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Évaluation du processus d'amélioration de prix de la bourse de Boston

Pagé, Julie January 2006 (has links) (PDF)
La technologie est de plus en plus omniprésente et nombreuses sont les industries qui doivent demeurer à l'affût de cette dernière afin d'être en mesure de rivaliser sur la scène internationale. L'automatisation est aujourd'hui devenue la norme notamment dans les systèmes de négociation des marchés boursiers. Malgré l'abondante littérature financière qui porte sur le virage électronique dans les systèmes de négociation, une récente innovation découlant des systèmes électroniques a fait ses débuts à la bourse de Boston et demeure jusqu'ici inexplorée. Avec pour principal bénéfice la réduction des coûts de transaction, ce système novateur veut gagner la ferveur du public par le transfert de ces bénéfices vers les investisseurs. Dans ce mémoire, nous proposons d'apporter une contribution à la compréhension des répercussions de ce nouveau système connu sous le nom de Price Improvement Process, ou « PIP ». Ainsi, nous mesurons l'impact de ce système qui se veut comme un processus d'amélioration de prix qui se manifeste au niveau de l'écart bid-ask. Nous trouvons qu'en l'absence du processus d'amélioration de prix « PIP », la transaction médiane est exécutée à l'intérieur de l'intervalle du prix moyen ± 50% de l'écart bid-ask affiché. En d'autres mots, la transaction sera exécutée soit au BidPrice ou au AskPrice. Cependant, les résultats obtenus nous montrent qu'avec le processus d'amélioration de prix « PIP », la transaction médiane est exécutée dans l'intervalle du prix moyen ±30% de l'écart bid-ask. Ce résultat nous indique une amélioration significative de la qualité d'exécution des transactions lorsqu'un « PIP » est lancé. La stratification de la variable volume nous a permis d'identifier avec plus de précision dans quelle situation l'amélioration était la plus significative. Dans un premier temps, les résultats de la stratification du volume par transaction montrent que l'amélioration de prix que procure le « PIP » augmente avec le volume de la transaction. L'amélioration est de l'ordre de 23.8% lorsque les transactions comprennent de 1 à 5 contrats et peut atteindre tout près 56.47% d'amélioration pour les transactions dont le volume est de 51 contrats ou plus. Dans un second temps, nous avons étudié la liquidité journalière. Malgré le fait que les résultats étaient beaucoup moins précis quant à l'influence de chacune des variables, nous avons été en mesure de déterminer que l'amélioration que procure le processus « PIP » est à son maximum les journées de très forte liquidité, soit plus de 500 contrats transigés par jour.
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Les déterminants financiers des cessions-bail

Sarremejeanne, Jacques January 2009 (has links) (PDF)
Régulièrement la presse d'affaires canadienne annonce des cessions-bail se chiffrant en dizaines, voire centaines de millions de dollars. Une cession-bail consiste en la vente d'un bien et sa reprise à bail immédiate par le vendeur; à l'issue de la transaction, les parties sont alors liées par un contrat de location-acquisition ou de location-exploitation. La lecture des annonces de cessions-bail indique un « goût » des dirigeants pour les sources de financement hors bilan, et montre des objectifs économiques tels que réduire certaines formes d'endettement ou réaliser des opportunités de croissance. Par ailleurs, les conclusions de la littérature empirique, relative aux effets des cessions-bail sur la richesse des actionnaires des vendeurs-preneurs offre d'autres perspectives explicatives telles que la réalisation de gains fiscaux ou la réduction de coûts de faillite. Identifier quels sont les déterminants financiers des cessions-bail constitue le propos de cette thèse, l'objectif étant de porter un éclairage sur les motivations financières de ces transactions. Pour atteindre cet objectif, ces transactions sont identifiées comme le choix de recourir à un mode de financement particulier, et un cadre théorique décisionnel du choix d'un mode de financement est défini, en considérant les implications de la théorie statique de la structure de capital, de la théorie de la hiérarchie des modes de financement et de la théorie de l'agence. Il en découle cinq hypothèses explicatives du choix de recourir à une cession-bail, où l'avantage d'une telle transaction serait déterminé par les coûts de détresse financière du vendeur-preneur, ses opportunités de croissance, son insuffisance de liquidités, ses niveaux de risque et d'imposition. Un échantillon de 287 entreprises ouvertes canadiennes a été sélectionné, et a permis d'obtenir un panel complet de données sur six années (2000-2005), représentant 1 722 observations, dont 83 avec cessions-bail. Les hypothèses sont testées avec un modèle probabiliste de type probit, où la variable dépendante prend la valeur « 1 » lorsqu'une ou plusieurs cessions-bail sont observées au cours d'un exercice comptable, et que le vendeur-preneur est susceptible de bénéficier des avantages qui leur sont associés. Conformément à certaines hypothèses, les résultats montrent que la probabilité de réaliser une cession-bail est positivement associée au taux d'endettement et à la valeur absolue du bêta modifié du vendeur-preneur, et négativement associée à son ratio de liquidité. Les cessions-bail semblent donc déterminées par les coûts de détresse financière des vendeurs-preneurs, leur manque de liquidités et leur risque d'exploitation. Par contre, contrairement à la seconde l'hypothèse, ils montrent que la probabilité de réaliser cette transaction est négativement associée au ratio de la valeur marchande des actifs du vendeur-preneur sur leur valeur comptable. Les vendeurs-preneurs apparaissent comme ayant peu d'opportunités de croissance valorisées par les marchés financiers, les cessions-bail ne semblent pas être réalisées pour financer des investissements de croissance. Enfin, contrairement à l'hypothèse fiscale, les résultats ne permettent pas de conclure que le faible niveau d'imposition du vendeur-preneur est associé à la probabilité de faire une cession-bail. Aucune association n'est montrée, entre cette probabilité et le niveau d'imposition du vendeur-preneur qui n'apparaît pas être un déterminant des cessions-bail.

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