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Expérience de jeu auprès d'adultes cérébro-lésés en rééducation orthophonique intérêts et limites /

Besnard, Emilie Bénichou, Dominique. January 2008 (has links)
Mémoire d'orthophonie : Médecine : Nantes : 2008. / Bibliogr.
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Les troubles de communication de la personne aphasique et leurs retentissements sur la vie familiale et sociale élaboration d'un livret d'information à destination des proches de la personne aphasique /

Carré, Élise Chopineaux, Valérie. January 2007 (has links)
Mémoire d'orthophonie : Médecine : Université de Nantes : 2007. / Bibliogr.
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Elaboration d'une grille d'analyse du langage écrit de patients atteints de démence de type Alzheimer à partir de la description écrite d'une image complexe

Chauvey, Alexandra January 2009 (has links) (PDF)
Mémoire d'orthophonie : Médecine : Nancy 1 : 2009. / Titre provenant de l'écran-titre. Bibliogr.
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Ancrages et modèles dynamiques de la prosodie : application à la reconnaissance des émotions actées et spontanées

Ringeval, Fabien 04 January 2011 (has links) (PDF)
La reconnaissance de l'état émotionnel d'un locuteur est une étape importante pour rendre la communication Homme-machine plus naturelle et conviviale. Nous étudions dans cette thèse la problématique du traitement automatique de la parole (TAP) orienté émotion sur des données actées et naturelles. L'étude des émotions spontanées a été effectuée en parallèle avec celles des troubles de la communication (TC), puisque ces troubles limitent les capacités d'interaction de l'enfant. Les techniques incluses dans les systèmes de TAP orienté émotion doivent reposer sur des paramètres robustes dans la description des corrélats de l'affect, mais aussi face aux contraintes liées au changement de locuteur et de contexte sémantique. Dans cet esprit, nos travaux ont exploité un ensemble de traitements automatiques pour effectuer la reconnaissance des émotions. Nous avons notamment identifié des points d'ancrage complémentaires de la parole (e.g., pseudo-phonèmes) pour extraire plusieurs types de paramètres (e.g., acoustique et prosodique) sur le signal. Des techniques de fusion ont aussi été employées pour estimer la con-tribution de ces approches dans la tâche de reconnaissance. De plus, un effort a été tout spécia-lement porté sur le développement de modèles non-convent-ionnels du rythme, puisque cette composante apparaît clairement comme étant sous modélisée dans les systèmes état-de-l'art. Les expériences effectuées dans cette thèse visent à démontrer la pertinence des points d'ancrage de la parole et des modèles du rythme pour identifier les paramètres corrélés aux émotions. L'étude des émotions prototypiques (i.e., actées) par les modèles non-conventionnels du rythme a, par exemple, permis de définir un continuum de valeurs représentant alors les classes d'émotions qui apparaissent selon la roue de Plutchik. Les analyses portant sur les TC ont été effectuées en étroite collaboration avec des équipes de cliniciens et de chercheurs en TAP orienté émotion. Ces travaux ont eu pour but d'employer des méthodes automatiques (i.e., identification des points d'ancrage de la parole et extraction de paramètres prosodiques) pour caractériser les particularités associées aux types de TC étu-diés, i.e., autisme, dysphasie et troubles envahissants du développement non-spécifiés (TED-NOS). Un groupe contrôle composé d'enfants à développement typique a aussi été étudié pour comparer les capacités prosodiques des sujets TC. Les résultats de cette étude sont prometteurs puisqu'ils ont montré que l'ensemble des sujets pathologiques pouvait être discriminé significa-tivement des typiques, tout comme les différents groupes de TC, selon deux types d'épreuves distinctes : (i) imitation de contours intonatifs (tâche contrainte) et (ii) production de parole affective spontanée (tâche non-contrainte). De plus, les résultats fournis par une analyse auto-matique des données ont permis de retrouver les caractéristiques cliniques des groupes de TC. Les techniques actuelles en TAP orienté émotion sont donc suffisamment matures pour s'affranchir des difficultés créées par l'étude de corpus contenant de la parole spontanée et/ou produite par des voix d'enfants. Par conséquent, la difficile mais au combien importante tâche " d'humanisation " des systèmes communicants peut être envisagée, puisque les machines peuvent avoir la capacité de percevoir de façon robuste l'affect dans des situations naturelles
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L'agitation verbale : moyen de communication dans la démence?

