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Expanding the object : post-conceptual dance and choreographic performance practices

Hildebrandt, Antje January 2014 (has links)
This project is concerned with exploring the relationship between postconceptual dance and its state as object. As a practice-led research project it aims to do so both through the written thesis and through artistic practice, which is here presented as a series of video projects that extend representations of dance. Over five chapters I trace the permutation of the ‘object’ from choreographer to spectator, participant, editor, collector and ‘reframer’, arguing for the multiplicity of roles that choreographers, and by extension dancers, take on at the beginning of the 21st century. My interdisciplinary research draws from a variety of theoretical discourses including performance theory, visual cultures and critical theory, and is therefore both relevant to the field of dance studies and beyond the discipline. Given the practice-led nature of the project, my aim has been to expand choreographic performance practices and to increases the range of ‘objects’ that can be considered dance. Therefore, the project resides in the gaps and tensions between practice and theory, performance and documentation, language and dance, text and movement, choreography and objecthood. Throughout I argue that post-conceptual dance operates within an extended field in which dancers and choreographers are expanding the boundaries of the art form, making dance relevant to a broader artistic, cultural, political and social context.
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Art contemporain et documentation : la muséalisation d'un corpus de pièces éphémères de type performance / Contemporary art and documentation : the musealisation of performance works

Giguère, Amélie 24 May 2012 (has links)
Quarante années après la parution de l’article de Lucy R. Lippard et de John Chandler, la notion de « dématérialisation » apparait toujours dans les discours sur l’art contemporain. Elle désigne une tendance de la création qui dévalorise la matérialité de l’objet, ses qualités plastiques, de même que son caractère permanent. En outre, la dématérialisation de l’art peut être interprétée comme une critique du musée et les œuvres qui répondent à ses préceptes, comme des pièces qui « résistent » à la muséalisation. Qu’en est-il de la performance? Est-elle présente aujourd’hui dans les collections muséales? Et si oui, sous quelle forme? Comment les informations colligées, organisées et enregistrées autour de ses propositions assurent-elles une connaissance juste de celles-ci? En somme, par quelles stratégies, artistes ou professionnels, opèrent-ils la muséalisation de la performance? Le « document » s’impose comme notion clé pour éclairer la question de la muséalisation de cette pratique contemporaine. Une hypothèse de travail est formulée : les performances ne se présentent pas sous la forme d’un objet déterminé, mais plutôt sous la forme d’un ensemble de documents. Cet ensemble constitue ce que nous appelons la « face documentaire » de la proposition. En transposant la notion de paratexte de Gérard Genette aux objets de cette analyse, il est dit que la « face documentaire » a pour fonction principale de présenter ou de rendre présentes ces propositions, de réconcilier leurs différents modes d’existence et d’assurer leur muséalisation. C’est à la lumière des sciences de l’information et de la communication qu’est définie la notion de « document », opératoire dans le concept de « face documentaire ». Une étude de cas est menée. Le corpus est composé de sept pièces éphémères de type performance et de leurs objets associés qui appartiennent à musées et des FRAC, en France ou au Canada. L’entretien auprès des professionnels des musées, des artistes et de leurs représentants, de même que la consultation et l’analyse de sources, comme les fiches descriptives, les dossiers d’œuvres et les revues spécialisées et les catalogues, constituent les principales méthodes d’enquête. L’analyse procède par l’identification et la mise en évidence, par le récit, des différents destinateurs, formes, fonctions et statuts des documents qui composent la « face documentaire » des pièces choisies. Sont ainsi interrogées, pour chacune des pièces, la création ou la sélection de documents et leur entrée dans une collection muséale. Sont ensuite questionnées la documentation muséale de ces pièces et enfin, leur présentation publique. L’étude des cas permet de dégager deux stratégies principales de muséalisation : la muséalisation articulée autour d’un prolongement matériel qui tend à faire œuvre et la muséalisation articulée autour d’un projet de réitération. L’étude de cas permet en outre de mettre en évidence trois stratégies de présentation publique des « performances muséalisées », soit l’exposition d’un objet en situation de rencontre, l’exposition documentaire et enfin, la réitération de la performance. Enfin, la recherche montre que la muséalisation de la performance redéfinit les activités muséales de la sélection, de la documentation et de la présentation. Elle interroge l’objet de musée comme élément pivot de ces activités. Elle montre aussi qu’une attention plus grande est portée aux productions paratextuelles de ces travaux artistiques » / Is performance art present in museum collections? If so, how is it documented, preserved and presented/exhibited? How do museum professionals and artists accomplish documenting and archiving performance art? The notion of “document” has emerged as a key concept for understanding the issues surrounding contemporary practices of performance art. A hypothesis is proposed: the performance is not to be considered as an “object,” but rather as a series of “documents.” Transposing the concept of paratext (Genette) to this analysis, I argue that these sets of documents function to present or to “make present” performances and to enable their musealisation. Case studies involving seven performance pieces and their associated documents (objects, accessories, archives, etc.) in collections in museums and Fonds régionaux d’art contemporain (FRAC) in France and Canada were selected for study. Interviews with museum professionals, artists and their collaborators, as well as the analysis of documentary sources such as database catalogs, artists’ dossiers and journals, constituted the primary research materials. The case studies revealed two main strategies of musealisation: 1) musealisation articulated/occurring around a material extension which tends to become a work of art and 2) musealisation articulated around a reenactment project. The case studies also demonstrate three types of presentation: 1) the exhibition, 2) the documentary exhibition, and 3) the live presentation or reenactment. Finally, the research indicates that the musealisation of performance art redefines the traditional museum activities of selection, documentation and presentation by questioning the status of the museum object as a central element of these activities
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La performance au miroir des médiations. Enjeux théoriques et critiques / Performance and its Relations to Mediations

