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Le nationalisme et les partis politiques dans l'élection provinciale québécoise de 1936Bergeron, Marco, January 1900 (has links) (PDF)
Thèse (M.A.)--Université Laval, 1998. / Comprend des réf. bibliogr. et un index.
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L'Union nationale : 1932-1939 : un fascisme en Suisse romande /Joseph, Roger, January 1975 (has links)
Thèse--Sc. pol.--Lausanne, 1974. / Bibliogr. p. 415-426. Index.
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Le nationalisme et les partis politiques dans l'élection provinciale québécoise de 1936 /Bergeron, Marco. January 1998 (has links)
Thèse (M.A.) -- Université Laval, 1998. / Bibliogr.: f. [101]-108. Publié aussi en version électronique.
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Politics in extraordinary times : a study of the reaction of political parties and elites to terrorismChowanietz, Christophe 06 1900 (has links)
Cette thèse porte sur le comportement des élites politiques durant les périodes de crise
nationale et plus particulièrement sur leurs réactions aux attentats terroristes. Elle
démontre que les crises terroristes sont tout comme les conflits militaires ou
diplomatiques propices aux unions nationales et notamment aux ralliements des partis
d’opposition auprès du gouvernement.
L’analyse statistique d’actes terroristes s’étant produits dans cinq états
démocratiques (Allemagne, Espagne, États-Unis d’Amérique, France et Royaume-Uni)
entre 1990 et 2006 révèle que l’ampleur d’un attentat en termes de pertes humaines ainsi
que la répétition de ces attentats influencent dans une large mesure la réaction des élites
politiques. Ainsi plus l’ampleur d’un attentat est élevée, plus la probabilité d’un
ralliement est grande. En revanche, la multiplication des attentats augmente la possibilité
de dissension entre l’opposition et le gouvernement. Par ailleurs, l’opposition est plus
susceptible de se rallier au gouvernement lorsque l’attentat est perpétré par des terroristes
provenant de l’étranger. L’analyse quantitative indique également que l’existence d’un
accord formel de coopération dans la lutte antiterroriste entre le gouvernement et
l’opposition favorise l’union des élites. Enfin, les données analysées suggèrent que la
proportion des ralliements dans les cinq pays est plus importante depuis les attentats du
11 septembre 2001.
Une analyse qualitative portant exclusivement sur la France et couvrant la période
1980-2006 confirme la validité des variables identifiées dans la partie quantitative, mais
suggère que les élites réagissent au nombre total de victimes (morts mais aussi blessés) et
que la répétition des actes terroristes a moins d’impact lors des vagues d’attentats. Par ailleurs, les analyses de cas confirment que les élites politiques françaises sont plus
susceptibles de se rallier quand un attentat vise un haut-fonctionnaire de l’État. Il apparaît
également que les rivalités et rancœurs politiques propre à la France (notamment suite à
l’arrivée de la gauche au pouvoir en 1981) ont parfois empêché le ralliement des élites.
Enfin, cette analyse qualitative révèle que si l’extrême gauche française soutient
généralement le gouvernement, qu’il soit de gauche ou de droite, en période de crise
terroriste, l’extrême droite en revanche saisit quasi systématiquement l’opportunité
offerte par l’acte terroriste pour critiquer le gouvernement ainsi que les partis de
l’establishment.
La thèse est divisée en sept chapitres. Le premier chapitre suggère que le
comportement des élites politiques en période de crises internationales graves (guerres et
conflits diplomatiques) est souvent influencé par la raison d’État et non par l’intérêt
électoral qui prédomine lors des périodes plus paisibles. Le second chapitre discute du
phénomène terroriste et de la littérature afférente. Le troisième chapitre analyse les
causes du phénomène d’union nationale, soumet un cadre pour l’analyse de la réaction
des élites aux actes terroristes, et présente une série d’hypothèses. Le quatrième chapitre
détaille la méthodologie utilisée au cours de cette recherche. Les chapitres cinq et six
présentent respectivement les résultats des analyses quantitatives et qualitatives. Enfin, le
chapitre sept conclut cette thèse en résumant la contribution de l’auteur et en suggérant
des pistes de recherche. / This thesis focuses on the behaviour of political elites during periods of national crisis
and particularly on their reactions to acts of terrorism. It demonstrates that terrorist crises,
much like military and diplomatic conflicts, represent a fertile ground for rallies around
the flag.