Matteau, Evelyne. 22 February 2021 (has links)
L'agitation verbale (AV) renvoie à des comportements verbaux ou vocaux répétitifs, dérangeants ou non appropriés au contexte. Les connaissances actuelles suggèrent que 1 'AV soit un moyen d1 expression chez les gens ne disposant pas des compétences langagières nécessaires à une communication efficace. Afin de vérifier cette hypothèse, cinquante-neuf participants âgés sont répartis en deux groupes : l'un ayant des habiletés langagières préservées (HLP), l'autre ayant des habiletés langagières altérées (HLA). Les résultats montrent que le groupe HLA présente une plus grande fréquence d'AV que le groupe HLP et qu'il manifeste un registre plus étendu de comportements verbaux agités. Les résultats sont interprétés en fonction de la détérioration du langage occasionnée par la démence
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Traitement implicite de la prosodie émotionnelle et linguistique dans la schizophrénie : lien avec la reconnaissance des affects, l'anhédonie et la désorganisation.

Roux, Paul 26 October 2009 (has links) (PDF)
Les patients schizophrènes présentent des déficits en reconnaissance des émotions vocales qui ont de graves conséquences sur leur fonctionnement social. Ces déficits ont été jusqu'à présent mis en évidence à l'aide de paradigmes explicites : la perception implicite de la prosodie émotionnelle reste à être explorée dans cette pathologie. Nous avons recruté 20 patients schizophrènes et 21 sujets contrôles appariés sur l'âge et le sexe. Nous avons d'abord démontré dans notre groupe de patients un déficit en reconnaissance explicite de prosodie émotionnelle. Nous avons ensuite utilisé un paradigme de Stroop émotionnel vocal (conflit entre l'émotion du sens du mot et de la voix avec lequel il est prononcé) permettant d'évaluer l'influence implicite de la prosodie émotionnelle sur le jugement émotionnel sémantique. Nous avons démontré un effet de Stroop émotionnel vocal plus important en taux d'erreur chez les patients que chez les témoins traduisant un déficit de résolution des conflits émotionnels vocaux. Chez les patients, l'effet de Stroop émotionnel vocal en temps de réaction est positivement corrélé à l'anhédonie sociale, validant ainsi l'hypothèse originale d'une hypersensibilité aux émotions vocales dans l'anhédonie schizophrénique. Nous avons également exploré le traitement implicite de la prosodie linguistique chez les mêmes participants. Nous avons démontré à l'aide d'une tâche psycholinguistique évaluant les stratégies de segmentation lexicale et prosodique que les patients schizophrènes étaient tout à fait capables de percevoir et d'utiliser les indices prosodiques contenus dans des frontières de groupe de mots pour segmenter le signal de parole. Nous concluons à une dissociation entre une reconnaissance explicite altérée et une perception implicite préservée de prosodie émotionnelle et linguistique dans la schizophrénie. Nos résultats réfutent l'explication entièrement sensorielle du trouble schizophrénique en reconnaissance des émotions vocales. Ils sont plutôt en faveur d'un déficit de l'étape cognitive de jugement émotionnel.
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Évaluation de l'acuité visuelle chez la personne âgée atteinte de troubles de la cognition