Fourgeaud, Nicolas 12 May 2012 (has links)
À l’orée des années soixante, la performance a cherché à imposer un art de l’action éphémère que n’entraverait aucun type de médiation, qu’il soit symbolique (la distance acteur/spectateur), technique (les médias), ou même linguistique (le langage, les signes). Enjeu de nombreux débats entre les années 1960 et 1990, ces tentatives ont trouvé de multiples formulations théoriques s’appuyant sur les outils du poststructuralisme en particulier, mais aussi sur des cadres de pensée différents, directement hérités du modernisme de Greenberg. On explore ici les étapes et enjeux de ce croisement, jusqu’à la rupture apportée dans les années 1990 et 2000 où les débats théoriques, toujours dirigés par des schémas poststructuralistes, redonnèrent une place centrale aux médiations, tout particulièrement au document. Or, la figure importante de la pratique artistique qu’est devenu le document depuis les années soixante s’avère mettre en question l’ontologie traditionnelle de la performance, orientée sur l’événement, autant que son épistémologie, qui valorise l’expérience directe. La prise en compte des dimensions instrumentales et artistiques du document nous conduit à réviser la poïétique traditionnelle de la performance et les théories de la communication qui lui sont liées, et à repenser par là même l’opposition entre objet et événement qui fonde la définition de la performance. C’est ainsi qu’on interroge le rapport de celle-ci à l’inscription, pour la redéfinir comme un art irréductible à son contexte d’exécution et travaillé en profondeur par la reproduction et la représentation, au travers notamment de l’étude de certaines figures exemplaires, Allan Kaprow, Chris Burden ou Tino Sehgal. / On the edge of the 1960’s, performance looked after imposing an art of ephemeral action that no kind of mediation would impede, be it symbolic (the distance between actor and spectator), technical (the medias), or even linguistical (language, signs). Those attempts led to numerous discussions between the 1960’s and the 1990’s, and have found numerous theoretical formulations using particularly the tools of poststructuralism, but also frames of thought directly inherited from Greenberg modernism. We explore here the stages and issues of this cross-over until the break of the 1990’s and 2000’s where the theoretical debates, always using poststructuralist schemes, gave a central role to mediations, particularly to the document. Documents have become an important figure of artistic practice since the 1960’s and turned out to question the traditional ontology of performance, based on the event, as well as its epistemology that promotes live experience. We try to consider the instrumental and artistic dimensions of the document ; this leads us to revise the traditional poetics of performance and theories of communication that are related to it, and to consider anew the opposition between object and event on which the definition of performance is based. Thus, we question the links between performance and inscription, redefined as an art that is irreducible to its context of execution and worked in depth by reproduction and representation, through the study of certain figureheads : Allan Kaprow, Chris Burden or Tino Sehgal.
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Art contemporain et documentation : la muséalisation d'un corpus de pièces éphémères de type performance

