro-dioritiques, et en barres de quartz-kératophyres non sodiques, très siliceux (SiO2 > 90%; silicification hydrothermale prolongée ?). Jusqu'à ce niveau, les "roches vertes" paléozoïques ont un chimisme de tholéiites pauvres en TiO2 (moins de 1,5%). Ceci, avec la spilitisation probablement sous-marine, permet de proposer un contexte de bassin marginal.<br />Puis viennent 1 000 m de schistes noirs (métasédiments fins riches en matière organique et en pyrite). L'albite y est abondante (4% de Na2O contre 1% de K2O) et témoigne d'influences volcaniques dominantes, avec une faible proportion d'apports sialiques. Les nombreux sills vert sombre dans ces schistes noirs ont une composition de tholéiites riches en TiO2 (2% à 2,5%), et sont ainsi analogues aux tholéiites médioocéaniques.<br />Par ses caractères, évoquant un contexte océanique, l'Antépermien de Bellecôte diffère du Houiller, daté et situé à l'Ouest, et du Stéphano- Permien, tous deux continentaux. Ce matériel pourrait de plus avoir été plissé avant le Permien. On peut donc voir dans la Vanoise septentrionale un socle antéhouiller, émergé au Carbonifère supérieur et parfois jusqu'au Trias. Des séries analogues existent dans les massifs voisins (Mont Pourri, Grand Bec), et dans les massifs cristallins externes. L'hypothèse d'un âge siluro-ordovicien est envisageable.<br />Outre un possible plissement antépermien, trois phases tectoniques alpines majeures sont distinguées. La phase 1 aurait créé un vaste pli couché à vergence N ou NE, dont le cœur est jalonné de métamylonites. La phase 2 serait celle dite de rétrocharriage, à vergence E à SSE selon les lieux. La phase 3 est caractérisée par une faible charge lithostatique, et les fortes pressions de fluides le long des accidents ont engendré des roches broyées et minéralisées (entre autres cargneules). Lors de cette dernière phase se produit le chevauchement vers le N de la Vanoise septentrionale sur la zone houillère, mouvement qui peut être relié à un vaste décrochement senestre orienté N-S, à la frontière entre le Briançonnais interne (Vanoise, à l'E) et le Briançonnais externe (zone houillère, à l'W).
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Exemples de structures en extension et de leur influence sur les déformations postérieures dans le domaine téthysien (Bourg d'Oisans, Alpes occidentales françaises et Troodos, Chypre)

Grand, Thierry 27 March 1987 (has links) (PDF)
La mesure systématique dans les plans striés et leur traitement statistique par la méthode des dièdres droits ont permis de mettre en évidence, dans la région de Bourg-d'Oisans, 3 épisodes d'extension, antérieurs aux phénomènes alpins. Des critères stratigraphiques permettent de préciser leur âge, soit : • au Trias, direction d'extension N-S, • au Lias inférieur p.p., direction d'extension NE-SW, • au Lias supérieur, direction d'extension W.NW-E.SE. Ces faits sont à relier à la structuration de la marge européenne de la Téthys ligure, le bassin de Bourg d'Oisans étant considéré comme la couverture sédimentaire d'un bloc basculé décakilométrique. Le paléochamp de contraintes au Lias inférieur peut-être considéré comme le résultat d'une déviation de la contrainte générale en régime décrochant, du fait de l'existence d'accidents antérieurs hérités des phases tardi-hercyniennes. Les émissions de basaltes subalcalins (spilites) du sommet du Trias ont déjà été contrôlées par cette tectonique décrochante. Selon cette interprétation, le changement tectonique entre le sommet du Trias-Lias inférieur et le Lias supérieur s'est effectué par une simple permutation des contraintes D1 et D2 ; la contrainte minimale D3 étant restée constante en direction durant ces 2 épisodes. Ceci nous conduit à considérer que la réorganisation tectonique principale se situe au sommet du Trias et correspond donc au début du rifting dans cette région. L'évolution géodynamique de la région de Bourg-d'Oisans durant le Mésozoïque est similaire à celle d'autres systèmes de rift, comme le fossé rhénan et le Golfe de Suez. Les phases compressives alpines ont aussi été caractérisées. Leurs effets ont été fortement influencés par les structures héritées des épisodes distensifs mésozoïques. L'étude des structures syn-ophiolitiques dans le massif du Troodos à Chypre a permis d'individualiser une phase d'extension syn-ophiolitique dirigée W.NW-E.SE et des épisodes de déformation post-ophiolitiques (compression N160 et extensions récentes) fortement influencés par les structures antérieures.
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Le Carbonifère des chaînes subalpines de Haute-Provence (France) dans son cadre structural

Guiomar, Myette 01 December 1989 (has links) (PDF)
Le Carbonifère des chalnes subalpines méridionales (Alpes de Haute Provence) affleure en deux secteurs, distants d'une vingtaine de kilomètres: - les affleurements ouest (Clamensane, Nibles, Saint Geniez) jalonnent le tracé d'accidents rhegmatiques : la faille d'Aix en Provence et la faille des Rochers de Hongrie. Ils sont interprétés comme d'anciens panneaux glissés à partir de talus sous-marins ; ils témoignent de l'activité tectonique de la faille d'Aix pendant la période du rifling téthysien. Deux épisodes tectoniques principaux ont conduit à la formation de niveaux olistolitiques, l'un au Domérien, l'autre au Bajocien. La tectonique alpine tertiaire n'a joué qu'un rôle accessoire dans la mise en place du Houiller au sein des séries mésozoïques; - les affleurements est (Barles) paraissent sous la voûte anticlinale des quartzites scythiens, l'ensemble supportant des écailles parautochtones de Trias moyen et la nappe épiglyptique de Digne. La position structurale du Carbonifère de Barles est le résultat des différentes phases tectoniques alpines du Tertiaire. Les pointements carbonifères du secteur ouest n'ont pas permis une étude sédlmentologlque approfondie. Seul le Houiller des Moulières est daté du Stéphanien moyen. Cet âge est à rapprocher de celui de Barles : Stéphanien B, limite du Stéphanien C. A l'affleurement, l'observation des faciès, des coupes, des figures sédimentaires et de l'organisation séquentielle de dépôts, permet de reconnaitre des paléoenvironnements continentaux variés : fluviatiles (chenaux méandrisants, distributaires mineurs), palustres à palo-Iacustres. En sondage se retrouvent les mêmes dépôts qu'en surface; l'étude séquentielle de la série conduit à envisager le comblement d'un bassin lacustre. Le Carbonifère de Barles et celui des différents lambeaux situés à l'Ouest présentent de grandes similitudes et se caractérisent par l'absence de dépôts grossiers conglomératiques. A l'Ouest, le milieu serait inondé de façon plus durable qu'à Barles où l'on remarque de nombreux dépôts de plaine d'inondation colonisés par des végétaux arborescents. Tant à l'Est qu'à l'Ouest la reconstitution des paléoenvironnements caractérise une aire de dépôt vaste, loin des reliefs. Les divers affleurements sont probablement les témoins d'un bassin unique : à l'échelle du Sud-Est de la France, la comparaison s'impose avec le vaste bassin des Cévennes. Il est donc possible d'envisager, pour le Houiller subalpin, un prolongement du bassin sous la couverture secondaire, en particulier à l'Ouest de la faille d'Aix en Provence, dans le domaine du bassin dauphinois, zone moins tectonisée qu'à l'Est de l'accident mais Où la couverture mésozoïque présente une épaisseur importante.

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