Chriqui, Estefania 04 1900 (has links)
Objectif : L'évaluation de l'acuité visuelle (AV) chez la personne âgée atteinte de troubles cognitifs peut être limitée par le manque de collaboration ou les difficultés de communication du patient. Très peu d'études ont examiné l'AV chez les patients atteints de déficits sévères de la cognition. L’objectif de cette étude était d’évaluer l'AV chez la personne âgée vulnérable ayant des troubles cognitifs à l'aide d'échelles variées afin de vérifier leur capacité à répondre à ces échelles. Méthodes: Trois groupes de 30 sujets chacun ont été recrutés. Le premier groupe était constitué de sujets jeunes (Moy.±ET: 24.9±3.5ans) et le second, de sujets âgés (70.0±4.5ans), ne présentant aucun trouble de la cognition ou de la communication. Le troisième groupe, composé de sujets atteints de démence faible à sévère (85.6±6.9ans), a été recruté au sein des unités de soins de longue durée de l’Institut Universitaire de Gériatrie de Montréal. Le test du Mini-Mental State Examination (MMSE) a été réalisé pour chaque sujet afin de déterminer leur niveau cognitif. L’AV de chaque participant a été mesurée à l’aide de six échelles validées (Snellen, cartes de Teller, ETDRS-lettres,-chiffres,-Patty Pics,-E directionnel) et présentées selon un ordre aléatoire. Des tests non paramétriques ont été utilisés afin de comparer les scores d’AV entre les différentes échelles, après une correction de Bonferroni-Holm pour comparaisons multiples. Résultats: Le score moyen au MMSE chez les sujets atteints de démence était de 9.8±7.5, alors qu’il était de 17.8±3.7 et 5.2±4.6 respectivement, chez les sujets atteints de démence faible à modérée (MMSE supérieur ou égal à 13; n=11) et sévère (MMSE inférieur à 13; n=19). Tous les sujets des groupes 1 et 2 ont répondu à chacune des échelles. Une grande majorité de sujets avec démence ont répondu à toutes les échelles (n=19) alors qu’un seul sujet n’a répondu à aucune échelle d’AV. Au sein du groupe 3, les échelles d’AV fournissant les scores les plus faibles ont été les cartes de Teller (20/65) et les Patty Pics (20/62), quelque soit le niveau cognitif du sujet, alors que les meilleurs scores d’AV ont été obtenus avec les échelles de Snellen (20/35) et les lettres ETDRS (20/36). Une grande proportion de sujets avec démence sévère ont répondu aux cartes de Teller (n=18) mais le score d’AV obtenu était le plus faible (20/73). Au sein des trois groupes, l’échelle de lettres-ETDRS était la seule dont les scores d’AV ne différaient pas de ceux obtenus avec l’échelle de Snellen traditionnelle. Conclusions: L’acuité visuelle peut être mesurée chez la personne âgée atteinte de troubles cognitifs ou de la communication. Nos résultats indiquent que les échelles les plus universelles, utilisant des lettres comme optotypes, peuvent être utilisées avec de bons résultats chez les personnes âgées atteintes de démence sévère. Nos résultats suggèrent de plus que la mesure d’acuité visuelle doit être tentée chez toutes les personnes, peu importe leur niveau cognitif. / Purpose: The evaluation of visual acuity (VA) in cognitively impaired older individuals may be limited by a reduced ability to cooperate or communicate. To date, no study has been performed to guide the clinician as to which VA chart to use in older individuals with moderate to severe dementia. This is important knowing that dementia affects more than 30% of seniors above 85 yrs of age, many of whom will be affected by the most severe stages of the disease. The objective of this research was to assess VA in older institutionalized individuals with moderate to severe dementia, using various acuity charts, and to verify their ability to respond to each of these charts. Methods: Three groups of 30 subjects each were recruited. The first group consisted of young subjects (Avg ± SD: 24.9 ± 3.5 yrs) and the second one, older subjects (70.0 ± 4.5 yrs) with no history of cognitive or communication disorders. The third group (85.6 ± 6.9 yrs) included subjects with mild to severe dementia residing in long-term care units. The Mini Mental-State Examination (MMSE) was performed for each institutionalized subject to verify their cognitive level. The VA of each participant was measured using six validated VA charts (Snellen, Teller cards, ETDRS-letters, -numbers, -Patty Pics, -Tumbling E's) presented in random order. Non parametric tests were used to compare VA scores obtained between the various charts, after Bonferroni-Holm corrections for multiple comparisons Results: The average MMSE scores of subjects with dementia was 9.8 ± 7.5, while it was 17.8 ± 3.7 and 5.2 ± 4.6, for those with mild to moderate (MMSE ≥ 13; n=11) and severe (MMSE < 13; n= 19) dementia. All subjects in groups 1 and 2 responded to each of the charts. A large proportion of subjects with dementia responded to all charts (n= 19) while only one did not respond to any chart. In group 3, VA charts with the lowest scores were the Teller cards (20/65) and Patty Pics (20/62), regardless of the level of dementia, while the best VA scores were obtained with the Snellen (20/35) and ETDRS-letter (20/36) charts. More subjects with severe dementia responded to the Teller cards (n= 18) but the VA obtained was the lowest (20/73). Across all groups, the ETDRS-letter chart was the only one whose scores did not differ from those obtained with the standard Snellen chart. Time to read the letter charts was faster than for the other optotypes. Conclusions: Visual acuity can be measured, and should at least be attempted, in older cognitively impaired individuals having a reduced ability to communicate. Our results indicate that the most universal scales, using letters as optotypes, can be used with good results in people with more severe dementia. Testing requires, however, more time and encouragement in individuals with more severe cognitive deficits in order to obtain and maintain their collaboration.
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Évaluation de l'acuité visuelle chez la personne âgée atteinte de troubles de la cognition