Giguère, Amélie 24 May 2012 (has links) (PDF)
Quarante années après la parution de l'article de Lucy R. Lippard et de John Chandler, la notion de " dématérialisation " apparait toujours dans les discours sur l'art contemporain. Elle désigne une tendance de la création qui dévalorise la matérialité de l'objet, ses qualités plastiques, de même que son caractère permanent. En outre, la dématérialisation de l'art peut être interprétée comme une critique du musée et les œuvres qui répondent à ses préceptes, comme des pièces qui " résistent " à la muséalisation. Qu'en est-il de la performance? Est-elle présente aujourd'hui dans les collections muséales? Et si oui, sous quelle forme? Comment les informations colligées, organisées et enregistrées autour de ses propositions assurent-elles une connaissance juste de celles-ci? En somme, par quelles stratégies, artistes ou professionnels, opèrent-ils la muséalisation de la performance? Le " document " s'impose comme notion clé pour éclairer la question de la muséalisation de cette pratique contemporaine. Une hypothèse de travail est formulée : les performances ne se présentent pas sous la forme d'un objet déterminé, mais plutôt sous la forme d'un ensemble de documents. Cet ensemble constitue ce que nous appelons la " face documentaire " de la proposition. En transposant la notion de paratexte de Gérard Genette aux objets de cette analyse, il est dit que la " face documentaire " a pour fonction principale de présenter ou de rendre présentes ces propositions, de réconcilier leurs différents modes d'existence et d'assurer leur muséalisation. C'est à la lumière des sciences de l'information et de la communication qu'est définie la notion de " document ", opératoire dans le concept de " face documentaire ". Une étude de cas est menée. Le corpus est composé de sept pièces éphémères de type performance et de leurs objets associés qui appartiennent à musées et des FRAC, en France ou au Canada. L'entretien auprès des professionnels des musées, des artistes et de leurs représentants, de même que la consultation et l'analyse de sources, comme les fiches descriptives, les dossiers d'œuvres et les revues spécialisées et les catalogues, constituent les principales méthodes d'enquête. L'analyse procède par l'identification et la mise en évidence, par le récit, des différents destinateurs, formes, fonctions et statuts des documents qui composent la " face documentaire " des pièces choisies. Sont ainsi interrogées, pour chacune des pièces, la création ou la sélection de documents et leur entrée dans une collection muséale. Sont ensuite questionnées la documentation muséale de ces pièces et enfin, leur présentation publique. L'étude des cas permet de dégager deux stratégies principales de muséalisation : la muséalisation articulée autour d'un prolongement matériel qui tend à faire œuvre et la muséalisation articulée autour d'un projet de réitération. L'étude de cas permet en outre de mettre en évidence trois stratégies de présentation publique des " performances muséalisées ", soit l'exposition d'un objet en situation de rencontre, l'exposition documentaire et enfin, la réitération de la performance. Enfin, la recherche montre que la muséalisation de la performance redéfinit les activités muséales de la sélection, de la documentation et de la présentation. Elle interroge l'objet de musée comme élément pivot de ces activités. Elle montre aussi qu'une attention plus grande est portée aux productions paratextuelles de ces travaux artistiques "

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