The statistical analysis of terrorist events that occurred in five democracies
(France, Germany, Spain, the United Kingdom and the United States of America) from
1990 to 2006 indicates that the magnitude of the attack in terms of fatalities and the
repetition of attacks influence in large measures the reaction of the political elite. The
higher the magnitude is, the more likely the rally. However, the repetition of attacks
increases the likelihood of dissention between opposition and government. Moreover, the
opposition is more likely to support the government when the attack is perpetrated by
terrorists originating from abroad. The quantitative analysis also indicates that the
existence of a formal antiterrorist pact between government and opposition increases the
likelihood of a rally. Finally, the data suggest that elites are more likely to rally around
the flag since the events of 9/11.
A qualitative analysis focusing solely on France and examining cases from the
period 1980-2006 confirms the validity of the variables identified in the quantitative part
but suggests that elites react to the total number of victims (including wounded) and that
the repetition has less impact during waves of attacks. Furthermore, the case studies
confirm that French political elites are particularly prone to rally when high-ranking
representatives of the state fall victim to the terrorists. In addition, it appears that political
rivalries and resentment (in particular following the Left’s return to power in 1981) have on occasion thwarted the rallying of elites. Finally, this analysis indicates that whereas
the far-left generally supports the government (left-wing or right-wing), the far-right uses
almost every opportunity to criticize the government and the parties of the establishment.
The thesis is divided into seven chapters. Chapter one suggests that during intense
foreign policy crises (military and diplomatic) the behaviour of the political elite is often
influenced by the national interest, rather than the electoral interest that predominates in
quieter periods. Chapter two discusses the terrorist phenomenon and the corresponding
literature. Chapter three analyses the rally-around-the-flag phenomenon, lays out a
framework for analysing the reaction of elites, and presents a series of hypotheses.
Chapter four details the methodology used. Chapters five and six present respectively the
results of the quantitative and qualitative analyses. Finally, chapter seven concludes with
a summary of the author’s contribution and suggests avenues of research.
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Politics in extraordinary times : a study of the reaction of political parties and elites to terrorismChowanietz, Christophe 06 1900 (has links)
Cette thèse porte sur le comportement des élites politiques durant les périodes de crise
nationale et plus particulièrement sur leurs réactions aux attentats terroristes. Elle
démontre que les crises terroristes sont tout comme les conflits militaires ou
diplomatiques propices aux unions nationales et notamment aux ralliements des partis
d’opposition auprès du gouvernement.
L’analyse statistique d’actes terroristes s’étant produits dans cinq états
démocratiques (Allemagne, Espagne, États-Unis d’Amérique, France et Royaume-Uni)
entre 1990 et 2006 révèle que l’ampleur d’un attentat en termes de pertes humaines ainsi
que la répétition de ces attentats influencent dans une large mesure la réaction des élites
politiques. Ainsi plus l’ampleur d’un attentat est élevée, plus la probabilité d’un
ralliement est grande. En revanche, la multiplication des attentats augmente la possibilité
de dissension entre l’opposition et le gouvernement. Par ailleurs, l’opposition est plus
susceptible de se rallier au gouvernement lorsque l’attentat est perpétré par des terroristes
provenant de l’étranger. L’analyse quantitative indique également que l’existence d’un
accord formel de coopération dans la lutte antiterroriste entre le gouvernement et
l’opposition favorise l’union des élites. Enfin, les données analysées suggèrent que la
proportion des ralliements dans les cinq pays est plus importante depuis les attentats du
11 septembre 2001.
Une analyse qualitative portant exclusivement sur la France et couvrant la période
1980-2006 confirme la validité des variables identifiées dans la partie quantitative, mais
suggère que les élites réagissent au nombre total de victimes (morts mais aussi blessés) et
que la répétition des actes terroristes a moins d’impact lors des vagues d’attentats. Par ailleurs, les analyses de cas confirment que les élites politiques françaises sont plus
susceptibles de se rallier quand un attentat vise un haut-fonctionnaire de l’État. Il apparaît
également que les rivalités et rancœurs politiques propre à la France (notamment suite à
l’arrivée de la gauche au pouvoir en 1981) ont parfois empêché le ralliement des élites.