Chriqui, Estefania 04 1900 (has links)
Objectif : L'évaluation de l'acuité visuelle (AV) chez la personne âgée atteinte de troubles cognitifs peut être limitée par le manque de collaboration ou les difficultés de communication du patient. Très peu d'études ont examiné l'AV chez les patients atteints de déficits sévères de la cognition. L’objectif de cette étude était d’évaluer l'AV chez la personne âgée vulnérable ayant des troubles cognitifs à l'aide d'échelles variées afin de vérifier leur capacité à répondre à ces échelles. Méthodes: Trois groupes de 30 sujets chacun ont été recrutés. Le premier groupe était constitué de sujets jeunes (Moy.±ET: 24.9±3.5ans) et le second, de sujets âgés (70.0±4.5ans), ne présentant aucun trouble de la cognition ou de la communication. Le troisième groupe, composé de sujets atteints de démence faible à sévère (85.6±6.9ans), a été recruté au sein des unités de soins de longue durée de l’Institut Universitaire de Gériatrie de Montréal. Le test du Mini-Mental State Examination (MMSE) a été réalisé pour chaque sujet afin de déterminer leur niveau cognitif. L’AV de chaque participant a été mesurée à l’aide de six échelles validées (Snellen, cartes de Teller, ETDRS-lettres,-chiffres,-Patty Pics,-E directionnel) et présentées selon un ordre aléatoire. Des tests non paramétriques ont été utilisés afin de comparer les scores d’AV entre les différentes échelles, après une correction de Bonferroni-Holm pour comparaisons multiples. Résultats: Le score moyen au MMSE chez les sujets atteints de démence était de 9.8±7.5, alors qu’il était de 17.8±3.7 et 5.2±4.6 respectivement, chez les sujets atteints de démence faible à modérée (MMSE supérieur ou égal à 13; n=11) et sévère (MMSE inférieur à 13; n=19). Tous les sujets des groupes 1 et 2 ont répondu à chacune des échelles. Une grande majorité de sujets avec démence ont répondu à toutes les échelles (n=19) alors qu’un seul sujet n’a répondu à aucune échelle d’AV. Au sein du groupe 3, les échelles d’AV fournissant les scores les plus faibles ont été les cartes de Teller (20/65) et les Patty Pics (20/62), quelque soit le niveau cognitif du sujet, alors que les meilleurs scores d’AV ont été obtenus avec les échelles de Snellen (20/35) et les lettres ETDRS (20/36). Une grande proportion de sujets avec démence sévère ont répondu aux cartes de Teller (n=18) mais le score d’AV obtenu était le plus faible (20/73). Au sein des trois groupes, l’échelle de lettres-ETDRS était la seule dont les scores d’AV ne différaient pas de ceux obtenus avec l’échelle de Snellen traditionnelle. Conclusions: L’acuité visuelle peut être mesurée chez la personne âgée atteinte de troubles cognitifs ou de la communication. Nos résultats indiquent que les échelles les plus universelles, utilisant des lettres comme optotypes, peuvent être utilisées avec de bons résultats chez les personnes âgées atteintes de démence sévère. Nos résultats suggèrent de plus que la mesure d’acuité visuelle doit être tentée chez toutes les personnes, peu importe leur niveau cognitif. / Purpose: The evaluation of visual acuity (VA) in cognitively impaired older individuals may be limited by a reduced ability to cooperate or communicate. To date, no study has been performed to guide the clinician as to which VA chart to use in older individuals with moderate to severe dementia. This is important knowing that dementia affects more than 30% of seniors above 85 yrs of age, many of whom will be affected by the most severe stages of the disease. The objective of this research was to assess VA in older institutionalized individuals with moderate to severe dementia, using various acuity charts, and to verify their ability to respond to each of these charts. Methods: Three groups of 30 subjects each were recruited. The first group consisted of young subjects (Avg ± SD: 24.9 ± 3.5 yrs) and the second one, older subjects (70.0 ± 4.5 yrs) with no history of cognitive or communication disorders. The third group (85.6 ± 6.9 yrs) included subjects with mild to severe dementia residing in long-term care units. The Mini Mental-State Examination (MMSE) was performed for each institutionalized subject to verify their cognitive level. The VA of each participant was measured using six validated VA charts (Snellen, Teller cards, ETDRS-letters, -numbers, -Patty Pics, -Tumbling E's) presented in random order. Non parametric tests were used to compare VA scores obtained between the various charts, after Bonferroni-Holm corrections for multiple comparisons Results: The average MMSE scores of subjects with dementia was 9.8 ± 7.5, while it was 17.8 ± 3.7 and 5.2 ± 4.6, for those with mild to moderate (MMSE ≥ 13; n=11) and severe (MMSE < 13; n= 19) dementia. All subjects in groups 1 and 2 responded to each of the charts. A large proportion of subjects with dementia responded to all charts (n= 19) while only one did not respond to any chart. In group 3, VA charts with the lowest scores were the Teller cards (20/65) and Patty Pics (20/62), regardless of the level of dementia, while the best VA scores were obtained with the Snellen (20/35) and ETDRS-letter (20/36) charts. More subjects with severe dementia responded to the Teller cards (n= 18) but the VA obtained was the lowest (20/73). Across all groups, the ETDRS-letter chart was the only one whose scores did not differ from those obtained with the standard Snellen chart. Time to read the letter charts was faster than for the other optotypes. Conclusions: Visual acuity can be measured, and should at least be attempted, in older cognitively impaired individuals having a reduced ability to communicate. Our results indicate that the most universal scales, using letters as optotypes, can be used with good results in people with more severe dementia. Testing requires, however, more time and encouragement in individuals with more severe cognitive deficits in order to obtain and maintain their collaboration.
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Intervention non pharmacologique pour réduire l'agitation verbale : une étude préliminaire

Bédard, Annick 11 April 2021 (has links)
Cette étude a pour objectif d’évaluer l’efficacité d’une intervention comprenant de l’agitation verbale (AV) chez des personnes atteintes de démence et résidant en centre d’hébergement et de soins de longue durée. Un protocole AB à niveaux de bases multiples est appliqué auprès de deux participants. La fréquence et la durée de l’AV ont été mesurées par le décodage d’enregistrements sonores. Une diminution non significative de la durée et une participant, l’analyse des graphiques, des moyennes et des médianes montrent une réduction de l’AV qui ne s’avère pas statistiquement significative. Les résultats suggèrent q’une intervention visant à combler des besoins d’attentioq de confort et de stimulation sensorielle peut contribuer à réduite les comportements d’AV chez certaines personnes mais non chez d’autres.

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