Enfin, cette analyse qualitative révèle que si l’extrême gauche française soutient
généralement le gouvernement, qu’il soit de gauche ou de droite, en période de crise
terroriste, l’extrême droite en revanche saisit quasi systématiquement l’opportunité
offerte par l’acte terroriste pour critiquer le gouvernement ainsi que les partis de
l’establishment.
La thèse est divisée en sept chapitres. Le premier chapitre suggère que le
comportement des élites politiques en période de crises internationales graves (guerres et
conflits diplomatiques) est souvent influencé par la raison d’État et non par l’intérêt
électoral qui prédomine lors des périodes plus paisibles. Le second chapitre discute du
phénomène terroriste et de la littérature afférente. Le troisième chapitre analyse les
causes du phénomène d’union nationale, soumet un cadre pour l’analyse de la réaction
des élites aux actes terroristes, et présente une série d’hypothèses. Le quatrième chapitre
détaille la méthodologie utilisée au cours de cette recherche. Les chapitres cinq et six
présentent respectivement les résultats des analyses quantitatives et qualitatives. Enfin, le
chapitre sept conclut cette thèse en résumant la contribution de l’auteur et en suggérant
des pistes de recherche. / This thesis focuses on the behaviour of political elites during periods of national crisis
and particularly on their reactions to acts of terrorism. It demonstrates that terrorist crises,
much like military and diplomatic conflicts, represent a fertile ground for rallies around
the flag.
The statistical analysis of terrorist events that occurred in five democracies
(France, Germany, Spain, the United Kingdom and the United States of America) from
1990 to 2006 indicates that the magnitude of the attack in terms of fatalities and the
repetition of attacks influence in large measures the reaction of the political elite. The
higher the magnitude is, the more likely the rally. However, the repetition of attacks
increases the likelihood of dissention between opposition and government. Moreover, the
opposition is more likely to support the government when the attack is perpetrated by
terrorists originating from abroad. The quantitative analysis also indicates that the
existence of a formal antiterrorist pact between government and opposition increases the
likelihood of a rally. Finally, the data suggest that elites are more likely to rally around
the flag since the events of 9/11.
A qualitative analysis focusing solely on France and examining cases from the
period 1980-2006 confirms the validity of the variables identified in the quantitative part
but suggests that elites react to the total number of victims (including wounded) and that
the repetition has less impact during waves of attacks. Furthermore, the case studies
confirm that French political elites are particularly prone to rally when high-ranking
representatives of the state fall victim to the terrorists. In addition, it appears that political
rivalries and resentment (in particular following the Left’s return to power in 1981) have on occasion thwarted the rallying of elites. Finally, this analysis indicates that whereas
the far-left generally supports the government (left-wing or right-wing), the far-right uses
almost every opportunity to criticize the government and the parties of the establishment.
The thesis is divided into seven chapters. Chapter one suggests that during intense
foreign policy crises (military and diplomatic) the behaviour of the political elite is often
influenced by the national interest, rather than the electoral interest that predominates in
quieter periods. Chapter two discusses the terrorist phenomenon and the corresponding
literature. Chapter three analyses the rally-around-the-flag phenomenon, lays out a
framework for analysing the reaction of elites, and presents a series of hypotheses.
Chapter four details the methodology used. Chapters five and six present respectively the
results of the quantitative and qualitative analyses. Finally, chapter seven concludes with
a summary of the author’s contribution and suggests avenues of research.
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La politique au service d'une conviction Philippe Hamel : deux décennies d'action politiqueLapointe, Richard 25 April 2018 (has links)
Dentiste entrant dans la vie publique pour faire triompher, sans compromis, une cause qu'il croit juste et nécessaire, Philippe Hamel entreprendra une campagne personnelle puis donnera successivement son adhésion a l'Action libérale nationale et à l'Union nationale. Croyant que Maurice Duplessis concrétiserait des reformes en hydroélectricité, Hamel sera précipite, après la victoire de l'Union nationale, dans une phase de marginalisation politique. Tenant toujours à sa vision personnelle qui abhorre tout compromis sur les principes, le dentiste entretiendra des relations difficiles avec les forces en présence. Finissant par abandonner la politique active, il n'en conservera pas moins cette volonté de faire triompher sa cause. Plus que jamais convaincu de l'influence néfaste de la "dictature économique" sur la société, il sera ramené, contexte aidant, sur la scène politique et adhèrera au Bloc populaire. Mais, une conviction toujours inébranlable verra les déboires politiques se répéter pour aboutir à un retrait progressif et définitif de la vie publique. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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Débuts, établissement et apogée des méthodes électorales à l'américaine sous l'Union nationale de Maurice DuplessisCantin, Andréanne 24 April 2018 (has links)
Les méthodes électorales à l'américaine ont transformé la façon de faire campagne en temps d'élection et sont maintenant répandues partout en Occident. Les conseillers en image et le recours aux firmes publicitaires font aujourd'hui partie de la donne électorale. Nées aux États-Unis dans la première moitié du XXe siècle, ces méthodes sont les prémisses du marketing électoral actuel. Longtemps avons-nous cru que ce phénomène est apparu dans les années 1960 au Québec, avec l'élection de Jean Lesage. Pourtant, près de quinze ans auparavant, un Premier ministre s'entoure d'une équipe pour mieux gagner ses élections. Maurice Duplessis a recours aux services de Joseph-Damase Bégin, ministre unioniste et ancien vendeur d'automobiles, qui se démarque par ses victoires dans son comté. Bégin s'allie à son tour les talents de Paul Bouchard qui devient directeur de la propagande de l'organisation électorale de l'Union nationale en 1946. Au fil des années, leur organisation grandit et permet à Duplessis de remporter parmi les plus grandes majorités parlementaires de l'histoire du Québec. Comment Bégin, Bouchard et leurs collègues y parviennent-ils? En personnalisant les campagnes de l'Union nationale, en recourant aux médias de masse et aux techniques publicitaires réputées performantes, en effectuant des analyses pré-électorales et surtout, en utilisant un budget faramineux. Voilà la recette du succès unioniste, inspiré des méthodes américaines.
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Le nationalisme et les partis politiques dans l'élection provinciale québécoise de 1936Bergeron, Marco 24 April 2018 (has links)
Les malheurs causés par la grande dépression des années 1930 et l'inertie du gouvernement Taschereau ont permis à une idéologie comme celle du nationalisme canadien-français de connaître un nouvel essor au Québec. En effet, le chômage toujours croissant, la misère tant urbaine que rurale et l'incapacité du libéralisme à remédier à tous ces problèmes n'ont pu que provoquer l'essor du nationalisme. Lorsque le Parti libéral et l'Union nationale s'affrontent dans l'arène électorale durant l'été 1936, ils sont conscients que le libéralisme à la Taschereau est fortement contesté et qu'ils se doivent d'adopter certaines mesures proposées par une idéologie nationaliste en pleine montée. Bien qu'il se garde d'afficher un certain nationalisme lors de la campagne, le chef du Parti libéral, Adélard Godbout, propose quelques réformes sociales réclamées depuis longtemps par l'Église et les nationalistes. De son côté, l'Union nationale, sans pour autant être anglophobe, s'affiche ouvertement nationaliste dans ses pamphlets électoraux. Toutefois, les représentants de ce parti préfèrent ressasser les scandales du régime libéral dans leurs assemblées plutôt que de promouvoir l'idée d'une politique nationale. Le 17 août 1936, l'Union nationale écrase le Parti libéral. D'après nous, le nationalisme n'a pas joué un grand rôle dans cette victoire unioniste. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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Cultiver les conditions idéales de la démocratie : l'affaire Dion-O'Neill, le scandale du gaz naturel et la moralité politique au Québec, 1956-1963Plante, Sarah-Émilie 23 April 2018 (has links)
Dans le Québec d’après-guerre, les préoccupations morales des opposants au gouvernement de l’Union nationale se cristallisent autour de deux dénonciations virulentes de la corruption politique : celle des mœurs électorales et celle des gouvernants. En 1960, la moralité politique est un enjeu électoral d’importance. Le Parti libéral est élu en promettant de réformer la vie politique. La « guerre au patronage » menée par le gouvernement passe par la condamnation des méthodes administratives utilisées par l’Union nationale. Entre 1956 et 1963, l’opinion publique, puis le gouvernement confèrent une importance grandissante à la responsabilisation des comportements et à la valorisation de la politique. Au fil des débats soulevés, nous voulons étudier les motivations des intervenants et leurs discours tels que rapportés dans la presse. Il en résulte la rencontre de deux visions de la vie dans la Cité, entre un idéal de vertu et la réalité effective de la politique partisane.
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